L’accident de Varginha

Le crash d’ovni de Varginha (Brésil – 1996)

(Vincent) De toutes les histoires d’ovni, celle-là est la plus remarquable, d’où un chapitre dédié. Il s’agit donc d’un crash d’ovni avec capture d’Entités Biologiques Extraterrestres (EBE) ressemblant à des démons. L’intérêt de cette affaire est qu’il y a eu des témoins qui ont tout raconté, malgré les pressions des autorités. Cette histoire est peu connue en Europe mais très répandu en Amérique du Sud.

Chapitres complémentaires :
Croire aux OVNI
Traces de vie extraterrestre sur la Lune
Les autres terres
Les bases OVNI sous terre

Ce chapitre valide des messages célestes sur le sujet comme ceux ci-dessous.

Ce sont des moyens de transport pour les agents de l’enfer.

Messages de Jésus donnés à Véronica Lueken (Apparitions de Bayside, USA 1978)

Jésus : Je vous avise maintenant : tous ceux-là, ce qu’on appelle des soucoupes volantes, Mes enfants, ne sont pas des soucoupes volantes. Ce sont des véhicules de l’enfer, transportant des démons de place en place. Quoiqu’ils soient des esprits, il y a un mystère du mort-vivant, que vous ne savez pas. Ils doivent être transportés ; ils ne peuvent y aller par eux-mêmes. Il y a un mystère, pour lequel Je vous donnerai peut-être la connaissance, à l’avenir. (…)

Messages de la Sainte Vierge donnés à Véronica Lueken (USA 1985)

La Sainte Vierge : (…) En parlant d’agents de l’enfer, Mon enfant, Je désire aussi que tu fasses savoir qu’il n’y a pas de véhicules venant d’autres planètes, des véhicules extraterrestres. Non, Mon enfant et mes enfants, ce sont des moyens de transport pour les agents de l’enfer. Maintenant, tu te demandes pourquoi doivent-ils être transportés si ce sont des esprits ? Eh bien ! Ceci, Mon enfant, tu ne peux pas le comprendre. Ce ne sont pas des esprits ordinaires, ce sont les démons de l’enfer : des cohortes de Satan et Satan lui-même est à bord d’un de ces véhicules.

Il y a une raison pour qu’ils emploient les transports. Je n’élaborerai pas sur cette question en ce moment, car Je suis sure que ceci confondrait l’esprit de tout scientifique ; pourquoi leur donnerais-Je cette information s’ils ne sont pas prêts à la recevoir ? Ils doivent découvrir quelque chose d’eux-mêmes, Mon enfant, avant que Nous les aidions à la fin de cette grande désolation sur terre. (…)

Ce chapitre est une compilation de divers articles trouvés sur internet et qui pour la plupart ont depuis disparut.

Certains pensaient que cela pouvait être « l’enfant du diable » tant sa laideur était grande.

SOMMAIRE
– Récit des évènements n° 1
– Récit des évènements n° 2
– Témoignages
– Récit des évènements n° 3
– Récit des évènements n° 4
– Récit des évènements n° 5
– Laboratoires à accès restreint
– Les pompiers nient leur implication dans la capture des EBE :
– Tentative de corruption
– Le policier décédé
– Des mouvements de militaires et d’avions décrits par des témoins
– D’autres observations d’OVNIS et d’extraterrestres à Varginha
– Des reportages à voir sur YouTube

Récit des évènements n° 1

Le 20 janvier 1996, plusieurs personnes sont témoins de l’écrasement violent d’un OVNI près de la ville de Varginha, au Brésil. Les pompiers municipaux, et ensuite l’armée, interviennent et s’interposent. Dans les jours qui suivent, d’autres personnes rencontrent des êtres non-terrestres tentant de se cacher ou de s’enfuir aux quatre coins de la ville. L’armée, puis des agents en civils se livrent à une véritable traque, capturant voire tuant ces êtres, dont certains sont de toute évidence blessés. L’un d’entre eux est autopsié à l’hôpital de la ville, puis emmené en d’autres lieux.

Les évènements font grand bruit et sont rapportés par la télévision Mexicaine, puis font le tour du monde. En mai 1997, un scientifique, accusé d’avoir participé à l’autopsie des aliens décédés, déclare qu’il ne pourra s’exprimer sur le sujet que dans quelques années. En juin 1997, 15 témoins acceptent de parler et confirment l’implication de l’armée Brésilienne dans la capture des extraterrestres. Un autre témoin rapporte qu’on lui a offert de l’argent pour se taire. (…)

Photo de droite, le quartier ou se sont déroulé les faits.

Récit des évènements n° 2

Varginha est située à 300 kilomètres de Belo Horizonte, dans la région méridionale du Minas Gerais (Brésil). Elle a environ 130 000 habitants. La ville est située à un point stratégique des activités ufologiques, où il y a des observations constantes et des rencontres rapprochées de toutes sortes.

Le Sud du Minas est internationalement connu comme région encline aux activités extraterrestres. Les villes près de Varginha, tel que des das de São Tomé Letras, Três Corações, Conselheiro Lafaiete, Pouso Alegre et d’autres, présentent également des dossiers innombrables. Dans les derniers mois, le nombre de cas a terriblement augmenté. Dans pratiquement toutes les villes de cette région les gens voient des soucoupes volantes. Les objets apparaissent publiquement, sont vus par beaucoup de témoins en même temps. Dans certains cas, ils ont été filmés ou photographié.

La rencontre la plus spectaculaire eut lieu au Brésil à Jardim Andere, faubourg de la ville de Varginha. Le samedi 20 janvier 1996, les pompiers de Varginha furent appelés à 8 heures du matin, parce qu’une créature mystérieuse se trouvait dans le parc. Les pompiers sont habitués à devoir évacuer des animaux sauvages sortis des forêts et perdus jusque dans les faubourgs. Ils allaient sur place avec une cage et abasourdis virent une créature comme ils n’en avaient encore jamais vu. Elle mesurait environ 1,20 m, avait des yeux rouge-sang, la peau olivâtre, trois longues bosses sur la tête et faisait un bruit bourdonnant. Quatre pompiers l’attrapèrent avec quelque difficulté, appelèrent l’armée et interdirent l’accès au parc. La créature fut chargée dans une caisse en bois et un camion de l’armée l’emporta.

Ce même jour, à 15 h 30, trois jeunes filles s’en revenant de leur travail, virent une créature bizarre contre la façade d’une maison. Croyant avoir vu le diable elles s’enfuirent en hurlant. Dans les minutes suivantes des dizaines de gens s’attroupaient dans la rue et certains enfants lançaient des pierres vers la créature. Les pompiers et les militaires arrivèrent à leur tour pour attraper l’être dans un filet. Ces deux créatures seraient mortes rapidement mais il n’y a pas eu de détails concernant leurs dépouilles. Dans les 24 heures les enquêteurs ufologiques étaient sur place. Ils interrogeaient des dizaines de témoins choqués (militaires, médecins, pompiers).

