Qui a confiance, cela veut dire qu’il a la foi. Évangile de Maria Valtorta, Tome 1.
La foi est bel et bien une grâce que l’on peut recevoir, un don de Dieu.
« Gouttes de lumière » (Gocce di Luce) – Message de Jésus à Petite Marie (Rome) Le 17 septembre 2025. Lire les messages en italien sur le site d’origine.
Ma petite Marie, qui sont les enfants de la sagesse ? Ce sont ceux qui suivent Jésus-Christ, lui qui est la sagesse divine. Ils deviennent le sel de la terre : ils en vivent et accomplissent ses œuvres de salut. (…)
Mais qu’est-ce que la sagesse ? La sagesse, c’est la foi, c’est la foi en Dieu. À cette affirmation, beaucoup diront que la foi est bel et bien une grâce que l’on peut recevoir, un don de Dieu.
Oui, mes enfants, c’est bel et bien un don, mais le Seigneur l’offre à tous. Il n’a ni enfants ni beaux-enfants, mais attend d’être recherché, désiré, sollicité. S’il n’y a pas de désir, s’il y a de l’indifférence, comment peut-il l’offrir à ceux qui n’en veulent pas ?
Cela exige aussi une conversion, un changement de comportement, la rémission du péché. Mais si la créature refuse de se détourner de ses mauvaises voies, comment le Seigneur Tout-puissant peut-il donner la foi, qui est un trésor précieux, à ceux qui la foulent aux pieds et continuent à pécher ?
Vivez par la foi qui vous élève dans sa sagesse.
Vous direz : Mais s’il n’y a pas de motivation initiale dans la foi, comment la personne peut-elle le comprendre et le désirer et se mettre en route pour le rechercher et le convertir ?
Mes enfants, Dieu a déposé dans l’esprit de chacun de nous son souffle très saint, celui qui vous donne la vie. Il a apposé son empreinte lumineuse qui donne déjà sens à la bonté, au chemin de justice à suivre en chaque homme.
Voici que le Père Très Saint se tient à la porte, attendant le retour du fils prodigue, prêt à lui accorder son pardon et à l’enrichir de ses bénédictions, mais il attend que le fils choisisse de revenir à lui. C’est le fils qui quitte son bourbier, s’en détache, retourne au Père et retrouve ainsi sa dignité de fils divin, qui lui offre toute la sagesse nécessaire pour vivre dans la grâce.
Mes enfants, soyez sages, vivez par la foi qui vous élève dans sa sagesse. C’est elle qui donne la vraie vie. L’ignorance devient folie, c’est le vide qui se dissipe dans le néant.
Je vous bénis.
Pour l’anecdote : Il m’est déjà arrivé que mon niveau de foi augmente en puissance suite à la lecture d’un texte ou d’une expérience, mais à l’image de Saint Pierre qui finit par s’enfoncer dans l’eau, cet état de « foi augmentée par un élément extérieur » ne peut pas être maintenu dans la durée. Il faut donc en profiter rapidement, c’est-à-dire pour obtenir une guérison, ou un fait surnaturel comme Saint Pierre marchant sur l’eau.
Mais plusieurs fois Dieu s’est opposé aux faits surnaturels (miracle, don) que j’avais obtenus (qui furent bien réels mais un court instant). Donc votre « pouvoir magique provisoire » reste sous contrôle divin, en tout cas pour moi.
Complément d’anecdote de loisir : la Nouvelle Lune (force d’attraction additionnée du Soleil et de la Lune) est favorable aux phénomènes surnaturels de l’homme. Et un jeune enfant qui subirait un accident à l’électricité sera doté de capacités surnaturelles élevées, comparables à une personne possédant une foi très développée. Le cas le plus documenté fut celui de Matthew Manning, qui fut électrifié dans le ventre de sa mère.
Lire le chapitre : Les Poltergeists – et le cas Matthew Manning.
Chapitres complémentaires :
Journal de méditation chrétienne
En communication avec Dieu
Méditation et prière par le Cœur
Avoir confiance en la Providence Divine
Qui a confiance, cela veut dire qu’il a la foi.
