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L’assaut du démon contre l’enfance.
Message de Dieu – Sœur Beghe – Lundi 10 juillet 2023 – Lire le message en entier sur le site d’origine.
(…) Aujourd’hui, mes si chers Enfants, vous êtes confrontés aux pires assauts du monde démoniaque, il s’attaque à vos enfants dès le plus jeune âge : avortements, perversité, détournements de leur innocence, annihilation de leur intelligence et déroute psychologique. Et tant de parents sont encore non informés du travail de sape effectué par la dite « Éducation nationale » en Europe, et aussi très malheureusement en France.
Cet assaut du démon contre l’enfance a été annoncé par de très nombreux messagers du Ciel et par de multiples professionnels du secteur de l’enfance. Prenez conscience, mes très chers Enfants, de la redoutable guerre psychologique et morale qui s’acharne sur vos enfants, proies si délicates et innocentes, et que vous, parents, devriez protéger plus que vous ne le faites.
Soyez vigilants, ce n’est pas pour rien qu’une loi oblige actuellement les enfants à intégrer la sphère scolaire dès l’âge de 3 ans. Plus ils sont petits, plus ils sont malléables et la perversion n’attend pas le nombre des années. Ils sont pris en mains par des éducateurs qui doivent suivre un programme scolaire déterminé et beaucoup d’entre eux sont eux-mêmes déviés. Ils obéissent à un programme honteux, transgressif et profondément perturbateur. N’oubliez pas, et c’est Moi, votre Seigneur, qui vous le rappelle : « Si quelqu’un doit scandaliser un de ces petits qui croient en Moi, il serait préférable pour lui de se voir suspendre autour du cou une de ces meules que tournent les ânes et d’être englouti en pleine mer » (Mt 18, 6).
Cette instruction inappropriée est une infamie, or seul le démon est infâme. Toutes les infamies viennent de lui et le monde actuel est la proie de l’Infâme.
Mes Enfants, vous qui êtes père et mère de famille, protégez vos enfants, éduquez-les dans la voie droite, celle de votre Seigneur, qui vous promet le Ciel à la fin de votre vie : votre vie s’ouvrira alors sur la vraie vie, celle de votre Dieu qui vous a créés pour le bonheur éternel, non pour le malheur éternel.
Soyez sains et saints et vous ne le regretterez jamais. Ce ne sera pas sans lutte sur votre terre, non, mais Moi aussi, Je me suis opposé au mal, à l’hypocrisie, aux violences et aux mensonges. Soyez avec Moi protecteurs de vos enfants afin qu’après vous, ils soient saints eux aussi et, devenus grands, ils soient les protecteurs de ceux qui viendront après eux.
Je vous aime, Je vous aime, Je vous aime. Allez en paix et suivez-Moi. Je vous bénis au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ; ainsi soit-il.
Votre Seigneur et votre Protecteur.
Les jeunes d’aujourd’hui.
Un souffle qui passe… Messages du Ciel au monde d’aujourd’hui. Message du 23 février 2023.
Mes chers enfants, (…) si vous lisiez dans les cœurs, vous y verriez combien, sous l’influence de gouvernants pervers et de médias non moins corrompus, vos sociétés sont devenues des cloaques du mal, de l’impureté et du vice où tout est mis en œuvre pour détourner les hommes, créés à l’image et à la ressemblance de Dieu, de la foi catholique et pour les entraîner dans le péché, qui, par son omniprésence et sa banalité, est entré dans le champ de la normalité.
Je souffre, mes petits, de voir des adolescents totalement incapables de faire la différence entre de vraies relations humaines nouées sur le terrain et les échanges effectués à distance par le biais de vos réseaux sociaux. Je souffre de l’isolement dans lequel nombre d’entre eux s’engouffrent lorsqu’ils se laissent fasciner par leurs téléphones portables et leurs tablettes, se repaissant de fadaises, de violence et de pornographie plutôt que de se tourner vers les merveilles de la nature et du monde réel.
Je souffre de les voir chausser en permanence des écouteurs, qui bombardent leurs tympans de musiques violentes, dissonantes et souvent sataniques, plutôt que d’écouter le chant des oiseaux, le souffle du vent, le clapotis des ruisseaux, et, tout simplement, les sons du monde réel et la voix des personnes qui les entourent. Sans doute ne prendront-ils conscience de leur monumentale erreur que lorsque, dans quelques années, ils se verront contraints de chausser, cette fois, des lunettes pour déficience visuelle et de se faire appareiller pour déficience auditive…
Vous, les parents, ne devez jamais hésiter à les mettre en garde et à leur fournir des explications pertinentes, voire à limiter ou parfois même interdire l’usage de ces appareils si vos enfants sont mineurs. Ainsi, vous leur rendrez le plus fier des services et protégerez tout à la fois leur santé et leur personne. Invitez aussi vos anges gardiens à communiquer avec les leurs, et confiez vos enfants à leurs saints patrons et à ma bienheureuse Mère afin qu’ils les protègent. Si vous n’y avez pas encore pensé, ne tardez pas à le faire ! (…)
Priez aussi pour toutes les victimes actuelles et à venir du prétendu « vaccin » qu’ils ont, bien sûr, initié, et pour que lumière continue d’être faite sur ses origines et sur sa létalité. Les personnes qui se sont vues contraintes, pour différentes raisons, de se faire « vacciner » ne sont ni plus ni moins que les martyrs de gouvernants, de supérieurs hiérarchiques, de médecins, et même d’hommes d’Église qui, sans discernement aucun, ont abusé de leurs pouvoirs. Justice leur sera rendue, soyez-en sûrs.
Penchez-vous, enfin, sur les jeunes d’aujourd’hui. Je constate avec grande tristesse que nombre d’entre eux adorent toutes sortes d’idoles païennes plus démentes et plus dépravées les unes que les autres, se vêtent de façon outrancière, privilégiant les habits râpés, troués, trop larges et parfois même indécents, principalement de couleur noire, ou associant couleurs et motifs de façon bien peu harmonieuse. Ils portent des bagues à tous les doigts, revêtent des T-shirts et des bijoux à tête de mort ou autres représentations morbides, se font tatouer le corps jusqu’aux endroits les plus intimes, voire percer certaines parties pour y fixer maintes breloques à l’aspect disgracieux. Ce ne sont pas là, croyez-le bien, des signes d’équilibre psychologique mais plutôt ceux d’une régression jusqu’aux temps primitifs de l’humanité.
Qui plus est, ils contestent toute forme d’autorité et mènent des vies souvent dépravées, désireux qu’ils sont de jouir de leur corps et de leurs sens comme ils l’entendent – ou même de changer de sexe. D’autres se replient totalement sur eux-mêmes, dorment le jour et vivent la nuit devant leurs ordinateurs. Mal dans leur peau, ils peuvent se sentir poussés à consommer des substances addictives nocives pour leur psychisme et pour leur santé en général. Ils aiment l’oisiveté, fuient toute forme d’obligation ou de responsabilité, affectionnent la déviance et la singularité, abandonnent leurs études – si tant est qu’ils en aient un jour commencé -, et se gaussent ostentatoirement de l’enseignement religieux qu’ils ont reçu.
