Les dons mystérieux de l’être l’humain

SOMMAIRE
– L’Énergie vitale
– Ressentir les serpents
– Les sourciers
– Coupeurs de feu et la « pratique du secret »
– Ramollir le métal par l’Esprit + vidéos
– Le don de guérison
– Le don de prophétie
– Message célestes sur les dons
– La bilocation
– Suspendre le temps
Les Poltergeists (et le cas Matthew Manning)
Matérialisation et téléportation
Les mystères de l’Âme

L’Énergie vitale

Message de Jésus-Christ à sa Fille Bien-Aimée, Luz de Maria, reçu le 26 août 2017.

(…) L’Homme est la merveille de mon Père. Il possède le meilleur et le plus grand système d’ingénierie et la science n’a pas pu le découvrir facilement. Mon Père a doté l’homme d’un système de circulation exemplaire et parfait de sorte que le sang puisse être distribué dans tout l’organisme, et il en va de même pour les autres systèmes que possède le corps humain. N’est-ce pas un laboratoire de la qualité la plus excellente ?
Mon Peuple a vu comment les mouvements ésotériques utilisent des mots tels que « l’énergie » afin de prendre possession d’eux et pour que les Catholiques qui les utilisent sentent qu’ils appartiennent à ces sectes, ou que leurs frères les reconnaissent comme tels.
Non mes enfants ! Le corps humain est constamment en mouvement, il ne s’arrête pas, et ce mouvement produit de l’énergie ; et l’énergie produit des vibrations ; et la vibration est une forme de communication que le corps émet vers l’extérieur, afin de bénir vos frères et sœurs, ou de contaminer vos frères avec de la négativité. (…)

Message reçue par Alice Lenczewska (1934-2012)  Lire le livre (PDF) Exhortations – 21 mai 1986.

Qu’est-ce que ce monde et tout ce qui est matière ?
Jésus : C’est une forme de mon énergie, de ma Force, dont J’émane sans cesse et qui se matérialise justement en ce que vous voyez, ce qui est perçu par les sens des créatures. Les sens montrent seulement un aspect de la réalité, celui qui est nécessaire à l’existence matérielle, tant que l’homme vit dans son corps. Certaines personnes dépassent les limites de la perception sensorielle. Pas seulement des chrétiens. S’ils y tendent instamment, cela leur est donné.

Message du Seigneur donné à John Leary (USA) – 7 juin 2012 et 28 mai 2007.

Jésus : mon peuple, vous avez entendu parler de différentes couleurs des « auras » que certaines personnes peuvent voir et que certains appareils peuvent mesurer. Cette aura est un signe du « corps éthérique » qui anime votre corps physique.
Même le Saint-Esprit envoyait des langues de feu sur mes disciples. Cette énergie de vie est aussi un signe de la présence du Saint-Esprit en chaque être humain vivant.
Quand vient la mort, cet « esprit de vie » se sépare de votre corps et votre âme vient devant moi pour votre jugement.

Jésus : Mon peuple, je vous montre ces vieux meubles appartenant à des personnes qui sont décédées. Il y a encore une énergie vitale qui peut être associée à ces choses. Certaines personnes s’occupent d’antiquités, et il est possible d’acheter des objets qui pourraient avoir encore autour d’elles de l’énergie malsaine et qui pourraient de façon nuisible affecter votre vie spirituelle. 
Alors, évitez d’acheter ces curiosités pour ne pas donner une porte d’entrée aux mauvais esprits. De la même manière, vous pouvez avoir de la bonne énergie des choses qui appartenaient à votre parenté décédée.

Ressentir la présence des serpents.

Texte trouvé sur le forum Quora anglais et traduit.

Ma fille et moi pouvons ressentir la présence des serpents. Mon mari et d’autres personnes pensent que nous sommes folles. Est-ce que d’autres gens arrivent à les ressentir ?

Réponse

Quand j’étais petit, mon frère est rentré après avoir joué dehors – pâle comme une feuille de papier et bégayant qu’il avait vu un serpent. Mon père est sorti précipitamment, je l’ai suivi et j’ai immédiatement ressenti la présence du serpent. Un sentiment « épais, moisi, doux et étrange ». J’ai tout de suite fait le lien.

Mon père m’a demandé de façon assez soudaine : « Tu peux le ressentir ? »
« Oui, papa. Tu ne peux pas toi ? »
Il a juste secoué la tête en silence et a scruté la cour.

