Homosexualité et mouvement LGBT+

Les « couples » de même sexe qui ont des relations contraires à la loi naturelle.

Un souffle qui passe… Message de l’apôtre Paul, donné 8 janvier 2024 – Lire le message en entier.

Frères bien-aimés,
Pour ce qui est des « couples » de même sexe qui ont des relations contraires à la loi naturelle – considérées dès l’Ancien Testament comme de graves dépravations, et encore aujourd’hui par l’Église catholique comme des actes intrinsèquement désordonnés -, ils sont de facto en situation irrégulière.

Il est clair que si deux partenaires de même sexe, hommes ou femmes, brûlent de désir l’un pour l’autre, la morale chrétienne, fidèle à l’Écriture Sainte et à la Tradition, exige – sans pour autant les juger en tant que personnes – qu’ils ne se livrent point à de tels actes, qui les couperaient de l’amitié de Dieu. C’est là que doivent s’éduquer la volonté et le courage tout autant que les vertus de prudence, de tempérance, de force et de piété chez ceux qui se trouvent affectés par cette orientation, quelle qu’en soit la cause.

Aux jeunes gens et jeunes filles qui se sont trouvés plus ou moins « attirés » par des personnes de leur propre sexe, mais qui ne sont jamais passés à l’acte.

Les jeunes gens et jeunes filles croyants et pratiquants qui, souvent depuis leur enfance, se sont trouvés plus ou moins « attirés » par des personnes de leur propre sexe mais qui – je les en félicite – ne sont jamais passés à l’acte parce qu’ils aiment le Seigneur Jésus d’un amour authentique, considèrent généralement cette sensibilité comme une épreuve, voire comme une profonde blessure, qu’ils préfèrent occulter comme ils dissimuleraient une cicatrice.
Ils savent, par leur éducation chrétienne et aussi par une conviction ancrée tout au fond de leur cœur, que satisfaire de tels désirs dans la chair serait un grave égarement et une abomination aux yeux de Dieu. C’est pourquoi je les encourage à toujours rester fidèles au Seigneur Jésus – et cela en usant de tous les moyens que la sainte Église met à leur disposition pour les aider à réaliser dans leur vie la volonté du Père du Ciel, qui est que « pas un seul de ces petits ne se perde » : outre l’usage des sacramentaux (bénédictions, eau bénite, et parfois exorcismes si cela s’avère nécessaire), il est indispensable qu’ils pratiquent aussi régulièrement les sacrements (Confession fréquente, Eucharistie, sacrement de l’Onction des malades s’ils le souhaitent) et qu’ils bénéficient de la direction spirituelle d’un bon prêtre qui sache les encourager à mener une vie saine et chaste, toute tournée vers le Seigneur Jésus-Christ, où de saines amitiés peuvent toujours être vécues lorsqu’elles restent franches et sans équivoque. (…)

Certains d’entre eux vont jusqu’à revendiquer le droit de se marier religieusement alors que la plupart ne sont pas pratiquants.

Pour les partenaires – hommes ou femmes – qui se prétendent catholiques mais n’ont aucun désir de vivre chastement parce qu’ils ne voient pas pourquoi ils auraient à le faire, ils sont, croyez-m’en, dans l’aveuglement le plus total. Certains d’entre eux qui disent vouloir vivre dans la fidélité vont même, en s’autojustifiant, jusqu’à revendiquer le droit de se marier religieusement et de voir cautionner par l’Église leurs relations charnelles contre nature alors que la plupart ne sont pas pratiquants. Qu’ils sachent que cela est tout simplement impossible à la lumière de la morale chrétienne, et pour cause !

Le libertinage.