Ils parlent mal à leurs parents et à leurs maîtres, qu’ils laissent totalement désarmés, surtout si ces derniers tentent de les élever chrétiennement. Ils ne vivent pas dans la réalité, et, lorsqu’ils ont épuisé leurs énergies par force extravagances, il arrive qu’ils sombrent dans la dépression ou qu’ils mettent fin à leurs jours. En fait, leur vie apparaît, sous bien des aspects, comme une catastrophe, un échec, un fiasco – ce que, trop souvent, ils refusent d’admettre. Tentez de leur parler d’obéissance, d’effort, de travail, de compétition, de politesse, de convenances, de relations hiérarchiques, de savoir-vivre, d’harmonie, de musique classique, de littérature, d’art figuratif, de la foi chrétienne, de Moi, de ma sainte Mère, des anges et des saints, et ils refusent de vous écouter. En vérité, je vous dis : ne les jugez pas car ils ont pu être victimes de terribles blessures affectives ou corporelles qui ont créé en eux des failles dans lesquelles le Mauvais se sera infiltré.
Alors, mes chers enfants, je vous donne aussi pour mission, pendant ce Carême, de prier pour tous ces jeunes égarés afin qu’ils reviennent, comme le Fils prodigue (cf. Lc 15, 11-32) dans le droit chemin. (…)
L’influence du Démon se fait de plus en plus ressentir chez les jeunes, tant à l’école qu’à la maison.
Un souffle qui passe… Messages du Ciel au monde d’aujourd’hui du 8 janvier 2023.
Bien chers frères, Réfugiez-vous dans le Seigneur et sous le manteau protecteur de sa très sainte Mère en cette nouvelle année, dont beaucoup d’entre vous craignent qu’elle ne dégénère dans de nombreux domaines. (…)
Dans ce climat d’apostasie où disparaissent la morale et les principes élémentaires d’une saine éducation, l’influence du Démon se fait de plus en plus ressentir chez les jeunes tant à l’école, où triomphe un « pédagogisme » malsain et destructeur, qu’à la maison, où nombre de parents se voient contraints de baisser les bras face à des enfants instables et rebelles.
Vous qui êtes les premiers, chers parents, à déplorer que de simples animaux soient maltraités ou qu’ils n’aient pas été suffisamment dressés pour obéir aux consignes de leur maître, pourquoi ne déplorez-vous pas aussi cela au regard de vos propres enfants, à qui vous offrez, dès l’école primaire, tous les moyens d’une maltraitance plus subtile encore, et à qui vous cédez en tout ? Ainsi leur achetez-vous, bien naïvement, consoles de jeux, téléphones portables, tablettes et ordinateurs pour qu’ils soient à égalité avec leurs camarades qui possèdent déjà tout cela. C’est pourquoi nous vous disons : ne soyez pas de ces parents qui passent à leurs enfants tous leurs caprices et leur donnent des armes à feu chargées sous le simple prétexte qu’ils en expriment le désir. Car c’est, en fait, ce que sont ces nouvelles technologies, qui, utilisées à des fins malsaines ou sans retenue, deviennent mortifères, agissant sur leur équilibre physique, psychique, intellectuel et moral.
Ces poisons sont autorisés par les gouvernements pour pervertir et abrutir vos enfants en les détournant de la morale, de l’obéissance, de la foi et de la pratique religieuse, du goût de l’effort et du travail bien fait, de leurs études et de loisirs plus sains tels que le sport, les arts plastiques ou la musique – à condition qu’ils soient pratiqués avec modération.
Ne soyez pas naïfs, chers parents, et sachez que si vous offrez à vos enfants un téléphone portable avec un libre accès à leurs camarades et à Internet sans leur en expliquer les dangers ni en contrôler rigoureusement l’usage, vous prenez le bâton pour vous faire battre ! Car vous exposez vos chérubins à des périls certains : perte de temps en conversations inutiles au détriment des devoirs de classe et de l’exercice physique, rencontres malsaines sur les réseaux sociaux, harcèlement, visite de sites privilégiant la pornographie, la violence ou l’occultisme, risque de recrutement à des fins politiques et religieuses, etc.
Vos enfants peuvent aussi se voir entraîner dans des comportements nocifs pour leur corps, pour leur psychisme et pour leur âme : mensonge et dissimulation, violence, oisiveté et, parfois même, dépression et prise de substances toxiques. Car, dans la majorité des cas et bien souvent sous l’influence de certains de leurs camarades, vos enfants iront, chaque fois qu’ils le pourront, visiter en votre absence ces sites qui les pervertiront, les inciteront au mal et les détourneront de la foi, du droit chemin et du respect qu’ils vous doivent. Persuadés qu’ils sont dans la vérité, ils vous riront au nez et vous feront souffrir par des propos moqueurs ou méprisants sur votre foi et votre pratique religieuse. C’est pourquoi vous devez tout mettre en œuvre pour élever vos enfants dans une foi épanouissante et leur communiquer l’amour de Dieu, de l’Eucharistie, de la Vierge Marie et des saints, et un ardent désir du Ciel.
À cet égard, il existe encore, fort heureusement, des activités sérieuses comme le scoutisme, par exemple, qui, pratiqué sainement, peut éviter à vos enfants de sombrer dans ces travers en les mobilisant pour des activités de plein air dans un cadre chrétien, même s’il risque de se produire de temps à autre et comme partout ailleurs, des dérapages. Une fois encore, ces questions-là doivent être réglées dans l’urgence et avec discernement afin d’éloigner du troupeau tout prédateur confirmé. Cependant, il ne saurait être question de jeter le bébé avec l’eau du bain en condamnant, dans la foulée, toute une institution, comme cela se produit aujourd’hui si souvent avec l’Église.
Les âmes qui ne bénéficient point d’une oxygénation spirituelle au moyen de la prière, de l’oraison, de la pratique des sacrements et de la lecture d’ouvrages de spiritualité se condamnent elles-mêmes à une éternité de souffrances. Et c’est pour les aider à revenir vers Dieu et vers son Église que vous devez être, chers frères aimés, d’authentiques missionnaires ! (…)
Vos frères dans la Vérité
Mes camarades de classe m’ont accueillie avec étonnement et sympathie, je leur ressemblais enfin !
Voici une belle histoire trouvé sur le forum de questions réponses Quora.
J’ai été très malheureuse au collège ! Mes parents étaient âgés (plus de 50 ans pour ma mère et plus de 60 ans pour mon père) et j’étais fille unique.
Mes parents étaient des notables, mais mon père refusait que j’aille en école privée. J’avais donc toute la panoplie « bon chic bon genre » voire même de « petite fille modèle » tant vestimentaire que dans mes goûts, le langage et les attitudes. Une fille de vieux !
J’étais la souffre-douleur car trop différente des autres, de milieux ouvriers : pas de gros mots, pas de cigarette grillée en cachette, pas de perfecto ni de walkman, les cheveux impeccablement coiffés, avec barrettes etc., un cartable en cuir sur le dos alors que c’était la mode des besaces… J’étais exclue de toutes les conversations. Pas très douée en sport, réservée…. Et en plus excellente élève (ce qui n’était pas très compliqué, vu le niveau !)
J’étais de surcroit la chouchoute des vieux professeurs, et forcément je faisais mes devoirs ! J’étais calme en classe et j’apprenais mes leçons. Je craignais tellement les railleries quand j’étais interrogée, que je faisais exprès de répondre des bêtises pour ne pas d’avantage me sentir stigmatisée.
Je n’en parlais pas à mes parents.
En 1982-1983, ce fut le renouveau de la minijupe. J’ai supplié ma mère de m’en acheter une. Elle me raconte encore l’image qu’elle a eue de moi ainsi vêtue. Alors que de son point de vue je ne ressemblais à rien ! j’étais au fond de moi « fière comme Artaban ». Mes camarades de classe m’ont accueillie avec étonnement et sympathie, je leur ressemblais enfin ! Mes parents avaient une certaine influence sur moi, et ce fut le seul vêtement « décalé » que j’eus, mais que je n’ai pas porté très souvent (ma mère m’habillait !)
