Nous déplorerons que la Mère de notre Rédempteur ne soit pas encore vénérée officiellement sous le vocable de Marie Co-rédemptrice.
Un souffle qui passe… Messages du Ciel au monde d’aujourd’hui du 9 mai 2024.
Bien chers frères,
Bénie soit la Bienheureuse Vierge Marie, et bénis soient tous les si beaux titres que la Sainte Église catholique lui a dédiés pour lui rendre hommage.
Mère de la pureté, elle a formé de sa chair immaculée et porté en ses entrailles Jésus, le Fils du Dieu très haut, pour le donner au monde. Alors, comprenez, chers frères, que sans la participation de Marie – humble fille d’Israël, élue par le Père depuis toute éternité pour être la Mère de son Verbe – et sans la libre acceptation de celle-ci, Dieu ne se fût jamais révélé aux hommes sous les traits du Christ Jésus, et le monde n’eût jamais été gratifié d’un tel Rédempteur.
C’est pourquoi ce même Jésus répondit à Philippe, qui souhaitait qu’il lui montrât le Père : « Celui qui m’a vu a vu le Père. […] Ne crois-tu pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi ? (…)
Alors, puisqu’il en est ainsi, bien chers frères, ne montrez pas vis-à-vis de la Très Sainte Vierge Marie la même incompréhension que celle que l’Apôtre Philippe a montrée vis-à-vis de Jésus par rapport au Père. Et n’adoptez pas non plus la même indifférence que celle que montrent communément les hérétiques vis-à-vis de cette Mère admirable !
En effet, puisque Marie est la Mère de Jésus, le Christ, qui s’est fait pleinement Homme tout en étant aussi pleinement Dieu, et puisque ce même Jésus vous a fait don, grâce à Marie, du sacrement de l’Eucharistie, où Dieu se donne en plénitude, comment ne pas reconnaître en elle la Mère de Dieu, celle par laquelle a été donné et révélé aux hommes le Dieu Un et Trine ?
En outre, puisque Marie a été le Tabernacle vivant de Dieu fait Homme, ne trouvez-vous pas conséquent qu’elle ait pu partager avec son Fils une relation absolument unique, non seulement tout au long de la vie terrestre de notre Seigneur Jésus, mais aussi jusque dans sa Passion, dans sa Crucifixion, dans sa Résurrection d’entre les morts et dans son Ascension ?
C’est, en vérité, chers frères, ce lien d’une insondable profondeur qui lui a valu de vivre, en union avec son Fils, en son cœur de maman et jusque dans sa chair, les stigmates de la Passion et les souffrances de la Croix comme un glaive de douleur transperçant son âme, ainsi que le lui avait révélé le juste et saint vieillard Syméon au jour de la Présentation de Jésus au Temple.
C’est pourquoi nous qui sommes au Ciel et pouvons témoigner du rayonnement extraordinaire dont la Trinité Sainte elle-même a doté la Bienheureuse Vierge Marie si belle, si pure, si humble, si douce et si obéissante, en l’établissant comme Reine sur tout le monde céleste et comme Mère de toute l’humanité sauvée du Péché par la Croix de son Fils, ne pouvons que déplorer que la Mère de notre Rédempteur ne soit pas encore vénérée officiellement dans l’Église catholique sous le vocable de Marie Co-rédemptrice.
Marie Co-rédemptrice puisqu’elle fut la première parmi tous les êtres humains à unir ses souffrances à celles du Fruit de ses entrailles pendant toute sa Passion et sa Crucifixion.
Marie Co-Rédemptrice non point dans le sens où ses souffrances de Mère pussent ajouter quoi que ce soit à l’offrande de ce Fils pour racheter le monde, mais où, en les y associant, elles vinssent, comme un baume précieux, adoucir les souffrances de Notre-Seigneur lui-même. Adoucir ses souffrances corporelles, certes, mais aussi ses souffrances morales, celles qui, depuis le Jardin de Gethsémani jusqu’à sa mort sur la Croix, sont venues torturer son esprit : celles de tous les manques d’amour, de toutes les jalousies, de toutes les trahisons, de toutes les corruptions, de toutes les impuretés, de toutes les méchancetés et de toutes les sortes de péchés dont les hommes ont pu se rendre coupables sous l’influence du Mauvais depuis leur origine jusqu’à la fin des temps. (…)
Mais revenons à la Bienheureuse Vierge Marie, qui est appelée par surcroît Mère de l’Église, et comprenez, chers frères, qu’il s’agit non seulement de l’Église militante de la Terre, mais aussi de l’Église souffrante du Purgatoire et de l’Église triomphante du Ciel.