À 8 heures les pompiers sont appelés pour « un animal étrange » se trouvant dans le parc. Ils s’y rendent vers 10 heures et trouvent un groupe d’enfants jetant des pierres sur « l’animal ». Trois adultes observent la capture de cet être par 4 pompiers. À 10 h 30 la créature est attrapée sans opposer de résistance dans un filet, mise dans une caisse qui est recouverte d’une bâche. Une camionnette de l’ESA (Exército) prend ce colis en charge et se dirige vers Três Coraçoes. Le camion des pompiers retourne au quartier de Varginha. À 15 h 30 Liliane, Valquiria et Katia (22, 16 et 14 ans) voient dans la Rua Benevenuto Bràs Vieira, près du n° 76 une créature étrange, à moins de 7 m d’elles. Elles s’enfuient en criant et en pleurant. À 16 h 10 la maman de Katia et Valquiria s’en va sur le lieu de la rencontre. Il n’y a plus de créature mais il règne à l’endroit une odeur très forte, non identifiable. À 18 heures il y a une tempête de grêlons sur Varginha. Le courant électrique est complètement perturbé, des arbres sont déracinés. À 20 heures la police militaire capture la seconde créature.

La créature est envoyée pour soins à l’hôpital où on refuse son admission « puisqu’elle n’est pas humaine ». Elle sera livrée finalement à l’Hôpital Régional. Il s’ensuit un va-et-vient de fonctionnaires. Dans la nuit, vers 2 heures du matin, la créature est transférée à l’hôpital universitaire Humanitas, sous bonne escorte militaire. À 9 heures le 22 janvier la créature morte est mise à disposition de l’ESA. Elle viendra l’enlever seulement dans la nuit du 23 janvier, à 4 heures et elle sera déposée à l’école militaire. Le lendemain (24 janvier) le docteur Fortunato Badan Palhares (qui identifia les restes funèbres de Mengele) pratique une autopsie sur la créature à Campinas. (…) Il y a aux divers stades des évènements 48 témoins.

Les témoignages

Le discours tenu par les jeunes filles à l’ufologue Ubirijara Franco Rodrigues est sans ambigüités : elles sont persuadées d’avoir rencontré le diable en personne ; la « créature » portait trois bosses sur le front et ressemblait à un démon. Terrifiées, elles ont aussitôt pris leurs jambes à leur cou et traversé le parc pour se réfugier chez la mère de deux d’entre elles. Entretemps, alertés par des habitants du quartier, paniqués par l’apparition, les pompiers et les militaires sont arrivés sur place. La capture va être moins discrète que celle du matin : c’est sous les yeux d’une petite foule rassemblée dans la rue que la créature, qui semble elle aussi bien mal en point, sera encagée, puis disparaitra, chargée dans un camion de l’armée. (…)

Ce n’était ni animal, ni humain, c’était une chose horrible dira Katia. (…)

Il était brun, il avait les yeux rouges, sa peau était luisante, comme… Cela semblait être une huile, et il avait trois cornes. (…)

Le reste était la même description : la peau brune, brillante et huileuse, un visage arrondi, des yeux rouges, et pas de joues, ni barbe, ni moustache ou nez, et à l’emplacement où nous avons nos lèvres il y avait seulement une découpe.

Ci-dessous, les dessins qui ont été réalisés d’après les témoignages.

Quand les pompiers arrivèrent sur les lieux, il y avait plusieurs adultes et plusieurs enfants présents qui virent la scène de la capture. Des enfants jetaient des pierres à la créature. Des militaires se trouvaient déjà là. Les Pompiers capturèrent la créature avec un lasso. Ils portaient des gants et avaient peur d’éventuelles radiations. La créature ne fit aucun geste et se laissa attraper sans résistances. Elle émettait un bruit comme le « BZZZZZ… » d’une abeille. (…)

Trois jeunes filles, Katia Andrade Xavier, Liliane Fatima da Silva et Valquiria Aparecida da Silva, qui revenaient chez elles à pied, à trois pâtés de maisons d’où les Pompiers capturèrent le premier être, virent une créature appuyée contre un mur. Elles furent très effrayées. La créature était de couleur marron, avait la peau huileuse, une tête chauve avec trois cornes, de gros yeux rouges globuleux, deux bras et deux jambes. La créature se tenait prostrée le long du mur, avec les bras entre les jambes.

Quand elle fit un léger mouvement de tête, les trois filles partirent en courant chez elles, en pleurant de peur, et racontèrent toute l’histoire à la mère de deux des filles. Le groupe S2 (unité spéciale Brésilienne) captura la créature (la quatrième donc), et l’emmena à l’Hôpital Régional. Lorsque la mère des filles arriva sur les lieux il n’y avait plus rien, juste une odeur bizarre dans l’air. Plusieurs jours plus tard, des hommes en costumes vinrent chez les jeunes filles et leur proposèrent une forte somme d’argent en échange de leur silence. Elles refusèrent. (…)

Moins d’un mois après l’incident, le policier militaire Marco Eli Chereze, alors 23 ans, a succombé à une infection multiple sans cause apparente. “Il doit avoir été infecté quand il a touché la créature”, (…)

Des agents spéciaux venus des États-Unis arrivèrent rapidement sur place et emportèrent les créatures.

Récit des évènements n° 3

Dans la nuit du 19 au 20 janvier 1996, à 0 heure, le NORAD (commandement de la défense aérospatiale en Amérique du Nord) avertit le CINDACTA, son homologue brésilien, qu’un objet non identifié a été repéré depuis le Colorado, et descend en ligne droite vers le Brésil, l’État du Gerais plus particulièrement. La base aérienne brésilienne VI COMAR, mise en alerte, fait décoller des appareils ; comme, dans le cadre de l’alliance, une base américaine la jouxte, des appareils de l’US Air Force prennent aussi l’air.

En effet, des centaines de témoins voient des ovnis survoler la ville de Varginha, ville minière de 130 000 habitants dans cet État du Sud-ouest brésilien. Plusieurs les filment ou les photographies. L’un des films amateurs montre un des objets en difficulté. D’abord sous forme de boule lumineuse blanche, il apparait bientôt sous l’aspect d’un « cigare » qui descend avec des mouvements erratiques.

Dans une ferme située entre Varginha et Tres Coracoes, Augusta et Enrique Rodrigues sont réveillés à 1 heure environ par les cris de leurs vaches et de leurs moutons, qui semblent paniqués. Sortant, ils voient un objet en forme de sous-marin, de la taille d’un minibus, qui descend à 5 mètres du sol. Il est déchiqueté et perd des éléments qui tombent à terre, et semble « trembler » en produisant de la fumée ou de la vapeur. Le couple avertit la police militaire qui débarque et établit un périmètre de sécurité. Les habitants du hameau assistent à un ballet d’hélicoptères et à un aller et retour de véhicules militaires. Des forces spéciales américaines, les Bérets Verts, sont également présents, alors que leur base la plus proche est à Panama.

Trois témoins voient l’Armée ramasser l’objet, chargé sur un camion, et ramasser avec soin les moindres débris. Ce sont John Carpenter, un touriste américain, Carlos De Souza, un entrepreneur de passage en camionnette, et Enrique Rodrigues. Tous ont été refoulés de la zone par les militaires en différents endroits, et tous observent les évènements cachés. Carpenter fait la même description que le fermier : une espèce de sous-marin tremblotant, qui fait de la fumée. Une grue est utilisée pour le charger, et les soldats se servent de détecteurs de métaux pour trouver le moindre morceau d’un métal tordu et apparemment léger.

Le lendemain à 8 heures un homme appelle anonymement les pompiers de Varginha : un animal bizarre se trouve dans le jardin public Andere. Les pompiers ne semblent pas très motivés par cette présence : ils n’arrivent qu’à 10 heures. Deux personnes, l’étudiant de 20 ans Hildo Lucio Galvino et un couvreur, Henrique José, depuis un toit, voient la même chose. Les pompiers capturent au filet une créature d’environ 1 mètre, à peau huileuse, aux yeux rouges, avec trois bosses sur le front, une petite bouche, des mains à trois doigts. Dégageant une odeur d’ammoniaque, accroupie et émettant un bourdonnement d’abeilles, la créature semble passive. Des militaires arrivent, et la prennent en charge. On saura qu’elle est emmenée à l’école des sous-officiers de Tres Coracoes sur ordre du général Sergio Coelho Lima.