Avoir confiance suppose qu’on espère.
Avoir confiance, c’est faire preuve d’amour.
Aimer une personne, espérer et croire en elle, c’est là la confiance.
Dieu mérite une telle confiance qui doit être la nôtre.
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Extrait de l’Évangile de Maria Valtorta – Tome 1 – Chapitre 45.
C’est seulement avec moi, unis à moi, que vous pouvez affronter toutes les tempêtes.
« Gouttes de lumière » (Gocce di Luce) – Message de Jésus à Petite Marie (Rome), Le 5 aout 2025. Lire les messages en italien sur le site d’origine.
Ma petite Marie, voici que les hommes sont plongés dans les eaux de leurs peurs, de leurs incertitudes : c’est leur mort intérieure. Leur existence est une mer qui soulève ses vagues, souvent imposantes, hautes, menaçantes, et qui vous submergent. Mais je suis venu vous dire que je marche sur vos eaux, sur les océans et leurs tempêtes, que j’ai le pouvoir de les apaiser, de les ramener au calme absolu, puisque je les gouverne.
L’exemple de Simon Pierre dans la tempête.
Dans l’Évangile, Pierre, me voyant venir à leur barque et marcher sur la mer, Il me demande de venir aussi. Et tant qu’il me fixe, il s’avance vers moi, mais il finit par se détourner de mon regard, car il sent le vent se renforcer, les vagues se déchaîner. La peur le submerge et il s’y laisse engloutir.
Ce n’est qu’à ce moment que, faisant l’expérience de sa propre pauvreté humaine, il offre une prière sincère, une prière qui le place dans une attitude authentique face à ses propres limites, face à ce qu’il est, à savoir une créature et non un Créateur. Ce n’est qu’en prenant conscience de sa pauvreté et de ses limites qu’il me demande de le sauver en s’écriant : Seigneur, sauve-moi, et je l’ai sauvé, et mis en sécurité hors de la mer.
Enfants, c’est seulement avec moi, unis à moi, que vous pouvez affronter toutes les tempêtes. Malheureusement, vous aussi, vous sombrez dans les vagues, vous vous laissez submerger par elles, et vous êtes même submergés par le désespoir. Et cela arrive parce que vous n’avez pas la foi, ou une foi faible qui ne vous soutient pas. Et lorsque la foi ne prévaut pas, vous succombez aux peurs, aux addictions, aux vides existentiels, et à tout ce qui vous submerge, et vous tombez entre leurs mains.
D’abord, vous affrontez la vie avec courage, comme cela arrive surtout dans la jeunesse, et il y a aussi ceux qui continuent à lutter dans la vieillesse, mais ensuite, dans les tempêtes de problèmes et les divers évènements qui les accompagnent et deviennent impétueux, vous tombez dans votre propre faiblesse et vous vous abîmez parce que vous n’avez pas la foi.
Qu’est-ce qui vous fait acquérir plus de foi, sinon la prière, une prière unitive avec votre Père.
Vie unitive : Ultime étape de la vie ascétique où l’âme est en union mystique avec Dieu dans l’exercice du pur amour. Il atteint la vie unitive.
Vous devez créer une expérience personnelle avec votre Seigneur dans votre prière.
Mais si pour beaucoup Dieu n’existe pas, est imaginaire, ou n’est qu’une entité éloignée de vous, un concept abstrait qui existe on ne sait où, peut-être oublieux des hommes dans la félicité, et qui vit dans le Royaume des Cieux, comment pouvez-vous vous soutenir dans les adversités de la vie et empêcher le néant de se resserrer comme une chaîne dans votre cœur qui ferme tout à la lumière et à l’espoir.
Vous devez créer une relation, un rapport, une expérience personnelle avec votre Seigneur dans votre prière pour le rencontrer, alors vous ne vous sentirez plus seul et faible, car vous le goûterez, vous l’expérimenterez en le sentant à vos côtés et en vous.
L’exemple de Moïse.
