Le temps qui passe

Tout passe dans ce monde, tout est relatif.

« Gouttes de lumière » (Gocce di Luce) – Message de Jésus à Petite Marie (Rome), le 26 septembre 2024.

Ma petite Marie, « Vanité des vanités, tout est vanité », dit le prophète. Tout passe dans ce monde, tout est relatif. La nuit passe au jour et le jour à la nuit, mais vécu hier et aujourd’hui ne reviendra jamais. La génération précédente a donné le ton au vôtre, et vous le donnerez au suivant, mais qui se souviendra des anciens décédés sur cette terre ?

Les saisons défilent au même rythme et la vie suit dans les mêmes actes répétés, tant pour les riches que pour les pauvres, tant pour le bien que pour le mauvais, tant pour les croyants que pour les incroyants, mais tout coule puis disparaît.
Que reste-t-il dans sa substance essentielle, sinon l’amour de Dieu ? Ce qui reste dans éternelle et constante, sinon sa présence ? Cela devient une permanence stable dans votre éternité.

L’homme croit qu’il peut vivre éternellement dans ce monde, il veut se rendre tout-puissant, pourtant il tombe malade, se décompose et meurt. Hier vous étiez des enfants, aujourd’hui vous n’êtes plus des enfants, vous vous faites adultes, mais le temps qui passe vous conduit déjà aux cheveux gris, à l’âge courbé des os qui hésitent.
Pourtant, malgré l’évidence que tout est perdu, l’homme persiste dans ses mauvaises actions et son reniement du Père céleste. Que peut-il y faire ? Il ne peut pas non plus ajouter un jour de plus à son temps.

C’est le Très Saint qui vient tendre la main à l’homme pour lui dire : Viens à moi, infuse-toi en moi, entre dans mes entrailles, viens découvrir mon Cœur pour faire en sorte que mes pouvoirs entrent en vous. Mes éléments divins qui pénètrent votre matière et l’élèvent dans l’Esprit, qui font rayonner ma sainteté dans votre humanité, par une croissance et une élévation qui est pour chacun et qui fait de vous mes enfants, des enfants divins destinés à acquérir le droit à l’héritage du Royaume.

Ne soyez pas stupide, ne restez pas extérieur à Seigneur en ne faisant confiance qu’à vous, puisqu’en vous assimilant à votre intériorité, vous resterez sur la terre, et la terre périra et aura sa fin. (…).
Mes enfants, sachez regarder vers le Ciel, enivrez-vous de ma Personne, placez-vous cœur à cœur avec moi pour avoir la lumière de toute sagesse, car ce n’est que dans l’infusion, l’immersion dans mon intimité que vous deviendrez divin et pourrez accéder à une réalité infinie qui sera stable, concrète et pérenne : rien ne vous sera enlevé et tout restera.
Je te bénis.

Images extraites du film Retour vers le futur et Un jour sans fin.

Le temps qui fixe son propre rythme, mais qui s’écoule continuellement.

« Gouttes de lumière » (Gocce di Luce) – Message de Jésus à Petite Marie (Rome), le 27 septembre 2024 – Saint Vincent de Paul.

Ma petite Marie, la première lecture de l’Ecclésiaste t’enseigne et décrit la valeur du temps, le temps qui fixe son propre rythme, mais qui s’écoule continuellement, se portant en soi, et c’est tout ce par quoi vous vivez. Le temps existe pour donner raison à l’homme pour son travail, il donne un sens aux périodes et à son existence, pour que chaque temps ait sa fonction.

Il y a un temps pour naître et mourir, un temps pour travailler et se reposer, un temps pour se réjouir ainsi qu’un temps pour souffrir, mais le temps court et n’a pas de repos. Il ne donne pas de prolongements et ce qui a été vécu ne revient pas.
La jeunesse est un souffle qui se rapproche de la vieillesse, et les générations se succèdent comme l’alternance des saisons, dont les passées ne reviennent cependant pas.
L’homme a compris le rythme de ses temps pour pouvoir les mesurer : il les compte années, mois, jours, heures, il reconnaît un passé et voit le présent en attendant son avenir, mais il n’a aucun pouvoir sur le temps. Le temps ne lui appartient pas. Cela lui glisse entre les mains et il ne peut pas l’arrêter.

Dieu a donné à l’homme autorité sur toute la création et de l’usage pour sa propre subsistance, mais ne détient pas le pouvoir sur le temps parce qu’il appartient à l’Éternel. Le temps appartient à Dieu, c’est lui qui le tient entre ses mains et cela se passe en lui, stable, fixe et infini.

