Je ne veux pas que les femmes me servent autour de ma Table Sacrée.
Message de Jésus donné à Valentina Papagna (Sydney, Australie) le 25 septembre 2022.
Aujourd’hui pendant la Sainte Messe, juste avant la distribution de la Sainte Communion, alors qu’une jeune femme se rendait au Tabernacle pour apporter le Ciboire à l’Autel, Notre-Seigneur me dit :
Regarde ! Une femme envoyée pour ouvrir mon Lieu sacré et apporter mon Saint Corps à l’Autel pour être distribué. Je n’ai jamais approuvé que des femmes viennent autour de mon Autel, et Je ne le ferai jamais ! Je choisis mes disciples, et il en sera ainsi pour toujours.
Actuellement les femmes font pression pour venir à mon Autel et me servir. Ma colère est grande de regarder tout cela. Priez car le moment venu, quand je jugerai, je jugerai sévèrement. Priez pour que Je puisse encore être miséricordieux pour tous ces méfaits d’accéder à mon Autel.
Notre-Seigneur me regardait, puis Il a dit très sévèrement : Valentina, mon enfant, ne me fais jamais ça parce que tu m’offenserais beaucoup, au point que tu perdrais même ta vie et c’est dans l’éternité.
Alors Notre-Seigneur m’a demandé de réparer ces offenses. J’ai fait réparation immédiatement après la Sainte Communion, comme notre Seigneur l’avait demandé. Puis, Il m’a encore demandé de faire réparation après la Sainte Messe devant le Saint Tabernacle, ce que j’ai fait.
Nous essayons de plaire aux gens ici sur terre et les placer dans une position plus élevée dans l’église. Mais nous posons-nous la question : Est-ce que nous plaisons à notre Seigneur en faisant cela ? Non, Dieu veut que les femmes restent humbles et ne soient pas autour de l’autel.
Plusieurs fois Notre-Seigneur m’a dit : Je ne veux pas que les femmes me servent autour de ma Table Sacrée.
À l’Église Saint-Augustin à Paris, les rôles sont clairement définis : Les servants d’autel pour les garçons et les Augustines pour les filles.

Dans quelques églises, les prêtres cèderont aux dames, qui sont très désireuses pour accepter ce poste, mais quand ces choses arriveront, Dieu ne sera plus dans le Tabernacle.
Messages du Ciel donnés en 1998. Ce texte vient de mon ancien site et je n’ai pas conservé l’origine du message, mais il pourrait être de Valentina Papagna car le style y ressemble.
Tandis que je priais, un Ange du Seigneur est apparu. Il a dit : Je suis l’Ange du Seigneur, Il m’envoie pour te révéler des choses. Viens avec moi, je te montrerai ce qui arrivera dans un proche avenir.
Il m’a conduit dans différentes Églises Catholiques (par l’esprit). J’ai vu des dames toutes vêtues de blanc. Elles étaient toutes autour de l’Autel.
J’ai demandé à l’Ange ; « Qui sont ces dames ? » Il répondit : j’attendais que tu me le demandes. Ces dames se nomment : ministres Eucharistique. Voient ces changements dans les églises. Elles sont inutiles aux yeux de Dieu. Le diable a ouvert la porte à ces ministres pour les faire entrer dans le Temple de Dieu et lentement elles poussent à devenir des prêtres. Dans quelques églises, les prêtres cèderont aux dames, qui sont très désireuses pour accepter ce poste, mais quand ces choses arriveront, Dieu ne sera plus dans le Tabernacle.
Ces femmes dirent ceci : « Les gens comme vous pouvez le constater, nous vivons dans une ère moderne et nous portons Jésus dans nos cœurs. Qu’allons-nous faire aujourd’hui ? Nous aurons un petit service avec une lecture et vous ne devez pas vous sentir mal. »
J’ai regardé tout autour et j’ai vu des gens qui pleuraient et qui étaient confondus. Certains quittaient l’église. Moi-même je pleurais. J’ai dit à l’Ange : « Pourquoi Dieu permet-Il cela ? »
L’Ange a dit : Regarde la terre qui est sèche et aussi vos cœurs. Dieu le permet parce que les gens désobéissent à ses lois. N’aie pas peur. Va et reçois Jésus le plus souvent possible tandis que tu le peux. Ces choses approchent très vite et elles arriveront. Aie confiance en Notre Seigneur. Il fournira et vous trouverez toujours un bon Prêtre fidèle et qui célèbrera secrètement la messe et vous nourrira avec le Corps de Jésus pour vous donner la force pour passer au travers de la purification. Ne perds jamais l’espoir. Prie pour des Prêtres et des Évêques.
