Amertume et suicide

Combattre toute amertume.

Enseignement de Marie à Myriam van Nazareth – Le site officiel : maria-domina-animarum.net (en néerlandais) Lire le message en entier sur le site d’origine (en néerlandais). Le site en français n’est que partialement traduit.

Une âme déçue dans la vie, dans certaines situations ou dans certaines relations avec les gens peut devenir amère. Dans cette âme, l’Amour de Dieu ne coule plus librement. L’amertume est comme une coquille dure qui se referme autour de l’âme, commençant à se fermer à la Lumière de Dieu.
En raison du flux déficient de l’Amour Véritable, la force de vie réelle dans cette âme diminue et elle est seulement limitée ou n’est plus en mesure de donner l’Amour Véritable. Il est donc important que l’âme aide un être humain aigri à se réconcilier avec lui-même, avec son passé, avec sa situation de vie actuelle et avec ses semblables.

L’amertume porte des fruits amers, de sorte que toute créature – homme ou bête – qui touche une âme amère ne voit pas la lumière de l’amour, de la joie et de l’espoir, mais les ténèbres du ressentiment, de l’incrédulité, de la déception, du pessimisme et du découragement. Une âme aigrie n’inspire ni confiance ni gaieté à ceux qui l’entourent. Elle étend sur son entourage une couverture de mélancolie, qui étouffe lentement les cœurs faute d’oxygène de la véritable inspiration. Un cœur qui ne respire plus est rempli de ferment. Dans un sol en fermentation la rose de l’Amour meurt lentement. (…)

L’homme passe généralement d’innombrables moments de la journée sans être observé, prêtant souvent peu d’attention aux développements de la vie de l’âme. De ce fait, de très nombreuses interventions de la Providence de Dieu dans la vie quotidienne échappent également à l’attention.
Ce « demi-sommeil spirituel » est à l’origine du fait que pour de nombreuses âmes, beaucoup de choses et de développements dans leur vie semblent dénués de sens, et elles ne voient jamais de signes de l’Amour de Dieu.
Dès que l’âme imprègne toutes ses actions, paroles, pensées et perceptions de la réalisation de l’Amour de Dieu, tout prend sens et le cœur s’épanouit. Cette âme commence à voir la vie et son environnement complètement différemment. Elle trouve plus facilement la joie dans les moindres détails du quotidien : s’occuper des enfants ou des animaux domestiques, promener le chien.

Il est de notre devoir de faire prendre conscience à nos semblables des nombreuses petites beautés qui les entourent. Ne laissons pas passer un moment de souffrance inutilisé : offrons-le en signe de gratitude, sachant qu’il peut devenir la clé de notre Félicité Éternelle, et une opportunité de véritable imitation du Christ, le Chemin de la Vie Divine. (…)

Chapitre complémentaire :
Le lâcher-prise
Fatigue, lassitude et découragement

Le suicide deviendra endémique au temps de la fin.

Wings of prophecy – Messages du Ciel – Glynda Lomax – Lundi 7 février 2022

(…) Beaucoup de mes enfants ne parviennent pas à préparer leurs cœurs et leurs esprits à ce qui est sur le point de se produire. Pour cette raison, le suicide deviendra endémique au temps de la fin. Cela ne devrait pas être ainsi parmi mes enfants, car Je vous ai prévenus de ce qui s’en vient, et de ne pas aimer vos vies ou de vous y accrocher.

Je vous ai prévenus d’être dans ma Sainte Parole, que votre foi soit renforcée, que la panique puisse être apaisée. C’est votre choix de faire face à ce qui vous attend, dans la foi ou dans la peur. Choisissez sagement.

Phrases extraites des messages ci-après :

– Dis ceci : Je vais me reposer contre Jésus et attendre qu’il m’envoie du soulagement.
– Répète les paroles suivantes : Je me reposerai sur Jésus et j’attendrai qu’Il envoie le répit.
– Demande de l’aide et tu seras entendu.
– L’homme qui s’impose cet acte est trop idéaliste.
– Ne pense pas un instant que Dieu te laissera avec une peine incontrôlable. Dieu ne fera pas cela. Demande de l’aide et tu la recevras.

Je vais au lac pour me tuer.

Voici un beau témoignage trouvé sur le forum de questions réponses Quora. Le texte original a été écrit en anglais. L’auteur habite actuellement à Zagreb en Croatie.

J’étais une enfant courageuse et forte. Je pouvais arranger les choses. Je pouvais tenir la baraque ? Foutaises. Non, je n’étais rien de tout ça.
J’étais une petite fille effrayée, épuisée et triste, qui portait dans ses petites épaules le poids de la douleur, le désarroi, le blâme, la malice, l’addiction, la jalousie, la maladie, le narcissisme et la négligence qui pouvaient exister dans un mariage entre deux personnes.
Je les aimais vraiment mes parents, alors il fallait que je fasse bien les choses.

Une nuit, alors que j’avais environ neuf ans, ma mère, accablée par le désespoir et l’alcool, m’a dit : Je vais au lac pour me tuer.
Elle était devant la porte, à mettre ses chaussures. J’avais l’impression qu’un poids s’était accroché à ma poitrine, déchirait mes côtes et m’arrachait le cœur. Je sentais l’effroi couvrir tout mon corps comme si j’étais soudainement tombé à travers la glace dans de l’eau glaciale.

J’ai commencé à paniquer. J’avais désespérément besoin d’aide, mais je me suis vite rendue compte que je ne pouvais compter sur personne d’autre que moi-même.

J’ai regardé ma mère. Elle chaussait ses chaussures lentement. Elle avait l’air engourdie, déterminée. On habitait près d’un lac, à dix minutes à pied. C’était une froide soirée d’automne, et j’avais dans mon esprit la vision de l’eau noire et profonde engloutir ma mère.

J’étais seule. Moi, une petite fille, la dernière ligne de défense entre sa maman et la mort. Ma mère était maintenant prête et elle commençait à ouvrir la porte de l’appartement.
Je n’avais pas le temps de mettre mes chaussures, alors j’ai couru après elle en pantoufles et j’ai attrapé sa main. Cette dernière était froide et elle pendait juste là, comme une extension inutile de son corps. Je l’ai tenue comme s’il s’agissait de ma propre vie.