Mon frère nous a dit, depuis le porche et apeuré, que c’était près du vieille aire de jeu. Nous sommes allés là-bas et nous n’avons rien vu. Mais je pouvais encore le ressentir. Je me suis promené derrière notre piscine et j’ai vu une vieille souche d’arbre mort. Sa « présence » était forte :
« Il est là-bas ! ».
Mon père m’a demandé doucement : « tu es sûr ? ». Le ressenti était vraiment clair… Je ne peux même pas la décrire.
« Va me chercher la pelle et mon fusil. »

Vingt minutes plus tard, on avait un serpent noir décapité, et 6 ou 7 œufs, et un trou dans le sol où se trouvait la souche. Nous nous sommes beaucoup amusés à disséquer les œufs.

Plus tard, papa a rapporté à maman que je pouvais « ressentir » les serpents. Mon frère ainé a sauté sur l’occasion et a dit que j’inventais tout. Mais mon père a dit que non, que son père et son frère pouvaient les sentir aussi, et que certaines autres personnes le pouvaient également.
À partir de ce moment-là, il m’a dit qu’à chaque fois que nous jouions dans les bois, si j’en ressentais un, nous devions sortir de là.

Depuis je n’ai utilisé ce don qu’à deux autres occasions.
Une fois, quand j’étais adolescent, j’ai ressenti un serpent à l’orée du bois près de notre maison. C’était un serpent Mocassin d’eau, massif et méchant. Mon père disait que les Mocassins d’eau étaient toujours dangereux et qu’ils vous poursuivent si on les laissez faire. Mon frère l’a tué à la machette avant qu’il ne puisse tuer le chien.
Et l’autre fois lors d’une fête il y a deux ans, j’ai encore pu en ressentir une dans le champ où jouaient mes neveux. Je leur ai dit de rentrer. Mon frère a pris son arme sans me poser de questions. Nous avons tiré sur un serpent à sonnettes d’environ 1 mètre de long dans les hautes herbes.
Donc non, vous n’êtes pas folle.

Le don de sourcier.

Extrait de mon livre autobiographique : Une vie dans le surnaturel

(…) Pour compléter le sujet, voici un témoignage écrit en 2021 et que j’ai trouvé sur le forum Quora. En plus de nous montrer un cas de transmission de pouvoir, le texte nous permet de mieux comprendre l’effet psi du sourcier.

Mon histoire remonte à quelques années, lorsque j’étais encore au lycée (j’ai maintenant 25 ans). J’étais à l’internat, dans une chambre avec trois amis. Nous avions l’habitude de débattre sur des sujets divers et variés, parfois jusque tard dans la nuit. Ce soir-là, notre discussion portait sur les expériences paranormales. (…) Mais notre conversation nous a mené au chamanisme et autres pratiques du genre… et finalement aux sourciers. Mon père était agriculteur, et je sais qu’il avait déjà fait appel aux services d’un sourcier, avec succès ! (…)

C’est à ce moment-là qu’un de mes trois compagnons de chambre nous a dit : Ah, mais moi, je suis un peu sourcier, je tiens ce don de ma grand-mère. Elle m’a transmis « le fluide ». (…) Nous lui avons posé des questions auxquelles il a répondu sans prétention. Mais comprenant notre scepticisme (surtout le mien), il me proposa de me montrer le lendemain.

Le jour suivant, nous nous rendons vers un petit point d’eau près du lycée. Il me demande de chercher avec lui n’importe quelle branche qui ait une forme en Y. On trouve donc une branche avec cette forme caractéristique. Il m’explique que n’importe quelle espèce d’arbre peut faire l’affaire, mais qu’en général, il préfère le noisetier pour son élasticité.

Il prend alors le bout de bois en main et me dit : « regarde ». Il passe sur un bout de la chaussée en dessous de laquelle passait une des alimentations de l’étang. Le bout de la baguette s’est alors incliné vers l’eau au fur et à mesure qu’il avançait. C’était très impressionnant. Ces mains ne bougeaient pas d’un millimètre. Une forme invisible semblait pousser la pointe du Y vers la canalisation d’eau. Si une supercherie existait, je ne pouvais en tout cas pas la démasquer.