En effet, elle est la Mère de tous les membres du Corps Mystique de son divin Fils, qui, nourris de sa Parole et de son Eucharistie sur cette Terre, sont élevés par lui après leur mort jusque dans les sphères purgatives et dans la gloire du Ciel, où il leur fait partager les privilèges de sa divinité.
Et vous ne devez pas oublier une seule seconde que cette bonne Mère intercède pour vous, chers dévots de son Cœur Immaculé, auprès de son Fils, pour qu’à l’heure de votre mort, il trouve votre âme dans les meilleures dispositions et vous accueille parmi les Sauvés.
Que Notre-Seigneur et sa très sainte Mère vous bénissent et vous gardent.
Vos frères dans la Vérité.
En complément, lire sur le site Wikipédia la page dédié au Dogme marial. En voici un extrait.
Demandes de nouveaux dogmes
Depuis la fin du XIXe siècle, plusieurs personnes ou mouvements se sont tournés vers le Vatican pour lui demander un nouveau dogme marial. Ces demandes récurrentes n’ont jamais obtenu l’accord de l’Église catholique. (…)
Avant les années 2000, 40 cardinaux, 430 évêques et quatre millions de fidèles, ont lancé des pétitions et lettres aux papes pour demander la formulation d’un cinquième dogme marial (que ce soit ceux de « Médiatrice, de Co-rédemptrice ou d’Avocate ». Le Vatican les a repoussés.
Enfin, plusieurs personnes au Vatican soulignent que la proclamation (unilatérale par l’Église catholique) de nouveaux dogmes mariaux rendrait plus difficile, voir gênerait, les relations œcuméniques entre Églises chrétiennes. (…)
Avant le concile Vatican II, des demandes de définition d’un nouveau dogme de « Marie co-redemptrice » se faisaient déjà jour. Durant le concile, les pères conciliaires ont évoqué l’hypothèse de définition de ce nouveau dogme. Ils ont souligné l’ambiguïté du terme de « co-rédemptrice » et ne l’ont pas intégré dans la constitution Lumen gentium qui consacre pourtant un chapitre à la Vierge Marie.
Déjà présente au XXe siècle, la demande de formulation de ce dogme se poursuit au début du XXIe siècle.
En 2005, un congrès marial, tenu à Fátima, sur le thème de la « coopération de la Vierge Marie à l’œuvre de Rédemption de l’homme » se conclut par l’envoi d’une lettre au pape pour demander la promulgation du nouveau dogme.
En 2008, ce sont cinq cardinaux qui lancent une pétition et la transmettent au pape Benoît XVI. Toutes ces demandes sont rejetées. En 2019, c’est le pape François, qui (à son tour), coupe court à ces demandes récurrentes. (…)
Chapitres complémentaires :
La Sainte Vierge Marie
La divine Conception Immaculée de Marie
Marie, mère des hommes
L’heure de grâce du 8 décembre
Le visage de la Vierge Marie
La Vierge Marie apparaît devant Vassula
La Sainte Maison de Lorette
Pour info :
Le Grand Miracle de Garabandal se produira entre le mois de mars, avril ou mai, un jeudi soir à 20 h 30, le soleil luira encore ; il coïncidera avec la fête d’un saint de l’eucharistie et un heureux événement dans l’Église ; il sera, moins de douze mois, précédé de l’Avertissement.
Je rappelle que personne ne connaît l’année de l’Avertissement, ni donc du Grand miracle, qui aura lieu moins d’un an après.
Ils furent deux à partager ce calice d’amertume qui n’en fut pas amoindri pour autant.
Messages de Notre Seigneur Jésus-Christ, le lundi 8 novembre 2021. Pour lire le message en entier : Soeur Beghe.