Elle commençait à marcher dans notre rue en direction du lac. C’est à ce moment que j’ai commencé à ouvrir la bouche. J’ai parlé gaiment, joyeusement, et fort. J’ai parlé de l’école et de ce que ma meilleure amie m’a raconté, des congés, de l’été et des chansons. J’ai parlé et parlé, et pendant que je parlais, je l’ai tirée progressivement hors de son itinéraire.

Je l’ai trainée dans une petite pizzéria, près de notre maison, et je l’ai fait assoir à table en attendant que le serveur vienne. On devait avoir l’air super bizarres. Une femme au regard vide et sans vie, assise en face d’une petite fille qui s’agitait, sans manteau et avec des pantoufles.

Ma mère a commandé de la bière, et j’ai commandé un jus. Elle me regardait, sans aucun signe de reconnaissance. Il y avait beaucoup d’adultes là, assis à leurs tables, qui profitaient de leur soirée. J’ai regardé autour de moi, le cœur plongé dans le désespoir. Je ne voulais pas que ma mère meure et j’aurais souhaité que quelqu’un m’aide, mais il n’y avait personne.

J’avais sauvé la vie de ma mère en lui disant qu’elle pouvait aller s’occuper d’enfants affamés sur un autre continent.

Puis, j’ai eu une idée géniale. Ma mère avait besoin d’une raison pour vivre, alors je lui ai donné la meilleure raison à laquelle je pouvais penser : Nous allons aller en Afrique ! On laisserait tout derrière nous, et demain à la première heure, on partirait pour l’Afrique pour s’occuper des enfants qui ont faim. On les aiderait, et ce sera ça notre raison de vivre.
J’en ai parlé encore et encore, alors que ma mère buvait une bière après l’autre. Je créais de belles histoires à propos de notre nouvelle vie, et de combien elle en vaudrait la peine. Une fois que je n’avais plus rien à dire, mon cœur s’est mis à battre comme celui d’un petit oiseau sur le point d’être mangé. J’ai chuchoté : On peut rentrer maintenant, maman ?

Elle a hoché oui de la tête et je l’ai aidée à se relever. On est rentré lentement à la maison et je lui tenais la main comme si je l’avais ramenée du cimetière. On a marché et des larmes coulaient silencieusement sur mon visage. Les enfants pleurent à haute voix, mais j’ai pleuré comme une adulte, seule, en silence.

J’avais sauvé la vie de ma mère en lui disant qu’elle pouvait aller s’occuper d’enfants affamés sur un autre continent. Il ne m’était même pas venu à l’esprit de me citer moi comme étant sa raison de vivre. Pourquoi voudrait-elle vivre à cause de moi ? Je n’en valais pas la peine.
La nuit était silencieuse. Le seul bruit était celui de mes pantoufles sur le trottoir qui menait à notre maison. Et le seul témoin de ma victoire était un verre de jus, laissé sur la table, intact.

La seule solution pour tous ces gens est de leur apprendre à cultiver et à toucher la terre. La terre guérit.

Message Céleste Via Valentina Papagna (Sydney, Australie) – 27 Mars 2021.

Ce matin, j’ai visité une partie particulière du Purgatoire qui était surpeuplée d’âmes très tristes et déprimées, un lieu de tourments.
L’ange m’a alors emmenée loin de cet endroit, et alors que nous commencions à nous éloigner d’eux, l’ange s’est arrêté, s’est tourné vers moi et a dit : « Je dois te dire une très triste nouvelle. Sais-tu combien de personnes sur terre meurent par suicide chaque jour ? C’est comme une pandémie ! Beaucoup sont morts par suicide en Nouvelle-Zélande. »

Assez surpris, « La Nouvelle-Zélande ? » ai-je dit.

Il m’a répondu : « Beaucoup y meurent de désespoir. Partout en Australie aussi, mais la plupart de ceux qui se suicident et meurent sont au Japon et en Malaisie ! Pour chaque petite chose qui les inquiète, ou pour laquelle ils se sentent coupables, ils ne peuvent pas supporter la douleur, et ils se suicident. Mais cela se passe aussi dans le monde entier. »

« Voulez-vous savoir pourquoi ? Quelle est la raison de tout cela ? »

J’ai écouté l’ange qui m’a expliqué.
Il a dit : « Ils utilisent trop d’appareils électroniques, et cela les rend très déprimés. Il n’y a personne pour aider ces gens. La majorité des suicides sont le fait de jeunes gens.
La seule solution pour tous ces gens est de leur apprendre à cultiver et à toucher la terre. La terre guérit. Il y a quelque chose dans la terre qui, lorsqu’ils la touchent et la mélangent, aide à rendre la personne meilleure. »

Il a poursuivi : « Toucher et retourner la terre est bon. Tous ces objets électroniques affectent l’esprit et le corps des gens. Tu ferais mieux de le dire aux gens et de leur faire savoir à quel point les appareils électroniques sont dangereux. »

Pendant que l’ange parlait, il labourait la terre avec ses mains.
« Dieu a donné la terre aux gens comme une guérison pour eux ; il y a quelque chose de très spécial en elle, beaucoup de bienfaits pour votre esprit et votre corps », a-t-il dit.

J’ai dit : « Merci, mon ange gardien. Merci, Seigneur Jésus, de nous avoir enseigné Ta création spéciale pour l’humanité. »
Seigneur, ayez pitié de nous, aidez-nous et protégez surtout les jeunes.

Pour info : Une jeune malaisienne de 16 ans (à Kuching, dans l’Etat malaisien de Sarawak), s’est donné la mort après avoir posté un sondage sur Instagram, lundi 13 mai 2019. (…) 69 % des internautes ont voté pour la mort et 31 % pour la vie, a indiqué la police.

Ce qui leur arrive dépend entièrement de la raison pour laquelle ils se sont suicidés.

Révélation de Maria Simma (Autriche 1915-2004)

Qu’est-ce qui arrive aux gens qui commettent un suicide ? Est-ce que certains sont venus vous visiter ?

Oui, beaucoup. Ce qui leur arrive dépend entièrement de la raison pour laquelle ils se sont suicidés. Beaucoup de gens sont venus me voir à ce sujet et jusqu’à présent une seule âme s’était perdue. Dans la grande majorité des cas, les plus responsables sont ceux qui ont peut-être été coupables de diffamation à leur endroit, ou qui leur ont refusé leur aide, ou qui les ont acculés au point qu’ils ont «disjoncté».

