L’époque de Jésus

Tel fut mon court passage sur la terre, Homme-Dieu parmi les hommes pendant 33 ans.

Message de Dieu – Sœur Beghe – Le 15 juin 2023 – Lire le message en entier sur le site d’origine.

Mes très chers Enfants, lorsque J’étais sur la terre au milieu de vous mes enfants non encore rachetés, Je vous regardais, Je vous aimais et Je vous plaignais. Oui, mon sentiment de pitié envers vous était immense car Je vous voyais tous remplis de péchés et sans moyen de vous en défaire. Vous étiez remplis de défauts dont vous ne soupçonniez pas l’existence, vous étiez religieux, certes, mais vous aviez peu de bons guides, peu de solides prédicateurs.

Votre religion selon la Loi de Moïse était dépassée du fait de ma présence parmi vous et de mon Acte imminent de Rédemption. L’hostilité manifeste que Je rencontrais auprès des prêtres et des religieux autorisés de la loi ancienne me fit choisir de nouveaux prêtres, de nouveaux prêcheurs et de nouveaux fidèles. Je partis enseigner les différents territoires de la Palestine, juifs pour la plupart.

J’allais aussi en Samarie, déconsidérée par les Juifs car ils la considéraient hérétique mais J’y trouvais autant de fidèles et de personnes disposées à attendre le messie que dans les autres contrées de la Palestine. Je traversai toutes les contrées et fus bien accueilli par la population ; ceux qui me rendaient la vie difficile étaient les dirigeants, prêtres et autres autorités.
Je prêchais et Je rassemblais, ma doctrine, bien qu’exigeante, était bien accueillie et convertissait beaucoup d’âmes. J’instruisais, Je guérissais et Je fus rapidement suivi et recherché par un grand nombre de personnes. C’est ainsi que Je multipliai les pains à deux reprises car tant de monde ne pouvait être renvoyé sans être alimenté, et ce miracle fit de Moi un thaumaturge alors que Je n’en étais pas un. J’étais et Je suis Dieu, ce qui est bien différent. En effet, le faiseur de miracles ne peut agit que par une force supérieure, tandis que Moi, J’agissais par ma propre force, celle de Dieu.

Ainsi, par mes enseignements et les guérisons que J’opérais par pitié, et aussi parce que Je le pouvais, Je fus rapidement connu de toute la Judée. Connu par ouï-dire pour la plupart car ma réputation se propageait à travers tout le pays.
Les uns prirent peur car si J’étais le Roi promis, leur propre situation était mise en jeu et cela, ils ne pouvaient l’accepter ;
les autres étaient jaloux de leur connaissance de la Loi et de leur propre enseignement devenu leur autorité personnelle et non plus celle de Dieu. Ainsi, Je me mis à dos les autorités du pays mais ma mission de Rédempteur me conduisait et Je ne pouvais en déchoir.

Telles furent les conditions qui précipitèrent l’ire et la jalousie des membres de l’élite juive et lorsque Je fus arrêté et condamné, mon Heure étant venue, J’avais accompli ma mission d’enseignement. Il me restait à vivre le plus difficile, celui de mon Sacrifice, moment héroïque, certes, divinement souhaité mais humainement si éprouvant et même redouté. Je subis tout ce que les hommes, mes bourreaux, me firent subir et J’en sortis victorieux car la Volonté divine de racheter l’humanité fut parfaitement accomplie. Je ne m’y opposais pas, Je l’acceptais, Je la désirais et l’exécutais.

Maintenant le Christ règne éternellement et Il attire à Lui tous les hommes. Tel fut mon court passage sur la terre, Homme-Dieu parmi les hommes pendant 33 ans. Je laissais après Moi mon Église, mes prêtres et un nouveau peuple de fidèles, la mission du peuple juif étant révolue. Le catholicisme, c’est-à-dire la religion universelle, prenait sa place et remplaçait le judaïsme et les juifs, peuple choisi pour préparer ma venue et s’épanouir en la religion universelle, le catholicisme. (…)

Elle comprit que le moment était venu pour moi de me mettre au service de ma mission, et me donnant sa bénédiction, elle me laissa partir.