À 14 heures un autre témoin voit des soldats en tenue de combat pénétrer dans un bois ; il pense à en exercice. Puis il entend des coups de feu, et les voit ressortir en portant des sacs. Le groupe est formé du colonel Olimpio Wanderley, du capitaine Ramires, du lieutenant Tiberio, du major Maciel, du sergent Pedrosa des services secrets, du caporal Civilo, du caporal Chereze, des soldats Vassalo et de Mello. Ce sont des policiers militaires.

A 15 heures 30 les autorités sont alertées par une femme ; ses filles et une amie ont surpris « le diable » : une créature semblable à celle vue dans le jardin Andere. Elles reviennent d’un déménagement, et passent par un lotissement en friche pour rejoindre leur quartier, Santana. Blottie contre un mur, elle parait en difficulté. Les jeunes filles – Katia Xavier, 22 ans, Liliane Silva, 16 ans, Valquiria Silva, 14 ans – se sont enfuies à sa vue. Les pompiers, aux ordres d’un sergent, sont le caporal Rubens, les 2ème classes Santos et Nivaldo. Ils capturent la créature, sous les yeux de plusieurs témoins.

Selon l’enquête privée effectuée, la créature est emmenée à l’hôpital Humanitas, et meurt le lundi 22 à 18 h 15. L’une des personnes présentes sur place, le docteur Adalberto Magalhes, aurait déclaré que devant ses difficultés respiratoires on lui aurait administré de l’oxygène, qui lui aurait été fatal. Mais le praticien démentira avoir tenu de tels propos. Le corps est ensuite transporté à Campinas, distant de 320 km, où le professeur Badan Palhares et le docteur Coradin Nesve l’autopsient en présence de pompiers et de militaires. Il montre une langue noire rétractable, une peau huileuse, et aucun organe sexuel visible. Le professeur Palhares, interrogé quelques mois plus tard, affirmera : « Je ne peux rien dire sur cette affaire ; dans quelques années je parlerai ». Deux jours plus tard un appareil américain – un C 5 ou C 17 – aurait chargé les restes de la créature sur l’aéroport. La rumeur parle d’un « alien » mort, de deux blessés dont l’un va décéder, et de cinq vivants.

Il a souvent été reproché aux témoins d’ovnis, ou supposés tels, de faire preuve de beaucoup trop d’imagination. On peut retourner ce compliment aux autorités dans le cadre de cette affaire. Lorsque la télévision mexicaine rapportera l’affaire, le pompier Rubens affirmera que ses services n’ont eu ce jour-là que des activités de routine. Quant à l’Armée, elle déclarera qu’elle n’a conduit à l’hôpital qu’une naine sur le point d’accoucher (!), selon le lieutenant Calza. Puis le lieutenant/colonel Finholdt Pereira expliquera que la méprise des trois jeunes filles : elles ont découvert un handicapé nommé Luizinho (petit Louis), aux vêtements salis !

Ces trois témoins ont été interrogées par l’avocat Ubijara Rodrigues, et deux Américains, un médecin, Roger Leir, et un psychiatre, John Marck. Elles décriront la créature, « ni homme ni animal », « aux membres comme du caoutchouc », qui a tourné la tête vers elles en montrant de grands yeux rouges qui les ont terrorisées. La mère des plus jeunes, alertée par ses filles, se rend sur place, mais ne trouvera rien, sauf d’étranges traces qu’une averse de grêle fera disparaitre. C’est elle qui en appellera aux autorités.

Cette affaire ne sera jamais éclaircie pour une raison majeure : les témoins, militaires ou pompiers militarisés, ne témoigneront jamais, ou sous couvert d’anonymat, ce qui rend leurs propos invérifiables ou de peu d’intérêt. On peut toutefois constater qu’aucune explication n’a jamais été donnée quant à la chute d’un objet vu et filmé. Concernant les créatures mystérieuses, seuls cinq témoins – Galvino, José, et les trois jeunes filles – ont accepté de se faire connaitre. Leurs témoignages sont toutefois concordants. Plusieurs enquêteurs privés ont tenté d’établir les faits : l’avocat Ubijara Rodrigues, et deux médecins américains, Roger Leir et le psychiatre John Marck. Ils ont pu obtenir des détails de la part des trois filles sur la créature, « aux membres comme du caoutchouc », à la grosse tête qui, lorsqu’il s’est tourné vers elle, a montré ces yeux rouges qui les ont affolées. La mère des deux plus jeunes est retournée au lieu indiqué, il n’y avait plus rien.

Mais parmi les policiers militaires, Marco Eli Chereze, 23 ans, décède le 15 février à 11 heures à l’hôpital Do Sul de Minas, d’une infection inconnue. Il était le seul à avoir touché la créature à mains nues. Le docteur César Lincoln Furtado, qui a tenté de la soigner, qualifiera cette mort « d’étrange, et sans explication rationnelle ». Mais l’autopsie de Chereze restera confidentielle, même pour la police. Sa hiérarchie ira jusqu’à prétendre qu’il n’était pas en service le 20 janvier, en dépit de quinze témoignages contraires, dont ceux de la famille du défunt.

Le 29 avril Madame Therezinha Clepf, 67 ans, voit depuis la terrasse du restaurant Paiquerê, donnant sur le jardin Andere, une créature ressemblant à celle de Janvier, sauf qu’elle porterait un casque doré ; elle appelle son mari, mais l’être mystérieux n’est plus là. Quelques jours plus tard, deux daims, un tapir, un ocelot, un singe, meurent intoxiqués sans raison apparente dans le zoo du jardin. La chef vétérinaire, Leila Cabral, ne pourra rien expliquer. Mais y a-t-il une relation entre ces deux derniers évènements ; et la vision est-elle crédible ? On a de la peine à croire qu’une créature venue du cosmos se serait cachée pendant 3 mois sans être repérée, pour disparaitre ensuite sans laisser de trace. Il faut toutefois noter que dans la même région du Brésil un ovni est apparu le 22 aout devant une vingtaine de témoins, dont des policiers, et le 18 septembre un autre survole un immeuble. Dans les deux cas la chose sera filmée.

Récit des évènements n° 4

Voici un dossier sur une des affaires les plus incroyables de crash d’OVNI qui a eu lieu juste en bordure de la ville Brésilienne de Varginha, en avril 1997. Avec le concours de l’armée Brésilienne et ensuite des États-Unis, des extraterrestres la plupart blessés furent pourchassés en pleine ville devant témoins et certains furent abattus. Malgré le blackout sur ces évènements, malgré les menaces sur les témoins et les enquêteurs, leur récit à fait le tour du monde.

En avril 1996, plusieurs personnes sont témoins de l’écrasement violent d’un OVNI près de la ville de Varginha, au Brésil. Les pompiers municipaux, et ensuite l’armée, interviennent et s’interposent. Dans les jours qui suivent, d’autres personnes rencontrent des êtres non-terrestres tentant de se cacher ou de s’enfuir aux quatre coins de la ville. L’armée, puis des agents en civils se livrent à une véritable traque, capturant voire tuant ces êtres, dont certains sont de toute évidence blessés. L’un d’entre eux est autopsié à l’hôpital de la ville, puis emmené en d’autres lieux. Les évènements font grand bruit et sont rapportés par la télévision Mexicaine, puis font le tour du monde. En mai 1997, un scientifique accusé d’avoir participé à l’autopsie des aliens décédés déclare qu’il ne pourra s’exprimer sur le sujet que dans quelques années. En juin 1997, 15 témoins acceptent de parler et confirment l’implication de l’armée Brésilienne dans la capture des extraterrestres. Un autre témoin rapporte qu’on lui a offert de l’argent pour se taire.