En 3e, j’ai réussi à nouveau à trainer ma mère dans un magasin à la mode et j’eus enfin des tenues plus adaptées. Mon entrée au lycée public fut une délivrance, car beaucoup des cancres furent orientés vers les filières professionnelles.
Partez du principe que vos enfants ne vous appartiennent pas. (…) ils viennent bien à travers vous, mais non de vous.
Message du Ciel – Jean, messager de la lumière. Livre Tome 7 : Choisir l’Amour de Dieu, du 29 déc. 2010.
(…) Hélas, nombreux sont ceux qui n’ont pas forcément de bons et harmonieux rapports avec leurs enfants, si ce n’est avec leurs parents. Pourtant, il est vraisemblable qu’ils ont bien assumé leur rôle, en donnant à leurs enfants tout leur amour et en faisant de leur mieux pour les former à la vie. Ils leur ont, en principe, inculqué des qualités morales et c’est ainsi qu’ils leur ont fait découvrir leur identité et les ont, de leur mieux, préparés à la vie sociale.
Leurs enfants les ont bien écoutés, mais ils n’ont pas forcément suivi, car ils ont bien leurs propres pensées. Et peut-être trouveront-ils en eux une certaine analogie avec les ancêtres qu’ils ont connus !
Partez du principe que vos enfants ne vous appartiennent pas. Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même, ils viennent bien à travers vous, mais non de vous. Vous avez bien accueilli leurs corps, mais pas leurs âmes. Ces âmes habitent la maison de demain, maison que vous ne pouvez visiter, pas même dans vos rêves.
Peut-être même vous efforcerez-vous d’être comme eux, mais vous n’avez pas à essayer de leur ressembler, car la vie ne va pas en arrière. Oui, vos enfants sont des êtres indépendants, dotés de leurs propres idées, même si, pour l’instant, ils ont quitté la bonne route et même s’ils se sont montrés parfois contrariants…
Dieu vous permet de profiter de Son amour, de Son salut, de Sa présence, de Son pardon, alors que vous ne pouvez prétendre à rien. Il est sage que vous renonciez à la prétendue importance des choses humaines et matérielles ; de cette manière, vous serez bien plus en mesure d’adhérer aux choses de l’intérieur et de l’invisible… (…)
Jean, votre messager d’Espérance
L’amour, mes enfants, c’est se donner. Être de bons parents, c’est vouloir aimer ses enfants avant le matériel.
Message de Jésus. reçu par la Fille du Oui à Jésus (Canada). Le 26 juin 2001
(…) Mes enfants, réveillez-vous ! Ce n’est pas du cinéma ! Le monde, c’est vous tous qui vivez sur la terre. Je ne vous parle pas d’un monde imaginaire. Votre monde est en péril. Ce monde est si pervers ! Certains d’entre vous ne veulent plus vivre tant ils sont malheureux. Voyez ce que ce monde moderne a fait de vos enfants !
Le taux de suicide est à son plus haut niveau et ça ne cesse d’augmenter. Vous, les parents, qui planifiez votre rendement de vie, vous avez planifié la vie de vos enfants avant même qu’ils soient au monde. Vous les avez casés dans des garderies comme s’ils étaient des poupées. Ces garderies sont gérées par des lois. Est-ce ainsi l’amour ?
L’amour, mes enfants, c’est se donner. Être de bons parents, c’est vouloir aimer ses enfants avant le matériel. Vos enfants ont besoin d’amour. La compagnie des autres enfants, c’est bon, mais pas avant la vôtre. Vous êtes les seuls qu’ils veulent en premier.
Mes enfants, les garderies sont des endroits où on rassemble les enfants pour les surveiller, leur donner des soins, leur prodiguer le strict nécessaire pour qu’ils soient entourés d’affection. Ces gardiennes ont à cœur de leur donner une bonne éducation en leur donnant des consignes, afin que vos enfants apprennent à bien se comporter en groupe.
Si vous voulez leur donner du confort, plutôt que votre présence, il est bien de les emmener dans ces endroits ; ainsi, ils auront les loisirs, les jeux et les moyens de s’instruire dans une société remplie de demandes. Mais, mes enfants, vos enfants sont des petits qui viennent de moi, Dieu. Ils ont été faits pour l’amour, pour vivre dans l’amour et pour recevoir de l’amour.
L’enfant doit grandir dans un contexte comblé d’amour avec sa maman qui lui prodigue de l’amour venant de son amour, et aussi avec son papa qui transpire l’amour parce qu’il est tout attentionné à écouter l’enfant qui lui dit ce qu’il a fait durant sa journée remplie d’amour.
Vous, les parents, vous avez reçu de Dieu l’amour. Cet amour est en vous.
— C’est l’amour que vous portez en vous qui a fait que vous avez recherché le bonheur en voulant vous unir dans le mariage pour vivre avec l’être cher.
— C’est l’amour qui vous a donné le désir d’avoir des enfants.
— C’est l’amour qui vous fait avancer. Lorsque vous n’êtes pas dans l’amour, vous ne vous sentez pas heureux. C’est pourquoi vous partez à la recherche de ce qui vous rendrait heureux. Parce que vous êtes amour, vous cherchez ce que vous êtes en vous.
Vos enfants sont aussi amour. Ils ont besoin d’amour et c’est vous, les parents, qui devez leur donner de l’amour. Tout comme vous, ils veulent de l’amour. Vous vous êtes unis l’un à l’autre parce que vous aviez besoin d’aimer et d’être aimés. Votre enfant aussi veut la même chose. Il veut être aimé de vous. Vous qui l’avez mis au monde, vous devez l’aimer ; il est si petit.
Qui d’autres que ses parents pourraient lui démontrer que l’amour doit être au centre de sa vie ? Personne, mes enfants. Il est votre chair, votre sang. Il est de vous parce c’est moi, Dieu, qui vous ai donné la vie : et la vie est aussi en votre enfant. Parce que je vous ai choisis pour que vous soyez des enfants de l’amour, vous devez donner ce que moi je vous ai donné : mon amour.
Une éducatrice ne peux remplacer votre présence d’amour auprès de vos enfants.
Mais, mes enfants, lorsque vous refusez d’élever vos enfants, vous leur refusez votre présence d’amour.
Lorsqu’ils sont à la garderie, ce n’est plus vous qui leur prodiguez de l’amour, mais la personne qui passe la majeure partie de sa journée avec eux. Soyez réalistes, une éducatrice ne peux remplacer votre présence d’amour auprès de vos enfants, non qu’elle ne soit pas amour, c’est qu’elle a reçu des grâces maternelles pour élever ses propres enfants.
Ces grâces sont en chaque maman. Chaque jour, Dieu déverse en vous des grâces d’amour qui vous aide à élever vos enfants. C’est Dieu qui augmente l’amour maternel en vous ; cela se fait par moi, dans l’amour. Si vous, qui aimez vos enfants, ne faites pas votre devoir de parents, ces grâces ne pourront vous nourrir. Seule l’éducatrice en profitera, si elle est en ma présence.
Mais, mes pauvres enfants, votre monde oublie de venir à moi… Et vos enfants en souffrent. Si vos enfants ne reçoivent pas de vous une présence d’amour, ils ne pourront comprendre votre attitude face à votre absence ; ils l’accepteront, car ils ne peuvent faire autrement.