(…) Sa participation à la souffrance divine en son Fils fut réelle, elle fut profonde, entière et partagée. Tout ce qu’Il souffrit, elle le souffrit parce qu’un partage n’est pas un amoindrissement, c’est la même étendue pour chacun. Ce partage fut une épreuve indescriptible et il fut l’unique consolation du Christ en Sa Passion et Sa Mort douloureuse sur la Croix.
Il prit tout sur Lui, rien ne Lui fut épargné, Il souffrit tout et la participation de Sa Mère, Sa créature bien-aimée entre toute, à Sa solitude, à Sa dissolution physique, à Ses douleurs insupportables Lui fut cependant un baume et une source d’énergie incomparable. Ils furent deux à partager ce calice d’amertume qui n’en fut pas amoindri pour autant, mais leur union en fut sublimée et leur amour filial et maternel en fut soudé à jamais.
La très sainte Mère de Dieu y acquit sa maternelle sollicitude pour l’ensemble de l’humanité, elle devint réellement la mère de l’humanité car elle acquit, au même titre que son divin Fils et par Lui, sa justification et sa guérison. Le péché originel fut pardonné et la guérison accordée à tous ceux qui désireraient en bénéficier. La sainte Mère de Dieu en avait acquis les mérites et il était juste qu’elle soit reconnue comme Co-Rédemptrice du genre humain. Elle l’est et même si ce titre ne lui a pas encore été reconnu officiellement par la sainte Église, elle l’est et ce ne lui sera pas contesté.
Sitôt le dogme proclamé, vous verrez mon ennemi détruire mon Église de l’intérieur.
Message de Jésus via Marie des Philippines, reçu le 27 mars 2010.
Maman Marie : Nous portons nos croix, subissons notre crucifiement puis nous nous relevons, plus forts, éclairés, et attendons pour un renouvèlement de l’Esprit Saint – ce renouvèlement viendra sur nous.
Jésus : Sitôt le dogme proclamé, (je sens que cela est très proche déjà) vous verrez Mon ennemi détruire Mon Église de l’intérieur. Néanmoins, Ma mère a déjà planté profondément une graine dans les cœurs de ses enfants. Elle a marqué les siens.
Mon père permettra cette destruction [mais] ainsi la nouvelle Église, pauvre et repentante renaitra de ses cendres. Ma véritable Église se redressera glorieuse et resplendissante. Seule la vérité pourra y entrer. Seule la vérité résistera à cette bataille à venir.
Continuez à vous armer avec le rosaire de Ma mère. Il contient les secrets, les mystères de la fin des temps.
Sitôt le Dogme proclamé cela divisera le troupeau. L’Église se divisera et volera en éclats, reconnaissez-le et restez calmes.
Message de Jésus via Marie des Philippines, reçu le 9 avril 2010.
Bien que ce message soit venu avant que mon Rosaire n’ait même commencé, je l’avais « arrêté » et débuté mon Rosaire, mais comme j’entamais le premier mystère, il était déjà si puissant, qu’il faut que je le livre…
Jésus : Tu t’es demandé, ma fille si curieuse, pourquoi une telle insistance sur la propagation de la Divine Miséricorde ?
C’est ce que je m’étais demandé la nuit dernière
Écoute, mon enfant, sitôt le Dogme proclamé [le nouveau dogme marial] – puisqu’il viendra à être adopté : ma mère y sera introduite comme Co-rédemptrice, Médiatrice de miséricorde et Avocate –, cela divisera le troupeau. L’Église se scindera en deux car la foi du bercail a été infiltrée par l’ennemi et beaucoup de cœurs, en conséquence, sont devenus froids. Peu ont la vraie foi. Néanmoins, ceux qui sont Miens et à ma Mère ne vont pas être saisis par l’ennemi.
Une fois qu’extérieurement l’Église se divisera et volera en éclats, reconnaissez-le et RESTEZ CALMES. La Véritable Église est déjà plantée profondément dans le cœur de mes enfants.
