Les civilisations antédiluviennes

Ce chapitre est loin d’être anecdotique, car il montre une cohérence globale entre la Bible, les récits mystiques, les visions psychiques, les recherches archéologiques et les OVNI.
On y apprend aussi que les premiers hommes (de la famille d’Adam et Ève) ont côtoyé les derniers dinosaures.

Le mystère des crânes allongés et des anciens hommes

Ci-dessous, des crânes retrouvés dans la région de Nazca (Pérou). Au centre ceux trouvés à Malte.

Texte extrait du site : Histoire secrète

(…) On affirme donc qu’il a existé une race pré-diluvienne que l’on trouve un peu partout sur le globe et qui avait le crâne conique allongé de façon naturelle comme l’affirment quelques chercheurs dont le Dr Tschudi qui le démontre car il possède un fœtus de 7 mois au crâne dolichocéphale encore dans le ventre de sa mère fossilisée de cette époque.

Tout ceci est loin d’être « politiquement correct » . Pour démonstration, le fait que l’on est retiré de la vue du public les crânes dolichocéphales du musée de la Valette à Malte pour sans doute ne pas choquer les mentalités religieuses de certains. En effet, à Malte on a retrouvé environ 7 000 crânes dolichocéphales dans les hypogées de Hal Saflieni et dans les tombes des temples mégalithiques de Taxien, Ggantja. Là ce sont les Dr Anton Mifsud et le Dr Charles Savona Ventura qui analysèrent les crânes et arrivèrent à la même conclusion qu’au Pérou en arrivant à discerner trois groupes différents, certains complètement « naturels » d’origine, d’autres ayant subi des bandages.

Texte extrait du site : wikistrike.com

(…) Les résultats de l’analyse de l’ADN de l’un des crânes sont maintenant de retour, et Brien Foerster, auteur de plus de dix livres et expert sur les crânes allongés d’Amérique du Sud, vient de dévoiler les résultats préliminaires de l’analyse.

La conclusion est sans appel. L’ADN mitochondrial présente des mutations inconnues sur n’importe quel homme, primate ou animaux connus à ce jour. Mais quelques fragments, séquencés de cet échantillon indiquent que si ces mutations persistent, nous avons affaire à une nouvelle créature humanoïde, très éloignée de l’Homo sapiens, les Néandertaliens et les Denisovans. (…)

Textes de révélations mystiques complémentaires
Visions d’Anne-Catherine Emmerich (1774-1824 – Allemagne). Lire le textes en entier

(…) J’ai vu beaucoup de choses sur ce peuple des géants : comment ils tramaient très facilement d’énormes rochers jusqu’au sommet de la montagne, comment ils montaient de plus en plus haut, comment ils accomplissaient les choses les plus étonnantes. (…)

Message de Jésus à Maria Valtorta (1897-1961 – Italie)
Extrait du livre : Les cahiers de 1945 à 1950. Texte du 30 décembre 1946.

Jésus : Écoute-moi attentivement. Et commence par lire : (Genèse 6)
Lorsque les hommes commencèrent à être nombreux sur la face de la terre et que des filles leur furent nées, les fils de Dieu – ou fils de Seth – trouvèrent que les filles des hommes – ou filles de Caïn – leur convenaient et ils prirent pour femmes toutes celles qu’il leur plut… Les Nephilims étaient sur la terre en ces jours-là (et aussi par la suite) Quand les fils de Dieu s’unissaient aux filles des hommes et qu’elles leur donnaient des enfants… « ce furent les héros du temps jadis, ces hommes fameux. » (…)

Jésus : (…) Et en guise de fils et de filles, ils eurent des monstres. Ce sont ces monstres qui étonnent aujourd’hui vos savants et les induisent en erreur.
Par leur physique puissant, leur beauté sauvage et leur ardeur bestiale, ces monstres – qui résultent de l’union de Caïn et des bêtes, de l’union des enfants les plus bestiaux de Caïn et des bêtes sauvages –

Bêtes sauvages = Zana, la femme sauvage de Géorgie, année 1850

– séduisirent les enfants de Dieu, autrement dit les descendants de Seth (…)
C’est alors que Dieu, pour empêcher la branche des enfants de Dieu d’être totalement corrompue par la branche des enfants des hommes, envoya le déluge universel pour éteindre la débauche des hommes sous le poids des eaux et détruire les monstres engendrés par luxure des sans-Dieu à la sensualité insatiable puisque enflammée par les feux de Satan. (…)