Mais, un jour, lorsque vous devrez reprendre l’un de vos enfants parce qu’il s’est mal conduit, du fait qu’il n’est pas satisfait de sa vie, il se rebutera devant la réprimande qu’il vient de recevoir. Comme il ne vit pas dans son milieu d’amour, il ne peut pas voir l’amour que vous voulez lui témoigner dans cette éducation, parce qu’elle ressemble à celle de sa journée remplie de consignes.
Les jeux ne peuvent pas remplacer l’amour. La compagnie d’une bonne éducatrice n’est pas celle de maman qui transpire l’amour pour son enfant. Croyez-vous que votre enfant ne le ressent pas, alors qu’il s’accroche à la gardienne quand maman vient le cherche à la garderie ?
En lui tout bascule. Ses pensées sont mélangées :
— Pourquoi tant de délaissement, alors que moi je ne veux que ma maman ?
— Je ne sais qui choisir pour être réconforté.
— Je m’étais protégé contre le mal que je ressens
— Et voilà que ma peine revient.
— Pourquoi est-ce que j’ai mal en moi ?
— Où est ma joie de vivre quand j’étais dans les bras de l’amour,
— Alors que je me laissais bercer par son chant d’amour ?
— Où sont mes rires d’amour lorsque je regardais son sourire d’amour ?
— Je veux me retrouvez dans les bras de l’amour, le vrai amour.
— J’ai mal et je ne sais pas où est l’amour.
Mes enfants, vous avez délaissé vos enfants parce qu’on vous a dit qu’il fallait tout leur offrir, parce cela ferait d’eux des enfants évolués. Votre pensée a été faussée. Avec ces fausses valeurs, vous êtes devenus des travailleurs assidus pouvant leur offrir ce qu’il y a de mieux pour les habiller et les divertir, ce qui fait l’affaire de ce monde de consommation.
Et vous, vous vous êtes laissés prendre au piège de tout vous offrir au détriment de vos enfants. Mes enfants, ne savez-vous pas qu’ils veulent de votre amour, non de vos gâteries ; de votre attention, non de vos jouets ? Vos enfants ont tant besoin de notre amour ! (…)
Jésus de Nazareth. Amen.
Si les parents ne s’occupent pas des âmes de leur jeunesse, ils vont perdre une génération qui sera coupée de la religion, ce qui va se reproduire immanquablement pour les enfants de la suivante.
Message de Jésus à John Leary (USA) reçu le 11 octobre 2013
Jésus : Mon peuple, l’Évangile décrit la façon dont Je chassais les démons des possédés, et les gens ne se rendaient pas compte que si Je le faisais c’est parce que J’avais le pouvoir de Dieu, et que les démons ne pouvaient pas résister.
Lorsque vous considérez la fréquentation de vos églises, vous y voyez moins de jeunes, pour beaucoup ils ont cessé de venir à l’office et aux groupes de prière; Les démons attaquent particulièrement la jeunesse parce que les jeunes sont moins surveillés par leurs parents, avec des foyers brisés, les jeunes ne vivent pas la foi qu’ils ont appris à l’école.
Beaucoup de vos jeunes deviennent dépendants de la drogue, de l’alcool, de l’Internet, des jeux informatiques, des portables, et vivent ensemble dans la fornication. Ils ont perdu leur boussole morale, et ils sont devenus une proie facile pour les démons.
Vous, les parents, avez besoin de surveiller ce que font vos enfants et leur enseigner de bonnes habitudes de prière pour contrer ces attaques de démons, avec leurs dépendances. Si les parents et grands-parents ne s’occupent pas des âmes de leur jeunesse, ils vont perdre une génération qui sera coupée de la religion, ce qui va se reproduire immanquablement pour les enfants de la suivante.
Continuez à prier pour vos enfants et petits-enfants, pour pouvoir les aider à sauver leur âme de l’enfer.
Les parents ne doivent pas battre leurs enfants et ni rien faire de mal à leur égard.
Message de Jésus donné au Père Melvin Doucette (Canada) Mardi 1er octobre 2013
Aimez tous vos frères et toutes vos sœurs, toi mon frère Melvin et vous tous mes frères et mes sœurs de chacune des parties du monde. Notre Père céleste a donné les Dix Commandements à Moïse, et l’un de ces commandements dit : « Honore ton père et ta mère afin que tu sois heureux et que tu jouisses d’une longue vie sur la terre. » Ce commandement est très important pour les enfants.
Ils doivent aimer leurs parents et leur obéir non seulement quand ils sont jeunes, mais aussi quand ils sont devenus des adultes. Les fils et les filles qui ne respectent pas leurs parents ne vivront pas longtemps sur la terre.
Il arrive trop souvent aujourd’hui que des fils et des filles partent de la maison et ne veulent plus entretenir de relation avec leurs parents. Certains sont partis depuis des années et ne téléphonent pas même occasionnellement à leurs parents. C’est là un comportement tout à fait injuste. Vous devez aimer vos parents comme vous m’aimez.
Les parents doivent aimer leurs enfants et prendre bien soin d’eux. Ils doivent veiller à ce qu’ils soient bien nourris et bien habillés. Les parents ne doivent pas battre leurs enfants et ni rien faire de mal à leur égard.
Oui, ils peuvent exiger d’eux l’obéissance, mais ils ne doivent pas les insulter. Ne vous mettez pas en colère contre vos enfants, mais pardonnez-leur tout ce qu’ils ont fait. Ce qui importe beaucoup, c’est qu’il y ait un grand amour entre tous les membres de la famille.
Je vous aime tous.
Des parents ont rarement des enfants tels qu’ils les désirent.
Message du Ciel – Jean, messager de la lumière (France) 27 mai 2013
Mes bien chers frères et sœurs,
En principe, vous aimeriez bien que tous les hommes fassent et agissent comme vous, vous aimeriez qu’ils aient les mêmes orientations que vous et qu’ils soient donc à votre image. Mais le Seigneur fait en sorte qu’ils ne se soient pas comme vous le voudriez !
Des parents ont rarement des enfants tels qu’ils les désirent. Mais Dieu n’obéit pas à leurs désirs d’identité et d’uniformité. Si le Seigneur les confronte à la différence c’est pour la simple raison qu’ils soient bien plus disponibles pour acquérir la vraie connaissance et plus de sagesse. (…)
Jean, votre messager d’Espérance
Comprenez, mes enfants que vous devez accepter l’aide de vos parents, de vos amis, car c’est à travers eux que nous venons vous aider.
Message de la Vierge Marie reçu par Micheline Boisvert – Tome 1 – pages 178
N’ayez crainte pour tous mes petits enfants qui sont dans les crèches (orphelinats, foyers d’accueil). Nous sommes près d’eux, nous les protégeons et nous attirons à eux, un père et une mère, pour qu’ils puissent vivre dans l’amour et grandir dans la paix. À tous les enfants de la Terre, je rappelle qu’une mère ne laisse pas périr ses enfants. Elle cherche de toutes les façons à leur donner tout le bien qui leur est nécessaire. Comprenez que vous êtes faits pour vivre dans l’amour, unis dans vos familles.
Retournez vers vos parents, et si vous ne recevez pas leur accueil, ne vous laissez pas envahir par la noirceur. Allez vers vos amis, ceux qui vivent dans la paix. Ils vous accueilleront. Je préparerai leur cœur. Ne demeurez pas seuls, allez vers vos frères et sœurs.
Comprenez, mes enfants que vous devez accepter l’aide de vos parents, de vos amis, car c’est à travers eux que nous venons vous aider. C’est à travers eux que nous venons vous apporter toutes les grâces et toute l’aide qui vous sont nécessaires. Comme mon amour pour vous est grand, mes enfants. Je vous aime de tout mon Cœur. Je suis avec vous !
