Le Grand menhir brisé d’Er Grah

Une vision psychique du grand menhir

Extrait du site Wikipédia : (…) Le Grand menhir brisé d’Er Grah, ou Men ar hroëc’h qui signifie « Pierre de la Fée » en Breton, situé sur le territoire de la commune de Locmariaquer, dans le Morbihan, était un menhir de dimensions exceptionnelles : 18,5 mètres de hauteur lorsqu’il était dressé, 3 mètres de largeur, masse estimée à 280 tonnes. Il est le plus grand menhir d’Europe.

Ce menhir, dont l’érection remonterait au milieu du Ve millénaire av. J.-C. est aujourd’hui à terre et brisé en quatre morceaux, suite, peut-être, au tremblement de terre de 1722 en Bretagne. Mais cette dernière idée est une hypothèse. Il se dressait au milieu d’un ensemble monumental associant exceptionnellement en un même lieu, les trois familles de monuments mégalithiques.

Chapitre associé : Vision psychique du menhir la Mourgue

(Vincent) Voici une vision psychique du grand menhir qui va nous révéler ses origines. Il s’agit d’un extrait d’un livre de Raymond Réant (1928-1997).

Raymond Réant : Parapsychologue français, né le 23 octobre 1928 à Liévin (Pas-de-Calais). Il a découvert ses facultés médiumniques vers l’âge de six ans après avoir assisté, sur sa demande, à l’apparition de Jésus-Christ dans la pièce dans laquelle il se trouvait.
Il avait la faculté de « lire la mémoire des objets » par vision psychique. Il fut mis de nombreuse fois à l’épreuve par des scientifiques et archéologues et confirma toujours son talent. C’était un chrétien issu d’une famille protestante ou l’on parlait beaucoup de la Bible et de Dieu. Ses livres sont parsemés de citations chrétiennes de grands saints catholiques ou de la Bible.

Extrait du livre de R. Réant : Parapsychologie pratique pour tous (1982, Éditions du Rocher).

(…) Actuellement couché et brisé. Sur cinq morceaux, quatre restent encore sur place et mesurent, au total, vingt mètres trente, occupant un volume de cent trente-quatre mètres cubes trente. La densité de ce mégalithe étant estimée de 2,59, le poids total des quatre morceaux restants doit être d’environ 348 tonnes.

Rappel historique : La date et les causes de sa chute demeurent inconnues. La 17e édition sur Les monuments mégalithiques, leur destination, leur âge (page 16, texte de Zacharie Le Rouzic, membre de la commission des monuments historiques, mise à jour par M. Jacq, conservateur du Musée J. Miln-Le Rouzic, à Carnac) signale que M. Robin, président à mortier au parlement de Bretagne, l’a dessiné en 1727, dans sa position actuelle.

La vision psychique exécutée sur ce menhir donne les révélations suivantes :

Le contact avec le mégalithe me transporte dans une vaste carrière, actuellement recouverte par l’Océan Atlantique, au large des côtes bretonnes.

(Vincent) : Nous sommes avant le déluge (au moins 2000 ans av. JC) et le niveau des océans était plus bas qu’actuellement.

Dans cette carrière travaillent une centaine d’hommes à la peau brune. Certains sont vêtus uniquement d’une jupe marron clair ou grisâtre. D’autres portent des robes rouge-marron ou bleues, avec des motifs géométriques de couleurs variées, et une ceinture de corde ou de peau. Les traits de leurs visages sont assez rudes. Yeux légèrement bridés, cheveux noirs, nez généralement arqués, narines très ouvertes, lèvres assez charnues, la forme du visage est généralement arrondie.

Ces hommes, sous la directive de plusieurs prêtres de race blanche, vêtus de longues robes blanches ou bleues, travaillent dans cette carrière, où plusieurs mégalithes sont en cours d’extraction.

Je vais décrire uniquement les travaux exécutés, pour la réalisation du Menhir Men-er Groach, de Locmariaquer.

La roche est attaquée à l’aide d’outils en quartz, ne devant subir aucun « empoisonnement » métallique, durant tout le travail, fait par une équipe de douze hommes, de chaque côté d’un tracé exécuté par un prêtre… Les ouvriers rongent la pierre à l’aide de leurs outils (haches, burins de quartz)… Le prêtre trace sans cesse de nouveaux repères, pour guider les travailleurs.

Il est remarquable de constater qu’aucun travailleur ne bavarde (!) ; chacun d’entre eux se comporte comme un être isolé. Le travail est ingrat. Nombreux sont les hommes blessés par des éclats de pierre, particulièrement aux yeux. Les blessés qui ne peuvent plus travailler sont parqués dans un coin de la carrière, avant d’être emmenés dans un engin volant, vers une destination inconnue.

Le temps a passé et le monolithe ne tient plus que par une mince paroi qui se soude encore au sol. La rupture est imminente… Les travailleurs placent du sable dans la cavité, en dessous du mégalithe, de façon à ce que l’on ne voie que le mégalithe et la mince paroi qui le retient… Les travailleurs sortent à présent de la fosse… Le prêtre souffle dans un petit instrument qui ne produit aucun son… Le monolithe « frissonne »… La mince paroi se brise, faisant ainsi descendre le futur menhir, sur son lit de sable.

