Matérialisation et téléportation

De tous les phénomènes surnaturels, la matérialisation d’objet est ce qui me fascine le plus. Voici donc un chapitre dédié à cette faculté psycho-spirituel particulière.

Monsieur Philippe de Lyon (1849-1905).

Extrait du livre de Philippe Encausse : Le maître Philippe de Lyon. Thaumaturge et “Homme de Dieu“. Première édition en 1954. Ce livre est consultable en ligne.

Un jour, un ouvrier se présenta 35 rue Tête-d’Or, ayant eu le petit doigt d’une main sectionné par une machine. Il était désespéré. M. Philippe lui demanda : « Où as-tu mis ton doigt ? » – Dans ma poche, répondit l’homme, et il en sortit son doigt peu frais et tout rabougri, enveloppé dans un mouchoir. M. Philippe le prit, le mit dans une poche de son gilet, posa une main sur la blessure, fit un gros pansement et ordonna au blessé de ne retirer ledit pansement que huit jours plus tard… Quand l’ouvrier eut enlevé le pansement, il constata que sa main était redevenue normale.

Il se trouvait un jour, dans un train, par une chaleur étouffante, avec un officier. Ils avaient tous deux très soif. Tout à coup un fort craquement se fit entendre et ils trouvèrent, dans le filet précédemment vide, une bouteille remplie d’eau fraîche et délicieuse qu’ils burent avec joie.

Montant l’escalier de la Bourse, il salue quelqu’un ; son chapeau qu’il tenait à la main se trouve alors rempli de pièces de 5 francs ! Quelques amis en ont ramassé.

Monsieur Knapp n’était pas méchant en règle générale. Il allait parfois chez M. Philippe. Une fois un mendiant vient chez Knapp et lui demande à manger… Bien que gêné ce jour-là Knapp le fait assoir et lui sert la soupe qu’il se réservait. On l’appelle au-dehors et, quand il revient, il constate que le mendiant a disparu et, sous l’assiette, il trouve une pièce d’or !
Quelques jours après il se rend rue Tête-d’Or. À son arrivée M. Philippe lui crie en se frottant le ventre : « Ah ! Elle était rudement bonne cette soupe ! »

Un malade souffrant de l’estomac se présenta rue Tête-d’Or. M. Philippe fit un court exposé sur les maladies de l’estomac et sur l’action bénéfique de la menthe pour certaines affections ordinaires. Et il ajouta : « Comme nous n’avons pas sous la main la menthe en question nous allons en fabriquer avec la permission de Dieu. » À cet effet il fit tenir par une personne présente un cornet de papier et, aussitôt, les autres personnes entendirent comme un bruit de sable tombant dans le cornet ! C’était un sel de menthe qui, fondu dans un verre d’eau, soulagea le malade.

Grandjean connaissait une dame qui ne croyait pas en M. Philippe. Un jour ils étaient ensemble au marché St-Antoine lorsqu’ils rencontrent M. Philippe. Celui-ci avise une paysanne qui vendait des œufs et lui demande le prix d’un panier. Après qu’elle eut répondu, M. Philippe lui dit « Mais il faut que je me rende compte tout d’abord s’ils sont bien frais. » Il en prend un et le casse ! Dans le jaune il y avait une pièce d’or de 20 francs ! Nouvel œuf cassé, nouveau louis d’or ! Alors il sort son portemonnaie mais la paysanne déclare qu’elle ne veut plus vendre ses œufs. M. Philippe s’éloigne. Au bout de quelques minutes ils repassent tous trois et voient la paysanne qui descend sur le quai avec son panier et qui se met à casser plusieurs œufs. Comme elle ne trouve rien elle a triste mine. Elle les aurait tous cassés si M. Philippe ne l’avait lui-même arrêtée. Et il lui paya tout le panier.

Paul Sédir a relaté deux cas, deux observations personnelles vécues par lui-même et se rapportant à M. Philippe : « Quand le curé d’Ars tire d’une petite soupière une soixantaine d’écuellées pour ses orphelins, c’est une multiplication fort semblable aux multiplications des pains. Moi-même, j’ai vu, de mes yeux vu, une carafe d’eau limpide se matérialiser soudain sur la table, parce qu’un soldat du Ciel avait soif. J’ai vu des pièces de monnaie remplir une bourse que son possesseur venait de vider entre les mains de quelques malheureux. Le disciple vit dans une atmosphère de miracle. »

Matthew Manning (1955).