D’autres personnes encore se prétendent également catholiques tout en vivant dans le libertinage le plus infâme, tels les païens du même acabit. Ce que j’ai écrit dans mon Épître aux Romains (v. Rm 1, 18-32) reste, les concernant, toujours d’actualité. Les ténèbres remplissent leurs cœurs, qu’elles privent d’intelligence et de raison, et leur font idolâtrer les corps charnels et les convoiter sans retenue. Sous l’emprise d’émotions exacerbées et de pulsions élémentaires, elles se livrent à une sexualité addictive qui, chaque jour, déshonore et avilit un peu plus leur corps.
Mais ce n’est pas tout ! Comme elles n’ont plus la connaissance du vrai Dieu, ayant souvent abandonné délibérément la foi dans le Christ Jésus et le respect des Commandements, elles laissent les puissances des ténèbres, friandes d’impureté, contrôler leur esprit et même leur corps, leur ôter tout jugement en matière de morale, stimuler leur orgueil et leurs émotions, et les maintenir dans une forme de perversité et de dégradation dont seuls des êtres sous l’emprise du Mal peuvent parvenir à retirer quelque fierté. (…)

Si un jour l’Église, (…) en venait malheureusement, en ses hautes instances, à accepter de telles choses (…), elle se verrait ensevelie pendant quelque temps dans les ténèbres pour se relever ensuite, par la grâce et la bonté de Dieu, sans rien avoir perdu de l’immuable Vérité dont elle est la Gardienne, renaissant comme le phénix et plus resplendissante que jamais.

Je vous bénis, frères bien-aimés. Paul, Apôtre de Jésus-Christ

Aucune grâce provenant de cette « bénédiction » ne peut leur être accordée.

Un souffle qui passe. Message de Jésus du 21 décembre 2023 – Lire le message en entier.

Mon cher fils, Je te vois peiné à la lecture de la Déclaration « Fiducia supplicans », à laquelle je faisais déjà allusion dans mon message d’octobre.
Tu connais la définition du mot « placebo » : il s’agit d’une substance neutre dépourvue d’activité pharmacologique. Pourtant, certaines personnes disent se sentir mieux après la consommation d’un tel produit. Et tu connais aussi la définition du mot « simulacre » : il s’agit d’un objet factice qui en imite un autre, et qui peut être utilisé par ceux qui le possèdent pour faire illusion et épater la galerie. C’est ainsi que pourrait être qualifié le nouveau type de « bénédiction » qu’à présent prêtres et diacres se voient autorisés à donner selon les termes de cette Déclaration, qui n’a, par ses vices de fond et de forme, aucune valeur canonique, magistérielle ou théologique, bien qu’elle ait été ratifiée par le pape. Je t’explique pourquoi.

Lorsque mon Église bénit, elle se tourne vers La Trinité Sainte et administre un sacramental, qui n’est pas un sacrement mais un rite sacré, institué par elle, pour obtenir chez ceux qui le reçoivent des effets d’ordre spirituel.

Alors, quelle est la finalité d’une telle « bénédiction » pour des personnes qui – à moins d’être engagées sur un chemin de conversion avec toutes les exigences que cela comporte – ne sont pas en pleine communion avec cette même Église ? Quelle est la finalité d’une telle « bénédiction » pour des couples divorcés et remariés civilement, concubinaires ou de même sexe, qui s’autorisent sans scrupules le libre usage de leur sexualité et ne souhaitent aucunement changer de comportement ?

Comme pour le placebo ou le simulacre, ces personnes auront sans doute l’impression de recevoir une forme d’apaisement parce qu’elles se sentiront « accueillies » par des prêtres ou des diacres de mon Église, voire « reconnues » dans leur statut marginal peccamineux, qu’elles défendent généralement avec acharnement. Cependant, en vérité, aucune grâce actuelle provenant de cette « bénédiction » ne peut leur être accordée.
Quant au caractère « spontané » auquel la Déclaration limite cette « bénédiction », il ne pourra pas être respecté car les demandeurs se montreront exigeants, et les prêtres qui se feront les complices de cette mascarade, céderont volontiers, victimes d’une fausse charité, à leurs requêtes. (…)

Réfléchis bien, mon fils : comment pourrais-je – moi qui suis Dieu et qui ai si vivement condamné l’adultère et enjoint à la femme qui allait être lapidée pour ce motif de ne plus pécher – rendre agissante une « bénédiction » destinée à des personnes en situation irrégulière et qui, pour la plupart, n’ont aucune intention de changer ? Comment pourrais-je rendre agissante une « bénédiction » qui, par son ambiguïté même, ne manquera pas d’être interprétée par ces mêmes personnes comme une avancée de mon Église vers l’approbation de leurs unions illégitimes, et, de fait, de leurs actes immoraux ?

