La place des femmes dans l’Église

La femme est une femme, l’homme est un homme, et leurs rôles ne sont pas interchangeables.

Message de Dieu – Soeur Beghe – Les 29 et 30 octobre 2023 – Lire le message en entier sur le site d’origine.

Mes Enfants, mes très chers Enfants, (…) la Sainte Église vit actuellement une très grande crise et elle est en passe de faire croire que ce qui était exclus hier pourrait être agréé aujourd’hui. Mes Enfants, soyez-en certains, ma doctrine ne peut changer parce que ma Création a été bâtie d’une certaine façon, à la manière de Dieu, et l’homme ne peut changer ce que Dieu a établi.

L’homme et la femme sont complémentaires, ce qui veut dire que leurs rôles sont différents, mais ils ont chacun besoin de l’autre. S’ils veulent mélanger leurs rôles respectifs, ils s’égareront dans le désordre, dans l’abomination et dans le péché, ce qui ne sera pas sans conséquence pour la stabilité de mon Plan créateur. (…)

Le prêtre est un autre Christ, le laïc est un fidèle, il n’a pas le rôle du prêtre. La femme est, comme ma très sainte Mère, au pied de la Croix, au pied de l’autel du Saint Sacrifice. Ma Mère a souffert le martyre avec Moi, mais elle n’était pas physiquement clouée à la Croix. Ce rôle était le mien parce que, Fils de Dieu et Dieu moi-même, J’étais le seul à pouvoir rendre à Dieu la satisfaction, la réparation qui Lui était due.

La femme a été créée après l’homme parce que l’homme seul ne trouvait pas d’aide qui lui fut assortie. Et c’est pourquoi l’homme quitte son père et sa mère et s’attache à sa femme, et ils deviennent une seule chair. Le prêtre, à l’image de Jésus-Christ, a un rôle qui lui est confié par Jésus-Christ Lui-même à la Dernière Cène, lorsqu’il institua la Sainte Église destinée à dispenser les trésors divins, les 7 sacrements, et à répandre à travers toute la terre la grâce de la Rédemption.
Cet état est propre à l’homme, Jésus-Christ n’ayant pas donné ce rôle à sa très Sainte mère, la plus sainte de toutes les créatures. La femme est une femme, l’homme est un homme et leurs rôles ne sont pas interchangeables.
C’est la jalousie, l’envie et l’orgueil qui font que certaines femmes jalousent le rôle des hommes sur la terre et, de même, certains hommes jalousent le rôle féminin se déguisant en travestis. L’inversion n’est pas voulue par Dieu parce qu’Il a fait sa création comme Il l’a décidé ; chacun est où il a été placé et s’il veut se changer, sa nature ne le lui permet pas. (…)

Questions Réponses avec Dieu.

Dieu propose maintenant que ce soit nous qui choisissions le thème des messages, via le mail du site : Sœur Beghe. Voici ci-dessous un extrait du message qui l’annonce.

Message de Dieu du 2 août 2023 – Lire le message en entier.
Mes Enfants, Je reviens vers vous. Vous attendez un mot nouveau de ma part et il est normal que vous l’attendiez : (…). De quel sujet désirez-vous que Je vous parle ? Je ne vous ai jamais proposé de vous parler d’un sujet de votre choix mais aujourd’hui Je vous le propose. (…) Vous serez nombreux à m’en proposer et Je choisirai parmi ceux que vous me proposerez. (…) Oui, c’est ce que Je vous propose aujourd’hui :
Désirez-vous que Je vous parle des fins dernières, de la vie sur la terre, de la vie dans le monde invisible, de la morale catholique, des effets des vertus ou inversement des vices, de la vie familiale, de la vie religieuse, de la vie tout court : celle que Je vous ai donnée en créant la vie humaine ?
Voilà tant de sujets que Je pourrai développer et cette fois-ci, Je vous en propose le choix. Parmi vos réponses, Je choisirai le thème le plus demandé et vous pourrez méditer la réponse donnée. (…)

Merci de poser des questions qui n’ont pas ou peu été abordées jusqu’à présent et soyez audacieux.
Voici la troisième réponse. (lire les deux premières sur le site d’origine)

Message de Dieu – Sœur Beghe – Le 23 août 2023 – Lire le message en entier sur le site d’origine.

(…) Je veux continuer à répondre à vos questions et je le fais ici publiquement.

Quel est le rôle des femmes dans l’Église ?