Extrait du livre « D’où me viennent ces pouvoirs » de Matthew Manning, sortie en 1975.

(…) Un étrange incident survint au mois de janvier 1972 (à 16 ans). J’allai en ville avec l’intention d’acheter un disque de Ringo Starr (It don’t come easy) – mais je ne pus le trouver dans aucun des deux magasins spécialisés. Déçu je revins à l’école. Et voici qu’en pénétrant dans ma salle d’études je découvris sur mon bureau un exemplaire neuf du disque. Or personne à l’école ne possédait ce 45 tours, j’en suis absolument sûr.
D’où venait-il ? Je n’en sais toujours rien. Avais-je tant envie d’avoir ce disque qu’il s’est purement et simplement matérialisé ? (…)

J’eus par la suite différentes expériences du même genre, mais je n’ai jamais réussi à réaliser un désir de force. Souvent, il m’arrive de trouver des objets que j’ai désirés, mais sans m’être appliqué à les chercher consciemment. C’est le subconscient qui agit et me permet de les obtenir de la façon la plus naturelle.
Par exemple, j’avais besoin de matériaux pour faire brûler l’effigie de Guy Fawkes (1) au fond du jardin. N’ayant qu’une demi-douzaine de boîtes en carton, j’allai demander à ma mère ce que je pourrais utiliser. Nous n’étions que nous deux à la maison, et elle en avait aucune idée. Je retournai dans le jardin et, à ma grande stupéfaction, j’aperçus un tas de grosses bûches à côté des boîtes en carton.

(1) Guy Fawkes était le chef de la conspiration des Poudres (1605). Les gamins portent son effigie en procession et la brûlent le 5 novembre. (N .d.T.)

Qui avait pu les mettre là ? Il n’y avait personne d’autre chez nous ce jour-là, sans compter que j’étais resté très peu de temps absent : Seule explication possible : les bûches s’étaient matérialisées pour répondre, en quelque sorte, à mes désirs.

Autre fait curieux : les objets qui se matérialisent de cette façon n’étaient jamais des articles de première nécessité. Parmi ces apports figuraient plusieurs disques, un paquet de sucre, un billet de banque, une paire de gants noirs, des timbres-poste…

Un incident bizarre survint dans le train Brighton-Londres. Un soir que je revenais à Cambridge, n’ayant rien mangé de la journée je fus soudain pris de fringale. Impossible d’apaiser ma faim car il n y avait pas de wagon-restaurant. A un moment, je me rendis aux toilettes pour me laver. J’avais pris un gant dans mon sac de voyage que j’avais refermé soigneusement.
De retour dans mon compartiment, je remis le gant dans le sac et là, à ma grande surprise, je découvris une bouteille de bière et une tarte aux pommes, dont je me régalai !
Suggérer que quelqu’un était entré pendant mon absence pour fourrer dans mon sac la tarte et la bière serait une explication tout à fait irréaliste. Comme dans le cas des bûches, qui aurait pu avoir l’idée d’un tel geste ? Qui aurait pu savoir que j’avais faim ? J’étais le seul occupant de mon compartiment.

Gustavo Rol (1903-1994).

Gustavo Rol (1903-1994). En 1995 parut le livre : Rol oltre il prodigio, de Maria Luisa Giordano. Elle raconte ce qui s’est passé le jour de Noël 1978, quand elle alla lui rendre visite, en compagnie de sa mère et de la sœur de Rol, Maria:

Après avoir bavardé un peu, il me demanda si je voulais un petit chocolat, je répondis non, alors il me demanda : Préférerais-tu deux cerises ? Je me mis à rire, ce n’était pas la saison, je restai toutefois bouche bée : après que Rol se soit concentré pendant un instant seulement, il y avait deux cerises bien fraîches, et même bonnes sur la table.
Au même moment devant sa sœur Maria étaient apparues des noix et des noisettes. Il fut ensuite appelé au téléphone par des amis qui étaient au Costa Rica et qui voulait lui souhaiter de bonnes fêtes, quand je l’entendis dire : Envoyez-moi des bananes. A l’improviste sur la table devant ma mère apparurent deux bananes.
Quand Rol termina sa conversation au téléphone et retourna dans le salon, il fut autant surpris que nous, il semblait amusé. (…)