L’Ange a révélé le Sang Précieux de Jésus. Les femmes s’en moquèrent. Elles dirent : « Pourquoi donnerions-nous cela à boire aux gens quand nous pouvons tous le boire nous-mêmes ? »
L’Ange a continué, « Voie, c’est un autre blasphème envers Dieu. »
J’ai répondu en disant : « Seigneur Mon Dieu, aie pitié de nous ».
Les diaconesses dans l’Église primitive
Extrait du site Aleteia
L’Église des premiers siècles a connu des diaconesses, dont le service principal était de préparer les femmes au baptême. Une mission, puis une dignité qui disparaîtra au fil des siècles, y compris dans les Églises orientales.
Les diaconesses sont choisies dès les premiers siècles parmi les vierges et les veuves les plus respectables. L’âge minimal pour l’ordination a varié avec le temps : d’abord 60 ans, puis 40, avant que cette exigence ne disparaisse.
Leur principale mission consiste à préparer les femmes catéchumènes au baptême. Elles les instruisent donc au préalable, et l’on peut encore voir dans les catacombes la trace des chaires qu’elles utilisaient, notamment dans la chapelle Sainte-Émérentienne. Puis elles assistent l’évêque pendant la cérémonie du baptême réalisée alors par immersion complète : elles soutiennent la baptisée pendant son immersion, la sèchent et enduisent son corps avec le saint chrême, puis la revêtent de l’habit blanc pour la suite de la cérémonie.
Les diaconesses exercent un ministère de charité et d’hospitalité tourné plus particulièrement vers les femmes : elles assistent les mères, visitent les femmes malades et leur apportent la communion, font la toilette funèbre des défuntes. (…)
L’Église syriaque, l’Église maronite et les Églises grecques-orthodoxes vont garder la tradition des diaconesses ordonnées pendant quelques siècles. Au Xe siècle, il existe encore une zone réservée aux diaconesses dans la cathédrale Sainte-Sophie de Constantinople. Les dernières diaconesses maronites disparaissent finalement au XIXe siècle.
Extrait du site Wikipédia
Dans l’Église chrétienne primitive, la fonction de diaconesse existait. Ainsi, Paul de Tarse, dans son Épître aux Romains (16, 1-2) recommande-t-il « Phoebé, notre sœur, qui est diaconesse de l’Église de Cenchrées ».
Leur ministère est mentionné par des pères de l’Église aussi anciens que Clément d’Alexandrie et Origène. Dans une de ses lettres, Pline le Jeune atteste l’existence de ces diaconesses lorsqu’il parle de « deux servantes » comme de diacres qu’il torture au cours d’un interrogatoire.
La Didascalie des apôtres est le plus ancien document qui aborde le rôle spécifique de diacres hommes ou femmes. L’auteur incite à nommer des diaconesses pour prendre soin de femmes, lorsqu’il n’est pas approprié d’envoyer un homme.
Les pères de l’Église du IVe siècle Épiphane de Salamine, Basile de Césarée, Jean Chrysostome et Gregoire de Nysse reconnaissent le fait des femmes choisies par l’évêque et ordonnées diacres.
Elle est aussi présente chez d’autres auteurs chrétiens de la même époque, comme Thédoret de Cyr. Leur rôle consistait à aider l’évêque, spécialement à trois niveaux :
– Visites pastorales dans les maisons destinées aux femmes,
– Onction des femmes dans la liturgie baptismale où la catéchumène s’y présentait dans un état de nudité complète,
– Instruction des néophytes femmes.
La fonction de diaconesses disparaît ensuite du christianisme occidental.