Maria Valtorta, le Ciel en parle

Vous pouvez savourer en toute confiance l’œuvre magistrale de ma messagère Maria Valtorta.

Un souffle qui passe. Message du Jésus donné le 12 septembre 2025 – Lire le message sur le site d’origine.

Mon cher fils, (…) Pour ceux qui désirent pénétrer plus profondément dans l’univers des Évangiles canoniques, et en affiner leur compréhension, ils peuvent savourer en toute confiance l’œuvre magistrale de ma messagère Maria Valtorta, que j’ai choisie pour être le témoin privilégié de ma vie et de mon enseignement sur cette Terre.

Cette œuvre charismatique – riche de milliers et de milliers de pages d’une grande valeur théologique et à vocation catéchétique en des temps où, bien souvent, la prédication laisse à désirer par sa pauvreté spirituelle – subit malheureusement, aujourd’hui encore, de cruelles attaques totalement injustifiées de la part de Pasteurs, de prêtres et même de laïcs de mon Église qui ne se sont pas même donné la peine de la lire in extenso, et la jugent et la condamnent à partir de critères peu objectifs ou par fidélité à d’autres obédiences.
Ces détracteurs rappellent principalement sa mise à l’Index par le Saint-Office au siècle dernier et le récent communiqué du Dicastère pour la Doctrine de la Foi et mettent en exergue les rares imprécisions ou contradictions qui ont pu y être relevées en regard des Évangiles canoniques. Ces mêmes détracteurs se montrent-ils aussi vindicatifs lorsqu’il s’agit des imprécisions et des contradictions rencontrées au fil de L’Ancien Testament ou des Évangiles eux-mêmes ?

Cette œuvre n’a rien de commun avec les évangiles apocryphes.

Quoi qu’il en soit, cette œuvre, dans son ensemble, peut permettre à quiconque y pénètre avec son cœur et son intelligence, de me mieux connaître et de désirer me servir plus fidèlement encore en respectant les Commandements et en menant une authentique vie de sainteté. Elle n’a rien de commun avec les évangiles apocryphes, qui ne sont que les élucubrations d’auteurs ayant usurpé le nom de mes disciples afin de donner à leur œuvre une plus grande autorité. Mon Église a su les écarter du canon des Écritures.

L’œuvre de Maria Valtorta n’est, certes, qu’une « révélation privée » mais elle ne comporte aucune erreur par rapport aux dogmes de foi, et ramène toujours ses lecteurs aux Évangiles canoniques et à L’Ancien Testament, constituant ainsi une catéchèse d’une exceptionnelle qualité. C’est pourquoi je ne puis qu’encourager tous mes enfants à la lire afin qu’ils acquièrent, par ce moyen, un plus grand attrait pour les deux Testaments et pour la prière – particulièrement celle des Heures – dont ils pourront se nourrir à volonté et avec délectation. (…)

Je te remercie, mon cher fils, d’avoir pris le temps de transcrire mes paroles, et te bénis ainsi que ton frère spirituel, ton directeur spirituel, vos familles, vos amis, et les Pasteurs et prêtres qui soutiennent cette œuvre.

Jésus

Le site officiel : www.maria-valtorta.org

Qui est Maria Valtorta ?

Maria Valtorta (1897 – 1961) est une mystique italienne, membre du Tiers-ordre catholique des Servites de Marie. À partir de 1943, elle transcrit dans des cahiers visions et dictées. Les passages évoquant des scènes de la vie du Christ sont publiés sous le titre L’Évangile tel qu’il m’a été révélé.

Son père, aimant et d’une grande piété, est sous-officier de cavalerie, ce qui fait que la famille se déplace suivant ses affectations. Sa mère, professeur de français et agnostique sévère, n’aime pas sa fille car celle-ci ne peut remplacer un fils mort prématurément. Maria est mise en nourrice et quasiment abandonnée par sa mère.

De 1909 à 1913, elle est élève chez les sœurs de Marie-Enfant à Monza. Sa mère lui fait interrompre ses études à l’âge de treize ans et, à deux reprises, met fin aux projets de fiançailles de sa fille, provoquant chez celle-ci une crise profonde à laquelle sa conversion met un terme en 1916.

En 1917, lors de la Première Guerre mondiale, Maria Valtora s’enrôle comme infirmière à l’hôpital militaire de Mila. En 1920, un délinquant la frappe violemment dans la région lombaire avec une barre de fer, ce qui est à l’origine d’une infirmité croissant au fil des années.

En 1924, établie avec ses parents à Viareggio, sur la côte toscane, elle s’engage dans sa paroisse comme déléguée de l’Action catholique auprès de la jeunesse féminine, mais ses souffrances augmentent. Sa santé se détériore progressivement et à partir de janvier 1933, elle est immobilisée chez elle.

En 1935, année de la mort de son père, elle rencontre Marta Diciotti qui devient sa meilleure amie et l’assiste jusqu’à sa mort. En 1942, le servite Romualdo Migliorini (1884-1953) devient son directeur spirituel et lui recommande de rédiger d’abord son autobiographie.

En 1943, elle devient définitivement grabataire et débute à partir de cette année la rédaction de ses visions et de paroles intérieures surabondantes dictées par Jésus.
Au cours de cette activité, très soutenue les quatre premières années puis plus modérée de 1948 à 1951, dans laquelle elle est assistée par Maria Diociotti, elle rédige environ quinze mille pages autographes réparties dans 122 cahiers.

Elle meurt le 12 octobre 1961 à l’âge de 64 ans et, à l’instigation de la Congrégation des Servites de Marie — intimement mêlée au destin de la visionnaire —, son corps est transféré dans le sanctuaire de la basilique de la Très Sainte Annonciation de Florence.