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Repoussez le « Père Noël » loin de vos demeures.
Message de Dieu – Soeur Beghe – Le 18 décembre 2023 – Lire le message sur le site d’origine.
Mes très chers, mes Tout-petits, Je suis votre Père très cher, votre Grand Frère bien-aimé et Esprit Saint, votre Dieu et votre Ami très proche, je suis avec vous. Dieu est avec vous et, en cette toute prochaine fête de Noël, Je veux vous écrire et vous donner ma divine Parole. (…) Vous me troquez souvent contre ce Père Noël imaginaire, alors que Noël, c’est la Nativité de Jésus-Christ, Dieu et homme, et que cet anniversaire a bouleversé le monde.
De tous les temps de la terre, ce fut un moment heureux entre tous et, lorsque cela s’est produit à Bethléem, seuls quelques bergers en ont eu connaissance. Dieu naissait sur la terre et seuls quelques bergers en ont été prévenus !
Quelle grâce pour ces bergers, ils en ont été spirituellement nourris toute leur vie, et bien que leur histoire personnelle ne vous soit pas connue, ils furent mes premiers disciples. Soyez vous aussi, mes enfants, à leur image et ne manquez pas une occasion pour m’adorer, témoigner de moi et demeurer ouvertement mes disciples.
Puis viendront les nations étrangères, les Rois mages, après un long voyage, adorer Dieu dans son Humilité et son apparente Petitesse. Cette petitesse est pour vous tous un exemple, car ce n’est pas nécessairement par le pouvoir, par la couronne visible ou par le nombre de valets de Cour, que se trouve la grandeur de la Foi. Elle se trouve en le plus profond de votre âme, là où Dieu réside, car en tout homme pieux et fervent, Dieu y fait sa Demeure. (…)
N’ayez pas de crainte, mettez le Seigneur Dieu, le petit Enfant Jésus, dans toutes vos crèches et repoussez le « Père Noël » loin de vos demeures ; il est nul, il n’existe pas, sa fête est une usurpation de l’amour qu’il faut porter à Jésus Enfant, à Jésus Hostie, à Jésus Rédempteur.
Les Rois mages Lui ont apporté leurs cadeaux, et les cadeaux offerts en famille et entre amis vient de ce souvenir admirable d’un Enfant Dieu honoré, adoré et suivi. (…)
Il est venu dans ce berceau, dans cette crèche pour votre Vie éternelle, adorez-Le et ne participez pas au vol de son Anniversaire par les mécréants ; ils ne veulent pas de Lui ni dans ce monde ni dans l’autre pour leur plus grande perte et leur malheur éternel. Que Dieu soit béni en ses Anges et en ses Saints, Vive le petit Enfant, Roi éternel dès sa Naissance !
Je vous bénis, au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ; ainsi soit-il. Jésus-Hostie, votre Vie
Soudain, un beau halo de lumière, sous la forme d’une épaisse brume blanche et brillante, est apparu autour du ventre de notre Sainte Mère.
Message et vision Célestes donnés à Valentina Papagna (Sydney, Australie) le 15 décembre 2023.
J’ai eu la vision suivante il y a quelque temps, et elle n’a pas été publiée auparavant.
Très tôt le matin, j’étais à genoux dans ma chambre, en train de prier, quand soudain, la Bienheureuse Mère Marie est arrivée accompagnée d’un ange. Elle a dit :
Aujourd’hui, tu vas recevoir la grâce très spéciale de voir comment mon Fils est né et est venu au monde. Les gens pensent que mon Fils est né de la même manière que l’humanité. Non, ma fille, ce que toi et moi allons vivre et voir maintenant dans cette vision du Ciel, est la réalité de la naissance de mon Fils.
Tout d’un coup, une belle vision est apparue : c’était une grotte. La Sainte Mère se préparait, se promenait ici et là, nettoyait et enlevait la poussière. Saint Joseph assistait la Sainte Mère. Il préparait une petite crèche pour le bébé à naître, trouvant et plaçant de la paille et du foin dans le berceau. J’ai aussi pu voir des animaux.