Il me prit par la main et, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je me retrouvai à arpenter les rues de Paris avec lui.
Récit d’une téléportation, probablement de Turin (Italie), vers Paris. Extrait du livre : Un être exceptionnel. Gustavo Adolfo Rol

Témoignage de Giovanna Demeglio : Les actes de Gustavo étaient destinés à soutenir, secourir et aider ceux qui se trouvaient dans le besoin à un moment donné de leur vie. Il ne manquait jamais de me stupéfier lorsqu’il se montrait absent, perdu dans je ne sais quel univers lointain.
Un jour, j’ai été impliquée dans quelque chose d’extraordinaire qui s’est passé dans un de ces moments. Remarquant que j’étais préoccupée, il me dit ceci : “Allez, Giovannina, viens avec moi”. Je le regardai dans les yeux, il me prit par la main et, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je me retrouvai à arpenter les rues de Paris avec lui.
Je me souviens de chaque détail : la balade le long de la Seine, l’entrée à Notre-Dame, la visite au Louvre. Sous la Pyramide de verre, il me fit comprendre l’importance de l’énergie positive et de la beauté que transmet cette structure. Nous rencontrâmes des gens avec qui Gustavo prit plaisir à discuter tranquillement. Le petit-déjeuner au bistrot, la musique des orchestres de rue, le parfum des fleurs, et même la fatigue à force d’avoir autant marché.
Puis, à un moment donné, prenant une expression amusée, Gustavo me dit : “Giovannina, c’est l’heure de rentrer”. Je me retrouvai à côté de lui au magasin, souriante et heureuse comme une gamine. Il me demanda, tout en m’observant, les yeux mi-clos : “Alors, ça t’a plu ? N’est-ce pas que ça a été extraordinaire ? Je ne répondis rien, je me sentais étourdie, pour ne pas dire secouée, mais également heureuse d’avoir eu le privilège de vivre une expérience extraordinaire. Il est comme ça ! Je me le répétais sans cesse pour m’en convaincre moi-même.

L’autre voiture s’était dématérialisée et rematérialisée. Les rayons de lumière qui se dégageaient de ses mains …
Voici un même miracle raconté par deux personnes différentes, les époux Maria Luisa et Luigi Giordano. Extrait du livre : Un être exceptionnel. Gustavo Adolfo Rol

Témoignage de Maria Luisa Giordano : Le 27 juin 1987 au soir, il s’est passé quelque chose d’incroyable et d’extraordinaire qui nous a énormément impressionnés, au point que nous avons encore de la peine à y croire aujourd’hui.
Nous étions en train de raccompagner Gustavo chez lui après avoir fait des courses. Je conduisais, Gustavo était assis à côté de moi et Luigi était sur le siège arrière.
Tout près de chez lui, une voiture qui arrivait de Via Baretti n’a pas respecté la priorité. Je ne pouvais pas m’arrêter, alors j’ai essayé d’accélérer. Le choc était inévitable, et nous nous attendions au pire. Mais miraculeusement, rien de tel ne s’est passé : l’autre voiture s’était dématérialisée et rematérialisée, sans autre explication.
Nous étions sidérés, nos cœurs battaient la chamade, et nous avons regardé Rol qui était particulièrement troublé et agité. Ses mains projetaient des rayons lumineux. Il a crié : “Regardez mes mains”, avant d’ajouter “rapproche-toi du trottoir. Puisque nous sommes hors de danger, nous devons dire trois Ave Maria, ç’a été un vrai miracle”. Si nous n’avions pas vécu cette histoire et si on nous l’avait seulement racontée, nous n’y aurions pas cru. » 

Témoignage de Luigi Giordano : Nous étions en voiture, ma femme était au volant, j’étais assis à l’arrière (et Gustavo à l’avant) quand tout à coup, nous nous sommes trouvés face à une voiture qui arrivait en sens inverse. Évidemment, c’est quelque chose de terrifiant que de voir une voiture qui vous tombe dessus en quelques fractions de seconde.
Je me souviens seulement des larges rayons de lumière qui émanaient des mains de Gustavo, puis je me suis senti comme éthéré, comme si mon corps n’existait plus. Mais quelques instants plus tard, nous avons repris forme, aussi bien la voiture que moi.
Nous étions tous les trois ébranlés, en sueur et épouvantés. Gustavo lui-même était terrifié. Il a fait arrêter la voiture et a voulu que nous remerciions le Seigneur en faisant une prière, car le danger auquel nous venions d’échapper était vraiment terrible. Ce qui fut impressionnant, c’étaient les rayons de lumière qui se dégageaient de ses mains et qui sont probablement à l’origine de cette dématérialisation et la rematérialisation obtenue après que l’obstacle a été évité. »   

Témoignages récents.