Une telle « bénédiction » peut-elle être, selon les termes même de la Déclaration, « une expression du cœur maternel de l’Église », rendue possible par la force inconditionnelle de mon amour, ou bien encore une expression de sa « solidarité » envers des personnes qui sont en état de péché grave, et un moyen de les évangéliser ? Certainement pas !

Tu te demandes, mon fils, si ma chère Église pourrait être gangrenée jusque dans ses plus hautes instances, qui chercheraient, bon an, mal an – et en faisant fi de sa Tradition – à apaiser des situations conflictuelles en plusieurs endroits du monde où le droit canonique a déjà été mis sous le boisseau, le péché délibérément légalisé – ou en passe de l’être – et où menace le schisme ? Je te laisse, mon enfant, réfléchir à cette question.

En vérité, mon Église n’est pas un tribunal qui pratique la discrimination et juge et condamne sans merci. Elle est une Mère qui aime ses enfants et leur enseigne simplement ce qui est bien et ce qui est mal. Son rôle n’est donc pas de les leurrer pour quelque motif que ce soit ou de leur dissimuler la difficulté de la tâche qu’ils doivent accomplir s’ils veulent devenir d’authentiques enfants de Dieu et cheminer vers la sainteté. Car l’amour de Dieu consiste d’abord à connaître et garder ses Commandements (…)

Si, en ne cautionnant pas les unions illégitimes, mon Église blesse ceux qui s’en rendent coupables, elle ne fait qu’obéir à ma Parole, si rigide et immuable qu’elle puisse paraître, et ceux qui la soutiennent sont dans la vérité ! Si elle les cautionnait, c’est moi en premier lieu et le troupeau entier de mes brebis fidèles qui nous en trouverions blessés.

Un pape qui déciderait de faire cela serait apostat, comme déjà nombre d’évêques, de prêtres et de diacres à travers le monde. C’est pourquoi il est nécessaire, au train où vont les choses, que tous mes enfants prient sans relâche, par l’intercession de ma sainte Mère et de tous les saints du Ciel, pour le pape, ceux qui lui sont proches et lui prodiguent aide et conseils, et pour tous les évêques, prêtres et diacres afin qu’ils rendent leur cœur semblable au mien.

Quoi qu’il en soit, mon enfant, une partie de l’humanité est malade. Mais sache qu’une fois qu’elle sera tombée suffisamment bas, c’est par vos prières, vos sacrifices, vos aumônes et la sainteté de votre vie que mon Église, alors renouvelée, sera en mesure de la sauver.
Je te bénis, mon fils, ainsi que ton frère spirituel, ton directeur spirituel, vos familles, vos amis, et les Pasteurs et prêtres qui soutiennent cette œuvre.

Jésus

Extrait du site euronews.com du 20 décembre 2023

Chapitre complémentaire : Actualité de l’Église

Les « couples » de même sexe, qu’ils s’abstiennent de recevoir l’Eucharistie car ce serait là un sacrilège.

Un souffle qui passe. Message de saint Paul du 26 décembre 2023 – Lire le message en entier.

Frères bien-aimés, (…) La question, en effet, n’est pas : « Moi, je veux absolument accéder à l’Eucharistie ! » comme si cela était un droit ou un dû, mais plutôt : « Je désire faire ce qui plaît à Notre-Seigneur dans le respect de son enseignement ». Et le Seigneur Jésus accorde toujours ses grâces à qui lui est obéissant et fidèle – a fortiori au prix de souffrances et de contrariétés.

(…) Pour les couples qui vivent en concubinage et ont des relations charnelles (c’est ce qui s’appelle « la fornication »), qu’ils se marient religieusement s’ils veulent accéder à l’Eucharistie !
Enfin, pour les « couples » de même sexe qui veulent aussi accéder aux sacrements, qu’ils vivent chastement en frères ou en sœurs, sinon, qu’ils s’abstiennent de recevoir l’Eucharistie car ce serait là un sacrilège. (…)

Paul, Apôtre de Jésus-Christ

Il est indispensable de distinguer les pulsions homosexuelles, et les actes qui, trop souvent, les accompagnent.

