Les paysages sont sublimes et d’une magnificence indescriptible…Vous pénètrent également des parfums grisants, capiteux, exaltants qui conviennent parfaitement à votre personnalité
Message du Ciel – Jean messager de la lumière – Livre Tome 4 : Le temps presse, rallumez vos lampes – Page 64 : La Jérusalem céleste – Message du 25 janvier 2004
L’Apocalypse 21,2-3 : Et je vis la Cité sainte, Jérusalem nouvelle, qui descendait du Ciel, de chez Dieu ; elle s’est faite belle, comme une jeune mariée parée pour son époux. J’entendis alors une voix clamer, du trône : «Voici la demeure de Dieu avec les hommes. Il aura sa demeure avec eux…»
Il est tout à fait impossible de décrire les chefs-d’œuvre de la Cité de Dieu. Aucune language ne peut l’exprimer, car ces merveilles dépassent les conceptions de l’entendement humain.
Sur terre, vous demeurez dans une vallée de ténèbres et de larmes, réduits à imaginer ce qu’il y a après la mort et ce que vous allez trouver au Ciel. Et même si votre imagination est débordante, vous serez bien loin de la réalité.
Dans les Livres saints, vous y trouverez décrite la Jérusalem céleste dans des représentations fort imprécises. Toutefois, la grâce divine viendra en aide à votre intelligence et vous convaincra de mettre dans votre cœur l’espérance de l’éternelle Patrie.
Les paysages sont sublimes et d’une magnificence indescriptible… Vous pénètrent également des parfums grisants, capiteux, exaltants qui conviennent parfaitement à votre personnalité. Aucune voix humaine, aucun instrument de musique ne parviendront jamais à émettre toute l’ampleur des chants et des mélodies dont retentit l’inexprimable Jérusalem céleste…
La terre n’étant qu’un bien court passage, votre seul objectif est d’agir le mieux possible pour être en mesure, au moment venu, de rejoindre vos parents et amis qui sont passés de l’autre côté de la rive. Un jour, après une purification, vous vous retrouverez au paradis, où les maux n’existent plus et où vous goûterez la multitude et l’abondance de tous les biens.
La lumière de l’incommensurable Amour du Père Eternel transformera vos jugements. Vous considérerez alors comme un bien la pauvreté, les maladies, l’obscurité de votre condition, et comme un mal les décorations, les richesses, les titres, les faveurs et les louanges du monde.
Sur terre, n’ayez aucune crainte d’affronter les plus rudes travaux et les plus redoutables périls, tout comme une extrême peine, car, au Ciel, vous surabonderez de joie. Tout vous y sera compté au centuple, et ce n’est là qu’une bien pâle image !
C’était la pensée du Ciel qui allumait chez de fervents chrétiens la sainte soif du martyre en les rendant indifférents aux honneurs et aux commodités de la vie. Relisez et méditez la vie des saints martyrs.
Au Ciel, notre intelligence est pleinement satisfaite. Nous connaissons toutes les merveilles et tous les secrets de la création, c’est-à-dire tous les mystères de la nature que, pour le moment, vous ne pouvez comprendre.
Le Ciel est le repos de la volonté des hommes et l’apaisement de tous les désirs de leurs cœurs. Jésus et Marie sont tellement présents, nous inondant de tendresse… Nous nous voyons, nous nous comprenons et nous nous connaissons.
Nos cœurs sont passionnés par la beauté et les qualités remarquables des élus. Nous sommes attirés vers nos parents et nos amis par leur compréhension et les bienfaits que nous en avons reçus. L’amour des saints, qui participent activement à la mise en œuvre de ces messages, s’entretient par la conversation et l’échange mutuel des sentiments et des pensées.
La compétition et l’envie sont exclues et tous les biens sont communs.
Dans le Ciel, les joies sont durables et le bonheur dispensé non pas goutte à goutte, mais en surabondance. Sur terre, Jésus ne donnait-il pas tout en surabondance ? Le Ciel n’a rien à voir avec l’intelligence humaine : il est le repos de l’intelligence divine, l’idéal et le chef-d’œuvre de Dieu, maître de tout.
Dieu, par sa puissance, crée le néant et, par la vertu d’une parole, peut faire éclore instantanément mille beautés que vous ne pouvez soupçonner et mille mondes auprès desquels la terre et le cosmos ne sont absolument rien.
Le Ciel est l’idéal de Dieu, le repos de son intelligence, il est également votre bonheur éternel !