Message de Dieu – Sœur Beghe – Le 7 juin 2023 – Lire le message en entier sur le site d’origine.

Mes très chers Enfants,
Quand j’entrais dans ma vie publique, Je quittai ma maison familiale et y laissai ma Mère, lui promettant de ne pas l’abandonner. Elle comprit que le moment était venu pour moi de me mettre au service de ma mission, celle pour laquelle Je m’étais incarné, et me donnant sa bénédiction, elle me laissa partir.

Je quittai alors Nazareth et me dirigeai vers le lieu du baptême de Jean, au Jourdain, car avant d’entreprendre quoi que ce soit, Je voulais assumer le baptême de pénitence, étant en quelque sorte déjà offert pour tous les péchés du monde. Jean le Baptiste me reconnut et voulut me céder sa place car son rôle de précurseur était voué à disparaître dès lors que Je me manifestais Moi, le Messie. Je ne le voulus point et il me baptisa.

Je m’en allais alors au désert jeûner et faire pénitence pour me préparer sous le regard de Dieu à ma Mission. Je devais enseigner les miens afin de préparer ma future Église à son rôle essentiel et puis, par mon Sacrifice suivi de la venue de l’Esprit Saint, la consolider et l’assister jusqu’à la fin du monde. Oui, mon Église devait être formée et il fallait que mes apôtres assistent à chaque instant de ma vie publique pour être mes témoins et continuer mon Œuvre.

Mes apôtres furent de ce fait toujours avec moi, ils m’accompagnaient partout et ils furent les témoins de chacun de mes faits et gestes. Ils me voyaient, ils m’accompagnaient, ils discutaient avec moi et entre eux, J’étais leur Chef et leur Guide, et ils eurent rapidement pour moi la plus grande estime. Ma personnalité divine les confondait mais ma proximité et ma tendresse envers eux les encourageaient à ne jamais craindre mon infinie supériorité. Mes réactions face à telle ou telle circonstance étaient rarement les leurs et petit à petit, ils comprenaient et essayaient de s’y ajuster. Cette période d’enseignement et d’intimité leur était nécessaire pour porter plus tard mon évangile jusqu’aux extrémités de la terre.

Lorsque vinrent mes derniers moments avec eux, à la Dernière Cène, Je leur confiais le Trésor de la Sainte Église, mon Corps et mon Sang, qui confirmait ma Présence réelle avec eux jusqu’à la fin du monde. mon Corps et mon Sang, la Très Sainte Eucharistie, le sacrement le plus saint parmi les sept sacrements laissés à l’Église car Moi-même en personne et pour tous les temps.
Je me confiais donc personnellement à mes prêtres, leur donnant ainsi plus que ma confiance, Je me donnais à eux tout entier, Je leur confiais Dieu afin que, par l’aliment divin, mes fidèles puissent vivre de ma Vie et se sauver. Par Mon Très Saint Sacrifice, Je m’offre à Dieu le Père en rémission de tous les péchés de tous les hommes, mais vous, les hommes, vous devez aussi faire votre part. J’ai tout fait pour vous en vous donnant votre vie sur la terre et puis votre vie éternelle, et vous, pour me suivre et venir à Moi, il vous faut le vouloir et agir en conséquence. (…)

Je vous bénis, mes enfants, au nom du Père du Fils et du Saint-Esprit, et signez-vous parce que Je vous bénis vraiment ; ainsi soit-il.
Jésus-Christ, votre Frère, votre Chef et votre Guide

La Sainte Famille

Message de Dieu – Sœur Beghe – Le 5 juin 2023 – Lire le message en entier sur le site d’origine.

Mes très chers Enfants, mon Sacré-Cœur est Dieu et Il s’est fait connaître au monde par mon Incarnation. Je suis le si grand Aimant de mes créatures les hommes et pourtant ceux-ci me le rendent si mal. Peu m’aiment comme Je les aime, peu pensent à Moi en chaque instant comme Je le fais Moi-même. Je suis Dieu, le Tout-Puissant, le très Parfait et pourtant en mon Humanité, J’ai grandement, extrêmement souffert à cause du manque d’amour, du manque de reconnaissance des hommes. Je les aimais parfaitement mais qu’ai-Je reçu en retour ?