Cette question est souvent posée et, à mon tour, je vous demande quelle est la place de ma Très Sainte Mère dans la Sainte Église ? Est-elle prêtre comme Je le suis Moi, Sacrificateur et Sacrifié ? Elle ne l’est pas. Est-elle Rédemptrice ? Elle ne l’est pas, elle est Co-Rédemptrice parce qu’elle a été au pied de ma Croix, souffrant avec Moi pour toutes les âmes. Il n’y a qu’un seul Seigneur et il n’y a qu’une seule Mère de Dieu.

Chacun est nécessaire, chacun est différent et ma Mère ne m’a pas jalousé pour être pendu au gibet tandis qu’elle souffrait avec Moi pour les hommes et pour leur rédemption. Pourquoi les hommes jalouseraient-ils la maternité, la féminité, et pourquoi les femmes jalouseraient- elles la virilité, la force ? La jalousie, l’envie est le défaut du Malin, il a voulu être Dieu à la place de Dieu et il a tout perdu. Le serviteur ne peut être le maître, le fils du roi ne peut être roi avant que ne vienne son tour, l’enfant ne peut être adulte avant l’âge, vous avez tous votre place et votre rôle à exercer sur la terre, et l’humilité est la vertu qui a connu son apogée en la Sainte Vierge Marie, ma Mère.

Saint Joseph aussi s’est contenté de son rôle de protecteur de la Sainte-Famille bien que le Christ, Dieu fait homme, n’était pas immédiatement de son sang. Il n’a pas été jaloux de son Épouse, Mère de Dieu parce qu’Immaculée, tandis qu’il était comme le reste de l’humanité, porteur du péché originel mais destiné à être saint.

Que chacun soit heureux, très heureux de la place que Je lui ai préparée sur la terre et puis en mon Ciel. Pour y arriver il faut exercer les vertus : les vertus théologales qui sont la foi, l’espérance et la charité. Les vertus cardinales qui sont la prudence, la justice, la force et la tempérance. Et enfin les vertus morales qui sont l’humilité, l’obéissance, la reconnaissance, la patience, la douceur, la pénitence et la chasteté.
L’exercice de ces vertus vous mettra à l’abri du démon et de tout ce qui corrompt le monde et Dieu sera heureux, très heureux de vous. Je vous bénis, mes très chers enfants, Je vous aime et vous veux avec Moi pour l’Éternité.

Que Dieu vous bénisse : au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il. Votre Seigneur et votre Dieu

Pourquoi les femmes ne peuvent-elles pas devenir prêtres ?

Lettres de la Reine du Ciel aux âmes individuelles. Enseignement de la Bienheureuse Vierge Marie, Maîtresse de toutes les âmes à Myriam van Nazareth. Sur le rôle des femmes – sur le rôle des hommes – sur l’émancipation – Pourquoi les femmes ne doivent pas être prêtres. – Lettre 61

Ce texte est traduit du néerlandais.

(…) La Maîtresse de toutes les âmes prend sans équivoque une position très formelle dans ce domaine : Selon la Loi de Dieu, il n’est pas permis aux femmes de devenir prêtres dans la seule véritable Église de Dieu, l’Église catholique romaine de Jésus-Christ. Marie était la Très Pure, l’Immaculée, la seule âme d’une parfaite sainteté. Au Calvaire, Elle a représenté, spirituellement, le rôle de ‘Grande Prêtresse’ Qui a présenté le Corps de l’Homme-Dieu au Père Éternel comme le Sacrifice du Sacrifice. Dieu a donné à une Femme le pouvoir d’être la Co-rédemptrice, des milliers de fois plus pure et parfaite que n’importe quel prêtre. Cependant, je vous décris le comportement de Marie lors d’une Sainte Messe, commandée par les apôtres de Jésus :

Dans des visions, Marie s’est montrée à moi lors d’une Sainte Messe, présidée par Pierre et Jean, quelque temps après l’Ascension de Jésus. Mary était agenouillée pendant tout le service. Au moment de la Sainte Communion, Elle se leva, s’avança dignement, s’agenouilla devant Jean, croisa lentement et gracieusement les bras sur sa poitrine, ouvrit lentement la bouche et se laissa poser la Sainte Hostie sur sa langue. Elle, la Sainte parfaite, n’a même pas touché de ses mains le Corps Eucharistique de Son propre Fils, parce qu’Elle s’en « sentait indigne » (paroles de notre Maîtresse !). Pouvez-vous maintenant imaginer qu’une femme qui n’a pas été immaculée et qui n’a pas mené une vie parfaitement sans péché, serait ordonné prêtre de l’Église du Christ, devenant ainsi un instrument direct de la transsubstantiation ? Pouvez-vous encore imaginer des femmes distribuant la Sainte Communion aujourd’hui ? Enfin, pouvez-vous encore imaginer que les âmes sont le Corps du Christ reçu dans la main, sachant que la Vierge Immaculée, qui a porté le Corps du Fils de Dieu dans son sein pendant neuf mois, n’a même pas touché ce Corps de sa main ?