Jean, messager de la Lumière
La Cité radieuse est faite de paysages tellement merveilleux et sublimes qu’ils surpassent d’une manière indescriptible toutes les beautés terrestres imaginables
Extrait du livre « la communion des saints » Jean Cara « Messager de la lumière » raconte le ciel à ses parents par locutions intérieures
(…) Comme je t’en ai déjà parlé, dans l’au-delà nous conservons toute notre personnalité, vous y retrouvez ma sensibilité, mon éducation et également certaines de mes expressions.
Constatez que dans la Bible, les écrivains inspirés tels que Matthieu, Luc, Paul, Marc et Jean, pour parler d’événements s’expriment fort différemment suivant leur culture. (03.11 .2000)
(…) La Cité radieuse est faite de paysages tellement merveilleux et sublimes qu’ils surpassent d’une manière indescriptible toutes les beautés terrestres imaginables.
Ce sont des fleurs si magnifiques, des parfums si suaves, capiteux et odorants, des arbres couverts d’une multitude d’oiseaux multicolores, une végétation luxuriante, une herbe dorée et si vivante qui reflète l’amour divin.
Le Ciel n’est pas un lieu mais un état. Ce sont de bien réels paysages avec des plaines, des torrents, des ruisseaux, des fleurs, des animaux qui peuvent être semblables à ceux de votre terre mais le tout rayonne d’amour et de lumière.
L’ensemble de toutes les couleurs est à la fois intense et rempli d’une douceur incomparable. C’est un régal autant pour la vue, les oreilles, et tous les sens qui vous sont connus et qui sont si peu de chose, comparés à ceux du Ciel. C’est bien pour être compris des hommes que Notre Seigneur a pris forme humaine, mais vous ne pouvez imaginer toute Sa magnificence. (11.04.2000)
Nous sommes dans ce bonheur, cette joie, cette louange; nous avons tant d’occupation, ce n’est pas un travail mais un ravissement, un enchantement et une liesse, le tout accompagné par la musique et le chant des anges. Nous vous aimons tant, gens de la terre. Tout comme au Ciel, votre service est d’instruire, sensibiliser, égayer et aimer tout le monde. (07.01.2000)
Beaucoup de personnes considèrent l’au-delà comme un épais brouillard qu’ils ne cherchent même pas à dissiper, et comme vous le disiez, on ne peut en parler car personne n’en est jamais revenu. Considérez seulement toutes les personnes, hommes et femmes, qui au cours d’un arrêt cardiaque, on fait un aller et retour dans l’au-delà. Pensez qu’ils sont tous devenus meilleurs, auraient voulu rester dans la lumière, ce qui explique qu’ils n’ont plus peur de la mort.
L’au-delà, c’est la dimension essentielle de votre vie. C’est par l’espérance que l’homme acceptera intégralement son présent et trouvera la joie par le seul fait d’exister, même dans les épreuves et la douleur. C’est dans ces moments qu’il doit encore plus prendre conscience qu’il est une oeuvre de Dieu. A cet effet, hier soir, vous avez aperçu à la télévision cette exposition sur le corps humain, sur cette machine parfaite, mais vous pouvez imaginer que l’esprit, l’âme, c’est encore bien plus fantastique.
Le Ciel est fait d’une multitude de variétés et non d’uniformité. Le paradis n’est pas un état où tout le monde se situe, communément, avec le même visage, à la même enseigne et en spectateurs passifs à la lumière offerte par Dieu.
C’est bien autre chose, c’est toute l’humanité entière qui se retrouve dans sa plus totale variété, un peu comme dans un concert symphonique où tous les instruments réunis se fondent pour un ensemble harmonieux et intégral.
Sur terre, vous ne connaissez qu’inégalités et injustices. Par leurs péchés les hommes s’agressent, tout en cherchant à se dominer les uns les autres.
Heureusement qu’une minorité donne le bon exemple et prêche la bonne nouvelle. Hélas, autour de cette minorité, c’est très souvent le désert. Vous ressentez bien toute la difficulté que vous éprouvez pour créer des groupes de prière et à la messe journalière de cette communauté, vous êtes si peu nombreux. De même, ce n’est pas toujours facile de faire des témoignages.
Au Ciel il n’y a aucune inégalité, mais il y a des différences qui correspondent aux personnalités variées et chacun est comblé à sa mesure
Relisez et méditez les paraboles du Christ sur les talents et sur les ouvriers de la onzième heure.
C’est suivant ce que nous avons été sur terre, suivant nos capacités, que nous poursuivons tout ce que nous avons réalisé de bien sur votre terre. Il y a tant à faire et les hommes ont la tête dure et la nuque raide.