Laurent R. : J’aimerais partager cette expérience avec les autres membres du forum. C’est un souvenir qui est resté présent dans un coin de ma tête et qui vient de resurgir, donc j’en profite pour vous le faire partager.
Lorsque j’avais 12-14 ans, je possédais une montre avec un bracelet. J’avais perdu le petit bout de caoutchouc qui sert à fixer la partie du bracelet qui dépasse. Il s’est passé un long moment puis une nuit, j’ai rêvé que je le retrouvais. Il était dans ma main gauche et je commençais à me réveiller.
J’ai déjà fait ce genre de rêve où je tiens un objet en me réveillant. On sent l’objet dans sa main puis tout d’un coup il disparaît à la reprise de conscience. Sauf que cette fois, la sensation est restée jusqu’au bout. Je me suis réveillé et j’ai ouvert ma main gauche, qui serrait le bout de caoutchouc perdu de ma montre.

Extrait d’un mail de M. (…) Sinon, je pense que tu avais dû lire aussi sur le forum Astral Sight, un membre qui disait s’être réveillé avec une rose dans les mains. Pour ma part à chaque fois que j’ai lu ça, c’était associé à un voyage hors du corps, et c’était un objet ramené.

La boite d’agrafe que je cherchais.

Vincent – 2010 : Voici une expérience personnelle liée à la téléportation d’objet qui va nous permettre d’en comprendre le principe.
Pour commencer, il vous faut un désir. Par exemple, il vous manque un objet que vous croyez indispensable, comme dans le témoignage de Laurent R. cité plus haut : (…) J’avais perdu le petit bout de caoutchouc qui sert à fixer la partie du bracelet qui dépasse.
Pour ma part, c’était une boite d’agrafes (photo ci-dessous) d’un certain format, introuvable dans l’entreprise où je travaillais. J’étais en pleine période d’intérêt pour le phénomène d’apparition d’objet, je m’étais donc dit que c’était un bon exercice.

Après plusieurs semaines de désirs intenses, j’ai trouvé la boite d’agrafe que je cherchais, bien mise en évidence sur une table, dans un lieu de passage, et j’ai clairement senti qu’elle m’était destinée.
Voici ce que j’écrivais dans mon journal d’expériences psi :
(…) et effectivement, cela faisait des semaines que je n’arrivais pas à trouver des agrafes à la bonne taille pour mon agrafeuse. Ce cadeau tient du miracle, tellement j’avais abandonné l’idée que je puisse les trouver. L’Esprit subconscient a trouvé cet objet et l’a placé sur un lieu bien visible afin que je puisse le prendre. Bravo et merci !

Analysons le succès de cet exercice. J’avais une agrafeuse indispensable à mon travail mais sans agrafes. Pour diverses raisons, il m’était impossible de les acheter, et il devait forcément exister dans cette entreprise (ou dans une autre) une boite égarée, perdue au fond d’un tiroir ou d’un placard. Donc, mon Esprit subconscient n’avait pas d’autre choix que de me l’apporter.

On remarque la phrase : « j’avais abandonné l’idée que je puisse les trouver ». Souvent, l’Esprit subconscient agit à la dernière extrémité, mais il faut être sincère dans son désespoir, il ne se laisse pas berner facilement.
En revanche, un désespoir (ou une action révélatrice) très profond / intense, lié à un désir inassouvi, déclenche une réaction immédiate.

Matérialisation de pièces de monnaie.

Vincent : Voici un exercice pratique réussi de téléportation que j’ai réalisé en 2014, et que vous pouvez vous-même reproduire. Une personne me raconta, lors d’un weekend psi, une technique pour apprendre la téléportation qu’il avait vu sur internet. C’était un Russe qui avait trouvé la méthode, et il expliquait comment faire.
Il s’agissait de mettre dans une boite un certain nombre de pièces de monnaie, de les compter précisément, de dessiner les pièces sur une feuille de papier pour bien s’en imprégner, et de demander que le nombre de pièces augmente. L’Esprit subconscient devait aller en chercher où il voulait pour les mettre dans la boite. De retour chez moi, je me suis dit : « allons-y ».