De très nombreux petits anges magnifiques remplissaient la grotte. Ils aidaient la Sainte Mère pendant qu’elle nettoyait la grotte en préparation pour la naissance de notre Seigneur Jésus. Certains volaient vers elle, l’aidaient, puis revenaient sur le côté après avoir fini.
La Sainte Mère a pris un petit carré de lin blanc pur et l’a placé sur le berceau, en recouvrant la paille pour qu’elle ne nuise pas à la peau douce et délicate du nouveau-né.
Le temps était maintenant proche pour la naissance de notre Seigneur Jésus. La nuit était calme et tranquille. Saint Joseph se reposait un peu derrière Marie. Soudain, un beau halo de lumière, sous la forme d’une épaisse brume blanche et brillante, est apparu autour du ventre de notre Sainte Mère, la couvrant tout autour. L’aura de la brume de lumière était si épaisse qu’on ne pouvait rien voir. Notre Sainte Mère était si radieuse et si belle.
À ce moment-là, deux petits anges volèrent vers la Sainte Mère alors que l’Enfant Jésus apparaissait à ses côtés et, avec la plus grande révérence, ils le reçurent dans leurs mains.
Marie a alors pris un petit linge, l’a plié et, avec beaucoup de respect, d’humilité et de joie, a pris le petit Enfant Jésus des mains des anges et l’a enveloppé avec douceur et tendresse. Elle le tenait tout contre elle et le serrait dans ses bras. Elle était si joyeuse et heureuse qu’elle pleurait des larmes de joie.
Tant d’anges étaient présents, se prosternant devant le Roi Nouveau-Né. Ils relevèrent alors la tête et commencèrent à chanter en latin à voix très hautes : Gloire à Dieu, au plus haut des cieux. Ils répétaient sans cesse ce cantique : « Gloria Gloria Gloria », « Gloria in Excelsis Deo, et in terra pax hominibus bonae voluntatis »
Tout dans la grotte était illuminé ; C’était si beau. Saint Joseph est alors venu derrière la Sainte Mère, et tout à coup, il a eu la plus belle vision du Jésus nouveau-né tenu dans les bras de Marie.
Elle a ensuite doucement déposé le Petit Enfant Jésus dans la crèche, et elle et Saint Joseph se sont agenouillés à côté de lui, de part et d’autre de la crèche. Marie tenait ses mains en prière, avec saint Joseph admirant, adorant et louant le Roi nouveau-né.
Une lumière si brillante et si pure entourait notre Seigneur Enfant Jésus, qui souriait déjà. Il était si beau et propre, sans imperfections. La grotte entière était toute lumineuse, avec les anges chantant et le louant continuellement avec une musique enchanteresse qui allait jusqu’au ciel.
J’ai été tellement captivé par la vision qui s’offrait à moi que j’ai chanté avec les Anges. Ce fut une telle joie quand notre Seigneur Jésus est né.
La Sainte Mère m’a dit : « Vois-tu, sur terre, ils pensent que mon Fils est né comme l’humanité. Je suis totalement pure et vierge parce que mon Fils n’a jamais touché à ma virginité.
C’est pourquoi notre Sainte Mère m’a montré comment Jésus est venu : tout comme le Saint-Esprit est venu sur Marie et qu’elle en a été remplie, l’Enfant Jésus est venu au monde d’une manière miraculeuse. Notre Sainte Mère n’a ressenti aucune douleur. La Sainte Mère et notre Seigneur Jésus sont offensés que les gens ne comprennent pas que sa sainte naissance était surnaturelle et miraculeuse.
Commentaire : Aujourd’hui, alors que j’écrivais ce message, j’ai été soudainement entouré d’un beau parfum céleste, un cadeau du Ciel.
Chapitres complémentaires : Jésus et L’époque de Jésus.
Une lumière divine nous éclairait et ma mère n’eut aucun mal à me langer et à m’accommoder de telle sorte que ce Nouveau-né ne manquait de rien.
Message de Dieu – Soeur Beghe – Le 19 décembre 2022 – Lire le message sur le site d’origine.
Mes très chers enfants, mes bien-aimés, mes tout-petits, Je vous aime et voici que vous allez fêter la joie de ma naissance, moi-même venu en un monde méchant et cruel mais au milieu duquel quelques-uns m’étaient fidèles.