Le cas de Varginha est unique sous plusieurs aspects. C’est tout d’abord une chance extraordinaire pour beaucoup de chercheurs d’avoir pu travailler sur un cas actuel et solide. Des ufologues comme Stanton T. Friedman et John Carpenter, qui pour beaucoup sont en quelque sorte l’élite de la discipline. Mais aussi pour des chercheurs Mexicains comme Ubirajara Franco Rodrigues et Vitorio Pacaccini qui furent les premiers à enquêter et firent connaitre l’histoire. Des chercheurs, comme Stanton T. Friedman qui est devenu un expert dans le cas légendaire de Roswell, savent comment fonctionne la machine à secret, ce qui se révèle essentiel dans cette affaire et pour les recherches concernant le destin des aliens décédés et vivants qui auraient été transportés vers la base de Albrook au Panama.

« 15 témoins confirment l’implication du policier militaire décédé dans l’affaire », dira l’ufologue Ubirajara Rodrigues.

Récit des évènements n° 5

Voici le récit de la rencontre de troisième type de Varginha, le Roswell Brésilien. Luiza Villamea, de Varginha (MG)

La ville de Varginha, dans l’État méridional de la Minas Gerais, est la version nationale [Brésilienne] de Roswell. Avec 130 000 habitants, Varginha est devenue la capitale Brésilienne de l’ufologie depuis que les récits de l’observation d’une créature étrange par trois filles ont franchi ses montagnes et gagné le monde.

La rencontre rapprochée du troisième type la plus extraordinaire jamais rapportée au Brésil a gagné en notoriété une fois associée à d’autres témoignages et même à des décès mystérieux.

Moins d’un mois après l’incident, le policier militaire Marco Eli Chereze, alors âgé de 23 ans, a succombé à une infection multiple sans cause apparente. « Il doit avoir été infecté quand il a touché la créature », suppose sa sœur plus âgée, Marta. Membre du P-2, le service de renseignement de la police militaire, Chereze est désigné par les ufologues qui étudient le cas comme une victime d’une opération complexe de la police militaire qui a abouti à la capture de deux extraterrestres.

Toutes les institutions citées par les ufologues nient l’affaire. Selon les informations publiées par la Police Militaire, Chereze n’a même pas été en service le 20 janvier 1996. La mère du policier, Lourdes, conteste cette affirmation. Elle souligne qu’elle se rappelle très bien ce samedi – un jour qui était d’abord ensoleillé et qui a eu un changement étonnant de la météo lors du coucher du soleil, avec des grêlons qui brisèrent même les tuiles des maisons. Lourdes indique que Chereze a travaillé en vêtements civils et a été employé pour conduire une voiture blanche Fiat (modèle « Premio ») qui était sans fenêtre côté du conducteur, pour la Police Militaire. « Mon fils est passé à la maison à environ 18 h 00, avec sa chemise trempée », se rappelle-t-elle. « Il a changé ses vêtements et m’a demandé de dire à son épouse qu’il ne rentrerait pas pour le diner parce qu’il était en mission ».

Impliqué dans les investigations autour des ETs de Varginha depuis le jour suivant la rencontre rapportée par les trois filles, l’avocat Ubirajara Franco Rodrigues, ufologue depuis plus de 20 ans, certifie que la participation de Chereze dans l’épisode est confirmée par QUINZE TÉMOIGNAGES ENREGISTRÉS EN VIDÉO. Ce sont huit témoins militaires et sept civils, dont les identités sont maintenues secrètes, pour des raisons de sécurité. « Le cas de Varginha n’est pas terminé », affirme Rodrigues. « Il est probable que la lumière ne soit faite que dans quelques décennies ».

Parmi les nombreuses questions soulevées par les ufologues, il y a la mort de cinq animaux du zoo de la ville: deux cerfs communs, un macao bleu, un jaguar et un tapir. Sans raison apparente, ils sont décédés en même temps sachant que Terezinha Galo Clepf, 67 ans, femme au foyer affirme avoir vu un autre étranger au zoo en avril 1996. L’endroit, d’ailleurs, accueillera une statue en béton de l’Alien

En raison des épisodes de ce genre, plus de quatre-vingts ufologues ont déjà été enquêtés dans la région. L’un d’eux, l’auteur espagnol J.J. Benitez, auteur de la série « Opération Cheval de Troie » a même annoncé la découverte des marques d’atterrissage d’un vaisseau spatial. « C’est complètement faux », dit l’ingénieur Claudeir Covo, le président de l’INFA – institut national sur la recherche sur des phénomènes d’aérospatiaux. « Les marques alléguées ne sont rien d’autre que deux trous faits par un fourmilier », convient Rodrigues.

Actuellement, ces deux ufologues analysent le témoignage du petit entrepreneur Carlos de Souza, résidant de la ville de São Paulo, qui s’est récemment présenté comme témoin de la récupération d’un objet non identifié par l’armée, alors qu’il voyageait près de la ville [de Varginha]. « Quand ils m’ont vu, ils m’ont forcé à partir de là », dit Souza.

Le Dr Palhares affirme dans une conférence de presse qu’il pourra parler librement du sujet dans quelques années. Mieux: les premières indications de l’existence d’autres laboratoires secrets souterrains en rapport avec les OVNIS apparaissent. Ces nouvelles ont été diffusées par les ufologues Claudeir Covo et Ubirajara Franco Rodrigues.

Laboratoires à accès restreint

Jusqu’ici, nous suspectons l’existence de quatre zones d’accès limités, des laboratoires d’usage militaire, deux étant situés dans l’UNICAMP [université de Campinas dans l’État de São Paulo, Brésil] et deux au CTA (centre technique de l’Armée de l’Air brésilienne). Tous sont des laboratoires souterrains. On permet seulement à quelques civils de pénétrer à l’intérieur de ces laboratoires, seulement ceux ayant les autorisations appropriées.

Les deux laboratoires du CTA se trouvent sur la route de Tamoios, l’un situé au kilomètre 6 et à l’autre au kilomètre 12, et qui ont reçu peut-être les métaux étranges récupérés lors de l’accident du vaisseau spatial.

Les laboratoires d’UNICAMP sont localisés l’un à l’institut de la biologie, et l’autre à l’hôpital Das Clinicas. Selon les témoins, qui ne veulent pas s’identifier à la presse, ces laboratoires ont reçu les corps des créatures étranges capturées à Varginha.

Un témoin affirme qu’une personne importante dans le domaine de la recherche l’a mené au laboratoire d’accès restreint sous l’institut de biologie, à UNICAMP. Le témoin a décrit le laboratoire comme hexagonal et ayant des murs métalliques.

Un employé qui travaille avec le Dr Badan Palhares [note du traducteur : le scientifique qui a été accusé d’avoir autopsié les créatures] un des corps est arrivé à l’hôpital Das Clinicas dans une boite métallique avec des trous, transportée par deux militaires. Ils sont allés jusqu’à une salle avec un couloir ayant de nombreuses portes. On a interdit à la femme et aux deux militaires le passage d’une de ces portes. On leur a demandé de poser la boite au sol et de repartir. La boite a alors été enlevée vers un niveau souterrain par d’autres militaires qui étaient déjà installés là-bas.