Je mis dans un pot en verre 25 pièces de 1 centime d’euro. Je notais le chiffre et dessinais quelques pièces. Après une semaine, en manipulant la boite pour les recompter (je le faisais régulièrement) je les ai fait accidentellement tomber sur le sol, et je n’en ai ramassé que 24 (une s’était égarée). Je m’étais dit : « ce n’est pas bien grave ».

Puis, plusieurs semaines ont passé, et un dimanche, en ouvrant ma petite boite plastique de pierres d’archéologie, (Boite compartimentée de bricolage où je rangeais mes pierres pour les exercices de vision à distance dans le passé). Je découvris plein de pièces de 1 centime, dont certaines placées sous les pierres. Je les sortis toutes, les comptais en me disant qu’il y en aurait peut-être 24… et « bingo », 24 pièces de 1 centime.
J’avais donc au total 48 pièces, 24 trouvées dans ma boite plastique compartimentée et toujours les 24 dans le petit pot en verre.
Mon Esprit subconscient a donc réussi l’exercice à sa manière. Il a trouvé « je ne sais où » 24 pièces, et les a matérialisées dans ma boite, qui est constamment fermée. Je n’ai dû l’ouvrir que trois fois depuis le début de l’exercice. J’habite seul chez moi et je n’ai eu aucune visite.

Quel a pu être l’élément déclencheur de ce phénomène psi ?
Une nuit, je me suis senti profondément déprimé, à un point très extrême. Je pense que c’est cet état qui provoqua l’activation de l’énergie nécessaire à l’exercice, comme une consolation. Mais cette déprime profonde n’avait rien de rationnelle. Mon Esprit subconscient l’a peut-être provoquée pour satisfaire mon désir d’expérience psi.

Au début, je ne savais pas s’il s’agissait d’une duplication de mes pièces ou uniquement de matérialisation d’autres pièces venues d’ailleurs. Après comparaison, je vis que ce n’était pas les mêmes en regardant les années de fabrication. Il s’agissait bien d’une matérialisation, ce qui était l’objectif de la méthode enseignée par le Russe, qui ne parlait pas de duplication. Il était précisé que le système n’était pas de voler des gens, mais de récupérer des pièces perdues. De 24 pièces, j’en avais maintenant 48.
Je fis une vidéo que je mis sur YouTube racontant cet exploit.


Me l’apporter gratuitement chez moi.

Extrait de mon livre sur la télékinésie

Vincent : Voici une petite aventure intéressante. Il ne s’agit pas à proprement parler de matérialisation, mais c’est très proche.
En 2019, je voulais lire le livre de Jean-Pierre Girard : Psychic ou le pouvoir de l’esprit sur la matière, mais je l’avais vu en vente sur Amazon à un prix prohibitif, (plus de 200 €). J’eus alors l’idée de demander à mon Esprit subconscient de me l’apporter gratuitement et de le faire apparaitre chez moi. Je fis un dessin du livre sur une feuille de papier que je mis en évidence sur la table de mon salon. Les mois ont passé, je rangeais la feuille et n’y pensais plus.

Puis je me suis mis à discuter par mail avec J-P Girard, car je voulais faire son stage de juin 2020. Après plusieurs échanges où l’on parla de ses livres (dont le livre Psychic) et du mien que j’étais en train d’écrire, il me proposa spontanément de m’offrir ce livre (il ignorait ma demande). Il l’acheta sur Amazon (à un prix correct, car entre-temps il avait baissé) et me l’envoya.
Lorsque je le reçus dans ma boite aux lettres, je me suis alors souvenu de ma demande et j’en étais sidéré.
« Quiconque demande reçoit ». Effectivement, c’est bien vrai. Cette phrase est extraite des Évangiles selon saint Matthieu :
Demandez, et l’on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l’on ouvre à celui qui frappe. Lequel de vous donnera une pierre à son fils, s’il lui demande du pain ?

Chapitres complémentaires :
Messages sur les miracles
Miracle par les pèlerinages, le culte des saints et les reliques
Obtenir un miracle par Marie
Le sacrement des malades
Monsieur Philippe de Lyon

Les dons mystérieux de l’être l’humain