Ma très sainte mère m’attendait avec douceur et sérénité, et la joie de devenir ma mère inondait son cœur et son âme. Son âme chantait et son corps se reposait tout en moi, ne craignant rien, ni les difficultés de la route sur le dos d’un âne, marchant aussi parfois pour reposer sa monture. Elle me portait et son âme était tout à l’unisson de la mienne. Nos deux âmes conversaient et ce doux échange nous remplissait tous deux de joie et de confiance mutuelle.
Mon père Joseph marchait devant, conduisant l’âne et il se retournait souvent pour nous dire un mot, s’assurant que nous allions bien tous deux. Je remuais légèrement et ma mère alors souriait. Nous nous aimions déjà d’un amour pur et transcendant, et cet amour divin était grand.
Je fus rendu à la lumière environnante qui était faible à cette heure de la nuit, moment de ma naissance, mais ma venue étant exceptionnelle, une lumière divine nous éclairait et ma mère n’eut aucun mal à me langer et à m’accommoder de telle sorte que ce Nouveau-né ne manquait de rien. Je rayonnais et ma mère m’adorait. Joseph aussi se réjouissait car il avait eu, naturellement, quelque inquiétude mais sa confiance en Dieu était telle qu’il s’était remis, lui-même et sa famille, à Dieu totalement.
Je commençais alors ma vie humaine sur la terre et Je souriais à la vie. Je voyais les visages si doux et aimants de mon père adoptif et de ma mère, Vierge et Immaculée, et ces deux visages emplissaient ma vie commençante. Je les aimais comme père et mère mais aussi avec l’amour de Dieu puisque dès le premier instant de ma conception, J’étais et Je suis Dieu, dans le présent du moment présent comme dans la totalité de tous les temps.
Je grandis alors comme tous les enfants, apprenant physiquement à parler mais connaissant en ma nature divine toutes les langues de la terre et de l’univers.
Lorsque vinrent les Rois mages avec leurs cadeaux, mais surtout avec leur cœur et leur âme dévoués, adorant et soumis à ma divinité, Je leur donnais alors la grâce du baptême et de la sanctification nécessaire à leur future entrée dans le Ciel. Ils vinrent de loin, poussés par la foi en la naissance de Dieu, Roi du monde et par conséquent aussi d’Israël ; et Hérode reçut comme un coup de couteau en son orgueil l’annonce par eux de la naissance de Celui qu’il croyait être un rival. Eut lieu alors le massacre des petits enfants dans toute la région de Bethléem. Ces petits enfants, baptisés en leur sang, furent admis dans les Limbes des Justes (des Patriarches) en attendant que Je leur ouvre le Ciel après ma Passion et ma mort douloureuse et cruelle sur la Croix rédemptrice du genre humain.
(Vincent) Ce Hérode du massacre des Innocents était Hérode Archélaos, frère de Hérode Antipas de l’époque de la Passion. Ces deux Hérodes sont les fils de Hérode le Grand, qui fut un roi bâtisseur. Il rénova et agrandit Temple de Jérusalem.
Hérode Archélaos est décrit comme un tyran cruel et brutal, irrespectueux et incapable de maintenir l’ordre et la paix, ayant, selon Flavius Josèphe, « réuni en lui les vices les plus insupportables de tous les tyrans ». Une délégation d’opposants juifs parvient à Rome pour en informer l’Empereur. Convoqué par Auguste, Archélaos est déposé et exilé à Vienne en Gaule.
Je passais une enfance douce et bien élevée auprès de mes parents pieux et saints, Je vivais comme tout enfant pieux mais aussi plein de vie ; et si physiquement mon corps grandissait et se développait dans une réelle beauté, mon âme aussi se développait et grandissait en toutes les vertus et en toutes les qualités. Les qualités sont les dons reçus par la nature humaine tandis que les vertus sont l’œuvre de la sanctification. J’étais saint par bénédiction divine mais surtout par volonté personnelle, aucune infime imperfection n’étant ni autorisée ni incontrôlée.