La Loi de Dieu, sa signification, sa base, ses raisons et ses effets sont éternels. Si Jésus, dans la plénitude de Sa Sagesse Divine, a choisi douze apôtres mâles et en a ordonné onze (parce que le douzième s’est livré lui-même et son Seigneur au diable) prêtres de Son Église, de quel droit et selon quelle sagesse nous, humains admettre absolument les femmes comme prêtres ?

Aucune femme n’a été initiée par Jésus aux secrets du sacerdoce. Dans l’apostolat, les femmes avaient une fonction de service, d’aide et de soutien, jamais celle d’administrer le sacrement. Même la Mère de Dieu, qui possédait pourtant un pouvoir très grand et clairement visible dans la jeune Église du Christ après l’Ascension de Jésus, n’a jamais assumé le rôle de prêtresse. Quelle femme dans ce monde est égale à Marie ? (…)

Myriam

Je ne veux pas que les femmes me servent autour de ma Table Sacrée.

Message de Jésus donné à Valentina Papagna (Sydney, Australie) le 25 septembre 2022.

Aujourd’hui pendant la Sainte Messe, juste avant la distribution de la Sainte Communion, alors qu’une jeune femme se rendait au Tabernacle pour apporter le Ciboire à l’Autel, Notre-Seigneur me dit :

Regarde ! Une femme envoyée pour ouvrir mon Lieu sacré et apporter mon Saint Corps à l’Autel pour être distribué. Je n’ai jamais approuvé que des femmes viennent autour de mon Autel, et Je ne le ferai jamais ! Je choisis mes disciples, et il en sera ainsi pour toujours.
Actuellement les femmes font pression pour venir à mon Autel et me servir. Ma colère est grande de regarder tout cela. Priez car le moment venu, quand je jugerai, je jugerai sévèrement. Priez pour que Je puisse encore être miséricordieux pour tous ces méfaits d’accéder à mon Autel.

Notre-Seigneur me regardait, puis Il a dit très sévèrement : Valentina, mon enfant, ne me fais jamais ça parce que tu m’offenserais beaucoup, au point que tu perdrais même ta vie et c’est dans l’éternité.

Alors Notre-Seigneur m’a demandé de réparer ces offenses. J’ai fait réparation immédiatement après la Sainte Communion, comme notre Seigneur l’avait demandé. Puis, Il m’a encore demandé de faire réparation après la Sainte Messe devant le Saint Tabernacle, ce que j’ai fait.
Nous essayons de plaire aux gens ici sur terre et les placer dans une position plus élevée dans l’église. Mais nous posons-nous la question : Est-ce que nous plaisons à notre Seigneur en faisant cela ?  Non, Dieu veut que les femmes restent humbles et ne soient pas autour de l’autel.

Plusieurs fois Notre-Seigneur m’a dit : Je ne veux pas que les femmes me servent autour de ma Table Sacrée.

À l’Église Saint-Augustin à Paris, les rôles sont clairement définis : Les servants d’autel pour les garçons et les Augustines pour les filles.

Dans quelques églises, les prêtres cèderont aux dames, qui sont très désireuses pour accepter ce poste, mais quand ces choses arriveront, Dieu ne sera plus dans le Tabernacle.

Messages du Ciel donnés en 1998. Ce texte vient de mon ancien site et je n’ai pas conservé l’origine du message, mais il pourrait être de Valentina Papagna car le style y ressemble.

Tandis que je priais, un Ange du Seigneur est apparu. Il a dit : Je suis l’Ange du Seigneur, Il m’envoie pour te révéler des choses. Viens avec moi, je te montrerai ce qui arrivera dans un proche avenir.

Il m’a conduit dans différentes Églises Catholiques (par l’esprit). J’ai vu des dames toutes vêtues de blanc. Elles étaient toutes autour de l’Autel.
J’ai demandé à l’Ange ; « Qui sont ces dames ? » Il répondit : j’attendais que tu me le demandes. Ces dames se nomment : ministres Eucharistique. Voient ces changements dans les églises. Elles sont inutiles aux yeux de Dieu. Le diable a ouvert la porte à ces ministres pour les faire entrer dans le Temple de Dieu et lentement elles poussent à devenir des prêtres. Dans quelques églises, les prêtres cèderont aux dames, qui sont très désireuses pour accepter ce poste, mais quand ces choses arriveront, Dieu ne sera plus dans le Tabernacle.