Regardez la première lecture, quand Aaron et Miriam, frères de Moïse, le discréditent dans sa mission, et comment l’Éternel prend la défense de son serviteur. Et cela se produit parce que Moïse fait l’expérience d’une dimension commune, unitive, affective et primordiale avec le Père céleste, se confiant à lui et s’abandonnant à lui, dans la vraie foi, à tel point que Dieu dit de Moïse : « Voici que je lui parle bouche à bouche, non par énigmes, mais par visions, et il me voit tel que je suis. »
Nombres 12 : Et Dieu dit : Écoutez bien mes paroles ! Lorsqu’il y aura parmi vous un prophète, c’est dans une vision que moi, l’Éternel, je me révélerai à lui, c’est dans un songe que je lui parlerai. Il n’en est pas ainsi de mon serviteur Moïse. Il est fidèle dans toute ma maison. Je lui parle bouche à bouche, je me révèle à lui sans énigmes, et il voit une représentation de l’Éternel. Pourquoi donc n’avez-vous pas craint de parler contre mon serviteur, contre Moïse ?
Un dialogue confidentiel existe, et cela a été possible parce que Moïse, comme le dit la Parole, est humble, le plus humble de tous, et le Créateur a fait de lui son prophète, son messager, son administrateur, à qui il a confié la gouvernance de sa maison. Moïse ne veut pas se faire Dieu, il se fait son fils.
Demandez au Seigneur d’ouvrir vos cœurs fermés, de vous donner la clé pour les ouvrir, aimer et servir. Et donc, avec votre Seigneur, auquel vous devez vous conformer et vous engager, qu’y a-t-il à craindre ?
Votre Sauveur marche sur vos tempêtes, sur les épreuves qui surgissent et je calme les eaux, et pas seulement cela : j’entre dans le bateau de votre âme et prends la barre, surmontant même les mers les plus menaçantes, vous amenant en toute sécurité à destination dans mon port. Je le peux, Je suis le Seigneur !
Je vous bénis.
Le Ciel exige une foi audacieuse.
« Gouttes de lumière » (Gocce di Luce) – Message de Jésus à Petite Marie (Rome), le 10 juin 2025. Lire les messages en italien sur le site d’origine.
Ma petite Marie, dans la première lecture d’aujourd’hui, saint Paul t’exhorte à vivre un cheminement spirituel constant et persévérant, qui n’alterne pas entre oui et non, entre promesses et vœux rompus, entre moments d’exaltation et d’autres de découragement et de fuite. Il t’appelle à la persévérance.
La foi ne doit pas fluctuer.
Si ton attitude dans la foi que tu professes fluctue, c’est parce que l’amour de Dieu ne s’est pas encore véritablement incarné en toi. C’est une foi encore incertaine, faible, pas aussi profonde et stable que Dieu le désire.
Les créatures s’illuminent alors d’enthousiasme, qui s’éteint ensuite, et elles tombent dans le découragement et la méfiance, tandis que la vraie foi vous permet de continuer même dans les épreuves, dans les larmes et les crises. Il ne fuit pas et ne rejette pas Dieu, mais persiste dans sa croyance.
Ce n’est pas le sentiment, l’émotion ou l’exaltation qui exprime et donne corps à la foi, mais sa persévérance dans la lutte, dans l’accomplissement d’une volonté ferme sur le droit chemin et résolue, certaine de son union avec le Père céleste.
Une foi marquée par ses couleurs, qui expriment l’Évangile, qui, dans sa sagesse partagée, devient le sel de la terre, comme le décrit l’Évangile. Il arrive que la nourriture qui n’est pas salée perde sa saveur. De même, une foi qui ne donne pas, qui n’éclaire les autres et ne donne pas de témoignage, ne donne pas de saveur parce qu’elle est terne, insipide, fade, elle perd son sens et sa valeur.
Où peut-on prendre et assimiler ce sel, si ce n’est dans l’Enseignement divin, si ce n’est en priant et en scrutant les Saintes Écritures, particulièrement le Saint Évangile, pour assimiler en soi-même une connaissance qui donnera d’abord du sel à sa propre âme pour qu’il puisse ensuite être diffusé aux autres.