Que devez-vous faire, mes enfants, du temps qui vous est donné, qui vous occupe, mais qui ne vous occupe pas ? Pouvez-vous le retenir ?
Vivez-le en le remplissant de biens, en l’inondant de charité, le forger avec votre don pour vous assurer que dans votre travail il soit rempli de bijoux précieux, de pierres précieuses et de bijoux en or dans le coffre au trésor du temps qui s’ouvrira devant vous, et elle manifestera au Seigneur ses richesses, elle dégagera son parfum de sainteté. Ce seront le trésor qui vous enveloppera pour toujours à travers le temps.

Si au contraire le temps a été perdu en folie, dissipé en vanités, à ne rien faire, votre cercueil sera vide, il n’y aura aucun hommage à l’accès de l’éternité. Si vous l’avez gaspillé dans le péché, rempli de méchanceté, quand le coffre sera ouvert, il n’y aura que du fumier, et sa puanteur ne vous rendra pas digne d’entrer dans le Royaume, mais vous y serez expulsé.

Que le temps soit sanctifié dans la charité : c’est cela qui restera pour toujours et ne disparaîtra jamais et ne sera pas perdu. L’amour donné est divin, il ne peut se dissoudre, au contraire, il évoluera et grandira dans le Ciel. Personne ne pourra rien enlever à votre don, pas même le temps qui est passé, puisque dans la charité vécue il deviendra infini.

Saint Vincent de Paul a sagement utilisé le temps que Dieu lui a donné.

La figure de Saint Vincent de Paul, géant de la charité, le démontre bien aujourd’hui. Dans ses œuvres vertueuses, il s’est rendu héroïque : combien de larmes il a séchées, combien de pauvreté il a soulagé, avec quelle miséricorde il a tendu la main à tous, sans discrimination : l’aide apportée à la pauvreté de cette époque qui était contre la misère extrême. Une telle misère physique était souvent le signe aussi de cette dégradation morale que beaucoup de gens ont vécue, de sorte que la sollicitation de Saint Vincent est utilisé pour aider à répondre à la fois aux besoins corporels, mais aussi nourriture et soutien aux âmes pour leur salut. (…) Saint Vincent de Paul a sagement utilisé le temps que Dieu lui a donné pour se dépenser pour les autres.

Mes enfants, veillez aux besoins de vos frères, n’écoutez pas le monde qui pourrait considérer cela comme une perte, et qui à tendance à vous inciter à perdre votre temps dans l’idolâtrie de votre époque. Donnez ce que vous pouvez dans la charité qui vous revêtira de sa noblesse, de sa propre richesse pour les cieux, de cette beauté donnée dans l’amour qui ne vous sera jamais enlevée, ni ne sera jamais perdu, comme le temps déjà passé, mais qui devient éternel dans la charité.
Je te bénis.

Chapitre complémentaire : L’Éternité, le Temps et le Hors-temps.

Il est impossible de retourner en arrière dans le temps.

Message de Dieu – Soeur Beghe – Le 26 mai 2024 – Lire le message en entier sur le site d’origine.

Chers Fidèles, chers Enfants, chers Amis, (…)
Adam et Eve, pris de court et tentés, ne se souvinrent plus de la mise en garde divine, ils la négligèrent et submergés par la curiosité et l’attrait de ce qu’ils ne connaissaient pas, ils s’abandonnèrent sans résistance à l’étreinte mortelle du démon.
Ils lui obéirent, ils se maudirent ensuite mais le mal était fait, l’acte était accompli et leur dénuement apparut alors à leurs yeux. La grâce sanctifiante dont ils étaient revêtus disparut et ils se retrouvèrent nus, seuls et démunis.
Dieu leur pardonna, certes oui, mais le mal fait ne pouvait être effacé, car il est impossible de retourner en arrière dans le temps. (…)
Votre Seigneur et divin Juge.

Le temps s’est arrêté et le prêtre a pu pendant cet arrêt du temps faire la distance qui le séparait de la gare.

Messages de Notre Seigneur Jésus-Christ. Pour lire le message est en entier : Soeur Beghe – Dimanche 12 juillet 2020.