Souvenez-vous de la vision de mon fils (Don Bosco a dévoilé la vision du navire parmi les vagues et le navire ancré entre les deux piliers …). Vous recevrez des coups de tous côtés à cause des horribles vagues vous bousculant de gauche à droite – financier, physique, émotionnel… Je vous ai donné deux poteaux sûrs pour jeter l’ancre :
Ma Mère – à travers sa dévotion : consécration et aussi de continuer à prier le rosaire ;
et dès que mon église physique apparemment sera dissoute, et que le blasphème du blasphème se produira (la communion est enlevée ! ;
Ma Divine Miséricorde se tiendra resplendissante, empoignez-la, mon reste, durant ces temps !
Note de la messagère : C’est la première fois, qu’il a été clair pour moi que la dévotion à la Divine Miséricorde se tiendrait là pour remédier à l’absence de la Sainte Eucharistie, pour le vrai reste, quand le vrai sens de la messe sera corrompu, peu de temps après la proclamation du Dogme.
À votre époque sera proclamé un dogme nouveau concernant ma Très Sainte Mère et tout se déclenchera à ce moment.
Message du Seigneur à JNSR (France, décédée en 2022) le 2 juin 2007.
Jésus : Je t’ai dit : l’Église en est consciente. Cette proclamation concerne quelque chose en rapport avec une vérité incontestable donnée par la doctrine religieuse. Le Magistère du Pape est infaillible quand il définit solennellement une doctrine de foi ou de morale (dogme promulgué en 1870).
Le dogme de l’Assomption de Marie date de 1950 : Marie a été glorifiée en Son Âme et en Son Corps.
Dans le songe, cette église vers laquelle tes pas te dirigeaient, était bien une très belle cathédrale. Tu l’as vu : elle est ancienne et se trouve en hauteur, surpassant tout. Et souviens-toi bien : elle était fermée. Ce n’était pas encore l’heure et déjà les gens s’y pressaient. Ce n’était pas une cathédrale ordinaire, elle est à Rome. Mon enfant, tout se précipite, tout arrive presque en même temps.
À votre époque sera proclamé un dogme nouveau concernant ma Très Sainte Mère et tout se déclenchera à ce moment. Le mal se multipliera. Les massacres dans les églises, les profanations, les incendies, seront les premiers symptômes de la souffrance des Chrétiens. Protégez mes Saintes Hosties. (…)
Nos Deux Saints Cœurs Unis vous bénissent
Jésus, Marie.
Avec lui, la série des dogmes mariaux sera complétée.
30e Message de Notre Dame de tous les Peuples, donné le 1er avril 1951.
Je vois une lumière crue et j’entends une voix qui dit : « Mon enfant, la fois dernière, je suis venue uniquement pour te faire savoir que c’était moi. »
Puis je vois subitement la Dame sortir de cette lumière crue. Elle me dit : « Me voici à présent pour te donner de plus amples explications. Regarde bien et écoute bien ce que j’ai à te dire. Je me tiens ici et je veux être : la Dame de tous les Peuples, non pas d’un peuple en particulier, mais de tous ! »
À ces mots, la Dame tend les mains et je vois une foule de gens différents, même des types humains dont j’ignorais l’existence.
La Dame poursuit : « À présent, je vais te réexpliquer, écoute-moi bien. Essaie de comprendre le contenu de ce message. Je me tiens devant la croix, la tête, les mains et les pieds pareils à ceux d’un être humain. Mon corps comme appartenant à l’Esprit. Pourquoi est-ce que je me présente ainsi ? Mon corps a été élevé, pareillement au Fils.
Maintenant, je me tiens en offrande devant la croix. C’est que j’ai souffert avec mon Fils, spirituellement et plus encore physiquement. Ce sera un dogme très contesté. »
Je dis que ce message me fait peur. La Dame dit alors : « Mon enfant, transmets cela et dis : avec lui la série des dogmes mariaux sera complétée. » Tout en disant cela, la Dame fait une sorte de rond ou de cercle qu’elle ferme pour ainsi dire avec un cadenas.