Dans ces cas-là, les autres sont plus responsables qu’eux. Ces âmes regrettent cependant d’avoir commis cet acte. Et c’est souvent dû à une maladie. Une personne en bonne santé envers qui on se conduit correctement ne fait normalement pas une chose comme ça.

Les parents et amis pensent bien souvent qu’ils sont responsables, mais c’est la société entière qui l’est.

Extrait du livre « Jean, messager de la lumière, la communion des saints » (Éditions du Parvis) Qui est Jean ? : Le 13 décembre 1996, Jean meurt d’une hémorragie interne, il avait 43 ans. Par locutions intérieures, il adresse à ses parents des messages d’amour, d’espoir et de bonheur par lesquels il leur demande de prier pour les défunts.

(…) Il est de plus en plus fréquent, dans votre société où le matérialisme est destructeur, de constater un accroissement du nombre de suicides.

Si on parlait davantage du but de la vie sur terre, dont la finalité est d’accéder à la vraie vie au Ciel, beaucoup moins de personnes désespérées penseraient à cette solution pour parer à des problèmes qu’elles amplifient par leur imagination.

La décision de se détruire est un acte de trahison spirituelle. Cela peut venir à la suite d’une grande déception, d’une grosse contrariété, mais également d’une grande souffrance morale ou physique, ou encore devant un avenir incertain où l’homme est dans l’incapacité de faire face à une situation donnée.

La société en général considère cet acte hautement répréhensible, ce qui en soit est une erreur fondamentale car il faut tenir compte des problèmes héréditaires, donc de la généalogie, de l’incompréhension des autres, mais aussi de la force morale de la personne et de ses expériences plus ou moins malheureuses.

L’homme qui s’impose cet acte est trop idéaliste.

Il faut se mettre à la place de l’autre, tenir compte de son caractère et de sa manière de percevoir les événements. Par le suicide, l’être humain pensera se débarrasser de la souffrance et même se purifier en laissant une situation nette après son départ, mais sans songer aux conséquences qui peuvent en découler autant pour lui que pour autrui.

L’homme qui s’impose cet acte est trop idéaliste, profondément insatisfait de lui-même et de cette société qui l’entoure et l’étouffe.

Les mauvais esprits, valets de Satan, dominent des âmes dans lesquelles ils s’installent sournoisement. C’est sur le psychisme qu’ils agissent, en creusant un abîme entre le bien et le mal; leur but est de pousser l’homme à se rendre détestable à ses propres yeux, à exagérer le problème et à s’en soustraire en se détruisant.

Le comportement de chacun, que se soit en bien ou en mal, n’est que le maillon d’un lien qui part de l’origine de l’homme et qui se prolonge indéfiniment. Lorsqu’un être se suicide, c’est bien l’ensemble de toute la société qui en est responsable et non uniquement son environnement familial.

Les parents et amis pensent bien souvent qu’ils sont responsables, mais c’est la société entière qui l’est, car elle n’a pas su montrer à cet être toute la bienveillance et la tolérance voulues. Cette société, c’est l’école avec ses maîtres, les gens de la rue, du quartier, du village, des camarades plus ou moins désoeuvrés, des responsables d’entreprise, des collègues de travail et surtout l’oeil du démon qui a pénétré dans les foyers sous la forme de la télévision.

Tous, vous vous posez cette question : les suicidés sont-ils heureux dans l’au-delà ?

Sachez que Dieu est seul juge d’un homme et des circonstances atténuantes dont il peut bénéficier. Ce n’est pas l’acte de se donner la mort qui est important mais c’est tout le passé qui a pu conduire l’être à une action de destruction. Sachez que ce n’est pas sur une loi que le Seigneur jugera, mais sur l’Amour et les circonstances qui ont conduit à la chute.

L’homme n’a pas le droit de juger, il doit rester bon, compréhensif, ne pas parler sans réfléchir car la blessure du parent ou ami du suicidé va se rouvrir. Vous-même, si vous êtes dans la souffrance, surtout gardez-vous d’interpréter trop vite les paroles qui vous paraîtront blessantes, considérez que c’est vous qui leur donnez le sens qu’elles n’ont pas.

Beaucoup de personnes font considérablement de mal sans en être conscientes. Elles s’éloigneront de ceux qui ont un physique qui ne leur paraît pas sympathique, de ceux qui ont une voix désagréable, de ceux qui parlent trop. En agissant ainsi, inconsciemment elles peuvent déclencher bien des drames chez l’autre qui peut en venir au suicide. (19.09.2000)

Qu’ils évitent de rencontrer des mages et des voyants.

Ceux qui ont perdu un être cher ne doivent pas se replier sur eux-mêmes dans un chagrin sans remèdes ou une recherche acharnée de la vérité. Qu’ils évitent de rencontrer des mages et des voyants qui s’en prendront à leur psychisme et à leur bourse.

Surtout qu’ils ne tentent pas de communiquer par des moyens artificiels avec ceux qui les ont quittés. C’est par une spiritualité saine et équilibrée qu’ils doivent sortir de leur tunnel. Qu’ils prient et fréquentent les sacrements; là le Fils de l’Homme les aidera et les sauvera.

Qu’ils demandent le secours de leur ange gardien dans tous les détails de leur vie quotidienne et surtout qu’ils sollicitent l’aide de la Très Sainte Vierge Marie. Immanquablement, la lumière de Dieu les pénétrera et leur fera découvrir le vrai sens de la vie. (22.12.1999)

Tu as subi des pertes dans ta vie, et il y a un vide. Jésus te remplira à nouveau et te ramènera à un état d’espoir et de joie qui se répandra sur les autres.

Message de Ste Marguerite Marie Alacoque donné à Anne, un apôtre laïque d’Irlande le 29 nov. 2006.

Mon ami, on t’a fait du mal. Je le vois. Je comprends bien que tu portes des blessures qui te font souffrir. Tu ne connais peut-être même pas la source de ta souffrance et de tes blessures.
Tu sais que tu n’es pas parfait et que tu fais des erreurs. Jésus t’accepte tel que tu es et Il t’aime d’une immense tendresse, quelles que soient tes erreurs. Je voudrais que tu considères le fait que les autres aussi commettent des erreurs.