J’aurais pu révéler de grands mystères, pour que l’homme sache, maintenant que les temps sont mûrs. II n’est plus temps de satisfaire les foules par des fables. Sous la métaphore des histoires anciennes se cachent les vérités-clés de tous les mystères de l’univers, et je les aurais expliqués par l’intermédiaire de mon petit Jean, tellement patient. (…)

Chapitre complémentaire : Les géants

Les pistes de Nazca, au Pérou

Elles furent découvertes en 1926. Les images parlent d’elle-même, ces lignes et dessins, visibles uniquement du ciel, apparaissent à beaucoup comme des pistes pour engins volants d’une ancienne civilisation aujourd’hui disparues. On peut penser que les dessins stylisés d’animaux à côté des pistes, servaient à guider les vaisseaux, ou bien cela pourrait être le symbole « d’unités aériennes », comme cela se fait actuellement dans les armées de l’air de tous pays.

Voici deux extraits d’un livre de Raymond Réant (1928-1997). Il avait le don de pouvoir « lire la mémoire des objets« , il fut mis de nombreuse fois à l’épreuve par des scientifiques et archéologues et confirma toujours son talent.
C’était un chrétien issu d’une famille protestante ou l’on parlait beaucoup de la Bible et de Dieu et il eut, étant enfant, une apparition de Jésus (il avait ardemment demandé à Jésus de lui apparaitre). Ses livres sont parsemés de citations chrétiennes de grands saints catholiques ou de la Bible.

Texte n° 1

(…) En juin 1974, une journaliste me remit un petit éclat de pierre noire, et me demanda ce qu’il évoquait pour moi. Je pris cette pierre entre mes mains, et entrepris une « expédition » psychopathotactique (faculté de lire l’histoire des objets) :
« Je vois un grand plateau désertique… au loin, des montagnes… à l’opposé une mer ou un Océan est proche. Des sortes de fossés très peu profonds y sont creusés. Ils forment de grandes lignes droites qui se recoupent. Sur ces lignes évoluent des fusées… Les unes descendent du ciel, les autres y remontent… Le plus surprenant est de voir ces appareils, qui n’ont pas de roues, circuler sur ces lignes. Ils volent comme portés par un matelas d’air, à une vingtaine de centimètres de hauteur.

Ces fusées ressemblent à des obus, elles n’ont ni aileron ni appareillage extérieur. Une seule ouverture est visible, sur la face postérieure de l’appareil… Pas très loin de là s’élève une ville, une énorme construction parabolique, ainsi que d’autres constructions. Toutes sont en pierre taillée, et de dimensions gigantesques. Leur architecture est étrange. Voici qu’une fusée s’approche de moi… Elle stationne à quelques mètres, puis s’élève lentement et se dirige directement vers la montagne, dans laquelle elle s’engouffre en pénétrant sous la voute d’un énorme bâtiment de pierre…

Des êtres descendent de la fusée… Ils ressemblent à des hommes de forte corpulence, mais leurs oreilles sont beaucoup plus longues que les nôtres, et l’arrière de leur tête présente d’étranges bosses.

Ils portent une sorte de combinaison, mais pas de casque. En descendant de la fusée, ils retirent une ventouse respiratoire qui leur emprisonne le nez et la bouche… Quelques hommes, exactement semblables à nous, circulent parmi eux. Ils sont presque nus, à l’exception d’un pagne qui forme une petite jupe très courte. À leurs poignets, des bracelets… Ils portent aussi des jambières en or… »

Un peu fatigué, je m’arrête (cet exercice génère une certaine fatigue ). Dans l’assistance, chacun se regarde, se demande à quoi se rapporte cette « Vision ». Mais où ce caillou a-t-il pu être témoin de ces scènes insolites ? D’où vient-il ? C’est alors que la personne qui avait apporté cette pierre pour l’expérience donne l’explication attendue « J’ai ramassé ce caillou il y a quelques années sur le plateau de Nazca, au Pérou. »

Les spécialistes et les amateurs d’anciennes civilisations connaissent le site de Nazca. Sur ce haut plateau des Andes, à quelques kilomètres de la côte du Pacifique, on a, en effet, découvert des traces rectilignes de quelques mètres de large et de plusieurs kilomètres de long, qui s’entrecroisent à l’infini. (…)