Je voyais la sainteté de ma mère, celle de mon père Joseph et par nature divine jumelée à ma nature humaine, Je les égalais et les surpassais. C’est ainsi que Je grandissais en sagesse et en grâce et, lorsque vint le moment de ma vie publique et de mon Sacrifice pour la rédemption du monde, J’étais prêt à tout souffrir et à tout accepter comme venant de la volonté divine, mon Père céleste et mon Dieu.
Je commençais à prêcher, à rassembler mes apôtres et à parcourir la terre qui m’avait vu naître et grandir. J’étais connu de mon environnement immédiat comme fils de Marie et de Joseph, et mon éducation était sans aucun motif de critique. J’étais sage et lorsque Je commençais ma vie publique, aucun reproche venu du cours de ma jeunesse ne pouvait m’être opposé. Je prêchais donc et mon instruction ravissait les cœurs purs.
Dès le premier moment, Je fus critiqué par les autorités religieuses qui virent en moi un intrus et un rival, d’autant plus que mes enseignements mettaient en lumière leurs pratiques et leur autoritaire insuffisance. Ils me détestèrent dès le premier instant et me poursuivirent de leur hargne tout au long de ma courte vie enseignante. Mais voici Noël, jour de ma venue sur la terre, dans des conditions de rejet, déjà (!), mais jour de joie pour l’humanité dépravée qui recevait par bonté divine son Sauveur en un tout petit enfant, innocent et immaculé.
Tous sur la terre ne me connaissent pas, beaucoup même me rejettent comme déjà au temps d’Hérode, tandis que Je sauve ceux qui m’acceptent, Je viens pour ceux qui se convertissent à moi. Je donne des grâces de choix à ceux qui me reçoivent, Je ne peux rien en faveur de ceux qui me rejettent. Je suis, aujourd’hui comme hier, une pierre d’achoppement ; « que votre langage soit Oui ? Oui, Non ? Non. » (mt 5, 37). Soyez clairs, mes enfants, la moindre équivoque ne vient pas de moi.
Je suis votre Roi, votre Sauveur, votre Bien Aimé, vous recevez tout de moi, sans moi vous ne pouvez rien. Imitez-moi, imitez la Sainte Famille, cette famille modèle en laquelle la foi fut parfaite, les mœurs édifiantes et la bonté irréversible. Jamais le moindre murmure, jamais la moindre acrimonie, jamais la plus petite injustice. Je suis votre Dieu, le Roi du Ciel et de la terre, venu vous sauver en venant de mon Trône céleste sur votre terre en la parfaite innocence et le plus grand dénuement en ce soir de Noël. Vénérez-moi, adorez-moi, imitez-moi et soyez purs. Je vous bénis, mes très chers enfants, Je vous aime tant, Je vous sauve et Je vous veux tout à moi. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit !
Qu’il en soit ainsi. Votre divin maître et Seigneur
Et le coucha dans une mangeoire.
Et elle mit au monde son fils, le premier-né et elle l’emmaillota et le coucha dans une mangeoire parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans l’hôtellerie. Évangile selon saint Luc, Nouveau Testament.
(Vincent, le 12 déc. 2022) Lors de la messe de ce dimanche, l’homélie fut intéressante car le prêtre aborda un thème que je ne connaissais pas, la signification de Jésus couché dans la mangeoire.
Extrait d’un site web : (…) La mangeoire a aussi une signification théologique. En déposant son bébé dans un tel objet, Marie prophétise la mission de Jésus : être la nourriture des hommes.
D’ailleurs — ô merveille — Beth-Lehem en hébreu se traduit littéralement par : « Maison-du pain » ! (…) Et le terme « crèche » étymologiquement désigne une mangeoire. C’est ce mot qui s’est progressivement imposé dans le langage courant pour désigner le lieu de la Nativité.
Le monde a recommencé à l’an neuf au moment de ma naissance.
Message de Jésus au Père Melvin Doucette (Canada) le 18 mars 2008
(…) Nous sommes dans la Semaine sainte, semaine où j’ai offert mon sacrifice suprême pour votre salut. (…) Le monde a recommencé à l’an neuf au moment de ma naissance. Comme l’indique d’ailleurs le fait que nous sommes en 2008, cela fait 2000 ans environ que je suis venu au monde. Rappelez-vous qu’il y a un seul Rédempteur et que je suis celui-là.