Une autre personne, ami du Dr Palhares, a informé que le Dr Palhares aurait dit ceci : Lorsque les portes s’ouvriront, je voudrais bien voir qui pourra tenir face à face avec cette créature ne serait-ce qu’une minute, se référant à la créature en vie, et a son aspect horrible et son odeur fortement ammoniaquée.

Maintenant à la fin de l’année [N.d.T.: 1996], le Dr Palhares a parlé en tant que conférencier au Collège Judiciaire de Campinas. À la fin de son entretien, un étudiant lui a demandé que s’il était vrai qu’il a fait autopsier les créatures capturées à Varginha, ce à quoi il a répondu :

« Si vous me posez cette question dans quelques années, peut-être que j’aurais plus de liberté pour vous répondre ».

Un employé du cimetière d’Amarais à Campinas a informé qu’un des corps des créatures étranges est resté stocké et fortement gardé par les militaires, à partir de février à avril 1996, dans un des congélateurs de l’IML [note du traducteur : Institut de la médecine légale] situé dans une construction annexe de ce cimetière.

Un autre fait curieux est qu’après que nous ayons commencé à divulguer l’existence d’un laboratoire souterrain et d’accès restreint à l’hôpital Das Clinicas dans UNICAMP, rapidement toutes les copies héliographiques avec les schémas des projets de structures de cet hôpital ont été enlevées. Très étrange…

Les pompiers nient leur implication dans la capture des EBE

Les déclarations de Vitorio Pacaccini et d’Ubirajara Rodrigues, disant que les soldats du feu ont capturé des ETs à Varginha ont été niées par les propos de Pedro Alvarenga, le commandant de la 13e compagnie des pompiers, qui a dit que sa corporation n’a pas été appelée pour s’occuper d’occurrences locales le 20 janvier 1996. Le commandant a affirmé que, parce qu’ils fonctionnent dans le secteur public, ils ne parviendraient pas à cacher la chose à la presse ou aux ufologues. Il a également dit que les ufologues essayent d’impliquer le département de feu, la police militaire et l’armée dans les faits. Il a affirmé qu’il serait impossible de cacher la chose. L’aspect émotiionnel des hommes impliqués changerait, parce que ce n’est pas une capture habituelle, et il n’y a eu aucun tel changement ».

Cependant, Ubirajara et Pacaccini assurent qu’ils ont des témoins militaires qui confirment la participation des combattants du feu assistant à un évènement à environ 10 h 30 heure du matin ce jour à Jardim Andere. Selon les témoins, les pompiers sont arrivés à l’endroit avec quatre soldats, munis d’une pompe à incendie. Ils ont trouvé une créature étrange à cet endroit et l’armée a observé de près l’opération entière.

Le commandant a déclaré : « samedi, je n’étais pas de quart. Les pompiers ont été impliqués de manière désinvolte, je ne sais pas, mais je pense qu’il n’y a aucune vérité dans tout ceci ». Le Capitaine Alvarenga a dit que les témoins ne sont pas militaires du tout, parce que « s’ils l’étaient, ils parleraient à la presse. Même la population demanderait plus de faits et de preuves que tout cela s’est vraiment produit ». Mais, selon les ufologues, si les témoins indiquent leurs noms, ils risquent leur place et cela nuirait à leur existence. En outre, Ubirajara et Pacaccini ont identifié les qualifications des témoins.

La presse a essayé de prendre des photos et d’obtenir des interviews, mais les pompiers ont résisté. Le commandant a essayé de le justifier, blâmant Rede Globo [réseau de Globo TV], parce qu’ils ont réalisé un reportage sur le sujet. Selon le capitaine Alvarenga, le département de feu n’a pas voulu s’exposer, afin d’éviter des complications avec les médias. « Les choses se sont compliquées parce que les gens ordinaires parlaient de cette créature, il y avait eu une exhumation de cadavre dans la ville, et la famille de la victime pense que la police elle-même a tué le garçon ».

Cependant, selon un fax reçu le 24 mai, de l’institut de la médecine légale, qui est subordonné au secrétaire de l’état de Minas Gerais pour la sécurité publique, le corps a été identifié comme appartenant à José Maria Misael Filho, 23 ans et a été exhumé dans l’institut, qui en fait est situé sur les lieux de l’hôpital régional. Il est écrit dans le rapport officiel que l’autopsie a été faite le 30 janvier, en d’autres termes, plus qu’une semaine après que les témoins affirment avoir vu les mouvements dans l’hôpital.

Alvarenga a nié la participation du département de feu au transport de ce cadavre et a indiqué que « l’unité des combattants du feu de Tres Coracoes est plus près de l’armée, donc elle peut avoir été appelée à une certaine coopération avec l’ESA ou pour transporter la victime ».

Nous avons dit au commandant que ce qu’il nous disait était étrange et contradictoire, parce qu’avant cette entrevue, nous avions pris contact avec M. Adilson Usier, le directeur de l’hôpital régional, qui a affirmé que le département du feu de Varginha [et non pas de Tres Coracoes] a participé au transport du cadavre. Le Capitaine Alvarenga a alors dit que c’était une erreur de M. Usier.

Selon le commandant, « les ufologues impliqués de la recherche de ce cas, Ubirajara et Pacaccini, imaginent tout et se servent de la situation, essayant de mettre leurs noms dans les médias » Pacaccini se défend : « je suis une personne très respectée, tant dans ma profession que dans ma vie privée. Je n’ai jamais eu besoin de la recherche ufologique pour me promouvoir ». Nous pouvons en dire de même d’Ubirajara.

Tentative de corruption

A.J. Gevaerd, Éditeur : Mme Luisa Helena da Silva est la mère de Liliane et de Valquiria. Le 29 Avril 1996, à environ 10 heures du soir, quatre hommes bien habillés se sont rendus à son domicile en vue de la suborner, avec de l’argent et des marchandises, si leurs filles nient l’histoire entière, revenant sur leur compte rendu précédent. […]

Luisa Helena da Silva : Je ne sais pas qui sont ces personnes qui ont essayé de me suborner, parce que je ne les avais jamais vus avant et je ne les connais pas. Mais je sais que, un lundi, il y a environ deux semaines, elles sont venues ici à 22 heures. Je ne sais pas pourquoi elles sont venues en soirée, je pense que c’était pour que personne ne puisse les identifient dans la rue. Je n’ai pas d’habitude de visites à cette heure-là. Ils étaient quatre hommes, tous en espadrilles sombres et costumes. Deux d’entre eux ont apparemment dans les 40 ans et les autres étaient plus jeunes. Deux d’entre eux étaient blancs et deux étaient bruns. Un des blancs était trop blanc, il ressemblait à un Russe. Ils n’ont pas semblé être des militaires. J’ai pensé, à ce moment, que ce pourrait être des gens de la police, mais j’e ne le pense plus. Ce que je sais est que ces hommes, c’est certain, ne sont pas de Varginha. Mais deux d’entre eux avaient l’accent de la région du Minas du Sud.

Il y avait seulement moi et trois de mes filles à la maison : Liliane, Valquíria et Fernanda, la plus jeune, qui dormait déjà. Ils ont tapé dans leurs mains devant la porte. Valquíria est allée voir et m’a indiqué qu’il y avait quatre hommes dehors. Tandis que j’étais dans ma chambre à coucher changeant mes vêtements, ils sont entrés dans ma maison, n’ont pas attendu pour voir s’ils y étaient invités ou non, ils sont venus et sont entrés, envahissant ma maison. Ils ont dit mon nom, comme s’ils me connaissaient déjà, ils ont dit qu’ils voulaient « bavarder » avec moi et avec les filles au sujet de l’ET qu’elles ont vu. Ils ont dit que ce moment était la seule occasion ou ils pouvaient être ici et m’ont demandé de fermer la porte à clef parce que c’était un entretien privé et que je ne pouvais recevoir aucune visite. J’ai été effrayée mais, quoi qu’il en soit, Valquíria est allée fermer la porte à clef.