Aujourd’hui, moi, votre Mère Marie, je viens vous enseigner avec des mots simples au travers du Cœur d’Accueil de mon Fils. Descendez dans votre cœur et vous ressentirez tout l’amour que j’ai pour vous. Vous ressentirez aussi toute l’aide de votre Père du Ciel.
Votre amour les guérira, vos prières les sauveront.
Message de la Vierge Marie reçu par Micheline Boisvert – Tome 1 – pages 175, 176, 177
Aujourd’hui, tout spécialement, je viens m’adresser à toutes les familles de la Terre. Aux pères, aux mères, je viens vous dire que trop souvent, votre façon de vivre désunit vos familles.
Beaucoup de pères et de mères travaillent pour obtenir de plus en plus de biens matériels pour vivre. Vous consacrez beaucoup de temps à votre travail et à vous-mêmes, et à tout ce que vous désirez. Beaucoup sont devenus des pères et des mères égoïstes. Trop de mes enfants voient très rarement leurs parents. Ils ne ressentent plus la chaleur d’un foyer uni. Ils grandissent et vivent une grande solitude en eux. Ils n’ont plus l’appui qui leur faut et voyez le résultat de leur vie.
Ils s’égarent de plus en plus à la recherche de cet amour. Voyez tout ce à quoi ils seront confrontés, eux qui n’ont pas reçu cet amour dans leur famille. Combien de mes enfants retournent à leur foyer et n’y trouvent personne pour les accueillir ? Réfléchissez, pères et mères de la Terre, à tout ce que vous faites subir à vos enfants. Voyez le grand manque d’amour que vit cette génération.
Les jeunes sont à la recherche d’une identité. Ils sont jugés et condamnés même. Je vous en supplie, ne jugez pas les jeunes ! Ils vivent de grandes souffrances intérieures et mon adversaire les attire et les entraîne dans l’abîme des ténèbres.» (…)
Pères et mères de la terre, vous aussi vous portez de grandes blessures. Je sais aussi que vous ne pouvez pas donner ce que vous n’avez pas reçu. Vous aussi vous avez dû souffrir pour venir tout déposer dans le Cœur de Miséricorde de mon Fils. Vous qui avez vécu ces souffrances, allez chercher vos enfants. Ils sont très blessés. Pour certains d’entre vous cela sera très difficile, car ils ne pourront pas vous accueillir tout de suite. Il vous faudra beaucoup de patience, mais n’ayez crainte, votre amour les guérira, vos prières les sauveront.
Parlez – leur du Cœur d’Accueil de mon Fils. Dites – leur qu’Il les a créés par amour et qu’Il les aime. À tous ceux qui n’ont pas connu de père ou de mère, dites-leur que mon Fils et moi, votre Mère Marie, nous sommes leur famille du Ciel, qu’ils ne sont pas seuls et que nous venons à leur aide.
Beaucoup d’adolescents très jeunes sont envahis par les forces du mal.
Message de la Vierge Marie reçu par Micheline Boisvert – Tome 1 – 26 décembre fête de la Sainte Famille, pages 176 et 177
Pères et mères de la Terre, je vous en supplie, allez chercher vos enfants dans leurs souffrances. Devenez des guides de lumière pour eux. Ils ne comprennent plus le vrai sens de leur vie. N’oubliez pas que pour certains parents, c’est bien vous qui avez déstabilisé vos enfants à travers vos trop grands besoins matériels. Maintenant vous avez la responsabilité de leur vie. Vous devez aller les aider. Ne laissez pas ces âmes se perdre ; ils sont si fragiles.
Pères et mères de la Terre, revenez vers la prière. Reconnaissez qu’ils sont vos enfants et qu’ils ont besoin de votre reconnaissance. Ils ont besoin d’être reconnus par vous. Soyez leur soutien, surtout dans ces derniers temps de purification. N’oubliez pas qu’eux aussi ressentent intérieurement le combat entre la lumière et les ténèbres. Ils ne peuvent expliquer tout ce qui leur arrive.
Beaucoup d’adolescents très jeunes sont envahis par les forces du mal. Ils font le mal qu’ils ne veulent pas faire. Ils se demandent comment ils ont fait pour faire tout cela. Ils portent un grand regret dans leur cœur. Soyez souples dans votre façon d’agir avec eux. Ils sont manipulés par tous vos moyens modernes. Ils sont assaillis par ce grand matérialisme, et au-dedans d’eux ils se disent : » jamais je ne pourrai être à la hauteur de ce monde. «
Ils ne peuvent plus trouver leur place, et beaucoup de mes adolescents, mes cœurs souffrants, vont se réfugier dans la drogue, dans la boisson …
L’orgueil n’est pas une chose bonne, mais il existe un saint orgueil, celui de dire: « Je n’ai pas donné de douleur à mon père et à ma mère.
Extrait des visions de Maria Valtorta « l’Évangile tel qu’il m’a été révélé » – Tome 6 – Chapitre 143.
(…) Et, revenant à ce que doivent être les membres d’une famille et les habitants d’une maison pour que s’y maintiennent fructueuse ma bénédiction, je vous dis, enfants, d’être soumis à vos parents, respectueux, obéissants pour pouvoir l’être aussi avec le Seigneur votre Dieu. Parce que, si vous n’apprenez pas à obéir aux petits commandements du père et de la mère que vous voyez, comment pourrez-vous obéir aux commandements de Dieu, qui sont dits en son nom, mais que vous ne voyez ni n’entendez ?
Et si vous n’apprenez pas à croire que celui qui vous aime, comme votre père et votre mère vous aiment, ne peut que commander des choses bonnes, comment pouvez-vous croire que sont bonnes les choses qui vous sont données comme des ordres de Dieu ? Dieu aime, Il est Père, le savez-vous ? Mais justement parce qu’Il vous aime et veut vous avoir avec Lui, ô chers enfants, c’est pour cela qu’il veut que vous soyez bons.
Et la première école où vous apprenez à le devenir, c’est la famille. C’est là que vous apprenez à aimer et à obéir et c’est de là que part pour vous le chemin qui conduit au Ciel. Soyez donc bons, respectueux, dociles. Aimez votre père, même s’il vous corrige, car il le fait pour votre bien, et votre mère si elle vous éloigne d’actions dont son expérience sait qu’elles ne sont pas bonnes. Honorez-les, en évitant de les faire rougir par vos actions mauvaises.
L’orgueil n’est pas une chose bonne, mais il existe un saint orgueil, celui de dire: « Je n’ai pas donné de douleur à mon père et à ma mère« . Cela, qui vous fait jouir de leur voisinage pendant qu’ils sont vivants, est pour vous la paix sur la blessure de leur mort, alors que les larmes qu’un enfant fait verser à ses parents creusent comme du plomb fondu le cœur de l’enfant mauvais, et malgré tout son effort pour endormir la blessure, elle fait souffrir, ne cesse de faire souffrir et de plus en plus quand la mort de l’un des parents empêche l’enfant de réparer… Oh! enfants, soyez bons, toujours, si vous voulez que Dieu vous aime. (…)
Fille / Garçon : On assiste actuellement en France à un débat sur l’inné et l’acquis entre fille et garçon, voici un extrait d’article qui devrait nous éclairer.
Extrait de Courrier international n° 1090 du 22 sept. 2011
(…) C’est dans le choix des jouets que la différenciation des sexes est le plus marquée, explique Lise Eliot. Les garçons poussent des voitures, les filles des poussettes. On le constate même chez les primates.