Ces femmes dirent ceci : « Les gens comme vous pouvez le constater, nous vivons dans une ère moderne et nous portons Jésus dans nos cœurs. Qu’allons-nous faire aujourd’hui ? Nous aurons un petit service avec une lecture et vous ne devez pas vous sentir mal. »

J’ai regardé tout autour et j’ai vu des gens qui pleuraient et qui étaient confondus. Certains quittaient l’église. Moi-même je pleurais. J’ai dit à l’Ange : « Pourquoi Dieu permet-Il cela ? »

L’Ange a dit : Regarde la terre qui est sèche et aussi vos cœurs. Dieu le permet parce que les gens désobéissent à ses lois. N’aie pas peur. Va et reçois Jésus le plus souvent possible tandis que tu le peux. Ces choses approchent très vite et elles arriveront. Aie confiance en Notre Seigneur. Il fournira et vous trouverez toujours un bon Prêtre fidèle et qui célèbrera secrètement la messe et vous nourrira avec le Corps de Jésus pour vous donner la force pour passer au travers de la purification. Ne perds jamais l’espoir. Prie pour des Prêtres et des Évêques.

L’Ange a révélé le Sang Précieux de Jésus. Les femmes s’en moquèrent. Elles dirent : « Pourquoi donnerions-nous cela à boire aux gens quand nous pouvons tous le boire nous-mêmes ? »

L’Ange a continué, « Voie, c’est un autre blasphème envers Dieu. »

J’ai répondu en disant : « Seigneur Mon Dieu, aie pitié de nous ».

Les diaconesses dans l’Église primitive

Extrait du site Aleteia

L’Église des premiers siècles a connu des diaconesses, dont le service principal était de préparer les femmes au baptême. Une mission, puis une dignité qui disparaîtra au fil des siècles, y compris dans les Églises orientales.
Les diaconesses sont choisies dès les premiers siècles parmi les vierges et les veuves les plus respectables. L’âge minimal pour l’ordination a varié avec le temps : d’abord 60 ans, puis 40, avant que cette exigence ne disparaisse.
Leur principale mission consiste à préparer les femmes catéchumènes au baptême. Elles les instruisent donc au préalable, et l’on peut encore voir dans les catacombes la trace des chaires qu’elles utilisaient, notamment dans la chapelle Sainte-Émérentienne. Puis elles assistent l’évêque pendant la cérémonie du baptême réalisée alors par immersion complète : elles soutiennent la baptisée pendant son immersion, la sèchent et enduisent son corps avec le saint chrême, puis la revêtent de l’habit blanc pour la suite de la cérémonie.
Les diaconesses exercent un ministère de charité et d’hospitalité tourné plus particulièrement vers les femmes : elles assistent les mères, visitent les femmes malades et leur apportent la communion, font la toilette funèbre des défuntes. (…)
L’Église syriaque, l’Église maronite et les Églises grecques-orthodoxes vont garder la tradition des diaconesses ordonnées pendant quelques siècles. Au Xe siècle, il existe encore une zone réservée aux diaconesses dans la cathédrale Sainte-Sophie de Constantinople. Les dernières diaconesses maronites disparaissent finalement au XIXe siècle.

Extrait du site Wikipédia

Dans l’Église chrétienne primitive, la fonction de diaconesse existait. Ainsi, Paul de Tarse, dans son Épître aux Romains (16, 1-2) recommande-t-il « Phoebé, notre sœur, qui est diaconesse de l’Église de Cenchrées ».
Leur ministère est mentionné par des pères de l’Église aussi anciens que Clément d’Alexandrie et Origène. Dans une de ses lettres, Pline le Jeune atteste l’existence de ces diaconesses lorsqu’il parle de « deux servantes » comme de diacres qu’il torture au cours d’un interrogatoire.
La Didascalie des apôtres est le plus ancien document qui aborde le rôle spécifique de diacres hommes ou femmes. L’auteur incite à nommer des diaconesses pour prendre soin de femmes, lorsqu’il n’est pas approprié d’envoyer un homme.
Les pères de l’Église du IVe siècle Épiphane de Salamine, Basile de Césarée, Jean Chrysostome et Gregoire de Nysse reconnaissent le fait des femmes choisies par l’évêque et ordonnées diacres.
Elle est aussi présente chez d’autres auteurs chrétiens de la même époque, comme Thédoret de Cyr. Leur rôle consistait à aider l’évêque, spécialement à trois niveaux :
– Visites pastorales dans les maisons destinées aux femmes,
– Onction des femmes dans la liturgie baptismale où la catéchumène s’y présentait dans un état de nudité complète,
– Instruction des néophytes femmes.

La fonction de diaconesses disparaît ensuite du christianisme occidental.