Avec la volonté de m’ôter mes doutes une bonne fois pour toutes, il me tendit le bâton en me disant : « essaye, si cela se trouve, toi aussi tu as le fluide ». Je fais alors exactement la même chose que lui. À la différence près que pour moi, rien ne se passe.
À ce moment-là, il me dit de recommencer, mais qu’il va poser ses mains sur les miennes. Nous commençons alors à marcher vers le cours d’eau. Je me souviendrais de ce moment pour le restant de mes jours. Croyez-moi ou non, mais la pointe du Y s’est orientée vers l’eau. Il ne touchait pas le bâton. Il n’avait aucun moyen physique d’influer sur la direction de la pointe. Seules mes mains étaient en contact direct avec le bâton et je ne faisais évidemment rien pour faire bouger la pointe.

(Vincent) Contrairement à ce que je croyais, ce n’est donc pas une pulsion musculaire involontaire qui fait bouger le bâton, mais c’est bien une sorte de fluide, une vraie force invisible qui agit.

Coupeurs de feu, barreur de feu, et la « pratique du secret »

Extrait de mon livre Apprendre le voyage astral et la vision à distance

Ces prières ont toutes un thème chrétien. Voici ce que dit Wikipédia sur le sujet :

La « pratique du secret » est une pratique de guérison populaire, rencontrée dans certains pays européens et remontant vraisemblablement au Moyen Âge chrétien.
Elle consiste à soigner certaines affections par une formule, généralement une courte prière souvent associée à quelques gestes effectués par la main en direction du corps du patient, comme un signe de croix par exemple.
L’ensemble de ce procédé est appelé un « secret » dans la mesure où il n’est connu que de son auteur (…). Ce n’est que peu avant son décès que le « faiseur de secrets » est censé transmettre ce dernier. (…)
Beaucoup d’entre eux ne se considèrent pas comme des thérapeutes et certains ne guérissent qu’un type de maladie en fonction du secret qu’il connaisse. C’est notamment le cas des passeurs de feu (coupeurs de feu, barreur de feu) dont l’action se limite aux brulures.

Un texte trouvé sur un site web suisse francophone nous éclaire sur le fonctionnement de ce système.

Un « faiseur de secret » raconte : « Une femme, d’origine suisse, vivant en Afrique du Sud et engagée dans une association caritative m’a téléphoné pour m’expliquer que dans les quartiers pauvres, il n’est pas rare que les baraques prennent feu. Les enfants, restés seuls à la maison, sont souvent grièvement brulés et les parents n’ont pas les moyens de les faire soigner. Même si elle sait qu’en principe on ne demande pas le secret, elle m’a appelé pour m’expliquer la situation et savoir si j’acceptais de lui donner la formule. J’ai, bien sûr, accepté et je lui ai transmis le « secret » par téléphone, à des milliers de kilomètres de distance. Moins d’une semaine plus tard, elle m’a raconté, enthousiaste, que ça fonctionnait parfaitement sur ces jeunes enfants africains. Elle n’en revenait pas ! »

Ramollir le métal par l’Esprit

Texte trouvé sur un forum que j’ai traduit.

La seule capacité de psychokinésie que je suis en mesure de reproduire facilement est la flexion de couverts (cuillère ou fourchette). J’arrive à le faire en déversant l’énergie du chakra du cœur dans le métal. Ce qui provoque son ramollissement temporairement. J’ai pu en faire la démonstration devant ma famille et mes amis.
Pour fragiliser (ou casser) un verre, la technique est similaire. Il faut lui envoyer l’énergie d’amour du chakra du cœur. Personnellement, je ne comprends pas bien le principe physique du phénomène, mais le procédé fonctionne bien, le verre devient fragile au point ou il se brise sous une légère pression.

Quand je dis qu’il faut agir avec son énergie d’amour, je veux dire sentir son chakra du cœur et déplacer cette énergie d’amour dans le métal ou le verre, en utilisant l’intention (le désir) et le sentiment. Chaque fois que vous mettez votre énergie dans le métal, et que vous libérez votre pensée (ne plus penser à rien, et que vous frottez le métal, il devrait se ramollir.

Texte trouvé sur un forum – Octobre 2005.

