Je vais délivrer complètement le pays qui t’a vu naître, l’Algérie.
Message de Jésus à JNSR (France) – Messages du 21 Mars 2007.
Jésus : Mon enfant, continue à informer. J’attendais ce jour pour continuer à te parler. Ce que Je suis en train de faire partout pour délivrer mon Peuple des griffes de Satan, c’est pour vous tous, mes enfants aimants me suppliant d’arrêter ce mal qui ronge la Terre. Vous qui me priez, me suppliez, m’adorez, Je ne peux rester insensible à vos Prières. Lorsque Je te disais, et te redis encore, faites et Je ferai, J’ai vu combien vous avez bougé à mon Appel.
Mon enfant, pour ceux qui t’ont suivie, qui ont cru ou qui n’ont pas attaché d’importance à ce que Je te donne pour eux, pour toi, Je vais délivrer complètement le pays qui t’a vu naître, l’Algérie. Et ensuite, ce sera une partie de chaque pays, cette même partie délivrera le reste. Tout revient à Dieu.
Mon Père vous demande de continuer à avoir Foi en ma Parole, car Il est avec moi dans cette délivrance pour tous ceux qui ont été les plus opprimés. Mon enfant, Je t’ai dit : pour un pas que vous faites, J’en ferai trois ! Me voici bientôt. Vous me verrez.
Tout œil me verra. Priez ma Sainte Mère, Marie de l’Espérance qui, avec moi, ouvre la terre de Son pays en ouvrant tous les cœurs.
Jésus de Nazareth
J’aime tous mes fils, de toutes races, de toutes religions.
Message de Jésus à JNSR (France) le 5 décembre 2006.
Jésus : Mon enfant, ce n’est pas le seul Peuple Juif que Je veux informer, ce sont tous tes frères que J’informe, Juifs et Arabes. Tu es née en Algérie, tu es choisie pour parler à tout l’Orient. J’aime tous mes fils, de toutes races, de toutes religions. L’identité du Dieu Sauveur appartient à chacun et à tous, à tous ceux qui désirent ma Paix.
Je te demande d’informer par tous les moyens. Toutes les ondes le répèteront. Faites et Je ferai. Dans l’information, tu dois aller jusqu’à l’Orient. Mon Peuple, c’est le monde entier. Suivez mes pas. Pas à pas, c’est votre ascension qui me fera descendre vers vous.
Vous me demandez : « Quand reviendras-Tu Seigneur ? », c’est vous, tous ensemble, qui détenez cette date. Ce sera lorsque le dernier que m’a confié le Père portera en son cœur Mon Nom Sacré, YHShWH.
Jésus-Christ, Sauveur des hommes.
J’ai rencontré Jésus en Algérie
Extrait du site Croire et Vivre – Témoignage publié dans le magazine n° 200 – Octobre 2021.
Je suis né en 1977 en Algérie dans une famille modeste de ruraux kabyles. J’ai reçu une bonne éducation avec des valeurs conservatrices, mais tolérantes. Mes parents m’ont comblé d’un amour sans égal. Nous étions une famille soudée.
Malheureusement, de nombreux problèmes de santé ont gâché mon enfance et ma scolarité. Cependant, ces douleurs insupportables m’ont aussi conduit à réfléchir à une nouvelle conception de la vie.
Arrivé en France en 2009, j’ai pu régler mes problèmes de santé les plus importants.
Des rêves m’ont conduit à la Bible
Mes nombreuses épreuves m’ont éveillé à l’existence et à la puissance d’un Dieu créateur de l’univers qui contrôle sa création et qui dirige ma vie. En 2005, j’ai reçu des visions et des rêves prémonitoires spectaculaires qui m’ont poussé à chercher à le connaître réellement.
J’ai consulté un psychologue de renom, mais il n’est pas arrivé à trouver l’explication de ces phénomènes surnaturels. J’étais désespéré.
J’ai alors cherché à décortiquer le message de Dieu transmis par ces rêves qui se réalisaient tous les uns après les autres. Ils me conduisaient clairement vers la Bible. J’ai commencé à la lire, et j’ai ainsi découvert progressivement la longue histoire surprenante de Dieu avec les hommes.
La Bible m’a conduit à Jésus-Christ
J’ai été convaincu que le Dieu de la Bible me parlait. Il me conduisait jour après jour et m’enseignait son amour. J’ai compris qu’il avait son plan pour moi. Impressionnant ! Pourtant, mon orgueil m’empêchait de prononcer le Nom de Jésus lorsque je lisais les évangiles. J’ai toutefois persévéré en faisant confiance à Dieu pour qu’il m’ouvre les yeux et que je puisse comprendre le mystère de la Trinité d’amour : Père, Fils et Saint-Esprit.
En remarquant mon intérêt pour la confession chrétienne, ma sœur m’a fait part qu’elle connaissait Jésus-Christ depuis dix ans. Elle ne me l’avait pas dit car elle avait peur que je l’empêche d’aller à l’église. Quel bonheur ! Elle m’a invité avec ma petite sœur à son église où ma foi a grandi. Mes cousines, également chrétiennes m’ont aussi aidé. Ensemble, nous formions une petite communauté chrétienne au sein de notre famille.