J’ai demandé si Ubirajara les envoyait ici. L’un d’eux a indiqué qu’ils n’ont rien à voir avec Ubirajara et que je devrais l’oublier. Après qu’ils aient entendu les filles, je leur ai demandé qui ils étaient, ils m’ont dit que ce n’était pas mes affaires. Ils ont demandé à mes filles de quoi elles rêvaient, quel était mon travail, à combien se montait mon salaire, où mon mari travaillait et si la maison était à moi. Ils voulaient savoir quel était mon principal souci et si les filles travaillaient.

Si je donnais ma parole que je ne dirais rien au sujet de leur visite – particulièrement à Ubirajara et à Pacaccini – ils me feraient une excellente proposition. Ils ont dit qu’ils étaient « la mine d’or » que nous n’avons jamais pensé avoir. « Ils ont dit qu’ils savent que je suis pauvre ». Ils m’ont fait une proposition, dit qu’elle était irrésistible, qu’ils ne voulaient pas m’acheter, mais que cette aide était millionnaire.

Je n’ai désormais aucune tranquillité, parce qu’après l’entrevue que j’ai accordée à « Fantástico », je ne sais pas ce qui peut se produire. Comme j’avais peur, je leur ai donné ma parole. Ils ont dit qu’ils voulaient que je vienne avec mes filles, et personne d’autre, pour parler dans une station de TV, pas à cette petite station locale, mais dans une plus grande station en dehors de Varginha. Si je démentais tout, si je disais que mes filles n’ont jamais vu quoi que ce soit, et quelques autres choses que je devrais répéter avec eux, ils ont dit qu’ils payeraient en argent comptant.

J’ai été si surprise que je n’ai pas demandé combien ils offraient. Ils ont seulement dit que je pourrais acheter une maison, payer mes dettes et cesser de travailler en tant que bonne. Je suis devenu très nerveuse et inquiète… J’ai demandé s’il n’y avait pas un numéro de téléphone que je pourrais appeler un autre jour pour donner la réponse. J’ai dit que je devais réfléchir. Ils n’ont pas accepté et ont dit ils reviendraient.

Après que nous sommes apparus dans « Fantástico », parlant de la tentative de corruption, je suis sûr qu’ils reviendront. Pacaccini connait ma [situation] vie et si quelqu’un apparaît avec de l’aide, naturellement je serais reconnaissante. Mais je ne laisserais pas mes filles mentir, particulièrement en ce qui concerne cette matière très sérieuse. Même aussi pauvres, elles ne vont pas mentir. Elles parlent avec la vérité du cœur, il y a là un bon nombre de gens impliqués.

Pour l’instant, je fais toujours le même travail, mais j’ai entendu une conversation disant que ce n’est plus que pour ce mois, parce qu’il y a un trop grand nombre de gens m’appelant à mon travail. Je ne sais pas s’ils ont découvert le numéro, il semble qu’il y a une personne qui nous observe, cela cause trop d’ennuis. Je travaille et puis les gens se mettent à appeler demandant à me parler. Pour être honnête, ma vie s’est transformée en enfer après tout ce qui s’est produit.

Le policier décédé

L’un des médecins qui a traité le policier décédé après la capture et le contact avec l’extraterrestre de Varginha fait de nouvelles révélations.

Dr Furtado : Le policier Marco Eli Chereze a été d’abord accueilli dans le département « Prontomed » (service des urgences) de l’hôpital Régional par mon collègue Armando Martins Pinto (cardiologue) le 12 février 1996. Il y est entré à cause d’une douleur intense dans la région lombaire. Le Dr Armando l’a dirigé sur l’hôpital Bom Pastor, où il a été rapidement été pris en charge par le docteur René, médecin généraliste et cardiologue, responsable en titre du département de cardiologie, qui a ordonné quelques examens. J’ai été alors impliqué, étant à cette époque le superviseur (sorte de coordinateur) de la cardiologie à Bom Pastor.

Le Dr Furtado explique plus loin, au cours de l’entretien, qu’il travaillait dans les deux hôpitaux. Cependant, durant ce mois de janvier 1996, il n’avait pas travaillé à l’hôpital Régional. Il allait tous les matins au Bom Pastor. Il ne sait pas exactement pourquoi Chereze avait été transféré à Bom Pastor : peut-être par manque de place au Régional, ou plus probablement parce qu’il y serait couvert par l’assurance médicale militaire.

Dr Furtado : Le jour suivant, à l’hôpital Bom Pastor, nous avons demandé des examens parce que Chereze souffrait toujours de la région lombaire. Nous avons demandé des analyses d’urine, des radios de la colonne, de la zone lombaire et du sacrum, en plus d’une analyse par l’orthopédiste, parce que la douleur était intense et que nous suspections la présence d’une hernie discale. Le docteur Rogério Ramos s’est chargé de la partie orthopédique de l’état du patient. Il nous indiqua qu’il n’y avait aucune altération et que le problème ne venait pas de là. Il nous dit aussi qu’il nous fallait continuer nos recherches sur la cause des douleurs et sur celle de la fièvre qui commença à apparaître ce même jour.

Les examens de sang arrivés dans l’après-midi montrèrent un hémogramme avec une leucocytose, une déviation à gauche et des granulations toxiques dans les neutrophiles. Ceci était un signe d’une importante infection, hautement capable de provoquer un empoisonnement (toxémie) – car il y avait ces granulations toxiques. Nous avons alors procédé à l’administration de deux antibiotiques : de la pénicilline et de la gentamicine, parce que nous avons pensé qu’il pouvait s’agir d’une pneumonie, à cause de la localisation de la douleur, ou encore d’une infection urinaire. Nous avons donc administré des antibiotiques susceptibles de répondre aux deux possibilités.

Son cas fut évalué à nouveau le 13 février : même état. Le jour suivant, le 14 février, il passa la journée avec de la fièvre et des douleurs, mais à un stade acceptable. Cela, jusqu’au 15 au matin où il se réveilla en proie à de la fatigue, à une torpeur et à des signes de cyanose (coloration bleuâtre de la peau due à un manque d’oxygène – NDT). Ces symptômes tendaient à confirmer un empoisonnement général véhiculé par le sang, avec une issue possible de septicémie. Il fut alors immédiatement transféré au CTI (traitement intensif) de l’hôpital Regional, où il fut accueilli et mis sous médication.

À la demande d’Ubirajara, le Dr Furtado donne plus de détails sur son état clinique. Au CTI de l’hôpital Régional, l’un des examens visait l’HIV, avec un résultat négatif. Son état de santé s’est détérioré rapidement et il est mort en quelques heures, bien qu’on lui ait donné des antibiotiques peu après son admission. Cela a intrigué tout le monde, et l’on a procédé à son autopsie. Elle n’a pas permis de constater une infection urinaire, mais celle-ci a été ensuite confirmée par les analyses d’urine qui avaient été ordonnées au Bom Pastor. Il souffrait aussi d’une légère pneumonie. « À mon avis », souligne le Dr Furtado « l’infection urinaire a été la cause de la septicémie car l’infection pulmonaire était si minime qu’elle n’aurait pas pu provoquer un tel état. »

Les proches de Chereze, principalement sa sœur Antônia, soupçonnaient que l’abcès qu’avait eu Chereze à l’aisselle gauche, juste après l’opération militaire, n’avait pas été correctement soigné, ce qui avait pu causer les infections. Mais, selon le Dr Furtado, c’est impossible car, lorsque Chereze fut admis à l’hôpital, l’abcès était pratiquement guéri. De plus, cet abcès était dû à une autre bactérie, un staphylocoque, ce qui est normal pour une petite infection de la peau.