Les autres manquent d’amour et de douceur.
Les autres ne sont pas parfaits, tout comme nous tous, nous avons été imparfaits sur terre.
Les erreurs commises par les autres provoquent parfois en nous une immense douleur.
Nous portons parfois des blessures sans même en être conscients. Ces blessures s’élargissent et affectent d’autres régions de nos cœurs ; cela provoque un état général de souffrance dont il est difficile de se séparer.

Jésus a terriblement souffert sur terre. Lui aussi a porté des blessures. Jésus, dans Son sacré cœur, connaît la raison précise de ta souffrance. Il connaît beaucoup mieux que toi la source de ta souffrance et de ton désespoir. Mon ami bien-aimé, je t’implore en cet instant de te tourner vers Jésus. Il te guérira de blessures que tu ne sais même pas que tu portes.

Tu as subi des pertes dans ta vie, et il y a un vide. Jésus te remplira à nouveau et te ramènera à un état d’espoir et de joie qui se répandra sur les autres. Je t’assure que ton immense souffrance diminuera. Une fois que ton immense souffrance aura diminué et que la joie aura pris sa place, tu seras d’une grande bonté envers les autres, parce que tu comprendras leur douleur.

Si tu te donnes la mort, tu ne seras pas là pour aider ces personnes à l’avenir.

Lorsque tu verras quelqu’un qui est dans l’angoisse, ton cœur sera mû d’une immense pitié pour cette personne. Tu te diras : “Je me souviens m’être aussi mal senti.” Il n’y a que ceux qui ont souffert l’angoisse qui peuvent réellement la comprendre. N’es-tu pas d’accord ? T’est-il déjà arrivé de parler à quelqu’un de quelque chose qu’il avait lui aussi vécu et d’avoir su qu’il te comprenait ? Ce sera la même chose pour ton immense souffrance, et les personnes qui subissent le désespoir regagneront espoir grâce à toi.

Si tu te donnes la mort, tu ne seras pas là pour aider ces personnes à l’avenir. Je veux que tu saches que Jésus, dans Son sacré cœur, ressent ta douleur. Jésus a souffert, pour que nous puissions être pardonnés. Le fait que Jésus ait souffert de Son plein gré n’enlève absolument rien au fait que Jésus a terriblement souffert.

Tu peux peut-être lever les yeux vers Jésus, mon ami, et Lui dire que dans ta souffrance, tu comprends un peu Sa souffrance. Si tu le fais, tout le ciel se réjouira, car tu seras sur la voie de la sainteté.

Crois-moi, mon ami, car c’est la vérité. Nombreux sont ceux qui veulent bien prendre part à la joie de Jésus. Nombreux sont ceux qui veulent bien aussi respecter Sa croix, mais rares sont ceux qui, sur la terre, acceptent de porter la croix et de tourner les yeux vers le Seigneur dans l’amour, dans les moments de souffrance.

Pourtant, c’est ce que Jésus a fait [Il a accepté de porter la croix]. Fais-le, mon bien-aimé, et le ciel allégera ta croix et éliminera ta douleur plus rapidement que tu ne le crois.

Tu n’es pas seul en cet instant ; tu ne seras jamais seul. Au moment même où tu lis ces paroles, le ciel t’entoure. Les anges prient constamment pour ta guérison, pour un regain de joie en toi.

Message de la Sainte Vierge donné à Anne, un apôtre laïque d’Irlande, le 1er décembre 2006.

Mon cher petit enfant, comme ton cœur est lourd… Je te vois souffrir et tu te sens seul. Mon cher enfant bien-aimé, tu n’es pas seul en cet instant ; tu ne seras jamais seul. Au moment même où tu lis ces paroles, le ciel t’entoure. Les anges prient constamment pour ta guérison, pour un regain de joie en toi.

Tu dois croire que je te dis la vérité. Je suis Marie, ta mère, et je ne peux vouloir que ce qu’il y a de bon pour toi. Je vais dès maintenant aller chercher ce qui te fera du bien, auprès du trône de Dieu, et je vais demander au Père de t’envoyer des dons célestes, des dons de courage et de paix. Cette journée passera, elle fait déjà partie du passé, et demain sera meilleur. Chaque journée qui passe te rapprochera de la guérison.

Demande de l’aide et tu seras entendu.

Ne pense pas, ne serait-ce que l’espace d’un instant, que Dieu va t’abandonner dans une souffrance ingérable. Dieu ne ferait pas une telle chose. Demande de l’aide et tu seras entendu. Je suis là avec toi, maintenant, et je vais m’assurer que tu obtiennes tout ce dont tu as besoin pour dépasser cette période d’angoisse. Ce n’est pas ce que le ciel désire pour toi. Le ciel désire que tu aies de l’espoir.

Des grâces célestes remplies d’espoir inondent ton âme en cet instant. Repose dans la grâce de Dieu et je m’assurerai que tu aies tout le nécessaire. Je suis ta mère. Je t’aime totalement. Je t’aiderai.

Puis-je te demander un petit service ? Je te demande de te détourner de tout ce qui peut causer cette douleur. Détourne-toi des habitudes qui ouvrent la porte aux ténèbres dans ta petite âme. Je te donnerai la clarté nécessaire pour comprendre ce qui crée une telle souffrance. Tu ne resteras pas dans l’incertitude. Ta croix sera plus légère, je te le garantis.

Sois dans la paix, aujourd’hui, car vraiment, le ciel entend ta prière et prend les moyens d’y répondre. Tu verras, le ciel t’aidera de multiples façons, mon enfant bien-aimé. Tu n’es pas seul.

Lorsque tu penses à demain, ne te dis pas que la souffrance que tu vis aujourd’hui sera forcément la même.

Message de Jésus donné à Anne, un apôtre laïque d’Irlande, le 29 novembre 2006.

J’ai beaucoup de choses à dire à ceux qui veulent se faire du mal. Je vous aime. Je vois votre souffrance. Je comprends que ce que vous désirez, c’est être soulagés de votre angoisse.

Je vous en supplie, donnez-Moi votre angoisse. Je peux vous aider. Vous avez beaucoup de valeur aux yeux du royaume et J’ai besoin de vous pour que vous Me portiez aux autres.

Comment, me demandez-vous, dans votre immense peine intérieure, comment est-il possible que je puisse être utile à Jésus et aux autres ?