(Wikipédia) Selon Tacite et Flavius Josèphe, Quirinius devient gouverneur de Syrie en l’an 6 de notre ère. Josèphe nous apprend en outre qu’il fit un recensement en Judée en 6-7, qui déclencha la révolte de Judas de Gamala.
La remontée des températures pour Noël
(Vincent) À l’approche de Noël, on note à chaque fois une remontée des températures, comme pour que l’on puisse fêter cet évènement sans trop geler.
Une année en Provence, nous rentrions de la messe de minuit et dans le jardin de mas de mes parents, on s’étonnait qu’il puisse faire aussi chaud, car il était quand même minuit passé. Je m’approchai du thermomètre extérieur fixé à un arbre et je vis qu’il faisait 15 degrés. Une de mes nièces me fit remarquer qu’il faisait tellement chaud pour une nuit d’hiver que cela ne faisait plus un vrai Noël, où l’on se doit quand même d’avoir un peu froid.
Moi personnellement je n’aime pas le froid, donc cela m’allait bien, mais effectivement cela faisait bizarre. Comme si Dieu avait un peu trop forcé cette remontée de température.
Image de cette année, 2021
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Mais maintenant des millions, et même des milliards de personnes, fêtent ma Nativité.
Message de Jésus au Père Doucette (Canada) – 23 décembre 2008.
Il est important que vous croyiez que je viens du ciel. Je suis le Verbe qui était toujours avec le Père et je suis la Deuxième Personne de la Sainte Trinité. Le Père a créé toutes choses au ciel et sur la terre par moi. Toute vie vient à travers moi, et cette vie est la lumière qui illumine chacun de vous. La lumière brille dans l’obscurité, et les ténèbres n’auront jamais le dessus sur elle. Jean Baptiste vint pour témoigner de moi, la lumière, afin que vous puissiez croire en moi. Jean n’était pas la lumière, mais il rendit témoignage à la lumière. Je suis la vraie lumière venue dans le monde.
Dans quelques jours, mes frères et mes sœurs, vous célébrerez ma naissance parmi vous. Je suis né à Bethléem il y a longtemps, et aujourd’hui cet événement est célébré dans le monde entier. Seules quelques personnes étaient présentes le jour de ma naissance, mais maintenant des millions et même des milliards de personnes fêtent ma Nativité.
Vous n’étiez pas là quand je suis venu au monde parce que vous n’étiez même pas nés. Noël vous permet d’assister de nouveau à ma naissance parmi vous. Et cette fois, je veux naître dans vos cœurs ; je veux vivre tout près de vous. Je viendrai avec ma lumière et je vous remplirai d’elle.
Mes chers amis de chacun des pays de la terre, venez célébrer ma naissance. Avec joie venez me recevoir et ouvrir la porte de votre cœur. Je viendrai habiter en vous pour toujours si vous me suivez. Je suis là qui frappe à la porte. Je vous aime.
Nous fûmes appelés un jour parce que trois Sages étaient venus pour demander où était Celui qui était né roi des hébreux.
Extrait des évangiles de Maria Valtorta – 7.156.
Jésus est invité à une réunion secrète avec les principaux responsables juifs qui veulent lui demander de prendre la tête d’une révolte.
(…) Le char franchit un petit pont et une barrière au-delà de laquelle le verger fait place à un jardin dont l’allée est couverte de gravier. Au bruit différent que font les roues sur le gravier, Jésus ouvre les yeux.
« Nous sommes arrivés, Maître. Voici les hôtes qui nous ont entendu et accourent » dit Chouza.
Et en effet un grand nombre de gens, tous de riche condition, se groupent au commencement de l’allée et ils saluent avec de pompeuses révérences le Maître qui arrive. Je vois et reconnais Manaën, Timon, Éléazar, et il me semble en voir d’autres qui ne me sont pas inconnus mais dont je ne puis dire les noms. Et puis un très grand nombre que je n’ai jamais vus, ou que du moins je n’ai jamais remarqués particulièrement. Il y en a beaucoup avec des épées et d’autres qui n’en ont pas étalent les abondantes fanfreluches des pharisiens, des prêtres ou des rabbins.