Dans une étude de 2002, des chercheurs ont donné deux jouets typiquement masculins (une voiture de police et un ballon), deux jouets typiquement féminins (une poupée et une casserole) et deux jouets non sexués (un livre d’images et un animal en peluche) à 44 singes vervets mâles et 44 femelles.
Les singes n’avaient jamais vu ces objets auparavant et, de toute évidence, ils ignoraient leurs connotations. Résultat ? Si les mâles et les femelles ont été attirés de la même manière par les objets neutres, les mâles se sont mis à tourner autour des jouets de garçons, tandis que les femelles se sont intéressées à la poupée et – grrr ! – à la casserole.
Hasard ? Peut-être mais, six ans plus tard, un deuxième groupe de chercheurs a obtenu un résultat identique avec des macaques rhésus. (…)
Qui vient pour ces enfants perdus sur la terre, qui ont été autorisés à vivre mais dont les âmes sont perdues.
Message de Jésus à Jennifer (USA), reçu le 22 janvier 2011
Mon enfant,
Il y a de nombreux avortements qui se pratiquent tout autour de ce monde. [Et] Je ne parle pas seulement de l’avortement dans l’utérus. Je parle de cet avortement que constitue le rejet de la responsabilité à prendre soin de ses enfants et à me les remettre.
Chaque âme est un don. La vie est le plus grand cadeau car elle est le projet de votre Père céleste. Elle constitue la marque du plan divin. Je demande à Mes enfants : désirez-vous modifier le plan divin ? L’âme de l’humanité est en train d’être mise en pièce. Qui vient consoler ces petits êtres torturés pendant leur exécution dans l’utérus ? Je vous dis ceci : c’est moi, Jésus, et ma Mère qui venons, et l’ange gardien des tout-petits.
Qui vient pour ces enfants perdus sur la terre, qui ont été autorisés à vivre mais dont les âmes sont perdues, parce que ceux qui ont été nommés pour les guider abandonnent leurs obligations en cherchant à réaliser leur propre volonté au lieu de la Mienne ?
Priez pour les enfants, ma fille, car ce sont ces âmes qui souffrent vraiment Ma crucifixion. Priez pour leurs pères et leurs mères, et placez-les tous dans vos prières en les consacrant à Mon Très Sacré Cœur. (…)
Pourquoi, dans l’Évangile, profères-tu des menaces si terribles contre ceux qui scandalisent les enfants ?
Message de Jésus à Marcel Van, reçu en 1946.
Van : Maintenant, Jésus, permets-moi une question. Pourquoi, dans l’Évangile, profères-tu des menaces si terribles contre ceux qui scandalisent les enfants ? Dans tout l’Évangile, si je me rappelle bien, c’est peut-être le seul passage où tu dis de telles choses.
Jésus : Petit frère, ne comprends-tu pas pourquoi il en est ainsi ? Je vais te l’expliquer… La seule différence qu’il y a entre l’âme des enfants et les anges du ciel, c’est que l’âme des enfants est unie à un corps et que, par conséquent, elle a des défauts naturels. Mais malgré cela, l’âme des enfants et pure comme les anges du ciel. De là que les enfants possèdent toujours en eux la Trinité et goûtent continuellement les joies naturelles que leur prodigue la même Trinité…
Pas besoin de m’étendre longuement sur ce sujet ; je me contente de dire que l’âme des enfants est un temple parfaitement pur où habite la Sainte Trinité. C’est pourquoi quiconque scandalise l’un de ces petits fait lui-même signe au démon, l’invitant à venir plus tard avec le péché pour souiller l’âme de cet enfant. Celui qui agit ainsi enlève à la Trinité un temple magnifique ; il enlève aux saints une demeure où ils pouvaient louer la Trinité ; il expose l’âme de cet enfant à perdre son innocence.
C’est pour ces raisons que je profère de si graves menaces contre le scandaleux qui outrage la Sainte Trinité d’une manière on ne peut plus monstrueuse. Van, même les démons et les damnés en enfer ne peuvent outrager à ce point la Trinité. La mort serait pour lui préférable au scandale. Devant le regard de Dieu le Père, l’âme de cet enfant perd la beauté naturelle qu’elle tenait de lui parce que le sceau du péché a été imprimé en elle.
Dans ses rapports avec Dieu le Fils, l’âme de cet enfant ne voit plus clairement la vraie lumière, elle ne voit plus clairement son divin époux, car le péché a laissé son empreinte dans son cœur innocent. Quant au Saint-Esprit, il ne peut plus, librement, donner à cette âme les baisers de l’Amour. Ainsi donc, dans ses relations avec cette âme, la Trinité se trouve empêchée d’agir en toute liberté comme auparavant.
Van, n’est-ce pas là une chose terrible ? Mille fois malheur au monde ! Combien d’âmes encore pures ont été corrompues à cause de lui. Le monde est tellement aveuglé qu’il a détruit presque tous les temples magnifiques de la Trinité… (…)
Ils doivent recevoir une éducation tant dans les matières spirituelles que dans les matières scolaires.
Message du Seigneur donnés à John Leary (USA), reçu le 5 Septembre 2010
Notre Dame : Mes chers enfants, mon Fils, Jésus et Moi vous aimons tous, et en particulier les jeunes enfants innocents.
Je me suis présenté à des enfants dans diverses apparitions en raison de leur innocence, et de façon à ce que les gens sachent qu’ils ne pouvaient pas transmettre mes messages de leur propre chef. Dans certains cas, j’ai eu à enseigner aux enfants comment dire mes prières complètement et lentement.
Enseignez à vos enfants comment prier le chapelet et porter Mon Scapulaire. Ce sont des sacramentaux importants avec lesquels vos enfants devraient se familiariser.
Alors que les enfants reviennent à l’école, ils doivent recevoir une éducation tant dans les matières spirituelles que dans les matières scolaires. J’encourage tous mes enfants de continuer à progresser dans leur vie spirituelle, même après une formation dans les règles. Vous avez besoin de grandir dans votre vie spirituelle jusqu’à votre dernier jour.
Ne vous arrêtez jamais d’aimer Jésus et moi-même pendant que vous vous efforcez d’apprendre tout ce que vous pouvez sur nous et notre amour pour vous.
Merci pour vos rosaires et vos souhaits de joyeux anniversaire.
Les enfants doivent commencer dès leur tout jeune âge à prier et à me suivre pour avoir un lien intime avec moi.
Message de Jésus au Père Doucette (Canada) – Jeudi 11 mars 2010
J’ai toujours eu beaucoup d’amour pour les petits enfants, si remplis d’innocence et de spontanéité à croire. Notre Père céleste a prévu même pour eux des Anges gardiens chargés de les aider et de les protéger. Ces anges voient constamment la face du Père du ciel. Je veux que chaque enfant soit aimé et protégé, et que jamais il ne soit maltraité. On doit apprendre à chacun de ces enfants l’amour que le Père a pour lui et l’amour que je lui porte aussi.
Comme il est magnifique de voir des parents qui apprennent à leurs enfants à connaître le Père et à croire en lui. Je veux que les enfants me découvrent moi aussi et qu’ils prient chaque jour pour me dire leurs besoins. Les enfants devraient recevoir le baptême dès qu’ils sont bébés, pour grandir en enfants bien-aimés du Père et être les temples de Dieu, portant dans leur cœur le Père, le Saint-Esprit et moi-même. Montrez-leur à prier et à exprimer leur amour pour nous.