(…) Dieu seul peut arrêter le cours du temps, Il est le maître du temps et il peut l’arrêter ou l’accélérer puisqu’il en est Lui-même le régulateur.
Il est rare qu’il suspende le temps mais il lui arrive de le faire quand Il juge ce miracle nécessaire. C’est ainsi que, dans une œuvre de miséricorde, Il a arrêté le temps de telle sorte qu’un de ses serviteurs, un prêtre, puisse encore accéder à son train tandis que son retard aurait dû le lui faire manquer. Le temps s’est arrêté et le prêtre a pu pendant cet arrêt du temps faire la distance qui le séparait de la gare.
Ce petit arrêt du temps n’a été observé que par l’intéressé et son chauffeur, les autres usagers de la route ne remarquant rien ni aucun symptôme étonnant. Ainsi le temps s’est arrêté pour l’un et non pour l’autre, telles sont les actions que seul Dieu peut faire et que l’homme ne peut qu’observer.

Faites et Je ferai, faites et vous serez aidés.

Telles sont les grâces que Dieu fait en faveur de ceux qui le prient, de ceux qui se mettent à Son service, de ceux qui ont mis en Lui toute leur confiance. Faites et Je ferai, faites et vous serez aidés ; pas toujours par des miracles mais par des effets que certains dénomment le hasard.
Dans ce monde créé par Dieu, le hasard est « la Providence qui œuvre incognito ». La Providence, dit le dictionnaire, est la suprême sagesse avec laquelle Dieu conduit toutes choses, elle est aussi la convergence des situations pour rendre un état possible. Telle est la main paternelle de Dieu dans votre quotidien, et ceux d’entre vous qui sont des catholiques fervents l’ont constaté souvent et en sont les heureux bénéficiaires.

Nous avions parcouru le trajet Paris-Lyon en 15 minutes.

Extrait du livre Un être exceptionnel, Gustavo Rol. Chapitre : Altération de l’espace-temps.

Témoignage d’Anne Andronikof : « Comme j’étais petite à l’époque de cet épisode, c’est ma mère, Natalia, qui me l’a raconté. Un soir, nous sommes partis de Paris pour aller à Lyon. Nous étions en voiture, ma mère conduisait, Rol était assis à côté d’elle, et moi j’étais assise sur les sièges arrière. Soudain, Rol a dit : “Il est 20 heures, et nous devons être à Lyon à 20 h 30 ».
– Mais, Gustavo, ce n’est pas possible, nous venons à peine de partir et il faut au moins trois heures de route !
– Je veux voir la tombe de Ravier près de Lyon, et le cimetière ferme à 21 heures
– Eh bien, nous pouvons y aller demain, a suggéré ma mère.
= Non, non, on peut y arriver.
– Mais, Gustavo, c’est impossible…
Rol est resté silencieux. Alors ma mère m’a dit que sans savoir comment, elle s’est retrouvée (elle, nous et la voiture) à la périphérie de Lyon. Et que Rol lui a demandé, l’air de rien : “Natalia, quelle heure est-il ?
– Il est 20 h 15… a dit ma mère, confuse, en regardant sa montre.
– Tu vois, je te l’avais dit, qu’on y arriverait ! Encore une demi-heure, et nous serons au cimetière”. Ma mère est restée dans cet “état confusionnel” pendant un bon moment, Elle ne parvenait pas à comprendre ce qui s’était passé pendant ce laps de temps, entre 20 heures et 20 h 15. Elle m’a dit qu’elle a eu l’impression d’être frappée d’amnésie ou de s’être endormie. Toujours est-il que nous avions parcouru le trajet Paris-Lyon en 15 minutes ! »

Chapitre complémentaire : Gustavo Rol (1903-1994)

On fit le trajet en 20 minutes. (…) et l’on arriva à l’heure pour la messe.

Extrait de mon livre autobiographique : Une vie dans le surnaturel.

(…) Lisant le livre sur Gustavo Rol (1903-1994) au hasard des chapitres, je tombe sur celui parlant de l’altération de l’espace-temps. Gustavo et ses amis firent en voiture Paris-Lyon en 15 minutes, au lieu de trois heures minimums, (lire texte ci-dessus) À deux reprises j’ai vécu ce type d’expérience, et finalement, je vais vous les raconter, car j’hésitais.