Le char s’arrête, et Jésus en descend le premier en s’inclinant pour saluer collectivement. (…)
(…) Un des Anciens, très âgé, parlote avec un prêtre et un scribe plus âgés que lui. Ils viennent en avant. Ils imposent le silence. C’est le vieux scribe qui parle, après avoir appelé aussi à lui Eléazar et les deux scribes Jean : « Seigneur, pourquoi ne veux-tu pas ceindre la couronne d’Israël ? »
Jésus : Parce qu’elle ne m’appartient pas. Je ne suis pas fils d’un prince hébreu.
Le vieux scribe : Seigneur, peut-être tu ne le sais pas. Eux deux et moi-même, nous fûmes appelés un jour parce que trois Sages étaient venus pour demander où était Celui qui était né roi des hébreux. Comprends-tu ? « Né roi ». On nous réunit, nous les princes des prêtres et des scribes du peuple sur l’ordre d’Hérode le Grand pour répondre à la question. Et avec nous, il y avait Hillel le Juste. Notre réponse fut : « à Bethléem de Juda ». Toi, nous le savons, c’est là que tu es né et de grands signes accompagnèrent ta naissance. Parmi tes disciples, il y a des témoins. Peux-tu nier que tu as été adoré comme Roi par les trois Sages ?
Jésus : « Je ne le nie pas. »
Peux-tu nier que le miracle te précède, t’accompagne et te suit comme signe du Ciel ?
Jésus : « Je ne le nie pas. »
Peux-tu nier que tu es le Messie promis?
Jésus : « Je ne le nie pas. »
Et alors, au nom du Dieu vivant, pourquoi veux-tu tromper les espérances d’un peuple ?
Jésus : « Je viens pour accomplir les espérances de Dieu. »
Lesquelles ?
Jésus : Celles de la Rédemption du monde, de la formation du Royaume de Dieu. Mon Royaume n’est pas de ce monde. Reprenez vos ressources et vos armes. Ouvrez vos yeux et vos esprits pour lire les Écritures et les Prophètes et pour accueillir ma Vérité, et vous aurez le Royaume de Dieu en vous. (…)
Pour lire l’extrait en entier sur mon ancien site.
Le calendrier utilisé presque partout dans le monde débute à l’année de ma naissance.
Message de Jésus au Père Doucette (Canada) – 24 décembre 2008
Le prologue de l’évangile de saint Jean présente magnifiquement qui je suis. Je suis la Parole qui est Dieu, et j’ai pris chair, c’est-à-dire j’ai pris la nature humaine, pour venir habiter parmi vous. Ma naissance survint dans un endroit très humble, une étable, mais la gloire de Dieu se manifesta par de multiples phénomènes en cette première nuit de Noël.
L’étoile descendit et illumina l’étable où je reposais sur la paille de la crèche, les anges se rassemblèrent près de l’étable pour chanter leurs hymnes merveilleux et des gens affluèrent pour m’accueillir, petit bébé qui venait de naître.
Cette nuit vous célébrerez cette fête de ma naissance à Bethléem. Ma venue fut le point tournant pour le monde. Le calendrier utilisé presque partout dans le monde débute à l’année de ma naissance. Je naquis dans un lieu très humble pour vous montrer que je n’étais pas venu pour être servi, mais pour servir et souffrir afin de vous sauver. Je suis le Messie, le Sauveur attendu depuis des milliers d’années. Il fallait que soit préparé un milieu où je puisse naître, un milieu formé d’humbles croyants d’Israël : ma Mère, saint Joseph, Zacharie, Élisabeth, Jean Baptiste, et tous ceux qui ont cru en moi de mon vivant sur la terre, ainsi que vous tous qui par la suite m’avez accepté comme votre Rédempteur.
L’enfant naît d’un éblouissement de lumière.
Extrait du livres « L’Évangile tel qu’il m’a été révélé, tome 1″ des visions de Maria Valtorta.