Emmenez-les à l’église chaque dimanche pour leur faire connaître ce qu’est la célébration de la sainte Eucharistie. Un jour ils en viendront eux aussi à me recevoir dans la sainte Communion. Les enfants doivent commencer dès leur tout jeune âge à prier et à me suivre pour avoir un lien intime avec moi. J’aime tous les enfants, et si vous êtes mes amis, vous ferez tout ce que vous pouvez pour les amener à me suivre.
Vous devriez élever vos enfants dans la foi, leur enseigner leurs prières, les amener à la messe et à la confesse, et leur donner le bon exemple par vos actions.
Message du Seigneur donnés à John Leary (USA) – Samedi le 26 juillet 2008
Jésus : « Mon peuple, vous célébrez aujourd’hui la fête des parents de ma Sainte Mère : Ste-Anne et St-Joachim. Des dons sont donnés à tous les parents dans leurs enfants, mais ils sont également responsables des âmes de leurs enfants. Vous devriez élever vos enfants dans la foi, leur enseigner leurs prières, les amener à la messe et à la confesse, et leur donner le bon exemple par vos actions.
Même si vos enfants se rebellent contre votre enseignement, continuez de prier pour eux et guidez-les, même après qu’ils soient partis de votre maison. Vous pouvez aussi devenir des grands-parents, et à nouveau vous devez indirectement aider les petits-enfants dans leur éducation spirituelle. Laissez toute votre famille voir en vous l’importance d’avoir une bonne vie de prière et d’être constamment fixé sur moi dans votre vie. Cette vie passe rapidement, et vos âmes doivent toujours être en état de grâce par de fréquentes confessions.
Encouragez vos enfants et petits-enfants à confesser leurs péchés, au moins une fois par mois. Je sais que toutes les âmes possèdent leur propre libre volonté, mais lors de votre jugement, vous avez la responsabilité de m’amener vos enfants. Il leur appartient de m’accepter, mais n’abandonnez aucune âme et continuez de prier pour elles à chaque jour.
La maternité est de loin la vocation et le don de Dieu les plus grands.
Message de Maman Marie livré à Anna Marie (États-Unis) une apôtre de l’Apostolat du Scapulaire Vert. 1er janvier 2008
La Mère de Dieu : Petite, je suis contente que tu aies prêté l’oreille à mon appel. Mon Fils souhaite que tous les hommes ouvrent leurs cœurs et reçoivent leur Mère dans leurs vies quotidiennes. C’est pourquoi je suis venue te parler aujourd’hui, en ce jour spécial en l’honneur de ma maternité et en l’honneur de toutes les mères tout autour du globe.
La maternité est de loin la vocation et le don de Dieu, notre Père aimant, les plus grands. Les mères sont responsables d’enseigner et de former leurs enfants à aimer leur Seigneur, à aimer leur Sauveur par-dessus tout, à s’aimer les uns les autres sur terre.
La maternité est un cadeau miséricordieux à toutes les femmes qui sont choisies pour cette vocation. Recevoir le don de vie et avoir la charge d’éduquer et de transmettre les préceptes des lois de Dieu dans la vie de leurs enfants n’est pas une tâche facile. C’est pourquoi tellement de grâces sont données aux mères par mon Fils qui connaît l’importance d’être aimé par une mère et un père.
Mes enfants, être appelé à ce travail et cette grande mission d’élever des enfants, doit aussi être fait en union avec la Sainte Famille, en union avec la Sainte Trinité, et vous devez essayer de vous tourner vers votre Seigneur pour avoir l’aide et la direction pour accomplir votre mission de toute une vie.
Mes chéris, tournez-vous toujours vers votre Mère pour avoir de l’aide en élevant vos petits. Toutes les mères, je vous guiderai pour préparer vos enfants à aimer leur Dieu et mon Saint Fils Jésus, votre Sauveur.
Maintenant fille, dis à mes bien-aimés enfants de partout dans le monde, que moi, leur Mère aimante du ciel, ne les abandonnera jamais. Je demeurerai avec eux durant leur vie entière. À ceux qui n’ont pas eu une enfance heureuse, ou qui n’ont pas eu une mère durant l’enfance, dis ceci à mes très précieux fils et filles : De me demander à moi, la Mère de leur Sauveur, de déverser de saintes et guérissantes grâces venant de mon Cœur Immaculé dans le leurs. (…)
Votre Mère du ciel, Marie. »
Les enfants ont besoin de recevoir un enseignement solide sur leur foi et de voir chez leurs parents l’exemple de personnes pieuses qui vont à l’église régulièrement.
Message de Jésus au Père Doucette (Canada) – 3 janvier 2008
(…) Comme je souhaite que tout enfant grandisse dans une famille religieuse semblable à la mienne! Mon grand désir est que chaque famille soit édifiée sur l’amour – l’amour entre les parents et l’amour du père et de la mère pour leurs enfants. Les enfants aussi doivent aimer leurs parents en retour. C’est dans la famille qu’il faut apprendre aux enfants que je les aime et combien il leur est nécessaire de me suivre. Il faut leur apprendre leurs prières et à les réciter chaque jour.
Les parents doivent emmener leurs enfants à l’église et, quand ils sont en âge, les faire instruire sur mes enseignements tels que les explique l’Église. Les enfants ont besoin de recevoir un enseignement solide sur leur foi et de voir chez leurs parents l’exemple de personnes pieuses qui vont à l’église régulièrement.
Aujourd’hui la foi de bien des jeunes est superficielle parce qu’ils n’ont pas reçu d’enseignement à la maison et qu’ils n’ont pas eu l’exemple de parents assidus à la prière. Les parents devraient prier chaque jour avec leurs enfants. (…)
Parents, vous devez respecter vos enfants et aimer chacun inconditionnellement; ils sont un don de Dieu et vous êtes redevables de leur bien-être spirituel, physique et émotionnel.
La Vierge Victorieuse – Enseignement de Jésus Par l’entremise de Lory (Missouri, USA) – 18 octobre 2007
Éphésiens 6 : 1-4
Enfants, obéissez à vos parents, dans le Seigneur, voilà qui est juste. ‘Honore ton père et ta mère’, c’est le premier commandement accompagné d’une promesse : afin que tu aies honneur et longue vie sur terre. Vous, parents, ne révoltez pas vos enfants, mais pour les élever, ayez recours à la discipline et aux conseils qui viennent du Seigneur.
Mes enfants qui êtes rassemblés ici, ainsi que tous ceux qui lisent ces messages, Moi, le Seigneur, désire vous enseigner sur la signification de ces versets.
Enfant de tous âges, honorez votre père et votre mère. Ceux qui sont encore jeunes et qui vivent sous le toit de la maison de leur père, obéissez à vos parents et montrez du respect en tout temps dans vos paroles, dans vos actions et dans vos pensées. Un parent peut faire une erreur, mais ce n’est pas à vous de les corriger, de leur désobéir ou de mal penser d’eux.
Le père de famille occupe la place de Dieu et doit être respecté, car c’est la Volonté de Dieu.
Une famille ne peut pas fonctionner par consensus; quelqu’un doit être responsable pour s’occuper de la discipline et de l’éducation des enfants. Cette responsabilité incombe à la mère et au père, mais c’est le père qui est tenu le plus responsable par Dieu, parce qu’il est celui à qui est donnée l’autorité d’agir comme chef de famille à la place de Dieu. Par conséquent, les enfants doivent de l’amour, du respect et de l’obéissance à la mère et au père.