Oui, ma Mère et saint Joseph étaient mes seuls refuges car eux, ils m’aimaient aussi parfaitement que le devraient mes créatures. Ils m’aimaient et leur amour n’était pas intéressé, ils m’aimaient sans aucun désir de retour, ils m’aimaient comme un don qui leur était fait, qui leur était offert, déposé à leur garde et ils y répondaient totalement. Ils m’aimaient aussi dans ma Grandeur car ils savaient d’où Je venais mais leur grande humilité leur faisait accepter ce don avec naturel et simplicité.

Ils m’aimaient tendrement, certes, mais ils étaient aussi mes parents sur la terre et ils firent mon éducation comme de vrais bons parents : avec délicatesse, avec respect de ma personnalité, humaine et aussi divine, et lorsque cela s’avérait nécessaire, ils m’indiquaient ce qui était supposé être meilleur parce qu’il m’arrivait, petit, d’être maladroit. Je me corrigeais alors et J’appris d’eux tout ce qui était nécessaire au développement d’un enfant vers l’âge adulte. Les maladresses, les erreurs dues à la jeunesse, sans que ce ne soit des péchés, J’en commettais et comme mon état d’humanité le commandait, il me fallait aussi apprendre de mes erreurs. Ce qui m’était dit était retenu et ce qui me venait de mes connaissances divines était toujours observé, mais J’étais pleinement humain et cet aspect de ma personnalité devait être éduqué comme cela est nécessaire pour tout homme. Ma divinité n’a jamais occulté mon humanité, J’étais pleinement homme, devant apprendre, comme J’étais pleinement Dieu, sachant tout et plus encore.

Ma Mère et mon père Joseph étaient eux aussi de grands saints et ils le furent dès leur plus jeune âge. Ils eurent le grand mérite de l’être déjà avant leur mariage, avant ma naissance, avant même leur rencontre, car le destin que Dieu leur réservait nécessitait de grandes grâces mais surtout une réponse quasi parfaite à ces grâces de préparation à leur grande vocation.
Comme pour Moi-même, le démon les tenta mais ma Mère, particulièrement du fait de ma promesse après le péché d’Adam et d’Eve (Gn 3, 15), fut d’une hostilité exemplaire à toute insinuation, à toute tromperie ou à toute séduction de l’ennemi redoutable de Dieu.

Saint Joseph, de même, était si bon qu’il n’imaginait pas tromper Dieu, Le trahir ou Le peiner de quelque façon. Notre Sainte Famille était comme privilégiée mais elle ne fut jamais à l’abri de peines ou d’épreuves qui souvent passaient pour inodores et sans blessure alors qu’il n’en était rien.
Mes parents m’étaient très chers car leur rôle bien défini était exercé merveilleusement et l’amour, la confiance, la déférence et l’affection réciproque étaient pour chacun de nous un refuge et une inexprimable consolation.
Lorsque Joseph fut malade et puis qu’il expira, notre tristesse à tous deux fut réelle et tous les instants qui suivirent son départ étaient remplis de sa présence et de son souvenir omniprésent. Son absence terrestre fut un vrai arrachement même si notre douleur était soutenue par la consolation de le savoir proche de son élévation au Ciel lorsque, après ma Mort rédemptrice et si cruelle, J’ouvris leur cellule et attirai à Moi tous mes élus de l’Ancien Testament. (…)

Il faut être charitable, mais en toute chose il y a un degré à ne pas dépasser.

Message de Dieu – Sœur Beghe – Le 18 mai 2023 – Lire le message sur le site d’origine.