Un souffle qui passe… Messages du Ciel au monde d’aujourd’hui. Message de Paul Apôtre, donné le du 15 juin 2022.

Frères bien-aimés.
Il est de mon devoir, en tant qu’Apôtre des nations, de continuer, dans la communion des saints, à vous guider, pour que vous puissiez traverser ces temps difficiles avec confiance, dans la foi et le respect de l’enseignement du Seigneur Jésus-Christ et de la saine doctrine. (…)

En effet, en élisant imprudemment des gouvernants vénaux qui troquent la vérité de Dieu contre le mensonge, qui font fi de la morale chrétienne et sapent petit à petit toutes les valeurs qui servent à renforcer le lien social, l’amour du prochain et l’amour de la patrie, vous ne récoltez que ce que vous avez semé : des hommes et des femmes qui, sous l’emprise du Diable et par leur injustice, font obstacle à la vérité, manipulent les populations, les asservissent et les conduisent peu à peu au désastre.
Si vous avez encore une once de discernement, mes frères, de grâce, sortez de la fascination qu’exercent sur vous ces dirigeants de malheur qui prétendent agir pour votre bien et celui de vos enfants, mais vous mentent effrontément pour arriver à leurs fins. (…)
Les « méchants » sont dans la place, frères bien-aimés ! Ils y sont parce que vous-mêmes les y avez invités, et la situation est gravissime. Alors, que faire ? Prier, prier inlassablement et mener une vie sainte pour tenter d’infléchir le cœur de Dieu comme l’a fait Abraham en faveur de Sodome. (…)

Il y a aussi le cas des hommes et des femmes qui, quelle qu’en soit la cause, avilissent leur propre corps en se livrant à des rapports contre-nature, ou qui décident de changer, par le biais de la chirurgie, leur identité sexuelle sans y être contraints pour des raisons médicales, (…).
Je vous parle de ces personnes parce qu’à cause de la libération des mœurs, vos sociétés voient leur nombre grandir, et qu’aujourd’hui, de plus de plus d’adolescents et de jeunes adultes baptisés sont concernés par ces questions. Nombre d’ecclésiastiques insouciants les laissent accéder à l’Eucharistie, prétextant que, n’ayant pas choisi leur condition homosexuelle, ils ne sont pas responsables de ce qu’ils vivent : ils ne pensent pas juste !

Frères bien-aimés, que ce soit bien clair : il est indispensable de distinguer entre ce que vous appelez les « tendances » ou « pulsions » homosexuelles, et les actes qui, trop souvent, les accompagnent. C’est pourquoi il convient d’établir une juste différence entre, d’une part, les êtres qui souffrent de cela comme ils pourraient souffrir d’un handicap physique ou psychique, et qui, percevant combien le passage à l’acte est grave aux yeux de Dieu, recherchent humblement auprès de l’Église une aide spirituelle et un réconfort, et, d’autre part, ceux qui prétendent « assumer » leur homosexualité et en font publiquement étalage, ne désirant aucunement mettre de frein à leurs pulsions, et réitérant leurs actes déviants d’une manière compulsive, souvent avec de multiples partenaires. Ce sont les mêmes qui revendiquent orgueilleusement une normalité, un statut social, l’adoption d’enfants, et, s’ils se disent chrétiens, le droit au Mariage sacramentel et l’accès à la communion eucharistique. Vous voyez, frères bien-aimés, combien ces deux attitudes diffèrent : l’une est de Dieu, l’autre du Diable.

Aucun homme d’Église – fût-il le pape en personne – ne saurait légitimer les actes homosexuels ou les changements de sexe à la demande.