Texte n° 2

Un autre extrait du même livre qui parle du déluge et de ces engins volants. Vision sur une pierre d’Ica (lire le chapitre ci-après)

(…) Cette pierre nous transporte dans une époque bien différente de celle obtenue par la psychopathotactie précédente (qui n’a rien à voir avec l’extrait ci-dessus).
Si je prends le risque du ridicule en traduisant un résumé de la psychopathotactie effectuée sur cette pierre, c’est que je considère cette traduction à sa juste valeur selon les résultats de mes expériences, et que dans un avenir très proche, les préhistoriens et archéologues classiques éprouveront bien des difficultés pour faire croire au grand public que les anciens de cette terre n’étaient tous que de simples primitifs. Il serait préférable, pour de tels scientifiques, de tenir compte des remarques faites par certains chercheurs et archéologues, dont la vue n’est pas masquée par les principes d’un enseignement qui mérite d’être revu et corrigé. Cela éviterait, je pense, de voir sombrer ces hommes dans un entêtement aveugle et parfois ridicule.

Le déluge biblique vu d’Amérique du Sud

La « Mémoire » de cette pierre fait apparaitre un gigantesque raz de marée, dont les vagues démesurément hautes, déferlent sur le sol presque plat et aride… Le phénomène est si grand que les eaux tumultueuses se déploient jusqu’au pied de hautes montagnes, pourtant loin de là… Des monstres de différentes espèces m’apparaissent… Ils hantent le rivage et les montagnes… le ciel est très sombre et la tempête fait rage… Un véritable déluge.

Le calme est maintenant revenu, et les eaux se sont retirées très loin. Une dizaine d’hommes ainsi que trois femmes arrivent très péniblement. Trois de ces hommes, vêtus de combinaisons « collantes », tiennent en main un genre de pistolet. Les autres portent des vêtements de ville curieusement semblables aux nôtres. Ce qu’il y a de plus surprenant, c’est de voir les trois femmes habillées avec de longues et somptueuses robes, dans un tel décor.

La petite troupe ramasse des poissons et des crustacés venus s’échouer si loin de la côte… Les gigantesques animaux semblent fuir la présence de ces hommes. Ayant fait leur provision, ces étranges visiteurs restent quelques instants sur place… Les femmes semblent paralysées de frayeur… De gros nuages noirs apparaissent… Un violent orage éclate… Les hommes et les femmes quittent les lieux au plus vite, et grimpent le long d’une pente rocheuse, dont le passage est couvert d’éboulis, la marche y est très pénible et la pluie tombe à flot., de véritables petits torrents commencent à dévaler de la montagne, entrainant avec eux de lourdes et volumineuses pierres…

Nos personnages s’abritent dans une caverne… Un grondement inattendu se fait entendre… Un monstre est là… derrière eux… il ressemble à un énorme chat à pattes de saurien… L’un des hommes armés tire dans la direction de l’animal… Une puanteur irrespirable se dégage (la vision sur objet permet aussi de sentir les odeurs) … L’animal s’est volatilisé ? Il n’en reste plus rien.

Les trois femmes se précipitent vers la sortie de la caverne, et y restent figées, en regardant les masses d’eau qui descendent de toutes parts, continuellement illuminées par des éclairs créant un bruit infernal… Chacun grelote dans son coin, les vêtements entièrement mouillés.

Après le déluge

Le calme se rétablit, seul un vent assez violent persiste. Le ciel s’éclaircit, et le soleil éclatant réchauffe l’atmosphère. Les « ramasseurs de poissons » sortent de la caverne et montent le long d’une pente pierreuse lavée par les eaux… Les lieux sont désertiques… Ils continuent leur ascension, arrivent sur un plateau, sur lequel se trouve, à ma grande surprise, un énorme cylindre à demi enfoui sous des pierres. Les treize individus s’y introduisent. Il s’agit là du corps d’une énorme fusée, confortablement aménagée. Chacun s’allonge sur une couchette, pour prendre un peu de repos.

Le calme de la relaxation se trouve interrompu par les gémissements de l’un des hommes, qui se tient le ventre à deux mains. L’un des individus, qui semble être un médecin, lui ordonne de se dévêtir. Cela étant fait, il l’examine minutieusement, et lui fait une injection hypodermique. Le malade se détend et semble s’endormir… Sortant d’une trousse en peau un petit instrument tranchant, le « médecin » incise le patient, lui faisant une ouverture de quelques centimètres à la base du ventre, côté droit. Le sujet perd du sang en abondance… Une transfusion en direct est effectuée, grâce au concours de l’une des femmes, qui offre généreusement son sang.