Mes très chers enfants, (…) lorsque J’étais sur la terre, J’avais aussi mon travail de menuiserie avec mon père Joseph et après lui, seul, car il fallait entretenir la vie quotidienne, celle de ma Mère, la mienne, et rendre service à tous ceux qui nous faisaient connaître leurs besoins.
Ma Mère et moi aimions rendre service car nous savions que Dieu aimait toutes ses créatures ; alors, comment ne pas nous tourner vers elles et leur rendre service ! Certains remerciaient, d’autres ne remerciaient pas et toutes leurs pensées, pas toujours positives, n’altéraient pas notre charité. Ma Mère était toujours désireuse de se priver, même du nécessaire, et il m’arrivait parfois de freiner sa diligence. Oui, il faut être charitable mais en toute chose il y a un degré à ne pas dépasser et ma Mère, sans péché, se serait donné totalement si Dieu ne Lui réservait pas quelques nécessités. Je la freinais lorsque Dieu voulait la freiner et elle comprenait cette nécessité de conserver le nécessaire car notre propre vie en dépendait. Elle donnait et ne se privait pas de donner mais jamais n’a-t-elle été frivole dans ses dons.

La vie sur la terre oblige à travailler et la pénitence de l’homme depuis le péché originel est de travailler avec intelligence, avec conscience, avec droiture et volontairement. Les hommes qui ont des facilités dans leur travail reçoivent cette aisance de la divine Providence et ils ne doivent en tirer aucun orgueil. D’autres n’ont pas ces facilités mais tel est leur lot. La nature amoindrie par la faute originelle est devenue profondément inégale, elle réagit au soleil, à la pluie, au froid ou à la chaleur, et tout ce qu’elle produit l’est avec la grâce de Dieu.

De tout temps il y a eu des périodes inégales et les hommes s’en sont contentés. Ils ont vécu, bien ou moins bien, avec des difficultés dues à de nombreux facteurs personnels ou extérieurs à eux-mêmes, et puis certains ont paru s’en tirer avec plus de facilité que d’autres. Dieu sait tout cela et moi, en tant que Fils de l’homme, J’ai expérimenté ces exigences matérielles.

Ma Mère aussi les vivait et tous deux, avec Joseph, nous offrions à Dieu nos difficultés, nos fatigues, et souvent aussi l’absence de résultat malgré de réels efforts. Lorsque Je quittai ma vie laborieuse pour entamer ma vie publique, Je rencontrais les mêmes difficultés. La nature humaine blessée s’enthousiasme facilement, mais elle est changeante et souvent des fidèles déçus se retiraient lorsque mes Paroles les pressaient de quitter leurs habitudes. Je leur parlais mais passer de la parole à l’action leur était souvent difficile.
Plus tard, la colère des dignitaires, prêtres, scribes, pharisiens et lévites, les impressionnait et beaucoup se retirèrent de la suite de mes fidèles par peur du qu’en dira-t-on. Il en va de même aujourd’hui. La masse des fidèles suivent leurs prêtres, leurs évêques et les autorités de l’Église, mais si ceux-ci se fourvoient comme à mon époque, la masse continue à les suivre et à s’égarer avec eux. (…)

Infographie généalogique sur l’époque de Jésus.

Jacques le Mineur et son frère Jude Thaddée, étaient cousin de Jésus par leur père (Alphée) qui était le frère de Saint Joseph.

Mise à jour du graphique le 28 octobre 2021

La famille de Lazare.

Texte extrait du site : maria-valtorta.org
Illustration ci-dessous : Dessin de Renato Ammannito d’après les descriptions de Maria Valtorta.

Lazare est un homme de la haute société juive, fils d’un syrien, Théophile, gouverneur local de la Province et d’Euchérie, une judéenne de lignée royale. Cela explique la protection dont lui et ses propriétés, bénéficient de la part des autorités romaines.
Car Lazare, par héritage, est « puissamment riche. Une bonne partie de la ville (de Jérusalem) lui appartient ainsi que beaucoup de terres de Palestine.

Lazare est « Affable, distingué et plein d’assurance comme tous les hommes de grande naissance … »la petite trentaine, environ 1,65 m, il n’a rien d’imposant : « Toujours maigre et pâle, avec des cheveux courts, peu épais et sans boucles, rasé jusqu’au menton, seulement habillé de lin très blanc« 

Lazare, Marthe et Marie Madeleine, n’étaient juif que par leur mère. Leur père étant syrien.

