Le menhir la Mourgue

Étude par vision psychique du menhir « la Mourgue »

Texte extrait de mon autobiographie : Une vie dans le surnaturel

Le travail qui m’a le plus passionné et dont je suis le plus fier, c’est sur le menhir « la Mourgue », sur la commune de Saint-Étienne-du-Grès (Département des Bouches-du-Rhône, en Provence), le village où habitaient mes parents. Ces visions vont nous plonger dans la nuit des temps.

Ce menhir, actuellement installé au centre du village, se trouvait au milieu d’un champ (photo ci-dessous) et lorsque j’étais enfant, j’allais souvent le voir à vélo, car mes parents avaient leur maison à proximité. J’ai retrouvé cette photo prise par mon père en feuilletant les albums de famille.

Wikipédia : Le menhir la Mourgue (Saint-Étienne-du-Grès – France, département des bouches du Rhône) est une pierre grossièrement sculptée et représentant vraisemblablement une divinité païenne préromaine de la fécondité.

Chapitre associé : Vision psychique du Grand menhir brisé d’Er Grah

Voici ci-après le détail des visons psychiques que j’ai obtenu de ce menhir. Texte extrait de mon journal.

(27 octobre 2009) J’obtiens une image mentale reconstituée / symbolique m’indiquant que le menhir avait été installé par lévitation.

(30 novembre 2009) J’ai obtenu une image d’un fleuve avec un petit embarcadère (en terre) perpendiculaire au fleuve avec deux rangés d’arbres dessus, je voyais la scène d’une berge très élevée, puis, après, j’entendis le mot « endurance ». C’est la première fois que j’entends un son.

Après coup, je me suis rappelé qu’il y avait, dans la région du menhir, il y a très longtemps, l’ancien lit de la Durance, un fleuve qui coule maintenant à 30 km de là. C’est donc ce fleuve que j’ai dû voir. Ce menhir se trouvait au bord de l’eau, sur une zone surélevée.

J’eus après une vision où j’étais sous l’eau, peut-être le Déluge ou une crue exceptionnelle de la Durance. Toute la région semblait avoir été noyée sous au moins quinze mètres d’eau.

(Mercredi 2 décembre 2009) J’ai demandé à obtenir une vue du menhir pour connaitre sa forme originale, et j’ai fini, après vingt minutes d’exercice, par voir une vue rapprochée du mégalithe, mais pas dans sa totalité. Sa surface n’avait rien d’exotique pour un menhir, pas d’enduit, ni de peinture, ni de gravures.

Après avoir fait le vide mental en entendant ma respiration, je basculais par intermittence en état second, et j’ai eu droit à plein de choses, des sons et des images.

J’ai eu d’abord une vision de la région d’où venait la pierre, puis j’ai entendu le mot « calcaire ».

J’ai vu des hommes africains, j’en ai déduit qu’il s’agissait d’images symboliques voulant dire que des esclaves avaient travaillé sur ce menhir. Puis j’ai vu un petit kangourou, qui m’apparut être une image reconstituée (symbolique). Après j’ai vu un homme à la peau très sombre, dont la tête m’a fait penser à un Aborigène d’Australie, qui taillait le menhir. Je distinguais très bien les traits de son visage, torse nu, peau assez sombre, presque noire et rude.

Ce menhir a donc dû être taillé par cet Aborigène esclave australien, ou du moins originaire d’un pays où évoluent des kangourous,

Après, j’ai été franchement surpris. J’ai eu droit à une scène de l’espace, en approche d’une gigantesque planète bariolée de couleurs vives, dans les orangés rouges, style Jupiter (ou Mars).

Puis une autre où je voyais à travers une grande vitre (avec une bordure métallique, une sorte de grand hublot rectangulaire aux coins arrondis) comme si j’étais dans un « module » ou un vaisseau posé à terre et le paysage que je voyais était très désertique, sableux et caillouteux. Cela me fit penser à la planète Mars, mais c’était peut-être une autre planète.

Je me suis vraiment demandé d’où pouvaient venir ces images et surtout quel rapport il pouvait bien y avoir avec le menhir. Puis, je me suis rappelé la voyance de R. Réant sur le grand menhir de Bretagne. Il est probable que ce menhir a été en contact avec un vaisseau volant ayant la capacité d’évoluer dans l’espace, d’où ces images.

L’exercice a bien duré trois heures avec un esprit parfaitement calme et aucune limite de temps, pas de stress de planning ni d’horaire.

Ci-dessous, la Mourgue après avoir été retirée du champ pour faire place à une zone d’activités, et avant qu’elle ne soit finalement placée au centre du village.

En conclusion :

Ce petit menhir date d’avant le déluge (mini – 2 000 av. JC) et a été installé à une époque où le fleuve la Durance passait à côté. Il a été taillé par un Aborigène originaire d’un pays proche de l’Australie, ayant le statut d’esclave. Ce menhir a été déplacé par lévitation et a été en contact (ou transporté) avec un vaisseau volant, appartenant d’après moi aux civilisations antédiluviennes terriennes.

Ce menhir date donc d’une époque où les déplacements à grande distance devaient se faire facilement, d’où la présence de cet esclave australien dans cette région et le lien avec les vaisseaux volants. Concernant la forme du menhir, l’ébauche de sculpture doit être d’une époque plus récente.

À quoi servaient ces menhirs ? À recharger en énergie les vaisseaux volants ? comme le suggère R. Réant. Rappelez-vous la phrase sur l’étude des pyramides :
L’énergie se déplace à travers la Terre et elle est naturelle ou exploitée et contrôlée.

Il semblerait qu’il y ait une énergie liée à la Terre et les menhirs serviraient à la canaliser pour alimenter les vaisseaux volants. Le texte sur le grand menhir brisé confirme cette théorie.

Vous lirez plus loin dans ce livre la phrase d’Ingo Swann :
Aucune réponse ne parvint à cette question que je me posai à moi-même.

La vision à distance permet d’obtenir des informations techniques, de voir des images dont on peut en tirer des conclusions, mais en revanche, elle ne peut pas donner d’explication par elle-même.

Si la vision à distance vous intéresse, j’ai écrit un livre sur le sujet. :
Apprendre le voyage astral et la vision à distance