Je vais vous expliquer. Votre souffrance, c’est la souffrance de beaucoup de personnes dans le monde d’aujourd’hui. Nombreuses sont les âmes qui éprouvent votre souffrance, votre désespoir. Beaucoup de personnes portent les lourdes croix de la maladie, de la dépendance, de la solitude et du désespoir, du rejet et de l’angoisse.

Beaucoup de Mes enfants, en tournant les yeux vers leur avenir, n’y voient que davantage de souffrance et de peine, et ceci leur enlève tout courage.

Très cher ami, voilà ce que tu dois faire ; lorsque tu penses à demain, ne te dis pas que la souffrance que tu vis aujourd’hui sera forcément la même. Tu ne peux pas en être sûr. Tu ne peux pas en être certain parce que Moi, Dieu, Je peux changer ta vie en cet instant, aujourd’hui.

Tu dois te concentrer sur aujourd’hui, sur le présent, car Je t’ai donné les grâces adéquates pour porter ta croix. Mais si, en pensant à l’avenir, tu te dis que ton Jésus ne te soulagera pas, ta vie te semblera alors ingérable.

Sache-le. Ta vie ne sera ingérable que si tu ne Me permets pas d’y être présent. Si tu Me laisses entrer dans ton cœur, dans ta vie, non seulement Je la rendrai gérable mais joyeuse.

Répète les paroles suivantes : “Je me reposerai sur Jésus et j’attendrai qu’Il envoie le répit.

Tu es sceptique. Tu n’arrives pas à croire en un avenir vécu dans la joie, parce que le présent contient tant de souffrance… Je le comprends, car Je comprends tout ce qui te concerne. Peut-être ne Me connais-tu pas bien ; Je vais donc te révéler quelque chose sur moi, qui pourra t’aider à comprendre que Me faire confiance est une bonne chose.

Je n’ai jamais manqué à aucune de mes promesses. Jamais. Je vais te faire une promesse, aujourd’hui. Si tu Me demandes de t’aider, Je t’aiderai. Demande-le-Moi, Mon bien-aimé. Tu es important aux yeux du royaume et J’ai un plan pour toi. J’ai besoin de toi. J’ai besoin que tu serves d’une manière que tu ne comprends pas, que tu ne peux pas comprendre aujourd’hui, dans ton grand désespoir.

Je te révélerai Mon plan, mais il faudra que tu aies du courage et que tu Me laisses faire passer ton cœur du désespoir à l’espoir. Je le ferai. Je te ferai avancer, Je t’éloignerai de ta tristesse. Tu dois Me faire confiance, un tout petit peu, et Me donner un tout petit peu de temps. En cet instant même, alors que tu lis ces paroles, l’espoir commence à faire jour en toi. Cet espoir vient de Moi et c’est un tout petit signe de ce que Je t’apporterai. Je te donne du courage. Je te donne de l’espoir.

Repose en Moi. Répète les paroles suivantes : “Je me reposerai sur Jésus et j’attendrai qu’Il envoie le répit”. Je t’enverrai ce répit. Ne crains pas. Je suis avec toi en cet instant et Je ne t’abandonnerai jamais.

Ils s’inquiètent à propos de tout et ne peuvent imaginer comment se sortir de leurs nombreux problèmes.

Message de Jésus donné au Père Melvin Doucette (Canada) – Vendredi 18 janvier 2013.

Raccrochez-vous à Dieu, toi mon frère Melvin et vous tous mes frères et mes sœurs qui vivez dans le monde actuel. Je vois tant de gens se suicider aujourd’hui, en particulier chez les jeunes.
Comme ils m’ont rejeté, moi leur Seigneur et Sauveur, ils pensent qu’il n’y a plus aucune raison de vivre. Partout où ils portent leur regard, ils ne voient que la désespérance. Ils s’inquiètent à propos de tout et ne peuvent imaginer comment se sortir de leurs nombreux problèmes.

Regardez les alcooliques, les toxicomanes, les obsédés sexuels, les voleurs et les assassins. Ces gens finissent par se retrouver en prison, et pour le reste de leur vie parfois. Je vous dis que par vous-mêmes, vous êtes incapables d’avancer : vous ne pouvez que reculer.
Venez mes amis, suivez-moi et vous trouverez la paix d’esprit, la joie du cœur, et vous aurez le cœur rempli d’amour. Je vous réserve des cadeaux merveilleux si vous venez à moi. Ne tardez pas : venez, suivez-moi. Je vous aime tous.

L’espérance vous aide à voir au-delà du problème, car il y a vraiment une lumière au bout du tunnel.

Message de Jésus donné au Père Melvin Doucette (Canada) le undi 4 juin 2012.

(…) Vous avez chacun de vous des problèmes à surmonter presque chaque jour. Alors venez à moi, et je vous donnerai le courage et la force de vaincre ces obstacles. Tout seuls vous échouerez, mais avec moi vous réussirez.
Il est terrible qu’il y ait tant de suicides aujourd’hui. Ces gens ne vont pas à l’église et ne prient pas à la maison, alors quand ils sont en butte à un obstacle, ils deviennent dépressifs et finissent par vouloir s’enlever la vie.

Venez, suivez-moi chaque jour et vous trouverez l’espérance, ce grand don qui vient de moi. L’espérance vous aide à voir au-delà du problème, car il y a vraiment une lumière au bout du tunnel.
Priez pour obtenir que votre espérance soit forte chaque jour, et vous serez aussi remplis de paix. Vous êtes miens si vous croyez en moi, et je prendrai soin de vous. Espérez le ciel, où vous vivrez dans un grand bonheur avec moi pour toujours. Lorsqu’arrivera le moment, je viendrai vous chercher. Je vous aime.

Nos parents ne doivent pas se sentir coupables à cause du geste de violence que nous nous sommes fait.

Amour pour tout les miens, année 2004. Message donné à la fille du oui à Jésus (Canada) – volume 4.

Une âme au Ciel : Dieu est la Divine Volonté, il permet que je vous parle, tout est en lui. Vous êtes en lui, je suis en lui, Dieu nous unit. Nous sommes en Jésus, notre âme est divine, elle est en lui.

Je me suis donné la mort par pendaison, je n’ai pas pensé à mon geste qui faisait de moi un enfant indigne de tant d’amour. Oui, j’étais rempli d’amour, mais ma volonté humaine vivait dans le désespoir de ne pas connaître le vrai amour. C’est vrai que j’ai connu de l’amour auprès de mes parents, mais ma vie s’était obscurcie par mon besoin d’être aimé comme moi je le voulais, non comme eux voulaient m’aimer, alors que c’est Dieu qui nous donne des parents: je n’ai pu reconnaître là la main de Dieu.