Prosélyte syrien mort trois ans avant la première année de vie publique. Il était gouverneur de Syrie, et donc le premier de ses magistrats. Marié à Euchérie, une israélite de la lignée de David, ils auront trois enfants : Lazare, Marthe et Marie de Magdala.
Les visions d’Anne-Catherine Emmerich, malgré tous ses avatars de rédaction, donnent quelques échos : ancêtre Syrien puissant, haute lignée de sa femme israélite :
Le grand-père de Lazare était un prince syrien dépossédé, dont le fils naquit dans la contrée que les trois rois traversèrent à leur retour de Bethléem. Celui-ci profita de la guerre pour acquérir de grands biens en Galilée et dans le voisinage de Jérusalem. Il s’était fait juif, et avait épousé une jeune fille d’une famille pharisienne très distinguée. Son fils, Lazare, possédait à Béthanie un château très grand, (…) Madeleine était la plus jeune des sœurs de Lazare… 
D’après les notes de Clemens Brentano – Éditions Téqui – Tome I, chapitre 13

La maison de Lazare fut expulsée par bateau et ils accostèrent près de Marseille en Gaule. Lire le chapitre : Les premiers évangélisateurs de France

Saint Joseph était Naziréen.

L’Évangile de Maria Valtorta (extraits ci-dessous) nous apprend que Joseph était Naziréen lorsqu’il fut désigné (à 33 ans) pour être l’époux de Marie (qui avait 14 ans).

Il lui dit : Je suis naziréen (…) moi aussi j’appartiens tout à Dieu.

Le terme de naziréen (hébreu nâzîr, de la racine nâzar = séparer) désigne le plus souvent celui qui se sépare des autres en se consacrant par un vœu temporaire ou perpétuel.

(Wikipédia) L’Église catholique reprend une tradition orale, liée à Jérôme de Stridon, qui relate que Joseph s’était consacré à Dieu avant de connaître la Vierge Marie.

Donc lorsque la Sainte Vierge lui annonça qu’elle voulait rester vierge, Saint Joseph n’eut aucun mal à l’accepter, car lui aussi avait fait vœu d’une vie similaire, mais sûrement à l’origine pour d’autres raisons que de préparer la venue du Messie, ce qui était clairement l’objectif de Marie.

Extrait des Évangiles de Maria Valtorta – Tome 1.

Toute enfant, je me suis consacrée au Seigneur. Je sais que cela ne se fait pas en Israël, mais j’ai entendu une voix qui me demandait ma virginité en sacrifice d’amour pour l’avènement du Messie. Il y a si longtemps qu’Israël l’attend Ce n’est pas trop de renoncer pour cela à la joie d’être mère ! (…)
Joseph lui dit : Moi aussi, j’unirai mon sacrifice au tien et par notre chasteté, nous témoignerons tant d’amour à l’Éternel, tant d’amour que Lui donnera plus tôt le Sauveur à toute la terre, (…)

Lorsqu’il s’aperçut que Marie était enceinte, il a dû être fortement troublé.

Extrait des Évangiles de Maria Valtorta – Tome 1.

Mon Joseph aussi a eu sa Passion. Et elle commença à Jérusalem quand il se rendit compte de mon état (…)
Qui pourrait dire avec une exacte vérité la douleur de Joseph, ses pensées, le trouble de ses affections ? Comme une petite embarcation prise dans une grande bourrasque, il se trouvait dans un tourbillon d’idées opposées, de réflexions plus pénibles et plus cruelles l’une que l’autre.
En apparence, c’était un homme trahi par sa femme. Il voyait crouler en même temps son bon renom et l’estime du monde à cause d’elle, il se voyait déjà montré du doigt et l’objet de la compassion du pays. Il voyait l’amour et l’estime qu’il avait pour moi tomber morts devant l’évidence du fait. (…)
Journées peu nombreuses, mais terribles par leur intensité, celles de la passion de Joseph et de ma passion, de cette première passion dont je dus souffrir. Car je comprenais sa souffrance et ne pouvais la lui enlever aucunement pour rester fidèle à l’ordre de Dieu qui m’avait dit : « Tais-toi ! »

Autre infographie : Chronologie de l’humanité

Autres chapitres :
Les différents noms de Dieu
Jésus
Qui est Dieu ?

Dieu, notre vrai père
En communication avec Dieu