Pourtant, L’Ancien Testament est déjà très clair sur ce point, et quiconque voudrait en rayer les versets concernés serait anathème, car, dans la mesure où le corps de l’homme et celui de la femme sont des temples de l’Esprit Saint, ils ne sont pas faits pour de tels actes, qui les transforment immanquablement en cloaques d’impureté.
Aucun homme d’Église – fût-il le pape en personne – ne saurait donc légitimer les actes homosexuels ou les changements de sexe à la demande, dans la mesure où ils restent intrinsèquement désordonnés. C’est pourquoi les personnes qui revendiquent fiévreusement leur homosexualité et mènent une vie de débauche tout en s’arrogeant le droit de se rendre à la sainte table, pèchent gravement par leur désobéissance aux Commandements et par leur impureté, qui, à l’instar des adultères, les rend coupables envers le Corps et le Sang du Seigneur. Les ecclésiastiques qui les y autorisent tout en ayant pleine connaissance de leur situation désobéissent eux aussi à l’enseignement de l’Église et pèchent gravement.

En outre, vous devez aussi savoir, mes frères, que ce n’est pas parce qu’a été rayée l’homosexualité de la liste des pathologies psychiatriques dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux sous la pression de militants gays et lesbiens, que les actes homosexuels doivent nécessairement se voir légitimer par l’Église. Cette orientation sexuelle, en effet, quelle qu’en soit la cause, n’en reste pas moins une grave dépravation aux yeux du Dieu-Créateur lorsqu’elle s’accompagne d’actes répréhensibles.

Je vous l’ai dit clairement, frères bien-aimés : ni les débauchés, ni les adultères, ni ceux qui pratiquent l’homosexualité activement ou passivement ne recevront le Royaume de Dieu en héritage, à moins qu’ils ne se convertissent et n’abandonnent leur conduite mauvaise, qui relève en vérité de la plus pure idolâtrie.
Si le Seigneur Jésus s’est montré clément envers la femme adultère et ne l’a point condamnée, c’est parce qu’il savait préalablement qu’à son contact, elle se convertirait, et que, lorsqu’il lui dirait : « Va et ne pèche plus ! » (Jn 8, 11), elle se serait déjà fait violence pour prendre cet engagement dans son cœur. Cela confirme que ce sont les actes infâmes qui s’exposent au jugement et non les personnes.

S’il en est ainsi, leur soif d’être aimés peut se dire saine et légitime, et rien ne leur interdit d’accéder à la communion eucharistique.

C’est pourquoi l’Église catholique doit accueillir avec respect, compassion et délicatesse tous ceux qui, parmi ses enfants, vivent leur orientation homosexuelle comme une croix qu’ils préféreraient ne pas avoir à porter. S’ils se considèrent comme des névrosés ou des handicapés, qu’elle leur recommande une aide psychologique sérieuse et les oriente judicieusement vers des professionnels compétents : tel est son rôle et même son devoir.
Sur le plan moral, qu’elle leur offre une direction spirituelle de qualité sous le manteau de la Vierge Marie, la Mère du Sauveur, et leur enseigne à découvrir les vertus de l’amitié tendre et chaste, vécue sans ambiguïté, à la manière de celle qu’enseignait jadis notre frère Aelred à ses moines de Rievaulx. (…)

S’il en est ainsi, leur soif d’être aimés peut se dire saine et légitime et rien ne leur interdit d’accéder, comme tout bon chrétien, à la communion eucharistique à condition de confesser systématiquement, comme les personnes hétérosexuelles, tout manquement à la vertu de chasteté.

Frères bien-aimés, si vous voulez être d’authentiques enfants de Dieu au milieu de cette génération égarée, je vous exhorte à mener une vie sainte et à prier sans relâche pour vos dirigeants, pour vos pays, et pour ceux qui vivent dans l’obscurité du péché, en particulier en matière de sexualité. Priez aussi pour les hommes d’Église qui ont perdu la simplicité et la pureté qu’il convient d’avoir à l’égard du Christ Jésus et qui se permettent de cautionner, pour leur plus grand malheur, toutes ces souillures et toutes ces insultes faites au Dieu-Créateur au nom d’un amour qui n’est pas celui de son Fils.

Et moi, je vous bénis.
Paul, Apôtre de Jésus-Christ

Que dit la Bible ?