Bonjour, je m’y suis encore mis hier, et j’ai encore réussi. C’est vraiment super. Pour ceux qui voudraient apprendre, voici ma technique :

Je m’assis ou me couche confortablement, et en éloignant les autres pensées à l’exception de ma respiration, et pendant ce temps, je tiens ma cuillère, juste pour la tenir. (pas serré), avec mes 2 mains. Ensuite j’arrête de penser à ma respiration pour seulement profiter du moment, car on se sent vraiment bien.
Pendant ce temps, je m’efforce de ne pas divaguer dans mon esprit. Ensuite j’essaie de ressentir la fourchette comme faisant partie de moi, un peu comme une partie du corps qui est là mais qui n’a aucun muscle, qui ne peut alors pas bouger.
Puis en prenant conscience de tout ça, je me sens en harmonie avec elle, je la sens chaude et molle. Et effectivement je la sens molle, je crois que peut-être que ça marche ou que peut-être je ne la tiens juste pas fort et qu’en même temps mes mains sont chaudes, alors il y a un effet où on la sent molle.
Ensuite je m’habitue avec l’idée qu’elle est molle, qu’elle fait partie de moi et qu’elle est moi. Et à partir de ce moment, je me concentre sur cette idée avec exactitude et concentration, en oubliant l’extérieur, sans y penser, jusqu’à temps que je me sente assez en lien et prêt pour plier ma cuillère.
A ce moment, elle devient comme du caoutchouc mais je ne suis pas encore capable de faire un nœud ou des œuvres d’art avec, car aussitôt qu’elle devient molle, je me dis : c’est  »EXTRAORDINAIRE » et  »kloc, elle redevient dure. Mais je crois que je suis dans la bonne direction. Dites-vous bien qu’il ne faut pas avoir peur et il faut voir ça comme une expérience facilement réalisable et non comme un défi.

Vidéo YouTube :
Jean-Pierre Girard – Torsion devant huissier et illusionniste
Stagiaire qui tord une barre lors d’un stage organisé par Jean-Pierre Girard.
Une vidéo, toujours lors d’un stage de J-P Girard en 2012. La facilité de ces deux torsions avait semé le trouble chez certains.
Une enfant de six ans qui sectionne un couvert.

Le don de guérison.

Un exemple de guérisseur efficace fut Monsieur Philippe de Lyon (1849 – 1905).

(Wikipédia) Nizier Anthelme Philippe, surnommé Monsieur Philippe de Lyon (1849 – 1905) est un mystique et guérisseur français.
Philippe s’est heurté à diverses attaques venant des médias, des médecins ou des hommes politiques en France et en Russie ; certains de ses détracteurs l’ont accusé d’utiliser la sorcellerie pour guérir les gens. Il suscita pourtant l’admiration et reçut l’amitié du tsar Nicolas II, du roi d’Italie, de l’empereur d’Autriche, de l’empereur allemand Guillaume II, du roi du Royaume-Uni Édouard VII, entre autres.

Nizier Anthelme Philippe naît le 25 avril 1849, dans un hameau de Loisieux, qui ne sera rattaché à la France qu’en 1860. Quelques mois avant sa naissance, sa mère, alors enceinte de Nizier, rend visite au curé d’Ars, futur saint, qui lui aurait révélé que son fils serait un être très élevé. Nizier sera l’aîné d’une famille de cinq enfants. Ses parents sont Joseph Philippe (1819-1898), petit propriétaire cultivateur, et Marie Vachod (1823-1899).

Selon la légende, Philippe aurait guéri et soulagé dès son plus jeune âge. D’après son propre témoignage à un journaliste en 1905, il aurait effectué sa première guérison à l’âge de treize ans. Après sa première communion en mai 1862, ses parents l’envoient travailler à L’Arbresle comme garçon-tripier. Quelques mois plus tard, il devient apprenti-boucher chez un oncle maternel à la Croix-Rousse, colline de Lyon. Il y reste peu mais guérit ce dernier d’une grave blessure. Sa réputation de guérisseur à Lyon va très vite se répandre. L’argent qu’il gagne lui permet de s’inscrire à l’institution Sainte-Barbe tenue par l’abbé Chevalier et il obtient un certificat de grammaire.

Nizier Philippe fut avant tout un exemple vivant de charité. Il a été par quatre fois jugé pour pratique illégale de la médecine entre 1887 et 1892 et a été acquitté, il ne fut plus inquiété à partir de cette date. Ses proches le décrivaient comme un thaumaturge et un représentant de la divine Providence.

Il soigna des milliers de personnes gratuitement, sans rien demander ; sauf des efforts pour faire le bien. Nombreuses de ses guérisons étaient considérées comme des miracles. Il disait qu’il guérissait par le pouvoir de la prière et de commandement. Philippe expliquait qu’il se servait d’une force absolument inconnue sur terre, une force dépassant tout entendement, que le Christ lui-même employa pour faire plusieurs de ses miracles. Il appelait cette force « le 4e pôle de magnétisme » et la décrivait ainsi : « Ce n’est pas un courant, mais plutôt une Lumière, elle représente l’union du Aimez-vous les uns les autres. »

Le lendemain de sa mort, La Dépêche de Lyon annonce : « Philippe fut un brave homme, qui, s’il ne guérit pas toujours, fit autour de lui beaucoup de bien. Sa libéralité était proverbiale, et bien des déshérités de la fortune le pleureront. » C’est seulement après sa mort qu’a été découvert que le Maître Philippe payait les loyers de 52 familles trop pauvres pour se loger

Le don de prophétie.