Le temps passe… Les « naufragés du ciel » semblent être oubliés du reste du monde, et s’organisent petit à petit. Ils font de longs et fatigants voyages à pied pour trouver leur nourriture, et finissent par abandonner leur cylindre, pour vivre un peu en nomades, et se fixent, après quelque temps dans un endroit bien choisi, sur l’un des hauts plateaux du Pérou, d’où l’on aperçoit au loin, en s’élevant, les tracés encore visibles des pistes de Nazca.

La création des pierres d’Ica

La vie devient très vite triste et monotone, les hommes et les femmes se mirent, je ne sais pourquoi, à porter des plumes dans leurs cheveux… Puis, n’ayant plus de vêtements convenables, ils s’habillèrent de façon dérisoire, passant leurs loisirs à graver des souvenirs sur des multitudes de pierres arrondies. (Remarque : souvent les pierres étaient noircies à l’aide d’une sorte de bitume). Celle qui a été l’objet de cette psychopathotactie représente assez clairement la sorte de chat rencontré dans la caverne, pendant les jours du « déluge ».

Des enfants issus de ces individus, continuèrent à graver des souvenirs sur des pierres de formes arrondies… Puis ils quittèrent la région, abandonnant leur « montagne » de souvenirs. Des tempêtes successives finirent par disperser et ensevelir une bonne partie de cette collection. D’autres souvenirs furent gravés par les descendants, mais en plus petites quantités.

Les pierres d’Ica

Ces galets (les fameuses pierres d’Ica) furent découverts dans cette même région (Nazca) vers les années soixante et apportèrent bien des soucis à son découvreur, tant ils contredisaient la science officielle.

Pour en connaitre l’histoire complète : Les Pierres d’Ica

Beaucoup de scientifiques ont crié à l’imposture, mais la vision psychique de Raymond Réant (texte ci-dessus) rend crédible l’authenticité de cette découverte.

En voici quelques spécimens (il y en a des milliers).

Et non, vous n’avez pas rêvé, il s’agit bien de dinosaures, … Peut-être en restait-il encore à cette époque, avant que les hommes ne les exterminent. On notera cette phrase de la vision de Raymond Réant du texte suivant :
(…) Cela pourrait bien être notre terre, car la partie non masquée par l’ombre portée de la planète que nous venons de quitter, éclairée par la lumière solaire, présente une riche végétation, des bourrelets d’éléments liquides assez impressionnants. Et ce qui me fait le plus penser que je suis dans le vrai, c’est la présence de mastodontes semblables à ceux qui vivaient sur notre terre, il y a bien longtemps…

Celui en haut à gauche est en parfaite harmonie avec le texte d’A.C. Emmerich (1774-1824) lorsqu’elle parle des premiers hommes :
(…) On pouvait se promener sur le toit de ces bâtiments et en faire le tour, et ils montaient au sommet des tours pour observer, le lointain à travers des tubes ce n’était pas comme avec des télescopes, mais par un procédé satanique. (…).

Une autre vision racontant la vie de saint Luc nous apprend qu’à l’époque de Jésus, les longues-vues existaient.

(…) Quand il fut plus âgé, je le vis dans une ville égyptienne étudier la médecine et l’astronomie. Je vis qu’il portait pendu à son côté un tube semblable à une longue-vue et qu’il se réunissait souvent à de nombreux compagnons. Ils entraient dans l’intérieur de constructions en maçonnerie très élevées et montaient jusqu’en haut à l’aide de perches : il y avait là de petits sièges comme des chaises d’enfants, et ils regardaient à travers un tube qui était bien aussi gros qu’un tuyau de poêle.

Il y a quelques années, on a voulu me vendre une pierre d’Ica, mais j’ai eu peur que ce soit une fausse car des imitations ont dû être faites.

Qui étaient ces hommes et quelle était leur technologie ?

Voici une autre vision de Raymond Réant, extrait des ses livres.