Ceux qui sont plus âgés et qui vivent dans leur propre unité de famille, vous devez continuer à honorer et respecter vos parents. Cette obligation ne prend jamais fin. En pensée, en parole et en action, vous devez être attentionnés, affectueux et patients. Celui qui honore et respecte, particulièrement les parents plus âgés, est béni par Dieu et beaucoup de péchés seront pardonnés à ceux qui affectueusement et patiemment s’occupent des aînés et les honorent en tout temps.
Parents, vous devez respecter vos enfants et aimer chacun inconditionnellement; ils sont un don de Dieu et vous êtes redevables de leur bien-être spirituel, physique et émotionnel.
Un parent qui abuse d’un fils ou d’une fille, que ce soit physiquement ou émotionnellement, est une abomination devant Dieu. Le Père a confié à vos soins des âmes innocentes. Les abus altèrent et entravent leur croissance, spirituellement et émotionnellement. Au jour du jugement, il ne vous sera pas demandé combien de jouets vous avez donnés à vos enfants, ou à quelles écoles vous les avez envoyés, ou combien d’argent vous leur avez donné pour qu’ils s’amusent.
Il vous sera demandé : Leur avez-vous enseigné à aimer leur prochain comme eux-mêmes, et à être généreux envers les autres ?
Il vous sera demandé si vous avez enseigné à vos enfants à aimer, respecter et obéir à Dieu et à bien utiliser les talents qui leur ont été donnés.
Il vous sera demandé : Les avez-vous aimé et respecté dans leur individualité?
Il vous sera demandé : Leur avez-vous enseigné à aimer leur prochain comme eux-mêmes, et à être généreux envers les autres ?
Leur avez-vous enseigné à marcher dans les chemins du Seigneur ?
Et leur avez-vous enseigné à se respecter eux-mêmes en leur donnant le soutien physique, émotionnel et spirituel dont ils avaient besoin?
Vous ne pouvez leur donner cela que si vous êtes patients, aimants, généreux de votre temps, et que si vous leur montrez jusqu’à quel point ils sont importants pour vous et pour leur Père céleste.
J’ai créé le mariage et j’en ai fait un sacrement pour que les enfants puissent être élevés dans un environnement stable et nourrissant, où l’amour entre les parents et les enfants ouvrent les cœurs pour pouvoir connaître et aimer Dieu, et qu’ainsi, tous les membres de la famille ne connaissent pas seulement l’amour ici-bas, mais soient ensemble pour toute l’éternité, s’aimant les uns les autres ainsi que leur Dieu. (…)
Les enfants qui ne sont pas élevés dans des familles stables et affectueuses, fondées sur l’amour pour Dieu, non seulement perdent l’amour des deux parents dans une vie familiale solide, mais souffrent émotionnellement, parfois physiquement et le plus souvent aucune formation ne leur est donnée sur la connaissance et l’amour de Dieu. Ils ont souvent une faible estime de soi, et donc, comment peuvent-ils aimer les autres s’ils n’ont aucun respect pour eux-mêmes?
Cela doit changer, et va changer. Cette transformation peut survenir en retournant à Dieu et aux commandements, et en élevant le mariage à sa place légitime, ou bien, si vous ne le faites pas volontairement, le Père peut, et prendra les dispositions à travers les circonstances afin qu’à nouveau, la vie familiale ait sa place appropriée dans l’ordre naturel et spirituel. Priez pour que Dieu n’ait pas à intervenir.
Moi, Jésus, je vous bénis.
Les parents doivent donner un bon exemple.
Message du Seigneur donnés à John Leary (USA) – Samedi le 27 août 2005
Jésus dit : Mon peuple, ces jeunes oiseaux qui quittent leur nid de l’église, représentent combien sont nombreux les jeunes gens qui laissent leur foi derrière et qui n’assistent plus à la Messe du dimanche. Certains parents donnent le bon exemple à leurs enfants et les éduquent dans la foi, et pourtant certains de leurs enfants s’éloignent de leur foi. D’autres parents sont pauvres dans leur foi et les enfants suivent le mauvais exemple de leurs parents.
Il y a beaucoup de distractions dans le monde qui tentent les enfants et les éloignent de leur foi. Même lorsque vous vous rendez aux groupes de prières et que vous assistez à la Messe du dimanche, il y a très peu de jeunes gens qui sont présents.
Vous pouvez éduquer vos enfants jusqu’ici, et puis après, la foi en Moi doit venir de leur propre libre choix. Certains, comme St-Augustin, sont peu disposés au départ à prendre un engagement de vie avec Moi. C’est pourquoi les parents doivent donner un bon exemple, tout comme prier pour la foi de leurs enfants pour qu’ils puissent choisir de M’aimer.
Si vous parlez de la foi mais que vous ne la vivez pas, les enfants verront votre hypocrisie.
Vous ne pouvez pas forcer la religion à quelqu’un, ou bien votre utilisation forcée de l’obéissance pourrait les éloigner encore plus loin de vous et de Moi. Les enfants doivent voir comment votre foi est importante pour vous et comment elle influence votre vie pour le bien. Si vous parlez de la foi mais que vous ne la vivez pas, les enfants verront votre hypocrisie.
Vivez votre foi et poussez doucement vos enfants à l’église sans les gronder. Une approche douce avec des options et de l’amour dans la communication, donneront à vos enfants plus de sens à la foi.
Tout comme Ste-Monique, vous pourrez avoir à être persistants dans vos prières pour la foi de vos enfants. N’ayez pas peur de les prévenir contre le fait de vivre ensemble dans le péché sans le mariage, et continuez à les encourager à aller régulièrement à la confesse pour sauver leur âme.
En faisant tout ce que vous pouvez pour m’amener vos enfants, alors vous serez justifiés lors de votre jugement, quand vous aurez à rendre des comptes pour leur âme.
Beaucoup de problèmes de crimes et de tueries entre enfants résultent du manque d’amour.
Messages donnés à John Leary (USA) Mardi, 3 mai 2005
Jésus : Mon peuple, vos enfants sont tous des dons provenant de Moi, mais les parents ont une profonde responsabilité pour leur bien-être physique et spirituel.
Peu importe le nombre de problèmes qui surviennent chez les parents : finances, emplois ou lieu de séjour, il est important que tout cela n’ait aucun impact sur vos enfants via des abus physiques ou verbaux.
De telles situations ont même poussé les services sociaux à prendre en charge les enfants pour leur propre sécurité. De tels abus peuvent laisser des cicatrices à un enfant pour la vie, causant dès lors plusieurs problèmes de personnalité dans leur vie future. Lorsque vous élevez les enfants dans la foi c’est votre bon exemple dans la prière qui doit aider vos enfants à vraiment désirer Me connaître et M’aimer.
Lorsque les enfants grandissent, il y a plusieurs distractions et des contraintes de temps avec le travail et l’école qui pourraient les pousser à ne plus venir à la messe.
Tous les enfants sont libres de choisir leur religion et à un certain point leur vie. Ils ont besoin de faire un choix personnel quant à l’importance que J’ai dans leur vie. Une fois que quelqu’un s’est écarté de la foi, cela requérra beaucoup de prières et de jeûne pour remettre Mon Amour dans leur cœur.
C’est pourquoi il est également important pour un enfant d’être les témoins de l’amour vrai des parents de sorte qu’ils ne perdent pas leur cœur et ne puissent même s’aimer eux-mêmes.
Beaucoup de problèmes de crimes et de tueries entre enfants résultent du manque d’amour. Alors faites des câlins et aimez vos enfants et cela leur donnera un sentiment de valeur et de sécurité dans la vie de tous les jours et la vie spirituelle.