Message de Jésus donné au Père Melvin Doucette (Canada) le jeudi 21 mai 2009.

Les multiples dons que mes disciples reçoivent de l’Esprit Saint doivent être utilisés comme il faut. Quand vous vous rassemblez pour prier, chacun doit apporter sa contribution à l’édification de l’Église. L’un est capable de lire la Bible, l’autre peut enseigner sur un aspect de la foi, un autre peut révéler ce qui est conforme aux Écritures, un autre sait parler en langues et un autre sait interpréter ce qui est dit en langues.
Le don de prophétie est fort important dans les réunions de prière. Il montre que l’Esprit Saint est présent et qu’il a une parole pour l’assemblée. Écoutez attentivement les paroles prophétiques car elles sont un enseignement pour vous. Le Saint-Esprit utilise toute personne qu’il veut pour transmettre son message au groupe. D’ordinaire, celui ou celle qui est prophète le demeure constamment. (…)

Mercredi 20 mai 2009

Par l’effusion de l’Esprit Saint à la Pentecôte, les personnes présentes reçurent de nombreux dons, en particulier celui des langues et celui de prophétie. Ces dons ont pour but d’aider à bâtir l’Église. Le don des langues sert à exprimer le langage de l’Esprit Saint, mais nul ne comprend ce qui est dit à moins qu’une personne présente puisse interpréter ce langage. (…)
Le don de prophétie montre que la puissance de Dieu est présente, et les paroles exprimées alors ont pour but d’affermir les croyants. Ces paroles prophétiques leur rappellent mon amour pour eux et les invite à me suivre plus fidèlement.
Ces paroles peuvent leur révéler des choses que personne ne sait. Elles peuvent dévoiler les problèmes et les difficultés de quelqu’un et montrer que je suis là pour l’aider. Chérissez ces dons.

C’est Dieu qui est le dispensateur des dons. Les dons ne doivent pas être confondus avec les talents.

Message du Ciel – Jean, messager de la lumière – Livre Tome 4 : Le temps presse, rallumez vos lampes – Message du 6 mai 2003.

Pour une multitude de personnes, et particulièrement pour les enfants, les anniversaires, les fêtes et même Noël évoquent le jour où l’on reçoit des souhaits et des cadeaux ;  pour les croyants, ce sont les fêtes liturgiques et en particulier le jour de la naissance de Jésus-Christ Sauveur.
En donnant son Fils à l’humanité Dieu vous a fait le plus magnifique et le plus extraordinaire des cadeaux.

Lors de votre conversion, Dieu vous a alloué des cadeaux spirituels. Ces cadeaux sont les dons qu’Il vous a attribués dans le but que vous diffusiez la Bonne Parole. Votre don doit toujours être utilisé pour éclairer les autres. Vous comprenez bien que si l’Esprit distribue des dons aux croyants c’est pour leur permettre d’exprimer et de renforcer leur unité dans le Seigneur Jésus-Christ !

C’est Dieu qui est le dispensateur des dons. Les dons ne doivent pas être confondus avec les talents. Les talents concernent les aptitudes naturelles, c’est l’héritage génétique des hommes qu’ils soient croyants ou incroyants. Ainsi chaque personne est nantie de capacités, d’intelligence et d’autres facultés, telles que la musique, l’écriture, la peinture, la facilité de la parole, etc.. et qu’elle peut exercer par sa propre force.

Avant votre conversion, vous possédiez déjà des talents. Lors de votre nouvelle naissance, des dons spirituels vous ont été donnés. Ces aptitudes particulières vous permettent d’exercer envers les autres un ministère surnaturel. Dieu distribue ses dons à ses enfants sous différentes formes et avec diversité.

Vous êtes nombreux à posséder des dons qui sont parfois identiques, mais toujours utilisés de manière différente et appropriée aux gens et aux circonstances des services.
Par exemple, des prêtres s’exprimeront avec grande facilité, dans l’Esprit Saint, sans avoir écrit leurs homélies. D’autres seront particulièrement compétents pour enseigner à des séminaristes. Un autre touchera le domaine de l’exhortation et de la doctrine, ou celui de la consolation et de la miséricorde. Ou bien un autre encore aura un charisme de guérison ou de discernement.