Nous devons nous éclairer, car seule une foi qui rayonne son amour, qui le manifeste dans sa charité, attire ceux qui sont dans les ténèbres, et qui des ténèbres se précipitent vers la lumière pour s’en revêtir.
Mais si nous ne rayonnons pas d’abord du rayonnement de l’amour de Dieu, quelle lumière pouvons-nous donner ? Nous ne pouvons donner ce que nous ne possédons pas.
La foi ne doit pas rester caché et dissimulé.
Le témoignage de la foi ne peut pas rester caché et dissimulé, mais doit être révélé. Elle apporte chaleur et éclat aux cœurs abattus. Si on la retient, elle meurt. La foi doit être faite comme une ville que tout le monde peut voir afin que tout le monde puisse la voir, y affluent et y trouvent refuge, une ville qui, en accomplissant des œuvres saintes, transmet la foi en son œuvre et offre sa sainteté à ceux qui la cherchent.
La foi est un combat. Personne ne naît saint, mais on le devient.
C’est certes une grâce, mais c’est aussi un combat. Il faut la rechercher et la désirer. Personne ne naît saint, mais on le devient, et on peut le faire dans la mesure où l’on prie constamment, sans se décourager, avec confiance, même quand rien ne semble venir. Nous devons recourir assidûment et fréquemment aux sacrements pour puiser leur force et leur grâce, et ne pas être apathiques et passifs, pensant que seul Dieu agit. Mais vous aussi, vous devez faire votre part.
Vous persistez toute votre vie, devenant audacieux et plein d’espoir.
L’échelle de l’existence que vous devez gravir pour atteindre le Ciel exige une foi audacieuse, une foi qui grimpe sans relâche. Dieu voit l’engagement, le prix, le sacrifice qui donnent sens à votre amour, et même si vous ne pouvez gravir que la première marche, mais que vous persistez toute votre vie, devenant audacieux et plein d’espoir, le Très Saint Père en attribuera le mérite à votre sainteté, contrairement à ceux qui n’ont réfléchi ni fait d’efforts, ont refusé de grimper et sont restés enracinés dans leur néant.
Il y a des âmes, des enfants, qui parviennent à gravir l’échelle grâce à leur témoignage de foi qui ont salé, éclairé, et qui sont devenus un foyer ouvert pour accueillir les autres.
Mais il y a aussi toutes ces autres âmes qui, dans leur ascension, n’ont fait qu’essayer de gravir la première marche, toujours en essayant, sans s’arrêter. Ceux-là ne seront pas moins saints dans leur foi, tempérée même dans les petites choses, dans les petites élévations, et sans avoir pu donner gloire au Très-Haut dans leur témoignage.
Je vous bénis.
La foi ne consiste pas à prier, mais à croire que Dieu est là, vivant et agissant avec vous, dans chacun des événements de votre vie.
Message de la Vierge Marie reçu par Micheline Boisvert (Canada) – Mars 1999 – Tome 1.
Que chacune des messes qui se célèbrent sur cette terre envahisse toute l’humanité par la toute-puissance de grâces eucharistiques de mon Fils. C’est ce qu’il y a de plus puissant, mes enfants. Le Seigneur vous dit que « vous ferez des œuvres plus grandes que Lui » (Jean 14, 12). Croyez-le, mes enfants, et renforcez votre foi.
La foi ne consiste pas seulement à prier, mais bien à croire que Dieu est là, vivant et agissant avec vous, dans chacun des événements de votre vie. Descendez dans votre cœur et apprenez à l’écouter. Il essaie de vous rejoindre par tous les moyens, mais vous ne l’écoutez pas.
Jean 14 : Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi ; croyez du moins à cause de ces œuvres. En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père ; et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils.
Je réprimandais Pierre pour son manque de foi, car il aurait pu continuer à marcher sur l’eau.
Message de Jésus à John Leary (USA) Le 29 avril 2017.