Première expérience : La scène doit se passer entre 2000 et 2003, j’étais en couple et nous habitions Paris 15e. Nous passions souvent le dimanche chez mon beau-père en lointaine banlieue, et nous allions à la messe dans sa ville avant le repas. Il nous fallait environ 45 minutes pour nous y rendre, et 30 minutes quand il n’y avait personne sur la route et que c’est ma femme qui conduisait.
Ce dimanche-là, nous étions en retard pour la messe et nous n’avions que 20 minutes pour y aller. Je pris le volant et avant de démarrer, on fit une prière dans la voiture pour demander à Dieu de faire un miracle afin de ne pas arriver en retard à la messe.
Il y avait du monde sur la route et, regardant souvent le compteur, je ne dépassais pas les 60 km/h durant tout le trajet (d’ordinaire, en roulant plus vite, je mets 45 minutes) et là, miracle ! on fit le trajet en 20 minutes. On s’est regardé ma femme et moi, et l’on s’est dit : « le Seigneur est vraiment trop fort » et l’on arriva à l’heure pour la messe.

Deuxième expérience : J’étais dans le métro pour aller travailler mais j’avais du retard, ce qui me perturbait, car j’avais un impératif professionnel. Il y eut alors une altération du temps qui me fit arriver à l’heure. Je l’ai constaté en sortant de ma rame de métro.
Cette expérience me généra toutes sortes de questions : Est-ce réellement une altération de l’espace-temps ? Un épisode du livre où Rol fait léviter la voiture et suspendre véritablement le temps (lire ci-après) le laisse penser. Rol avait même dit qu’ils auraient pu à ce moment-là, passer dans l’au-delà.

« Aller au Ciel en voiture ». Cela me fait penser aux apparitions de Notre-Dame du Laus (1647-1718). Benoîte, qui vit la Sainte Vierge durant de nombreuses années, fut un soir, enlevée au Ciel avec son vrai corps physique, portée par deux anges. Elle fut après redéposée à quelques kilomètres de chez elle. Une façon de nous montrer qu’il ne s’agissait pas simplement d’une vision.
Pour l’anecdote, Benoite était un peu « lourde » et elle raconta qu’elle avait eu peur qu’ils aient des difficultés à la porter ou qu’ils la laissent tomber.
Cette histoire et le récit des expériences de Rol nous montrent que nous vivons dans un univers totalement malléable, au Ciel comme sur terre.

La voiture s’est soulevée dans l’air, comme suspendus dans le vide. Nous aurions pu passer dans l’au-delà. Et puis la voiture est retombée sur ses roues.

Extrait du livre Un être exceptionnel, Gustavo Rol. Chapitre : Altération de l’espace-temps.

Témoignage de Catterina Ferrari : « Quelque chose m’est venu à l’esprit ce matin, alors que j’étais en voiture. Quelque chose que j’ai vécu avec lui, que j’ai gardé dans mon cœur et dont je crois bien n’avoir jamais parlé à personne. C’est vraiment bouleversant, mais c’est la vérité, vous pouvez me croire. C’est la vérité.
À cette époque. Je l’accompagnais souvent à Aix-les-Bains et à Menton, où nous passions des vacances. En général, il voulait partir après le 20 août, et je me souviens de cette période. C’était une période très gaie. Je me souviens qu’une fois, nous étions déjà partis, et le temps n’était pas favorable. À un moment donné, un violent orage a éclaté à La Turbie, avant d’entrer à Nice — cela fait longtemps que je ne suis plus allée à Nice. J’étais en train de parler de choses profondes avec le dottor Rol, d’éternité et de suspension dans le vide. Et tout à coup, je vous jure que la voiture s’est pour ainsi dire soulevée dans l’air, comme si nous étions suspendus dans le vide.
Le dottor Rol m’a dit : “Nous pourrions aussi passer de l’autre côté, mais notre heure n’est pas encore arrivée”. Et juste à ce moment, la voiture est retombée sur ses roues. » 
[Une conversation entre l’auteur et Cattierina Ferrari, en septembre 2012, nous a permis d’en savoir plus sur cet épisode]
« J’étais en train de conduire, et l’orage était sur le point d’éclater, et j’ai eu la sensation que la voiture se soulevait, que nous étions suspendus… Je ne voyais plus rien autour, la route, le paysage, tout avait disparu, la voiture semblait flotter dans l’eau. Tout était silencieux, je n’entendais que la voix de Gustavo. C’était une sorte de suspension de l’espace-temps. » 
« Après que Gustavo m’a dit que nous aurions pu passer de l’autre côté, dans l’au-delà, et que je lui ai répondu qu’avec lui j’y serais allée, la voiture s’est à nouveau retrouvée sur la route, et on entendait à nouveau les bruits que faisait l’orage. »