Tous les dons reçus sont attribués pour un service d’Amour. Dieu dispense ses dons à chacun de vous, pour que vous vous tourniez vers les autres, afin de les aider, de les aimer, de leur rendre l’Espérance, et en un mot de leur indiquer la Voie Royale.

Les chrétiens, quelles que soient leur formation et leur expérience, et aussi désintéressés que soient leurs motifs, ne peuvent, par leur propre puissance, exercer leurs dons. Seul le Seigneur dispense des dons spirituels et les rend féconds pour prodiguer et diffuser la Bonne Parole. Il s’agit d’obéir à ses Commandements pour qu’Il vous donne la puissance de les exercer…

Ne vous attendez pas à avoir tous les mêmes dons, agissant toujours de la même façon ou produisant toujours les mêmes quantités de fruits. Les enfants de Dieu et les dons de Dieu ont tous leur particularité : il n’en existe pas deux semblables.

La bilocation

La bilocation est un miracle voulu par Dieu. Elle a un but précis et toujours d’ordre spirituel.

Message donné à Giuliana Buttini (1921-2003). Extrait du livre : L’ange Clarus nous raconte le paradis. (Éditions du Parvis).

(22 septembre 1988) La bilocation est rare. Elle est donnée aux saints par Dieu dans un but précis. Voici :
le saint prie dans sa maison et en même temps, il peut être près de celui qui a besoin de lui. Le saint a conscience d’être là où Dieu l’envoie. Celui qui le voit est convaincu que le saint est vraiment près de lui. Son aspect est celui de sa personne, mais il est en extra-matière.
Dieu peut tout et cela est la preuve que l’extra-matière est plus forte, plus vive, plus active que la matière.

Après la mort, dans l’infini, le corps matériel ne peut pas devenir tout de suite extra-matière ou glorieux. Jusqu’au jugement, il est corps astral, fait de lumière, mais visible pour qui vit dans l’infini, pour les rencontres, les retrouvailles pour s’aimer à l’infini. Cette explication me parait claire et simple. Dieu peut tout, il fait pousser l’herbe, les fleurs, envoie le vent, donne vie cosmique à toute la création. Il peut faire des miracles extraordinaires, il fait toujours des miracles ordinaires. (…)

(23 septembre 1988) Vous pensez et désirez comprendre. Pour augmenter votre foi, je vous explique par la vibration de mes paroles et des sensations qui peuvent vous éclairer.
La bilocation est un miracle voulu par Dieu. Elle a un but précis et toujours d’ordre spirituel. L’homme, créé à l’image de la Trinité, son origine, est fait de trois éléments : le corps matériel, le corps de matière subtile, extra-matière première et celui d’extra-matière finale et glorieuse.

Dans la bilocation, le saint assume temporairement la matière subtile, afin que, lorsqu’il se présente, il puisse et doive avoir un aspect matériel, c’est-à-dire encore terrestre. La matière subtile ou extra-matière première est comme de la lumière. Nous les anges, faits de lumière, venus nous aussi de la Trinité, nous sommes esprit, lumière et amour, trois composantes ! Nous aussi, comme vous qui êtes créés à l’image de Dieu, qui se révèle en tout, nous sommes son reflet, et sa manifestation. (…)

Le miracle de l’amour vaincra. Les preuves du divin sont nombreuses, mais il faut les reconnaître. Il y a des miracles que peu d’hommes voient. Beaucoup veulent expliquer pour nier, sans savoir qu’ils se renient eux-mêmes. (…)
Matière épaisse, matière subtile, extra-matière glorieuse composant l’homme, car il est à l’image du Créateur : Père – Fils – Esprit. (…)

(9 octobre 1988) (…) La Trinité est dans l’homme, dans l’ange. Elle est partout. Dans l’homme : corps matériel, corps spirituel, dans l’homme complet, corps glorieux (extra-matière et esprit). Le visage, l’âme : l’être. L’être pour être.
Nous (les anges) avons été créés au-delà du temps. Attirés par la sphère, nous évoluons autour d’elle. Dieu est partout et nous, partout, nous sommes en Dieu, et avec vous !
Moi je te garde ; mes frères, vos gardiens, gardent vos œuvres, vos pensées, votre foi. Nous lisons. Vous êtes nos livres. Nous écoutons votre pensée. (…)

De ne surtout pas la toucher, car avec son énergie divine, elle pourrait nous anéantir.