Une sorte de pain d’une vingtaine de centimètres de long, sur environ cinq de diamètre, est donné à chaque homme, ainsi qu’un petit pot d’eau (?)… Je ne sais pas très bien s’il s’agit d’eau, le liquide est incolore.

Il est tard, voici venir le crépuscule… Les travailleurs se recouvrent de sable et entrent dans un profond sommeil. Les prêtres partent dans un engin volant.

Plusieurs heures ont passé, et le soleil point à l’horizon… Tout est calme, la température est fraîche, mais il ne fait pas froid. Le soleil commence maintenant à chauffer, et les travailleurs ouvrent les yeux, et restent couverts de sable… Aucune communication entre eux, ils ne se parlent pas. Un engin volant se pose sur le sol… Une douzaine de prêtres en descendent… Puis un second appareil atterrit… Une vingtaine de nouveaux travailleurs en descendent. Sept prêtres se dirigent vers le mégalithe qui est l’objet de l’étude…

Le mégalithe est couché sur une couche de sable… Les prêtres entourent le monument, en gardant entre eux un intervalle régulier, puis ils murmurent des prières, en appliquant chacun un long bâton sur le menhir… Ils prononcent des mots inintelligibles, en plaçant chacun leur index de la main droite sous le mégalithe, puis au-dessus du mégalithe, durant environ une quarantaine de secondes… Ils replacent leur index de la main droite sous le monument, qui se soulève très facilement, sans efforts… Les sept prêtres avancent en déplaçant cette volumineuse masse de pierre, pour la poser sur une plateforme en pierre recouverte de plaques marron-noir.

Quelques heures plus tard, une sorte de fusée, dont le dessous est plat, vient se placer à quelques mètres au-dessus du mégalithe, projette un rayonnement sur ce dernier, qui se soulève, et vient se coller sur la fusée, qui l’emporte sur le lieu actuel, où elle le dépose en position couchée, puis disparaît.

La région a été déboisée, et le trou devant recevoir le mégalithe a été creusé avec des outils manuels (sortes de piolets et pelles).

Sept prêtres sont sur les lieux, ils s’approchent du mégalithe, posent le bout de leurs bâtons sur sa tête, en murmurant des prières… Ensuite ils remplacent leurs bâtons par leur index de la main droite, pendant environ quarante secondes, puis manipulent ce lourd et volumineux monument, comme s’il ne pesait que quelques grammes… Le menhir est présenté, juste au-dessus du trou qui doit le tenir en place ; puis, par des gestes lents, les prêtres le font glisser dans ce trou qui l’enserre comme une gaine. Ensuite, le menhir est orienté, suivant sa forme cristalline, à l’aide d’une boussole.

Par la suite, les « prêtres » coiffent le menhir d’un gros disque de pierre rouge, sur lequel est placé, en son centre, un superbe cristal transparent (incolore), à six facettes, haut d’environ cinquante centimètres et d’environ douze centimètres de large. L’ensemble coiffé par une pyramide à six facettes, en matière incolore.
Le gros cristal de quartz émet des rayons dans toutes les directions.

(Vincent) : Cette coiffe rouge fait penser aux coiffes des statues de l’ile de Pâques.
Wikipédia : Quelques statues arborent encore ces « chapeaux » sculptés à partir de roche volcanique rouge (tuf), extraite d’une source unique sur l’ile, Puna Pau. (voir photo)

Et voici à quoi servaient ces menhirs, que l’on retrouve sur presque tous les continents, y compris en Afrique subsaharienne.

Un volumineux appareil, d’environ trente mètres de long, de teinte goudronneuse, arrive lentement au-dessus du menhir… à environ trente, ou quarante mètres. Cette volumineuse et sinistre masse, dépourvue de lucarne, reste environ une minute au-dessus du menhir… semble faire sa provision d’énergie, puis s’élève, d’abord verticalement, à la vitesse d’environ un mètre par seconde, puis ensuite obliquement, en allant de plus en plus vite, en direction du nord-est. »

Si la vision à distance vous intéresse, j’ai écrit un livre sur le sujet. :
Apprendre le voyage astral et la vision à distance

Le bâton

Dessin médiumnique, représentant le bâton ayant été perçu au cours d’une psychopathotactie, relatant la lévitation des mégalithes du Morbihan. La partie inférieure de ce bâton en bois, dont les caractères sont inscrits en creux sur la face visible dc ce dessin, sont reproduits de la même façon sur l’autre côté du bâton. Pour l’émission de l’énergie, la partie inférieure était dans la main de l’opérateur qui agissait après avoir récité une sorte de prière.

Caractéristiques
Cylindre en bois.
Teinte : noire.
Longueur : 50 cm.
Diamètre : 4 cm.
Caractères en creux.

Temps passé pour la reproduction médiumnique par psychopathotactie : 6 heures. Dimanche, le 18/7/1976.

Expérience exécutée par Réant Raymond. (Relaté dans Ark’all Communication, Année 1979, Vol. 5, Fasc. 3, page 106.)