Aujourd’hui, je peux dire à tous les parents, qui connaissent la souffrance à cause de nous qui nous sommes enlevés la vie, que tout en nous crie vers la vie. Lorsque notre âme quitte notre cher corps, nous réalisons que Dieu nous aime et qu’il nous a donné le souffle de la vie pour que nous puissions nous acheminer sur la terre avec la chair de nos parents.

Chers parents d’amour, Dieu choisit vos enfants, il accorde à chacun d’eux la vie pour qu’ils puissent découvrir la valeur de l’amour et c’est en faisant de bonnes actions qu’ils apprennent que l’amour, ça se donne. Lorsque nous venons au monde, Dieu nous donne la vie et les parents nous donnent une partie de leur chair qui vient de Dieu: tout vient de lui. Par amour, nous devons donner à Dieu notre vie et tout ce que nous faisons ; tout ne doit être que donation pour Dieu. (…)

Ils ne doivent pas se sentir coupables à cause du geste de violence que nous nous sommes fait. Les parents doivent donner à Dieu leur enfant qui s’est suicidé. Oh! si j’avais su donner à mes parents tout l’amour qu’ils méritent, comme je l’aurais fait! «Mes chers parents, Dieu le Père me donne cela aujourd’hui; par le oui à l’Amour de ma petite sœur (la fille du oui), je puis vous parler, car je suis en vous et, vous, vous êtes en Jésus; comme je suis en Jésus dans la vie éternelle, je suis près de vous; je vous aime si fort ! Vos prières m’ont aidé à aller vers Dieu le Père. Combien est grande ma gratitude de vous avoir eus comme parents! Mon âme se réjouit de vous savoir en Dieu. Vous avez gardé l’espoir de me voir au Ciel. C’est si important ce geste d’amour.

Ne pas juger ceux qui se suicident, mais de prier pour eux.

Votre fils vous attend au Ciel. Vous, les parents, les frères, les sœurs et les amis, ne cessez pas de prier pour ceux qui se suicident, vos prières les soulagent. Lorsqu’une âme se retrouve devant l’Amour, elle est devant sa vie un très court instant. Comme Dieu la veut avec lui, il fait tout pour qu’elle aille vers lui. Lorsqu’elle prononce son oui, tout d’elle a si honte qu’elle ne peut regarder l’Amour ; son regard sur elle la fait frémir de bonheur mais, elle, elle est incapable de lever son regard vers lui, car elle est trop indigne de tant d’amour et c’est avec un repentir sincère qu’elle se dirige vers le purgatoire pour purifier tout ce qui la rend indigne.

Je vous témoigne de cela pour vous dire de ne pas juger ceux qui se suicident, mais de prier pour eux afin qu’ils se reconnaissent repentants devant l’Amour.

Priez pour que leurs souffrances méritées soient amoindries. Je suis une âme heureuse et même si j’ai dû passer par le purgatoire, j’ai connu le vrai amour à l’instant où l’Amour s’est présenté à moi. Je vous aime, mes parents d’amour. Ma petite sœur, merci de tes prières, elles m’ont aidé à entrer à la Maison éternelle. Je t’aime. Jésus: Ma fille bien-aimée, Dieu te bénit. Je vous aime et je vous veux en amour avec vous et votre prochain. Amen, je vous le dis: «Aimez l’Amour, l’Amour vous aime.» Jésus, votre Amoureux, celui qui est en vous. Amen.

Dis ceci : Je vais me reposer contre Jésus et attendre qu’il m’envoie du soulagement.

Directives pour notre temps – Message donné à Anne, un apôtre laïque d’Irlande – du 29 novembre au 1er décembre 2006

Jésus : J’ai beaucoup de choses à dire à ceux qui songent à ce geste de se faire eux-mêmes du mal. Je vous aime. Je vois votre souffrance. Je comprends que vous désirez fortement apaiser votre angoisse. S’il vous plaît, apportez-moi votre angoisse. Je peux vous aider. Vous êtes tellement précieux au Royaume et j’ai besoin de vous pour m’amener aux autres.

Comment ? » dites-vous dans votre grande détresse intérieure, « comment est-ce possible que je puisse aider, Jésus et les autres ? »

Je vais vous le dire. Votre souffrance est la souffrance de plusieurs dans le monde d’aujourd’hui. Beaucoup d’âmes ressentent votre détresse, votre désespoir. Beaucoup portent les lourdes croix de la maladie, de la dépendance, de la solitude et du désespoir, du rejet et de l’anxiété. Beaucoup de mes enfants regardent leur futur et ne voient qu’encore plus de détresse et de souffrance et cela leur enlève le courage.

Très cher ami, tu ne dois pas faire cela.

Ne regarde pas le lendemain en présumant que la souffrance d’aujourd’hui se répètera. Tu n’es pas certain d’une telle éventualité ; tu ne peux pas en être certain parce que Moi, Dieu, je pourrais aujourd’hui changer ta vie durant cette journée. Tu dois demeurer dans cette journée, dans le présent, parce que je t’ai donné la grâce adéquate pour t’occuper de ta croix.

Ce n’est que lorsque tu regardes l’avenir et que tu penses que ton Jésus ne t’enverra aucun soulagement que tu trouves la vie incontrôlable. Comprends ceci : ta vie n’est incontrôlable que si tu m’en exclus. Si tu me laisses dans ton cœur, dans ta vie, je la rendrai non seulement contrôlable mais aussi joyeuse.

Tu es sceptique! Tu ne peux pas croire avec joie à l’avenir parce que le présent contient une telle souffrance. Je comprends cela, tout comme je comprends tout ce qui te concerne. Tu peux ne pas bien me connaître, par conséquent je vais te dire quelque chose de moi qui pourra t’aider à décider que de me faire confiance c’est une bonne décision.

Si tu me demandes de t’aider, je t’aiderai.

Je ne suis pas connu pour être quelqu’un qui brise les promesses… jamais. Aujourd’hui, j’ai une promesse pour toi. Si tu me demandes de t’aider, je t’aiderai. Demande-le moi, mon bien-aimé. Tu es important à ce Royaume et j’ai un plan pour toi. J’ai besoin de toi. J’ai besoin que tu serves d’une manière que tu ne comprends pas et ne peux pas comprendre aujourd’hui dans ton grand désespoir.