Extrait du journal « La Vierge des douleurs de l’Escorial » n° I08 – Trouvé également dans le Stella Maris du mois de mai 2011.

Quand on fait partie de l’entourage d’Amparo (la voyante de l’Escorial), forcément, on est témoin de choses surnaturelles. (…) L’Archange Gabriel est le protecteur de l’œuvre (dédiée aux personnes âgées). Il arrive qu’il nous apparaisse par exemple lorsque nous sommes à la chapelle. À ce moment-là nos jambes chancèlent… C’est assez impressionnant… Extérieurement, il prend le corps d’Amparo. C’est ce que l’on appelle la bilocation. Il est arrivé que Luz Amparo ait été vue en Afrique dans un hôpital en train de soigner un malade, et au même moment, elle est chez elle et elle vous dit qu’elle n’a pas mis les pieds dehors ! C’est un témoignage qui a été attesté. Moi je ne suis pas théologienne et je ne sais pas vous expliquer cela, les prêtres sauraient vous l’expliquer mieux que moi-même ; moi je ne peux témoigner que de ce que je vois.
En fait, on a devant soi Luz Amparo, mais ce n’est pas la Luz Amparo habituelle. Elle a une très grande majesté, les yeux plutôt bridés, et elle parle avec beaucoup d’autorité et d’énergie. Si on s’approche d’elle pour l’embrasser, elle vous dit tout de suite de ne surtout pas la toucher, car avec son énergie divine, elle pourrait nous anéantir. C’est bien sûr l’Archange Gabriel qui est en train de nous parler.

Il a un grand disque sur sa poitrine et il vient nous donner des conseils avec la permission de Dieu. Il nous dit par exemple que, lorsque nous sommes devant le Saint Sacrement, nous devons être des fleurs vigoureuses et non des fleurs fanées. Quand nous sommes devant le Roi du Ciel et de la Terre, nous devons être entièrement concentrées dans la prière et ne pas penser à ce que nous allons faire dans une heure… Il arrive aussi que l’Archange donne des conseils à chaque religieuse. Il nous demande d’avoir une grande révérence envers Dieu.
Une fois l’Archange Gabriel nous a dit qu’il allait nous marquer du Sceau. Il nous a toutes regardées avec intensité, les unes après les autres. Une fois qu’il a dit ce que nous devions entendre, il se prosterne devant le Saint Sacrement, son front touchant son genou, il nous bénit et il nous dit : « La Paix soit avec vous », ce que la vraie Luz Amparo ne nous fait jamais. Elle ne peut pas nous bénir.
Puis il quitte la chapelle à reculons, pour ne pas tourner le dos au Saint Sacrement. Et il disparaît d’un coup. Il n’y a plus personne. On regarde partout, à droite et à gauche, il a disparu. L’Archange peut aussi apparaître lorsque nous sommes en train de nous occuper de personnes âgées. Mais chaque fois que l’Archange apparaît, nos jambes chancèlent. (…)

Suspendre le temps

(Vincent) Je suis tombé sur ce message qui parle d’un sujet dont j’ai été témoin deux fois. Ce texte donne des détails importants qui permettent de mieux cerner le phénomène. Vous lirez ensuite mes expériences personnelles.

Le temps s’est arrêté et le prêtre a pu pendant cet arrêt du temps faire la distance qui le séparait de la gare.

Messages de Notre Seigneur Jésus-Christ pour le monde du XXIe siècle. Pour lire le message est en entier : Soeur Beghe – Dimanche 12 juillet 2020.

(…) Dieu seul peut arrêter le cours du temps, Il est le maître du temps et il peut l’arrêter ou l’accélérer puisqu’il en est Lui-même le régulateur.
Il est rare qu’il suspende le temps mais il lui arrive de le faire quand Il juge ce miracle nécessaire. C’est ainsi que, dans une œuvre de miséricorde, Il a arrêté le temps de telle sorte qu’un de ses serviteurs, un prêtre, puisse encore accéder à son train tandis que son retard aurait dû le lui faire manquer. Le temps s’est arrêté et le prêtre a pu pendant cet arrêt du temps faire la distance qui le séparait de la gare.
Ce petit arrêt du temps n’a été observé que par l’intéressé et son chauffeur, les autres usagers de la route ne remarquant rien ni aucun symptôme étonnant. Ainsi le temps s’est arrêté pour l’un et non pour l’autre, telles sont les actions que seul Dieu peut faire et que l’homme ne peut qu’observer.