Le point principal, insiste le Dr Furtado, est que la cause de la mort – la causa mortis – n’a pas été clarifiée. Quelques jours plus tôt, le garçon était en bonne santé, et au début l’infection semblait relativement simple. Il n’avait jamais eu auparavant de traitement lourd pouvant causer une déficience immunitaire. Et cela ne pouvait pas non plus être congénital car, si cela avait été le cas, il n’aurait pas atteint l’âge de 23 ans en bonne santé. C’est pourquoi nous pouvons affirmer que son immunodéficience a été « acquise », mais nous ne savons pas comment. Sa mort n’a été causée ni par une pneumonie, ni par une infection urinaire, ni par l’abcès.

Et le Dr Furtado ajoute : Au début, le diagnostic d’une infection urinaire ou rénale a prévalu à cause de la présence d’une « entérobactérie ». Mais, en moins de vingt jours, trois bactéries ont attaqué le policier. TROIS ! C’est quelque chose de très rare dans le monde. Lorsque Marco a eu une infection pulmonaire, il n’avait déjà plus aucune défense immunitaire. Dans une telle situation, n’importe quelle bactérie peut prendre le contrôle d’une personne.

Ubirajara : Dans l’hémogramme envoyé par le laboratoire des analyses cliniques du Bom Pastor, il est dit à la rubrique observations : « Présence de vacuoles cytoplasmiques. Présence de granules toxiques fines de 8 % dans les neutrophiles. Discrète polikilocytose ». Comment pouvez-vous, comme médecin, interpréter la présence de 8 % de ces granulations toxiques fines dans les neutrophiles ?

Dr Furtado : Elles apparaissent dans les neutrophiles d’une personne qui est victime de l’agression d’une bactérie très virulente. Cela provoque une zone de combat, appelons-la ainsi, qui pourrait arriver à 50 ou à 60 %. Le dossier mentionne 8 %, parce qu’il se réfère à la première analyse de sang. Et cela démontre déjà qu’il y a infection, ce qui nous a conduit à prescrire deux antibiotiques.

Ubirajara : Dans les milieux ufologiques, lorsque quelques enquêteurs liront cette affirmation dans les résultats de l’hémogramme, ils vont interpréter que ces 8 % de granulations toxiques étaient des choses inconnues, la présence d’une nouvelle substance ou encore quelque chose d’autre.

Dr Furtado : Non, rien de tout cela, absolument rien. Comme je l’ai déjà dit, elles n’apparaissent pas dans d’autres infections, mais elles sont fréquentes dans les infections graves.

Ubirajara : Pendant tout le temps que vous avez suivi le policier, avez-vous remarqué, aussi bien au Bom Pastor qu’au Regional, la présence d’un quelconque médecin inconnu, venu de l’extérieur ?

Dr Furtado : Non, je n’ai pas remarqué. Je n’ai pas vu non plus les supérieurs de Marco Eli Chereze, que ce soit de la police ou de l’armée. Ils ne m’ont pas cherché, même pas pour recueillir la moindre information concernant le garçon, pendant les deux ou trois jours.

Ubirajara : Dans l’enquête qui conclut au décès de Marco, il y a la déposition d’un dermatologue. Il évoque une infection sanguine, dans laquelle les globules rouges auraient été attaqués par les globules blancs. Ces 8 % de l’examen du sang, ainsi que le dit le dermatologue, auraient pu dénoter une contagion par la peau d’une éventuelle substance toxique qui aurait attaqué ses globules rouges. Que pensez-vous de cela ?

Dr Furtado : Cela n’a rien à voir. Il n’y a pas de relation entre ces éléments. Le rapport dit aussi qu’il aurait pu se passer quelques jours avant que le processus se concrétise, mais lorsqu’il apparaît, il est fulgurant – ceci n’est pas la vérité. Bien au contraire. Si une contagion apparaissait de cette façon par la peau, nous serions décimés de façon fulgurante tous les jours.

Ubirajara : Avez-vous réussi à voir le corps ?

Dr Furtado : Non, non, je n’ai pas pu. Ce n’est pas courant. Après le décès, le corps est emmené pour que l’on procède à l’autopsie et il n’y a aucun autre recours. Après le décès de la personne, vous prévenez la famille – et dans le cas en question, ce n’est même pas moi qui en ai été chargé, parce que lorsqu’ils l’ont emmené au CTI, j’ai transféré mes responsabilités à l’autre médecin du CTI.

Ubirajara : La famille pensa-t-elle à demander l’exhumation du corps ?

Dr Furtado : Non, pas que je sache. Parce que, malgré le fait que l’immunodéficience n’avait pas été prouvée, ce n’est pas une exhumation qui en aurait apporté la preuve. La causa mortis immédiate fut confirmée. Ce qui causa la mort à l’instant où elle est intervenue. Cela dit, ce qui l’a provoquée ne fut pas éclairci. Sur le certificat de décès, la cause de la mort ne figure pas car il n’y avait pas le moindre élément permettant de garantir quoi que ce soit.

Ubirajara : Sans vouloir extrapoler la finalité de cette entrevue, et en restant rivé aux faits, est-ce que vous avez observé un quelconque mouvement différent à cette époque, dans l’un ou l’autre de ces hôpitaux ?

Dr Furtado : J’ai entendu parler de beaucoup de choses, mais je n’ai assisté à aucun mouvement particulier. Les rumeurs allaient bon train dans toute la maternité de l’hôpital Régional, mais je n’y ai jamais travaillé parce que je n’étais pas obstétricien. En plus, la maternité était un peu séparée, la porte d’entrée et le reste bien à l’écart. À l’hôpital Humanitas, où j’ai aussi travaillé à cette époque, je n’ai rien remarqué. Pas même des commentaires entre les médecins, les infirmières ou le personnel administratif.

Ubirajara demande ensuite s’il y avait des zones isolées dans ces hôpitaux. Le Dr Furtado explique que, au Régional, il y avait une aile réservée, pour les patients contagieux. À l’Humanitas, il y a eu quelques mouvements, et il y avait beaucoup de chambres inoccupées. Cependant, en 1996, il n’y avait plus de quartiers d’isolation, sauf dans les hôpitaux spécialisés pour les maladies contagieuses.

Ubirajara : Voyez-vous autre chose d’intéressant à nous dire sur cet épisode ?

Dr Furtado : Écoutez, il y a cette histoire rapportée par la famille (à propos de la capture d’un être), que je ne connais pas et dont je ne sais rien. Si une histoire a été tissée autour de cet évènement, on ne le sait pas. Mais si nous analysons bien la façon dont les choses se sont passées, nous ne trouvons aucune explication rationnelle quant à la mort du garçon. Aurait-il acquis à travers ce contact, ou par une blessure qu’il aurait eue sur la peau, une chose quelconque qui aurait eu raison de sa résistance de façon foudroyante ? Parce que cela a été terriblement rapide, vous comprenez ? Je vous garantis qu’aucun abcès ne provoque une immunodéficience. Un abcès peut être la cause d’une septicémie, mais cela ne tue personne. Par ailleurs, n’importe quel antibiotique en vient à bout. Ce ne fut pas le cas. Ce n’est pas la bactérie entrée par le bras qui provoqua l’infection.