Jésus-Christ me conduit aujourd’hui
C’est en mars 2007, en Algérie, que j’ai témoigné publiquement de ma vie nouvelle par le baptême au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Dans sa grâce, Dieu a conduit vers lui mes parents, mes deux frères et d’autres membres de ma famille et des amis très chers.
Aujourd’hui, je continue d’apprendre à mieux connaître Jésus, mon Sauveur et mon Seigneur. Mon souhait est également de pouvoir encadrer un jour les chrétiens dans les pays où ils sont persécutés. (…)
Hafid AZZOUZ
On utilise parfois curieusement l’expression d’« indigènes musulmans catholiques »
Texte extrait de l’article : Les conversions au catholicisme en Algérie. Je vous invite à lire le texte en entier sur le site d’origine.
Dès la conquête d’Alger en 1830, l’ambition de restaurer la chrétienté latine d’Afrique s’exprime dans les sphères du pouvoir et de l’autorité militaire, bientôt relayées par certains princes de l’Église, notamment le cardinal Lavigerie, qui la diffusent dans la pastorale et le catholicisme populaire où elle reste présente jusqu’à la fin de l’ère coloniale. Pourtant, dès le gouvernement de Louis-Philippe, l’État prend nettement position contre tout effort de conversion des musulmans par crainte de troubles publics. (…)
Avec la République de l’Ordre Moral le gouverneur général, l’amiral Gueydon, se déclare favorable aux missions : Jésuites, Pères Blancs et Sœurs Blanches en créent, surtout en Kabylie dont la population a la réputation d’être peu musulmane, ou même que l’on veut croire encore marquée par son christianisme antique (c’est le « mythe kabyle »). Mais cet optimisme se heurte à l’insurrection kabyle de 1871, à la suppression de la subvention de l’État aux villages d’orphelins, et finalement à la venue au pouvoir en métropole des républicains laïcistes. C’est seulement après 1918 que ce laïcisme s’atténue, permettant à l’Église une forte activité d’évangélisation auprès des Européens et des Français d’Algérie. (…)
Les premiers chiffres précis dont on dispose datent de 1910, donnant alors 2 000 convertis au christianisme (catholiques et protestants réunis) pour toute l’Algérie. Les villages Lavigerie comptent encore 325 Arabes catholiques, 259 d’entre eux ayant demandé et obtenu la nationalité française, mais les autres restant simples sujets français indigènes pour éviter le service militaire. La plupart des enfants des villages Lavigerie sont devenus agriculteurs, mais plusieurs ont fait des études, dont cinq deviennent médecins et trois missionnaires.
Progressivement, les deux tiers se sont dispersés dans toute l’Algérie car la surface des terres des Attafs est trop réduite. En 1928, il en reste sur place deux cents, dont certains ont perdu la foi chrétienne, mais aucun n’est revenu à l’islam. Plus de la moitié des filles ont épousé des Européens et près de la moitié des garçons des Européennes.
Il y a aussi d’autres phénomènes de groupe. Certains constituent des blocs, comme les Beni Ouadhia, dans une commune mixte du Djurdjura, qui sont tous devenus catholiques. Mais il s’agit plutôt de regroupements d’individus et de jeunes ménages rejetés par la société kabyle. En 1931, une autre enquête compte 633 chrétiens en Kabylie et mentionne neuf postes de missionnaires dans le Djurdjura, ayant tous un petit noyau de convertis, en majorité naturalisés. Pour désigner les convertis non naturalisés, on utilise parfois curieusement l’expression d’« indigènes musulmans catholiques ». (…)
En fait, si les Arabes des Attafs se sont tournés vers les Européens, les missionnaires n’ont pas cherché à européaniser les Kabyles convertis. Mais ceux-ci émigrent beaucoup, notamment au Maroc et à Paris, où ils deviennent des « catholiques français » à part entière.
Le cas d’Augustin Belkacem Ibazizen (1897-1980) est emblématique : fils d’un instituteur kabyle, il devient avocat, homme politique et écrivain, avec une position affichée en faveur du christianisme et de la France (d’abord dans les croix-de-feu, puis en missions auprès de Pétain et plus tard de de Gaulle), et une indifférence ostensible envers l’islam et le monde arabe. (…)
Environ un tiers des convertis ne font que passer par l’évangélisme et adhèrent finalement au catholicisme.
Aussi l’action déterminante en faveur de l’option chrétienne a-t-elle été le fait des évangéliques protestants. Ils ne se veulent, le plus souvent, inféodés à aucune Église protestante. Mais leur entreprise inclut une opposition à la fois envers l’islam et envers le catholicisme. L’archevêque d’Alger, Mgr Teissier, a fait justement remarquer que le mouvement évangélique, parti des USA mais devenu rapidement international, a touché en premier lieu les catholiques dans le monde. En Algérie même la plus ancienne église, celle des Ouadhia, est désormais gagnée par les nouveaux convertis évangéliques. (…)
La conversion à l’évangélisme est préférée parce qu’elle ne demande pas de préparation. Le baptême est donné presque immédiatement alors que l’Église catholique exige un catéchuménat assez long. Mais, de l’avis de certains pasteurs protestants eux-mêmes, environ un tiers des convertis ne font que passer par l’évangélisme et adhèrent finalement au catholicisme. (…)
Quant au World Factbook de la CIA, il estime dans qu’il y aurait 1 % de chrétiens et de juifs en Algérie
Famille chrétienne de Grande Kabylie. (Wikipédia)