Je vais révéler le plan, mais tu devras être courageux et me laisser te déplacer de ce lieu de désespoir vers un lieu d’espoir dans ton cœur. Je le ferai. Je vais te déplacer, loin de ta tristesse. Tu dois me faire confiance, juste un petit peu, et me donner juste un petit peu de temps. Même actuellement, pendant que tu lis ces paroles, l’espoir s’éveille à l’intérieur de toi. Cet espoir vient de moi et c’est la plus petite indication de ce que je t’apporterai. Je te donne du courage, je te donne de l’espoir. Repose-toi avec moi.

Dis ceci : « Je vais me reposer contre Jésus et attendre qu’il m’envoie du soulagement. » J’enverrai du soulagement, n’aie pas peur. Je suis avec toi maintenant et je ne t’abandonnerai jamais.

À partir de ce besoin constant de lutter, tu dois considérer tes pensées de suicide comme des tentations.

Message de Ste-Marguerite Marie Alacoque donné à Anne, un apôtre laïque d’Irlande, le 30 novembre 2006.

Chère petite âme, tu as mal, ton angoisse semble profonde, je le sais. Souvent, la partie la plus difficile de souffrir d’angoisse, c’est la perception que personne ne comprend la profondeur de ta souffrance.
On peut se sentir très seul dans une pareille souffrance et quand on cherche consolation chez les autres, on est souvent très désappointé. S’il te plaît, écoute moi. Je suis ta sœur en Christ. J’ai éprouvé de grandes angoisses pendant que j’étais sur terre, alors je me réjouis que Dieu me permette de t’aider.

Quand tu vas vers un autre, cherchant du réconfort, et que tu te retrouves dans un état pire, te sentant encore plus incompris et seul, tu dois venir à moi. Dis :
« Marguerite, j’ai besoin d’aide, j’ai besoin d’aide maintenant. »
Moi, Marguerite, j’irai directement au Trône de Dieu et j’y demeurerai jusqu’à ce que tu reçoives le réconfort et le courage qui te sont nécessaires.

Mon ami, c’est important que tu saches que tu ne souffres pas seul. Jésus voit ta souffrance, il la ressent avec toi et son Cœur Sacré est touché du plus passionné désir de t’assister. Tu dois laisser notre Jésus t’aider. Quand tu me fais cette prière urgente, à moi Marguerite, tu dis en réalité que tu consens à laisser le ciel t’aider. Comme le ciel se précipite à ce moment-là! Tu sauras que je t’ai entendu parce que tu sentiras un changement.

Il se peut que ce ne soit qu’un soupir de changement, juste un petit mouvement. Tu t’en apercevras par un sentiment de calme dans ton esprit. Quand tu ressentiras ce petit sentiment de calme, tu sauras que tu as été entendu, que l’aide est en route et que tu n’es pas seul dans ta souffrance.

Tu as ma promesse que le ciel t’entourera jusqu’à ce que les sentiments de frayeur soient passés.

Je veux dire quelque chose d’autre. C’est fréquent pour une personne sur terre d’avoir des pensées qui ne sont pas de Dieu. Tout le monde sur terre se débat avec cela à un moment donné. Nous pourrions dire qu’actuellement tout le monde se débat avec cela à chaque jour en matières de tentations. La bataille n’est pas finie jusqu’à ce que vous mourriez dans votre corps et que vous veniez au Royaume de Dieu.

À partir de ce besoin constant de lutter, tu dois considérer tes pensées de suicide comme des tentations.

Le simple fait d’avoir ces pensées ne veut pas dire qu’il y a des raisons pour agir en rapport avec ces pensées.

Ne sois pas alarmé par ces pensées, le simple fait d’avoir ces pensées ne veut pas dire qu’il y a des raisons pour agir en rapport avec ces pensées. Comprends-tu ? N’aie pas peur. Nous, les saints au ciel, avons tous eu des mauvaises pensées et des tentations durant notre temps sur terre et nous avons tous parfois négligé de combattre les tentations.

La tentation de commettre un suicide en est une où tu dois lutter fort, avec tout ce que tu as, à cause de la nature de la conséquence. Si tu prends ta vie, tu ne pourras pas revenir pour dire : « Jésus, je veux faire mieux et maintenant te servir. » Tu t’enlèves toute seconde chance de te convertir à Jésus et de réessayer.

Chers amis, c’est mauvais pour vous. Ce n’est pas la réponse que vous cherchez. Jésus a besoin que vous restiez dans le monde jusqu’à ce que ce soit le bon moment pour vous de venir à la maison. C’est le plan de Dieu et c’est toujours mieux de suivre le plan de Dieu. Le dernier jour de votre vie est déterminé par Dieu.

Vous ne devez pas penser que la réponse à une grande souffrance c’est le suicide. Le geste de se faire soi-même du mal est toujours une erreur… toujours.

Mon ami, tu as été blessé, je le vois. Je comprends que tu portes des blessures qui te font mal. Tu peux ne même pas comprendre la source de ta souffrance et de tes blessures. Tu sais que tu n’es pas parfait et que tu fais des erreurs. Jésus accepte cela de toi et t’aime très tendrement malgré tes erreurs. Je veux que tu considères que les autres aussi font des erreurs. Les autres manquent face à l’amour et à la bonté. Les autres sont imparfaits, tout comme nous avons tous été imparfaits sur terre.

Les erreurs faites par les autres peuvent nous causer la plus grande peine. Nous pouvons porter des blessures en nous sans même être conscients que nous le faisons. Ces blessures se répandent ensuite aux autres coins de nos cœurs et donnent lieu à un état général de souffrance dont il est difficile de revenir.

Jésus a souffert terriblement sur terre. Il a aussi porté des blessures. Jésus, dans son très Saint Cœur Sacré, comprend exactement comment tu en es arrivé à une telle souffrance. Il connaît plus que toi la source de ta souffrance et de ton désespoir.

Mon ami bien-aimé, je te supplie à présent de te tourner vers Jésus. Il te guérira des blessures que tu ne sais même pas que tu portes. Tu t’es senti perdu dans ta vie et il y a du vide. Jésus te remplira de nouveau et te ramènera à un état d’espoir et de joie qui débordera de toi vers les autres. Je te dis que ta grande souffrance s’éloignera. (…)

Si ta situation nécessite un miracle du ciel, tu devrais en demander un.