Au regard des hommes de la terre, on pourrait dire que j’ai une activité débordante.
Sachez que nous possédons des sens que vous ne pouvez imaginer ; nous pouvons être à plusieurs endroits à la fois et effectuer des services différents dans le seul et unique but d’amener l’Amour dans votre coeur afin que l’accès au paradis vous soit facilité.
Grâce au rythme quotidien de la liturgie, ce calendrier du paradis, vous vous rendez familiers à ce triple cycle qui remémore le Seigneur, la Sainte Vierge, les saints et les anges qui illuminent tous vos frères du paradis. (…)
Vous ne pouvez imaginer la sublime beauté de la Jérusalem céleste, ce Royaume de Dieu.
Extrait du livre « la communion des saints » Jean Cara « Messager de la lumière » raconte le ciel à ses parents par locutions intérieures
(…) Il faut que vous soyez conscients que votre temps n’est pas le mien. Le ciel, vous ne saurez jamais le situer dans votre univers sensible, nos lois ne sont pas vos lois, vous ne pouvez l’imaginer malgré toutes les représentations que vous en faites, même les plus beaux tableaux sont si loin du compte.
La réalité est dans l’au-delà, ce sont des vérités que vous ne pouvez comprendre, le réel ne se finit pas avec ce que vous êtes capables d’en percevoir et d’en supporter.
De même au ciel nous retrouvons tous ceux que nous avons connus et que nous aimons, nous avons une action à votre égard, un travail (ce mot n’existe pas au ciel) à effectuer pour tout le bien des hommes. Oui, c’est en étudiant, en approfondissant, en méditant la sainte Bible que vous comprendrez mieux que le ciel est tout autre chose, qu’il est tellement plus réel.
Vous devez bien dire aux personnes croyantes que vous rencontrez qu’elles se trouvent engagées dans la grande aventure du ciel où des millions d’êtres humains les ont précédées. Il faut qu’elles soient intimement persuadées que l’au-delà est tellement réel. (09.03.99)
Dans la Jérusalem céleste, Dieu nous attend
Vous ne pouvez imaginer la sublime beauté de la Jérusalem céleste, ce Royaume de Dieu. La présence de Notre Seigneur est comparable à une douce chaleur qui réchauffe et nous caresse affectueusement de tout son amour. Nous en ressentons une paix si profonde, doublée d’une impression de totale sécurité. La lumière du Très-Haut nous donne un bonheur et une joie indescriptibles.
Plus nous approchons du ciel, plus nous sommes accompagnés par une assemblée angélique tellement joyeuse et spirituelle. C’est un ensemble de robes blanches aux teintes pastel, rose, bleu; nous y retrouvons également toutes les couleurs possibles.
Jésus est tellement présent au milieu de nous tous, grand, majestueux, si beau, rayonnant de lumière et d’amour. A Son contact notre âme est transportée pour se confondre avec Son cœur rempli d’une inépuisable tendresse éternelle. Même l’imagination la plus débordante ne pourrait concevoir la vision de Notre Seigneur du ciel.
Notre Maman du ciel, la très miséricordieuse Vierge Marie, si belle, si radieuse, et d’une si grande pureté est accompagnée de toute la Cour céleste. Avec tous les anges et les saints nous nous prosternons devant Jésus et sa Très Sainte Maman que nous chérissons et dont l’amour est notre nourriture du ciel. C’est indescriptible.
Au ciel, au milieu de paysages somptueux, de fleurs multicolores et de parfums extraordinaires, nous ne marchons pas mais nous glissons et volons, de même nous ne mangeons ni ne buvons, c’est uniquement l’amour de Notre Seigneur qui nous alimente d’une manière permanente.
Nous ne prions plus comme vous sur terre, car nous sommes nous-mêmes action de grâce et louange à Dieu, c’est bien difficile à te faire admettre tout cela.
Vos âmes, nous les connaissons si bien, nous ne vous jugeons pas, mais nous vous aimons. La méchanceté n’existe plus ici, elle reste sur terre ou bien elle accompagne en enfer ceux qui ont refusé Dieu. Sur terre, les pécheurs sont tellement nombreux. Aussi il nous est si réconfortant de vous voir prier afin que nous présentions à Dieu vos requêtes pour toutes les âmes qui souffrent et attendent en purgatoire.