(…) Curieux personnage vêtu d’une combinaison collante, qui ressemble à du caoutchouc, avec sur la poitrine un cercle contenant des signes que je ne saisis pas très bien… Ils utilisent des cubes d’environ un centimètre cube, qui ressemblent à du cristal, pour enregistrements phoniques… Ils font des voyages interplanétaires.

Je vois un paysage assez hétéroclite… Une berge constituée de minéraux d’un jaune paille, semblable à du sable mélangé à du gravillon… Cette berge est baignée par une eau bleue très limpide, dépourvue de vague. Il y a sur la berge une élévation constituant un mont demi-sphérique dont la base est entourée d’une ceinture de cuivre. Sur la partie supérieure, au-dessus de la ceinture de cuivre, une splendide végétation arboriforme est entretenue. Les plantes, d’un vert satiné, sont exemptes de poussière, comme si elles étaient lavées.

Elles atteignent plus ou moins dix mètres de hauteur, et ne sont pas constituées de bois, elles ont la même apparence que le poivron vert.

Je vois des hommes curieusement vêtus, d’une combinaison grise, collante, avec sur la poitrine, un cercle contenant un dessin qui représente un dragon de couleur verte… Cet accoutrement ressemble à celui d’un homme-grenouille, les palmes étant remplacées par des bottes de teinte gris argent. Je me trouve au pied du mont, au bord de l’eau.

Je me permets d’ouvrir ici une parenthèse au sujet de cette étendue d’eau ; en effet, cette grande surface d’eau, semblable à un océan parsemé d’iles, est parfaitement plate, sans aucune vague, sa transparence laisse rêver, mais ce qu’il y a de plus curieux, c’est la présence dans ces eaux, aux alentours du rivage, d’une grande quantité de crapauds et de tortues., ces animaux sont d’assez forte taille.

Je vois un homme se diriger vers une petite fusée située à une vingtaine de mètres, sur une partie plate au pied du mont. Il entre dans cette fusée en faisant glisser une plaque au-dessus de l’appareil qui s’élève maintenant lentement et verticalement, il tourne sur lui-même pour chercher sa direction, ce qui laisse supposer que les ailerons visibles sur la queue de l’appareil ne servent qu’à maintenir la stabilité lorsque l’appareil est posé sur le sol. La partie arrière de l’appareil s’illumine en rouge, sur une faible distance, ce qui le fait ressembler à un cigare allumé… Une faible lueur bleue augmente au fur et à mesure que la fusée prend de la vitesse et inversement, la lueur rouge disparait.

On survole des régions arides… Le ciel est d’un bleu-violet… L’air et l’eau sont si purs, qu’à l’horizon, les cieux et l’océan se confondent, donnant une impression de néant.

L’appareil se pose près d’un nouveau mont entouré, lui aussi, d’une ceinture de cuivre. Sur celui-ci, les végétations sont différentes ; il s’agit de sortes de palmiers, d’une trentaine de mètres de hauteur, portant de nombreux fruits, semblables à des noix de coco, mais, portant à l’opposé de la tige un petit feuillage comme c’est le cas pour l’ananas.

Départ de la terre en direction d’une autre planète, Mars ?

L’appareil quitte la terre pour une direction qui m’est encore inconnue… Près de la terre se trouve un énorme satellite très impressionnant… nous le dépassons…

Le ciel est noir, un noir parsemé de points lumineux, d’étoiles et d’autres éléments… Le temps passe vite… Voici qu’apparait une petite planète… elle grossit à vue d’œil, ce qui démontre la vitesse incroyable de la fusée…

La surface de cette planète devient maintenant énorme, et j’ai une impression de chute, cela m’est fort désagréable… L’appareil contourne à présent la planète, en s’approchant progressivement… Je distingue maintenant de façon assez nette le sol montagneux, dépourvu de végétation… Il y a quelques nappes d’eau… Nous survolons des villes, dont la plupart des constructions épousent une forme parabolique, ou pyramidale.

Nous nous trouvons maintenant au-dessus d’une étendue blanche d’apparence sableuse, avec quelques collines… L’appareil s’immobilise, puis descend verticalement pour se poser sur le sol… il se lève ensuite à environ cinquante centimètres du sol, et glisse à faible vitesse vers l’une des collines… l’appareil se dirige dans un sas incorporé dans la colline et la fusée arrive dans une énorme salle où se trouvent déjà plusieurs fusées de grandeurs différentes… Quelques hommes, indifférents à cette arrivée, travaillent dans ce « garage ». Ces ouvriers ne portent pas de vêtements particuliers, uniquement une simple jupe très courte, et sont nu-pieds.