(…) Marie lève la tête comme pour un appel du ciel et elle s’agenouille de nouveau. Oh ! comme c’est beau ici !
Elle lève sa tête qui semble resplendir de la lumière blanche de la lune, et elle est transfigurée par un sourire qui n’est pas humain. Que voit-elle ? Qu’entend-elle ? Qu’éprouve-t-elle ? Il n’y a qu’elle qui pourrait dire ce qu’elle vit, entendit, éprouva à l’heure fulgurante de sa Maternité.
Je me rends seulement compte qu’autour d’elle la lumière croit, croit, croit. On dirait qu’elle descend du Ciel, qu’elle émane des pauvres choses qui l’environnent, qu’elle émane d’elle surtout.
Son vêtement, d’azur foncé, a à présent la couleur d’un bleu d’une douceur céleste de myosotis, les mains et le visage semblent devenir azurés comme s’ils étaient sous le feu d’un immense et clair saphir. Cette couleur me rappelle, bien que plus légère, celle que je découvre dans la vision du saint Paradis et aussi celle de la vision de l’arrivée des Mages. Elle se diffuse surtout toujours plus sur les choses, les revêt, les purifie, leur communique sa splendeur.
La lumière se dégage toujours plus du corps de Marie, absorbe celle de la lune, on dirait qu’elle attire en elle tout ce qui peut arriver du ciel. Désormais, c’est elle qui est la Dépositaire de la Lumière, celle qui doit donner cette Lumière au monde. Et cette radieuse, irrésistible, incommensurable, éternelle, divine Lumière qui va être donnée au monde, s’annonce avec une aube, une diane, un éveil de la lumière, un chœur d’atomes lumineux qui grandit, s’étale comme une marée qui monte, monte en immenses volutes d’encens, qui descend comme un torrent, qui se déploie comme un voile…
La lumière croît de plus en plus (…) Quand la lumière devient supportable pour mes yeux, je vois Marie avec son Fils nouveau-né dans ses bras.
La voûte, couverte de fissures, de toiles d’araignées, de décombres en saillie qui semblent miraculeusement équilibrées, noire, fumeuse, repoussante, semble la voûte d’une salle royale. Chaque pierre est un bloc d’argent, chaque fissure une clarté opaline, chaque toile d’araignée un baldaquin broché d’argent et de diamants. Un gros lézard, engourdi entre deux blocs de pierre, semble un collier d’émeraude oublié là, par une reine; une grappe de chauve-souris engourdies émettent une précieuse clarté d’onyx. Le foin qui pend de la mangeoire la plus haute n’est plus de l’herbe : ce sont des fils et des fils d’argent pur qui tremblent dans l’air avec la grâce d’une chevelure flottante.
La mangeoire inférieure, en bois grossier, est devenue un bloc d’argent bruni. Les murs sont couverts d’un brocart où la blancheur de la soie disparaît sous une broderie de perles en relief. Et le sol… qu’est-ce maintenant le sol ? Un cristal illuminé par une lumière blanche. Les saillies semblent des roses lumineuses jetées sur le sol en signe d’hommage; et les trous, des coupes précieuses, d’où se dégagent des arômes et des parfums.
Et la lumière croît de plus en plus. L’œil ne peut la supporter. En elle, comme absorbée par un voile de lumière incandescente, disparaît la Vierge… et en émerge la Mère. Oui, quand la lumière devient supportable pour mes yeux, je vois Marie avec son Fils nouveau-né dans ses bras.
Qui remue sa petite tête si blonde qu’on la croirait sans cheveux.
Un petit Bébé rose et grassouillet qui s’agite et se débat avec ses mains grosses comme un bouton de rose et des petits pieds qui iraient bien dans le cœur d’une rose; qui vagit d’une voix tremblotante exactement comme celle d’un petit agneau qui vient de naître, ouvrant la bouche, rouge comme une petite fraise de bois, montrant sa petite langue qui bat contre son palais couleur de rose; qui remue sa petite tête si blonde qu’on la croirait sans cheveux, une petite tête ronde que la Maman soutient dans le creux de l’une de ses mains pendant qu’elle regarde son Bébé et l’adore, pleurant et riant tout ensemble et qu’elle s’incline pour y déposer un baiser, non pas sur la tête innocente, mais sur le milieu de la poitrine sous lequel se trouve le petit cœur, qui bat, qui bat pour nous… là où un jour sera la blessure. Elle la panse d’avance, cette blessure, sa Maman, avec son pur baiser d’Immaculée.