Nous vivons éternellement hors du temps et notre objectif est de vous aider spirituellement pour vous conduire à Dieu. Nous avons une compréhension et un amour que rien ne trouble. Nous connaissons le passé, le présent et quelques détails sur l’avenir. (…)
Mais lorsque j’essayai de regarder ces petits oiseaux, mon esprit fut transporté en extase. Leur beauté semblait si étrange
La vision du paradis d’André Salos – Lire sa vie sur le site Wikipédia
La Vie d’André Salos a joui d’une immense popularité à Byzance et dans son orbite culturelle comme en témoigne sa circulation manuscrite – 112 manuscrits répertoriés.
Chapitre 10
Le récit de sa vision du paradis, le plus étendu de toute la littérature byzantine, est relaté comme un épisode indépendant, sans relation nécessaire avec la trame du récit. Éprouvé un jour par une forte chaleur, André ouvrit les yeux et vit un jeune homme d’une beauté indicible, un rameau d’or à la main, où s’entrelaçaient des lys et des roses, et avec lequel il toucha la face d’André en disant :
« Que ton corps reçoive puissance et vie indomptable ! ». À ce moment, une odeur ineffable l’envahit et il entendit une voix disant :
« Emmène-le dans une place confortable pendant deux semaines et puis fais-le revenir, car je veux l’éprouver encore ».
Suit le récit de la vision du paradis :
Et tout de suite, je fus ravi dans un sommeil profond et agréable sans rien savoir de ce qui m’arrivait. Comme si j’avais dormi paisiblement toute la nuit et que je m’étais réveillé le matin, j’ai passé deux semaines là où Dieu l’avait ordonné selon sa volonté.
Je me trouvais dans un beau et très merveilleux jardin et j’en étais très étonné dans mon esprit, me demandant ce que c’était […]. Il paraissait, en effet, que je n’avais pas de corps car il ne me semblait pas que j’avais de la chair. Cependant, j’étais vêtu d’un vêtement brillant, blanc comme neige et garni de pierres précieuses et je me réjouissais beaucoup de sa beauté.
Je regardai le sommet de ma tête et j’y vis une couronne parée de toutes sortes de fleurs, brodée d’or et resplendissante ; j’avais des chaussures aux pieds et une ceinture autour de la taille d’un rouge merveilleux. L’air dans le jardin brillait d’une lumière indescriptible, faisant chatoyer la couleur des roses. Un arôme étrangement changeant saisit mes sens et remplit mes narines de plaisir. Comme un empereur, je marchais dans le jardin de Dieu en me réjouissant énormément de me sentir au-dessus de la condition humaine.
Chapitre 11
Dieu a planté plusieurs arbres dans ce jardin qui ne ressemblent pas aux arbres du monde, à Dieu ne plaise ! ; ils sont toujours verts et de nature différente, ruisselant de miel, garnis d’un riche et agréable feuillage, avec des branches qui s’inclinent et se redressent en vagues les unes vers les autres, répandant du bonheur et ressemblant au givre du ciel ; ces arbres réjouissent les justes et transforment l’âme en un feu de plaisir, d’allégresse et de joie.
Il était étrange que ces arbres divers aient une apparence et une beauté différentes ; certains avaient des fleurs impérissables, d’autres seulement des feuilles ; Dieu avait ordonné que certains soient parés de fruits, d’autres avaient des fleurs, des feuilles, du charme et un aspect étrange, d’autres encore avaient des fruits précieux, merveilleux et inouïs.
Un grand prodige était qu’il y avait dans les arbres des oiseaux, des moineaux et des cigales et d’autres espèces merveilleuses, avec des ailes d’or et de neige. Quelques-uns étaient perchés sur les branches, chantant et gazouillant, et le chant de leurs belles et charmantes voix s’entendait jusqu’à l’extrémité du ciel.
Mais lorsque j’essayai de regarder ces petits oiseaux, mon esprit fut transporté en extase. Leur beauté semblait si étrange et si grande comme celle des roses ou des lys ou d’une autre sorte de fleur que je ne pouvais nommer.
Émerveillé dans mon esprit par la beauté du premier oiseau, je regardai en haut de nouveau et j’en vis un autre dont la couleur avait une gloire et une apparence différentes. Puis, de nouveau, je vis un troisième oiseau merveilleux.
Leur agréable chant incessant remplit mon cœur de la plus grande joie. Qui peut dire l’étrange et accablante beauté de tout ce qu’on pouvait y voir ? Tous ces arbres étaient alignés en deux lignes de bataille les uns derrière les autres. Heureuse soit la main qui les a plantés ! ». (…)
Chapitres complémentaires :
La vie au Paradis
Son chez-soi au Paradis
Les mariages au Paradis