Ubirajara : À moins qu’il ne se soit agi d’une bactérie totalement inconnue, ce qui est peu vraisemblable ?

Dr Furtado : Oui. Bon, si nous parlons de quelque chose de complètement inconnu, il est évident qu’il serait impossible de se risquer à des conjectures. Il n’y a aucune réponse possible. Maintenant, est-ce que quelque chose aurait pénétré à l’intérieur de son organisme, quelque chose d’inconnu également, qui l’aurait privé de son système immunitaire ? Ceci est une autre question sans réponse.

Ubirajara : Vous pourriez nous dire quel type d’agent serait susceptible de provoquer cela, par exemple ?

Dr Furtado : Je ne sais pas. Cela pourrait être un « poison » injectable, une infection dans la peau blessée, au visage ou au pied. Cela pourrait être une blessure causée par un clou, qui provoquerait le tétanos, etc. Mais le tétanos, nous connaissons. Une multitude de choses, pourrais-je dire, et je ne le dis que pour énumérer quelques exemples de ce qui aurait pu contaminer le garçon et le priver de sa résistance immunitaire. Je répète que je dis que cela « pourrait être ».

Ubirajara : Vous êtes en train de me dire que la mort de Marco Eli Chereze fut une mort étrange ?

Dr Furtado : Une mort étrange et sans explication rationnelle. Au cours de ma vie professionnelle, j’ai déjà vu deux personnes d’environ 25 ans mourir ainsi d’une infection, mais pour toutes les deux nous étions au courant de leur déficience immunitaire. Et toutes les deux, si je me souviens, avaient subi l’ablation de la rate (splénectomie) par suite d’un accident dans le passé. Après un certain délai, cela cause une immunodéficience. Dans cette situation, la personne peut décéder rapidement si elle se trouve dans les conditions d’une septicémie. Mais, une fois encore, là ce ne fut pas le cas.

Des mouvements de militaires et d’avions décrits par des témoins.

Avocat à Varginha et ancien militaire, M. J.C. (les initiales sont factices, son vrai nom ne peut pas être indiqué) fut témoin des mouvements militaires dans la ville la même semaine où les filles ont aperçu la créature.

Après que j’ai vu la créature, presque personne ne l’a noté, mais il y avait là les avions de la VASP [note du T. : VASP : une compagnie brésilienne de ligne aérienne] au-dessus de Varginha, à une altitude très basse. J’ai également vu l’armée ratisser le secteur, il y avait là un bon nombre de militaires. Personne n’a rien remarqué.

J.C. a décrit les avions qui ont volé au-dessus de la ville comme étant deux F-5. Il a dit qu’ils n’étaient pas en une formation normale, ils étaient dans quelque formation d’attaque…

Cependant, le fait le plus important dont il a été témoin était la présence des véhicules de l’armée près d’un bois (près d’où les chercheurs affirment qu’un ET a été capturé). Il passait là et a vu un camion transportant environ sept soldats. Il n’a pas su ce qu’était l’intention de ces hommes : « Ils marchaient autour du secteur, comme pour une battue. Ils portaient les uniformes verts de campagne (camouflés). Certains d’entre eux étaient en vêtements civils et ils ont marché par groupes de deux. D’autres gens les ont également vus, je n’étais pas le seul à les voir. Elles ont disparu mystérieusement, je pense qu’elles se sont rendu compte de ce qu’elles observaient.

Quelques jours plus tard, J.C. a entendu dans un arrêt d’autobus près de sa maison [au voisinage de Jardim Amélia II, à Varginha] quelques personnes commentant l’histoire. Ces personnes ont dit que le même jour où il a entendu les avions, elles ont entendu le bruit de trois projectiles qui ont semblé être des balles de fusil. Une personne que J.C. connait a donné plus de détails. Selon l’avocat, l’un d’eux était immobile, mais l’autre bougeait, il semblait qu’il y ait eu quelque chose de vivant à l’intérieur. Peu après cette opération, les camions ont disparu. Quelques curieux ont essayé de ratisser l’endroit, mais elles n’ont rien trouvé rien. Le tout s’est produit à environ 10 h 30 du matin.

J.C. indique que c’était seulement la première opération de capture. Selon son témoignage, il y en avait eu une seconde, qui a eu lieu entre 1 h 30 heure du matin et 2 h 30 heure du matin le même jour. Alors que U.K. quittait son bureau, tôt cette après-midi, il a vu un camion partir de la ville et s’arrêter sur le côté opposé d’un raccourci de terrassement.

D’autres observations d’OVNIS et d’extraterrestres à Varginha.

Le 21 avril 1996, à 21 h 00, Mme Therezinha Gallo Clepf, 67 ans, femme au foyer, a aperçu une créature étrange au restaurant Paiquerê, qui se situe dans les bois du Zoo et Jardin Botanique de Varginha (dans le Minas Gerais), où elle vit. Nous nous sommes rendus à son domicile afin de l’interviewer : J’étais à une fête au restaurant du zoo et je suis sorti pour fumer une cigarette dans la véranda, et j’ai vu la créature au parapet de la véranda, seulement au-dessus du cou. Elle a affirmé être sure que ce n’était aucunement un animal du zoo.

Mme Therezinha a été très effrayée, et s’est figée, restant ainsi pendant environ cinq minutes, regardant pendant tout ce temps la créature, sans faire le moindre geste.

Selon son histoire, la différence entre la créature qu’elle a vue et celle observée par les filles était le casque qu’elle a vu couvrant la tête de la créature, qui l’a empêchée de voir les oreilles et les petites cornes qu’elle a probablement (en se basant sur la description des filles). Le reste était semblable : l’être avait également la peau brun foncé, luisante et huileuse, un visage arrondi, des yeux rouges, et pas de joues, ni de barbe, moustache ou nez, et, à l’emplacement des lèvres, elle avait seulement une mince fente.

Mme Therezinha était près de la créature, à environ quatre mètres de distance, selon elle. Encore aujourd’hui, presque deux mois après l’incident, elle a peur de revoir à nouveau l’extraterrestre.

Quelques jours après que Mme Therezinha ait vu l’ET dans le zoo, cinq animaux ont été trouvés morts à cet endroit, et le biologiste du zoo, le Dr. Leila Cabral, n’a pas d’explication pour de tels décès. Un examen des animaux a été fait et, dans le résultat, on signale que : pour le mâle, la raison de la mort suggère la présence d’une substance toxique caustique. Les autres animaux ont des causes de décès complètement inconnues. Le rapport médical officiel suggère juste (sans le confirmer) la présence de ce type de substance toxique. Il n’y a aucune vraie raison pour les décès des quatre autres animaux (…).

Des reportages à voir sur YouTube

Voici une vidéo d’un interview sur l’accident de Varginha avec des dessins sur les créatures : http://youtu.be/DSBH7-oNMkI

Un reportage TV en 5 parties qui raconte en détail cette affaire.
www.youtube.com / partie 1
www.youtube.com / partie 2
www.youtube.com / partie 3  C’est dans cette partie qu’est racontée l’autopsie (5e minute). On notera la phrase (4,40e minute) « Certains pensaient que cela pouvait être « l’enfant du diable » tant sa laideur était grande« .
www.youtube.com / partie 4
www.youtube.com / partie 5. Cette partie qui clôture le film n’a aucun intérêt.