Jésus : Mon peuple, mes apôtres étaient sur un bateau et avaient peur de la tempête. J’étais sur le rivage et je suis venu pour calmer leurs craintes en marchant sur l’eau vers eux.
Tout d’abord ils ont pensé que j’étais un fantôme, mais j’appelais Pierre à venir vers moi sur l’eau. Saint-Pierre a commencé à marcher vers moi, mais sa foi a faibli et il s’enfonçait. Il m’appelait pour le sauver, alors je l’ai pris par la main et je l’ai conduit en sécurité.
La leçon à tirer de cette histoire, c’est que je suis toujours disponible pour vous aider dans vos problèmes quotidiens.
Une autre leçon est d’avoir foi que mon aide puisse vous sauver de tout danger. Je réprimandais Saint-Pierre pour son manque de foi car il aurait pu continuer à marcher sur l’eau.
Vous tous, mon peuple, vous avez besoin d’une grande confiance en moi pour que je puisse vous aider dans toutes vos épreuves.
Je réponds à toute prière faite avec foi, que ce soit pour vous-même ou pour d’autres
Message de Jésus au Père Doucette (Canada) – Mercredi 26 novembre 2008
Lorsque j’étais sur la terre, je ressentais la faim et la soif comme tout le monde, car j’avais intégralement la nature humaine, autant que la nature divine.
Un jour j’expliquais aux disciples la puissance de la prière. Je m’approchai d’un figuier pour y chercher des figues, mais l’arbre n’en portait aucune. Alors je dis simplement au figuier : « Tu ne porteras plus jamais de fruit! » et immédiatement le figuier se dessécha. Les disciples furent sidérés de voir l’arbre devenir sec sous leurs yeux.
La prière est puissante si vous avez la foi. Si votre foi est chancelante, votre prière sera vaine. Demandez, mes frères et mes sœurs, que votre foi devienne forte et que tous les doutes disparaissent.
C’est par une prière remplie de foi que votre plaidoyer sera entendu et que vous recevrez ce dont vous avez besoin. Si vous avez la foi et que vous dites à la montagne : « Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer », cela s’accomplira. Je réponds à toute prière faite avec foi, que ce soit pour vous-même ou pour d’autres.
Mes chers amis, soyez des gens de prière. Priez chaque jour, sachant que je vous écoute. Parfois je ne répondrai pas tout de suite, afin d’éprouver votre persévérance. N’allez pas croire que je ne vous écoute pas, car je suis attentif à toute prière authentique; mais j’ai mon heure pour agir. Persévérez dans la prière, et vous recevrez votre réponse. Je vous aime.
Une âme qui a la Foi peut accomplir des merveilles, car elle est animée de ma Puissance Divine.
Message de Jésus donné à Jean-Marc (1960-2016) (France) le 3 novembre 2013.
Mes chers enfants. (…) L’aveuglement des âmes est très grand, mais J’ai besoin de chacun de vous pour leur apporter la Lumière de votre Foi, la chaleur de votre Amour.
Une âme qui a la Foi peut accomplir des merveilles, car elle est animée de ma Puissance Divine et elle peut en user librement, mais seulement pour le bien des âmes et le Salut du Monde. (…)
Pour une guérison, j’ai besoin de voir que vous avez la foi, que vous croyez en moi et en mon pouvoir de vous guérir.
Message de Jésus au Père Doucette (Canada) – Mercredi 11 février 2009.
Jésus : Le capitaine romain qui est venu à moi un jour à Capharnaüm m’a vraiment étonné. C’était un homme d’une grande foi, plus que n’importe qui en Israël. Presque tous les catholiques connaissent ses paroles, puisqu’ils les disent juste avant la Communion à la Messe.
Ces paroles sont les suivantes : Maître, je ne suis pas digne que tu entres dans ma maison. Mais il suffit que tu dises un mot et mon serviteur sera guéri.
Elles ont été modifiées un peu pour la Messe, comme suit : Seigneur je ne suis pas digne de te recevoir, mais dis seulement une parole et je serai guéri.