« Tu n’as rien d’autre à faire qu’à transmettre cela. J’ai dit : il faut que la théologie cède le pas à la cause de mon Fils. Je veux dire par là : théologiens, pour sa cause, le Fils recherche toujours ce qui est petit et simple. Croyez-vous à ce qui est petit et simple, ainsi que vous l’enseignez vous-mêmes aux autres ? Une foi simple ! Nous n’avons pas le temps d’attendre longtemps. Ce temps, c’est notre temps. »
À présent, la Dame reste un long moment devant moi sans rien dire ; elle me regarde en souriant. Puis, elle s’écarte de la croix et je ressens les mêmes vives douleurs qu’auparavant. D’abord, de terribles crampes dans tous les muscles du corps. Puis elles s’atténuent et je me sens spirituellement très étrange et lasse. Tout d’un coup, je vois la Dame qui se tient de nouveau devant la croix et les douleurs cessent. Je vois à présent la Dame comme dans le flou. Son corps est tellement transparent que je vois la croix clairement devant moi comme, pour ainsi dire, à travers lui. Les terribles douleurs me reprennent alors, d’un coup.
Elles durent un moment puis tout redevient normal et la Dame me dit : « Mon enfant, de même qu’Il a souffert, de même j’ai souffert en tant que Mère du Fils de l’Homme. Répète bien cela ! »
Je me tiens comme Co-Rédemptrice, Médiatrice et Avocate sur le globe, devant la croix du Rédempteur.
34e Message de Notre Dame de tous les Peuples, donné le 2 juillet 1951.
De nouveau, je vois la Dame debout dans une lumière crue. Elle sourit et dit en jetant un regard autour d’elle : « Je suis satisfaite. Veille à la diffusion. J’ai dit : d’ici partira une grande action pour Dieu et tous doivent y coopérer. »
Regarde bien à présent et écoute. Ce qui suit est une explication du nouveau dogme. Je me tiens comme Co-rédemptrice, Médiatrice et Avocate sur le globe, devant la croix du Rédempteur. De par la volonté du Père, le Rédempteur est venu dans le monde. Le Père s’est servi de la Dame à cette fin. Le Rédempteur a donc reçu de la Dame seulement – et j’insiste sur le mot « seulement » – la chair et le sang, c’est-à-dire le corps. C’est de mon Seigneur et Maître que le Rédempteur a reçu sa divinité. C’est ainsi que la Dame est devenue la Co-Rédemptrice.
J’ai dit : ce temps, c’est notre temps. Cela signifie que le Père et le Fils veut envoyer en ce temps et dans le monde entier la Co-Rédemptrice, Médiatrice et Avocate. »
La Dame reste alors devant moi un long moment sans rien dire. Elle dit ensuite en regardant ses mains : « Regarde bien à présent mes mains. Il en jaillit les rayons de Grâce, de Rédemption et de Paix. Les rayons tombent sur tous les peuples, sur toutes les brebis.
Parmi ces gens, il y en a beaucoup de bonne volonté. Être de bonne volonté, veut dire : observer le premier et principal commandement. Le premier et principal commandement, c’est l’Amour. Qui possède l’amour, honorera son Seigneur et Créateur dans sa création. Qui possède l’amour, ne commettra rien d’inconvenant envers son prochain. C’est ce qui manque en ce monde : l’amour de Dieu, l’amour du prochain.
Je veux être la Dame de tous les Peuples
Ce temps, c’est notre temps. Il faut que tous les peuples honorent le Seigneur et Maître dans sa création. Tous les peuples prieront le vrai et Saint Esprit. C’est pourquoi, j’ai donné cette prière brève et forte. Donc, je le dis une fois encore : on doit vite porter cette prière au monde. Le monde entier tombe dans la corruption. Que les hommes de bonne volonté demandent tous les jours que vienne le vrai Esprit ! Je suis la Dame de tous les Peuples. Ce temps, c’est notre temps.
“Qui fut un jour Marie” signifie : beaucoup de gens ont connu Marie en tant que Marie. Mais maintenant, en cette nouvelle époque qui s’ouvre, je veux être la Dame de tous les Peuples. Tout le monde comprend cela.
Dis cela à ton directeur spirituel. Dis-lui que je suis satisfaite de tout et je mets l’accent sur le mot “tout”. Et à toi, mon enfant, je dis de faire et de faire passer ce que je veux. Pas de crainte à avoir, il s’agit de transmettre ! »
Et la Dame, à présent, disparaît lentement