Dans les Évangiles, Jésus n’aborde pas le sujet de l’homosexualité.
Dans l’Ancien Testament, Dieu dit :
Un homme ne doit pas coucher avec un homme comme on couche avec une femme.

Petit rappel et mise au point :
(Vincent) l’Église catholique considère l’homosexualité, non pas comme une « perversion » mais comme un « état de fait » et invite les homosexuels à la chasteté.

Les catholiques de France de la mouvance « Manif pour tous« , qui s’opposent au mariage homosexuel et à la théorie du genre, ne sont pas homophobes. Ils souhaitent simplement que les intérêts de l’enfant soient prioritaires. Ils pensent que la société doit faire son possible pour assurer à chaque enfant un père et une mère et une famille stable.

Les homosexuels qui n’adhèrent pas au principe « un père, une mère » font passer leurs désirs de paternité au détriment de l’intérêt de l’enfant, c’est donc de l’égoïsme inconscient et ils se trompent de chemin. Beaucoup sont devenus anti-catholique à la suite de ces évènements. Ils sont doublement égarés.
Quant au système des mères porteuses, c’est une industrie qui exploite la misère des pays pauvres.
Le monde de l’homosexualité est totalement aveuglé, et on constate en parcourant les forums qu’ils ont basculés vers l’anti-catholicisme, alors que cette religion n’est pas homophobe.

… qui provoquera une résistance contre l’autre sexe, et devenir plus tard homosexuel.

Révélation de Maria Simma (Autriche 1915-2004)

Vous dites que l’enfant absorbe tout de ses deux parents. Également du père ?

Maria Simma : Bien sûr ! La mère peut être à la maison avec le petit embryon dans son sein tandis que le père est à la guerre dans le Golfe persique, et le bébé ressent tout ce qu’il fait. De sorte que la souffrance et la réparation pour cette guerre ont déjà commencé à la maison, à des milliers de kilomètres de distance.
Et si le père pèche gravement, par exemple, en ayant des relations sexuelles en dehors du mariage durant les neuf mois de grossesse, l’enfant pourra facilement porter une blessure subconsciente qui provoquera une résistance contre l’autre sexe, et devenir plus tard homosexuel.
C’est pourquoi tant d’homosexuels peuvent honnêtement dire qu’ils sont nés ainsi. Leur colère, leur souffrance, leur frustration et leur insatisfaction sont une réparation pour les péchés de leurs parents. Satan rend les gens malades et cette maladie, ces plaies ne peuvent guérir qu’après beaucoup de prières et spécialement avec l’aide de saint Michel Archange qui est le plus fort pour repousser les tentations de Satan. (…)

J’ai vécu en célibataire, sans avoir de relations sexuelles avec personne. Ce n’est pas que j’avais une tendance à l’homosexualité, mais j’avais choisi de vivre ainsi

Message de Jésus au Père Doucette (Canada) – Mardi 18 juin 2013

Je vous appelle à suivre la loi de Dieu, (…) et suivre ce que je vous ai enseigné. (…) Beaucoup m’ont rejeté et sont pervertis, et suivent les voies du monde. Saint Paul montre toute l’horreur de l’homosexualité dans le texte précité. L’homosexualité est une perversion, et tel est mon enseignement. Quiconque vit une relation homosexuelle et s’adonne à des actes homosexuels ne peut être sauvé.
Il doit cesser tout cela et vivre en célibataire en respectant les commandements. Beaucoup de gens ayant cette tendance doivent vivent à la manière dont j’ai vécu quand j’étais sur la terre. J’ai vécu en célibataire, sans avoir de relations sexuelles avec personne. Ce n’est pas que j’avais une tendance à l’homosexualité, mais j’avais choisi de vivre ainsi.
Ceux qui vivent de cette manière seront effectivement sauvés et ce sera pour moi un plaisir de les accueillir au ciel. Je vous aime tous, alors venez, suivez-moi.