Message de Ste-Marguerite Marie Alacoque donné à Anne, un apôtre laïque d’Irlande, 1er décembre 2006.

Je ressens une telle compassion pour toi, mon ami. Lorsque tu portes une lourde croix, c’est difficile de voir qu’elle prendra fin. Parfois, tu ne crois pas qu’elle ne se terminera jamais. En fonction du pouvoir humain, peut-être que c’est même impossible que ta croix prenne fin, mais rien n’est impossible pour le ciel.

Au ciel, tu vois, nous vivons avec des miracles qui se produisent tout autour de nous. Quand tu viendras au ciel tu comprendras ce que je veux dire. Si ta situation nécessite un miracle du ciel, tu devrais en demander un.

Les miracles ne sont pas impossibles quand tu restes en compagnie des saints. Les saints, évidemment, sont tous là pour l’obtention de miracles de Dieu. Dieu nous donne ces choses, ces miracles, parce que nous avons souffert avec lui pendant que nous étions sur terre.

Tu seras un saint si tu souffres avec Jésus, et par la suite tu pourras obtenir aussi de puissantes grâces. Tu diras : « Dieu, s’il vous plaît, aidez cette personne ! » Dieu le fera lorsqu’il verra que tu fais le moindre effort pour accepter ta souffrance avec Jésus. Tu as de l’influence dans ta souffrance. Tu as un pouvoir d’intercession, ce qui signifie que si tu demandes des grâces pour un autre, Dieu les accordera. Ce peut être difficile pour toi d’accepter parce que tu te sens triste et en colère, mais j’utiliserai mon influence pour t’obtenir des grâces qui t’aideront à comprendre.

Tu verras que ta souffrance, ta peine, est utilisée par le ciel pour aider les autres. Ça aura lieu, mon ami, tu te sentiras mieux, je t’en fais la promesse en présence de Jésus-Christ. Il tiendra cette promesse pour nous. »

Quelques conseils

Je vais te donner quelques conseils. Je suis celle qui a souffert de beaucoup d’angoisse sur terre, comme je l’ai dit, donc je suis la bonne pour t’aider. Demeure très calme durant cette période de bouleversement ;

Ne panique pas, n’agis pas à la hâte. Laisse-nous, tes amis célestes, calmer ton esprit. Si tu t’occupes tranquillement de ta peine, avec une attitude de calme, tu auras moins de chances de prendre de mauvaises décisions qui génèrent encore plus de souffrances.

En fait, il vaut mieux que tu reportes les décisions importantes jusqu’à ce que tu te sentes mieux. Sois sage concernant ta souffrance et permets-toi d’être calme, ce n’est pas une mauvaise chose. Passer du temps en silence, réfléchir, ne te feront pas de mal.

Pendant que tu demeures tranquille, demande constamment de l’aide à Jésus ; demande-lui d’enlever ta douleur aussi vite que possible et demande-lui d’aider les autres qui subissent cette douleur.

Tu es uni au ciel, souvient-toi donc que nous sommes nombreux au ciel qui comprenons que tu souffres et qui cherchons à t’aider. Tu n’es pas seul. Nous ne t’abandonnerons jamais dans ton angoisse. Demande au ciel de t’envoyer des grâces calmantes et le ciel le fera.

Dieu a un plan pour toi. Prendre ta vie ne fait pas partie de ce plan.

Souviens-toi que tu es important et que nous t’aimons beaucoup. Tes erreurs n’affectent pas notre amour pour toi parce que nous avons également fait des erreurs. Le ciel est rempli de saints qui furent de grands pécheurs sur terre ; nous nous sommes repentis et Dieu nous a pardonné. Sois en paix au sujet de tes erreurs parce que l’expérience que tu acquiers de tes erreurs t’aidera plus tard.

Comprends-tu ? Dieu a un plan pour toi. Prendre ta vie ne fait pas partie de ce plan. Tu es entouré de saints et tu es entouré d’anges. Tu appartiens à notre famille et tu auras tout ce dont tu as besoin.

Ne pense pas un instant que Dieu te laissera avec une peine incontrôlable. Dieu ne fera pas cela. Demande de l’aide et tu la recevras.

Message de La Sainte Mère

Mon cher petit enfant, comme ton cœur est lourd. Je vois que tu souffres et que tu te sens seul. Cher bien-aimé, tu n’es pas seul actuellement et tu ne seras jamais seul. Même pendant que tu lis ces paroles, le ciel t’entoure.

Les anges prient constamment pour ton rétablissement, pour un retour à la joie pour toi. Tu dois croire que je te dis la vérité aujourd’hui.

Je suis Marie, ta mère, et je ne peux rechercher que ce qui est bon pour toi. J’irai chercher ce qui est bon pour toi tout de suite devant le trône de Dieu et je demanderai au Père de t’envoyer les cadeaux célestes de courage et de calme. Tu avanceras à travers cette journée qui passe déjà au passé et demain sera meilleur. Chaque journée te rapprochera du rétablissement.

Ne pense pas un instant que Dieu te laissera avec une peine incontrôlable. Dieu ne fera pas cela. Demande de l’aide et tu la recevras. Je suis ici, avec toi maintenant, et je m’assurerai que tu reçoives tout ce qui t’est nécessaire pour mettre au passé cette période d’angoisse. Le ciel ne veut pas cela pour toi. Le ciel veut l’espérance pour toi. Des grâces célestes remplies d’espérance coulent actuellement dans ton âme.

Repose-toi dans la grâce de Dieu et j’obtiendrai tout ce qui est nécessaire pour toi. Je suis ta mère. Je t’aime entièrement. Je t’aiderai. Puis-je te demander de m’aider à quelque chose? Je te demande de te détourner de tout ce qui t’occasionne cette douleur.

Sors des habitudes qui apportent noirceur dans ta petite âme. Je te donnerai la lumière pour comprendre ce qui créé une pareille douleur. Tu ne resteras pas dans la confusion. Ta croix sera éclairée, tu en as mon assurance. Sois en paix aujourd’hui parce que vraiment, le ciel entend ta prière et se remue pour répondre à ta prière. Tu verras les cieux t’aider de plusieurs manières, mon bien-aimé enfant. Tu n’es pas seul.

Cet article a été écrit par Vincent