Faites et Je ferai, faites et vous serez aidés.

Telles sont les grâces que Dieu fait en faveur de ceux qui le prient, de ceux qui se mettent à Son service, de ceux qui ont mis en Lui toute leur confiance. Faites et Je ferai, faites et vous serez aidés ; pas toujours par des miracles mais par des effets que certains dénomment le hasard.
Dans ce monde créé par Dieu, le hasard est « la Providence qui œuvre incognito ». La Providence, dit le dictionnaire, est la suprême sagesse avec laquelle Dieu conduit toutes choses, elle est aussi la convergence des situations pour rendre un état possible. Telle est la main paternelle de Dieu dans votre quotidien, et ceux d’entre vous qui sont des catholiques fervents l’ont constaté souvent et en sont les heureux bénéficiaires.

On fit le trajet en 20 minutes. (…) et l’on arriva à l’heure pour la messe.

Extrait de mon livre autobiographique : Une vie dans le surnaturel.

(…) Lisant le livre sur Gustavo Rol (1903-1994) au hasard des chapitres, je tombe sur celui parlant de l’altération de l’espace-temps. Gustavo et ses amis firent en voiture Paris-Lyon en 15 minutes, au lieu de trois heures minimums, car Rol voulait se rendre dans un cimetière qui fermait à 21 heures. Ils sortaient de Paris à 20 heures et à 20 h 15, ils arrivèrent en périphérie de Lyon, sans que personne dans la voiture n’ait rien remarqué d’anormal. À deux reprises j’ai vécu ce type d’expérience, et finalement, je vais vous les raconter, car j’hésitais.

La scène doit se passer entre 2000 et 2003, j’étais en couple et nous habitions Paris 15e. Nous passions souvent le dimanche chez mon beau-père en lointaine banlieue, et nous allions à la messe dans sa ville avant le repas. Il nous fallait environ 45 minutes pour nous y rendre, et 30 minutes quand il n’y avait personne sur la route et que c’est ma femme qui conduisait.
Ce dimanche-là, nous étions en retard pour la messe et nous n’avions que 20 minutes pour y aller. Je pris le volant et avant de démarrer, on fit une prière dans la voiture pour demander à Dieu de faire un miracle afin de ne pas arriver en retard à la messe.
Il y avait du monde sur la route et, regardant souvent le compteur, je ne dépassais pas les 60 km/h durant tout le trajet (d’ordinaire, en roulant plus vite, je mets 45 minutes) et là, miracle ! on fit le trajet en 20 minutes. On s’est regardé ma femme et moi, et l’on s’est dit : « le Seigneur est vraiment trop fort » et l’on arriva à l’heure pour la messe.

Deuxième expérience : J’étais dans le métro pour aller travailler mais j’avais du retard, ce qui me perturbait, car j’avais un impératif professionnel. Il y eut alors une altération du temps qui me fit arriver à l’heure. Je l’ai constaté en sortant de ma rame de métro.

Cette expérience me généra toutes sortes de questions, comme par exemple : est-ce ma rame de métro qui fut téléportée en avant de la ligne, ou moi qui me serais retrouvé dans une autre rame, ou est-ce réellement une altération de l’espace-temps. Un épisode du livre où Rol fait léviter la voiture et suspendre véritablement le temps, le laisse penser. Rol avait même dit qu’ils auraient pu à ce moment-là, passer dans l’au-delà.

« Aller au Ciel en voiture ». Cela me fait penser aux apparitions de Notre-Dame du Laus (1647-1718). Benoîte, qui vit la Sainte Vierge durant de nombreuses années, fut un soir, enlevée au Ciel avec son vrai corps physique, portée par deux anges. Elle fut après redéposée à quelques kilomètres de chez elle. Une façon de nous montrer qu’il ne s’agissait pas simplement d’une vision.
Pour l’anecdote, Benoite était un peu « lourde » et elle raconta qu’elle avait eu peur qu’ils aient des difficultés à la porter ou qu’ils la laissent tomber.
Cette histoire et le récit des expériences de Rol nous montrent que nous vivons dans un univers totalement malléable, au Ciel comme sur terre.

Chapitres complémentaires :
Les Poltergeists (et le cas Matthew Manning)
Gustavo Rol

Le lâcher-prise
Les mystères de l’Âme