L’homme passe dans une salle voisine, des ouvriers et ouvrières, revêtus d’une simple robe, sont au travail ; ils contrôlent avec beaucoup de précautions des plantes déversées par un camion fusé. Les plantes ainsi contrôlées sont ensuite stockées dans un bâtiment pyramidal.

Il s’introduit à présent dans un couloir roulant… et arrive dans une ville souterraine où tout un monde s’agite ; les hommes et les femmes sont vêtus de longues robes, semblables ou presque, pour les deux sexes, les enfants portent des robes courtes.

Une autre vision du livre. Nous sommes probablement sur la Lune.

Des hommes vêtus de combinaisons collantes d’un gris métallique, avec sur leur tête un globe transparent, manipulent de la terre… Ils sont une dizaine, la région est désertique, sans montagne, mais cahoteuse, le paysage est sombre, presque noir.

Un homme, sur un monticule, dirige les opérations effectuées par des hommes qui travaillent le sol à la pelle… On distingue des gravillons noirs, de consistance goudronneuse, ne collant pas à la pelle.

Le soleil n’est pas visible ; seule, une grosse masse gris fer couvre le tiers de l’horizon. Chaque homme élève un petit tas de ce produit de surface, et un petit appareil volant ramasse ces tas, de la même façon que la pelle mécanique de nos jours mais en utilisant le corps même de l’appareil…

Le produit est déversé dans un camion de grande capacité, qui s’ouvre sur sa partie supérieure, constituée de deux grands volets. Le travail achevé, le petit appareil déverseur se place à l’arrière du camion, dans une loge prévue à cet effet, et les hommes prennent place à bord… L’appareil s’élève verticalement à une vitesse très rapide, puis tourne un peu sur lui-même, et part en ligne droite à une vitesse inouïe… Le ciel, parsemé de points lumineux, est noir…

L’astre dont je parlais tout à l’heure, qui occupait le tiers de la ligne d’horizon, pourrait bien être notre terre, car la partie non masquée par l’ombre portée de la planète que nous venons de quitter, éclairée par la lumière solaire, présente une riche végétation, des bourrelets d’éléments liquides assez impressionnants. Et ce qui me fait le plus penser que je suis dans le vrai, c’est la présence de mastodontes semblables à ceux qui vivaient sur notre terre, il y a bien longtemps… Cependant les continents ne ressemblent en rien aux nôtres.

(Vincent) Normal, car le niveau des océans était plus bas d’environ 100 mètres et les pôles n’étaient pas à leur place actuelle, sans parler des continents engloutis et surgit, lors du Déluge.

Je me trouve dans une usine d’un type bien particulier ; les éléments solides transportés par le camion volant sont déversés dans une vaste salle faisant office d’entonnoir en forme de pyramide tronquée et renversée, et sont acheminés par petites quantités dans une cellule « rayonnante », dans laquelle ils sont dématérialisés. On ne retrouve plus rien. L’énergie qui s’en dégage est dirigée par un tuyau lumineux, dans des appareils très compliqués. Les produits sont des liquides, des corps visqueux, des métaux, des gaz et des corps irradiants. Il est remarquable de constater qu’il n’y a aucun être vivant à l’intérieur de cette usine.

Je suis maintenant dans un décor merveilleux, dans une somptueuse demeure souterraine, plus vaste que celle d’avant. Les murs sont couverts de plaques ressemblant à de l’opaline, et les meubles sont constitués d’une matière ayant l’apparence du marbre, le bois ne semble pas exister. Je vois un homme ayant l’apparence d’un terrien actuel, de teint pain d’épice, et avec des oreilles volumineuses, mais pas démesurément grandes. Ses yeux sont également grands, le double de ceux des terriens actuels, et avec des doigts légèrement plus longs que les nôtres.

L’homme se trouve à côté d’une femme, probablement la sienne. Ses oreilles sont plus petites et plus harmonieuses que celle de l’homme ; le reste du corps est comparable au nôtre.

Il est curieux de constater que les femmes de cette époque, sont beaucoup plus coquettes que celles de nos jours. Elles portent de longues robes, d’une beauté indéfinissable. Les hommes portent des robes longues ou courtes (exception faite des vêtements de travail, qui sont des combinaisons collantes). Les hommes, comme les femmes, sont nu-pieds et portent des cheveux longs.