Ce capitaine devait venir à moi pour me demander de guérir son serviteur, qui était très malade. Tout ce qu’il voulait, c’est que je prononce une parole de guérison, et cette guérison s’opérerait. Je fis ce qu’il avait demandé, et son serviteur fut guéri immédiatement.
Pour une guérison, j’ai besoin de voir que vous avez la foi, que vous croyez en moi et en mon pouvoir de vous guérir. Quand j’étais dans ma ville natale, Nazareth, je n’ai pu faire beaucoup de guérisons car les gens n’avaient pas la foi.
Je vous invite, mes chers frères et mes chères sœurs, à croire en moi de tout votre cœur, et vous recevrez des dons et des grâces à profusion. Je bénis tous mes amis.
Qui a confiance, cela veut dire qu’il a la foi.
Extrait tiré de l’Évangile de Maria Valtorta – tome 1 (Page 162 – Chapitre 45)
Sainte Vierge Marie : (…) Aimer ce n’est pas chercher sa propre satisfaction sensible ou intéressée.
Aimer c’est satisfaire celui qu’on aime en dépassant la sensibilité et l’intérêt, c’est donner à son esprit l’aide dont il a besoin pour pouvoir tenir ses ailes ouvertes dans les cieux de l’espérance et de la paix.
Autre point sur lequel j’attire votre attention. J’en ai déjà parlé, mais j’insiste : la confiance en Dieu.
La confiance résume en elle les vertus théologales.
Qui a confiance, cela veut dire qu’il a la foi
Avoir confiance suppose qu’on espère.
Avoir confiance, c’est faire preuve d’amour.
Aimer une personne, espérer et croire en elle, c’est là la confiance.
Autrement, non. Dieu mérite une telle confiance qui doit être la nôtre.
Si nous l’accordons à de pauvres hommes capables de n’y pas correspondre, pourquoi la refuser à Dieu qui ne nous manque jamais ? (…)
La confiance est aussi obéissance. Et Dieu aime l’obéissant. L’obéissance signifie que nous nous reconnaissons pour ses fils et que nous reconnaissons Dieu pour notre Père.
Un miracle obtenue par la foi.
Extrait de mon livre autobiographique : Une vie dans le surnaturel
(…) Rapidement après notre rencontre, nous avions entrepris de faire ensemble régulièrement un jogging dans le parc à côté de chez nous, et je m’aperçus que Virginie souffrait d’un léger problème au genou qui l’empêchait de courir correctement. Elle me parla d’une éventuelle opération, mot qui me faisait horreur, car je savais que le genou était une des articulations les plus complexes. Moins on y touchait, et mieux c’était.
Ayant su par mes parents qu’un miracle [1] avait eu lieu récemment à la Médaille Miraculeuse de la rue du bac, pas très loin de chez nous, j’ai dit à Virginie d’y aller pour y être guérie. Dans mon esprit, ma foi était très forte, et j’étais dans l’évidence totale de la guérison.
[1] Le miracle était un enfant muet qui retrouva la parole.
Elle y alla le lendemain. Nous habitions le 15e arr. de Paris, et elle y partit à vélo. Puis en voulant le reprendre, elle vit qu’il avait un pneu crevé, elle décida donc de rentrer à pied. En chemin, progressivement son genou se répara, si bien qu’arrivé à la maison, après une heure de marche, elle s’en trouva complètement guérie.
Le samedi d’après, j’ai pu constater qu’elle pouvait courir à mes côtés sans l’ombre d’une gêne.
Un autre fait intéressant au sujet de la rue du Bac : Lors d’une confession dans cette église de la médaille miraculeuse, je me présentais devant le prêtre, et là, il me jeta un regard foudroyant et me dit : « ne dites rien, je sais tout ! ». Je lui répondis comme par défi : « eh bien allez-y mon père, je vous écoute ! » Et ce fut la seule fois de ma vie où je me suis confessé sans avoir à dire mes fautes, puisque ce prêtre, visiblement, avait le don pour lire dans les pensées. Il m’avait révélé exactement ce que je m’apprêtais à lui dire. Virginie, qui passa après moi, vécut la même chose.