Le bœuf éveillé par la clarté se dresse avec un grand bruit de sabots et il mugit. L’âne relève la tête et brait. C’est la lumière qui les réveille, mais j’aime penser qu’ils ont voulu saluer leur Créateur pour eux-mêmes et pour tous les animaux.
Joseph aussi, qui comme extasié priait avec autant d’intensité qu’il s’était abstrait de tout ce qui l’entourait, se secoue et entre ses doigts dont il se couvre le visage, il voit filtrer la lumière étrange. Il découvre le visage, lève la tête, se retourne. Le bœuf debout, lui cache Marie, mais elle l’appelle : « Joseph, viens. »
Joseph accourt et devant le spectacle s’arrête comme foudroyé de révérence, il va tomber à genoux là où il se trouve. Mais Marie insiste : « Viens, Joseph. » Elle appuie la main gauche sur le foin et tenant de la main droite l’Enfant qu’Elle serre sur son cœur, elle se lève et se dirige vers Joseph qui marche hésitant, pris entre le désir d’avancer et la peur d’être irrespectueux.
Au pied de la couche les deux époux se rencontrent et se regardent en pleurant de bonheur.
« Viens » dit Marie « offrons Jésus au Père. »
Pendant que Joseph s’agenouille, elle, debout, entre les deux poutres qui soutiennent la voûte, élève sa Créature entre ses bras et dit :
« Me voici. C’est pour Lui, ô Dieu, que je te dis cette parole. Me voici pour faire ta volonté. Et avec Lui, moi, Marie et Joseph mon époux. Voici tes serviteurs, Seigneur. Que soit accomplie par nous, à toute heure et en toute occasion, ta volonté pour ta gloire et ton amour. »
Puis Marie se penche et dit : « Prends, Joseph » et Elle offre l’Enfant. (…)
Je suis le seul à être né sur terre avec les deux natures : humaine et divine.
Message de Jésus au Père Doucette (Canada) – 21 décembre 2008.
Les prophètes d’autrefois parlèrent pendant des siècles de ma venue dans le monde. L’un des plus grands prophètes fut Ésaïe. Le Père lui donnait des messages pour le peuple hébreux, messages qui portaient sur divers aspects de ma naissance, de mes souffrances et de ma mort. Ces prophéties étaient authentiques, puisqu’elles se sont toutes réalisées au cours de ma vie terrestre.
Ésaïe parle de ma Mère comme étant la Vierge enceinte. L’enfant qu’elle portait est celui qui vous parle en ce moment. Il m’appela Emmanuel, qui signifie Dieu avec nous. En vérité je suis la Deuxième Personne de la Sainte Trinité , né en tant qu’être humain de ma Mère Marie. Je suis venu dans ce monde dans un but spécial : j’ai été envoyé par mon Père pour vous racheter. Je suis la lumière qui est descendue pour chasser les ténèbres répandues sur la terre par le malin. Je suis venu vous sortir du règne des ténèbres pour vous emmener dans le Royaume de la lumière, le Royaume des cieux. J’allais accomplir cela par mes souffrances et ma mort sur la croix. Je suis venu pour faire de vous tous les bien-aimés du Père et mes frères et mes sœurs.
Je revêtis à ma conception la nature humaine et je naquis en tant qu’homme.
Ma naissance fut le plus grand événement depuis la création d’Adam et Ève. Fils de Dieu de toute éternité, je revêtis à ma conception la nature humaine et je naquis en tant qu’homme. À ma naissance, tous virent Dieu fait homme. Je suis le seul à être né sur terre avec les deux natures : humaine et divine. Je suis venu pour vous montrer mon amour et pour vous appeler à me suivre et à être heureux sans fin avec moi dans le ciel.