Le langage est en partie télépathique, même à grande distance. Ils utilisent avantageusement la « télévision mentale ».

Comme les autres personnages de cette civilisation, ces personnages sont capables de faire de la télékinésie et de la lévitation. J’ouvre une parenthèse sur la lévitation, qui est utilisée dans les domaines les plus divers. Premièrement, pour le corps physique de l’individu. Deuxièmement, pour les objets, même assez volumineux.

Lorsque les corps à léviter sont trop lourds, ils se mettent à plusieurs pour réaliser le phénomène ; dans ce cas il y a contact avec le corps à léviter, et le travail ressemble à celui des fourmis qui, avec leurs petites pattes d’apparence fragile, soulèvent des charges qui sont loin d’être en rapport avec leur constitution physique.

La nourriture est constituée d’un mélange végétal, consommé sous forme de pains. Les repas se font à la « sauvette ». La principale distraction de ces gens est la recherche de l’inconnu, sous toutes ses formes. Pour cela, chose curieuse, il plonge leur corps physique au fond d’un bassin d’eau, qui occupe la salle principale de leur demeure. Étant dans cette condition, dans un état de relaxation complet, la respiration étant inexistante, leur esprit vagabonde librement.

En somme, ces gens-là vivent une existence mixte, entre le monde matériel et le monde spirituel, ce qui porte à penser que le corps, dans ces conditions, est vraiment utilisé comme un véhicule, un outil capable de réaliser des actes et des conditions nécessaires au développement de l’esprit. » (…)

À noter qu’il s’agit d’une vision des temps anciens. Mais Raymond Réant, avec ses élèves, a fait des excursions sur la Lune en voyage astral collectif et a vu ces fameuses bases et leurs habitants, lire un extrait dans ce chapitre : Traces de vie extraterrestre sur la Lune
Le sujet psi américain Ingo Swann, par vision psychique demandé par le gouvernement US, vécu des expériences similaires, à lire dans ce même chapitre.

L’Atlantide décrit par le philosophe Platon

Platon (427-347 av. J.-C) est un philosophe de la Grèce classique, contemporain de la démocratie athénienne. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate dont il fut l’élève, ainsi que Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d’élaborer sa propre pensée. Celle-ci explore la plupart des champs importants, c’est-à-dire la métaphysique, l’éthique, l’esthétique et la politique.

Texte extrait du site : Wikipédia

L’Atlantide de Platon est une ile qui aurait été engloutie par le déluge. Elle est mentionnée pour la première fois par Platon dans le Timée, puis le Critias. Platon précise dans ses « dialogues » qu’il ne s’agit pas d’une fiction, mais d’une histoire véritable digne d’intérêt.

Le philosophe introduit le mythe dans le Timée, au cours d’un récit fait par Critias, un riche Athénien disciple de Socrate et parent de Platon lui-même. Selon Critias, son arrière-grand-père, Dropidès, s’est vu confier par le législateur Solon (VIe siècle av. J.-C.) une confidence que lui-même tenait d’un prêtre égyptien du temple de Saïs. Aux dires du prêtre :

« En ce temps-là, on pouvait traverser cette mer Atlantique. Elle avait une ile, devant ce passage que vous appelez, dites-vous, les colonnes d’Hercule. (Gibraltar) Cette ile était plus grande que la Libye et l’Asie (mineur) réunies. (…) Or, dans cette ile Atlantide, des rois avaient formé un empire grand et merveilleux. (…) Depuis cette ile, on a accès au continent situé plus loin. (…) »

Les Atlantes deviennent corrompus au fil du temps. Ils fondent par les armes des colonies des deux côtés de leur ile. Le Critias entre davantage dans les détails, contant l’origine des habitants, nés de l’union de Poséidon et d’une mortelle.

« Dans l’espace d’un seul jour et d’une nuit terrible, toute votre armée athénienne fut engloutie d’un seul coup sous la terre et, de même, l’ile Atlantide s’abima dans la mer et disparut. Voilà pourquoi, aujourd’hui encore, cet océan de là-bas est difficile et inexplorable, par l’obstacle des fonds vaseux et très bas que l’ile, en s’engloutissant, a déposés. (…) L’ile est située au-delà des Colonnes d’Hercule, où se trouvent des fonds vaseux, restes de l’ile disparue. »