Comprenez que les personnes homosexuelles, (…) vous n’avez pas à les juger et à les condamner, mais à essayer de les comprendre, de les accueillir

Message du Ciel de Jean, messager de la lumière (France) 6 février 2013

Mes bien aimés frères et sœurs,
Actuellement, vous pouvez constater que la société est secouée par des lois antireligieuses, ces lois qui bafouent la morale et posent des problèmes à des familles.
En créant un être humain à son image, le Seigneur Dieu a voulu que le genre humain se multiplie. Ainsi le mariage entre un homme et une femme est le socle de la société et la structure la plus universelle et la plus ancienne qu’il soit. Effectivement, il y a cette théorie qui s’appuie sur la distinction radicale entre le sexe biologique déterminé dès la naissance et la perception particulière que l’homme a de son propre sexe.
Il est certain que vous n’êtes pas obligé d’approuver tous les comportements mais vous avez le devoir malgré tout, d’agir en toute conscience pour le bien de la société. Cependant, en tant que chrétien, vous êtes tenus, avec amour et respect, de vous accueillir les uns les autres.
Comprenez que les personnes homosexuelles, comme tout un chacun ont des blessures affectives et en aucun cas, vous n’avez pas à les juger et à les condamner mais à essayer de les comprendre, de les accueillir et à vous déterminer contre les lois scélérates. (…)

Jean, votre messager d’Espérance

Je déteste tous les actes sexuels immoraux, y compris les actes homosexuels (…) Les homosexuels peuvent être sauvés s’ils cessent de faire des actes sexuels.

Message de Jésus au Père Doucette (Canada) – Mercredi 18 aout 201.

C’est un fait que la foi d’un grand nombre de mes fidèles s’est affaiblie. Beaucoup vivent dans des pays qui étaient chrétiens autrefois, mais sont devenus païens aujourd’hui. Ces pays ne font plus respecter aucune moralité, de sorte qu’on y retrouve l’immoralité sous toutes ses formes. Combien de gens vivent comme mari et femme sans être mariés ? Certains vont à l’église et même viennent me recevoir dans la sainte Communion, et pourtant ils mènent une vie immorale.

Je déteste tous les actes sexuels immoraux, y compris les actes homosexuels, mais on adopte de plus en plus ce mode de vie comme s’il n’y avait rien de mal. Les homosexuels peuvent être sauvés s’ils cessent de faire des actes sexuels, car ces actes sont gravement coupables. Tous les actes sexuels hors mariage sont coupables.
Rappelez-vous : étant mes disciples, vous êtes unis à moi et votre corps est mien. Tous les actes immoraux que vous accomplissez avec votre corps m’offensent et je ne peux pas habiter dans votre cœur si vous continuez à commettre de tels actes.
Je vous appelle aujourd’hui à mener une vie vertueuse, car la Loi de Dieu dit : « Ne commets pas d’adultère. » Respectez-vous et soyez saints. Votre corps est partie intégrante de votre identité, et puissiez-vous être saints dans votre corps. Si vous voulez être mon ami, menez une vie vertueuse et évitez tous les péchés sexuels. Je vous bénis tous.

Ceux qui ont des tendances homosexuelles doivent vivre dans le célibat et ils seront sauvés s’ils me suivent chaque jour.

Message de Jésus au Père Doucette (Canada) -mardi 27 octobre 2009.

(…) Je vous demande de me mettre à la première place dans chacun des pays du monde. Que chaque décision et chaque loi soient conformes aux enseignements que je vous ai laissés et que j’ai donnés à mon Église. Aucun de mes disciples ne doit accepter l’avortement, l’euthanasie ni la recherche sur les cellules souches d’embryons. Tout cela va à l’encontre des Commandements de Dieu, en particulier de celui qui dit : « Tu ne tueras pas. »
Mes disciples reconnaitront que le mariage est l’union d’un homme et d’une femme. Les unions homosexuelles ne doivent pas être acceptées et mon Église ne bénira jamais de telles unions.
Ceux qui ont des tendances homosexuelles doivent vivre dans le célibat et ils seront sauvés s’ils me suivent chaque jour.
Ne vous conformez pas aux pensées du monde qui, dans bien des cas, sont opposées aux miennes. Ces gens préfèrent vivre dans le péché au lieu de vivre en union avec moi. Seul mon chemin vous conduira au ciel, et je vous appelle tous à suivre ce chemin. Je vous aime et je vous bénis.