Le Parvis-Paradis

Il est difficile dans les messages célestes de faire la différence entre « Parvis-Paradis » et « Paradis Demeure divine ».
On va parler dans ce chapitre du « Parvis-Paradis », dans le sens « la zone d’entrée dans le Royaume éternel de Dieu ».

Le Paradis est l’entrée dans le Royaume éternel de Dieu, qui se manifeste à tous ses habitants comme le Roi auprès de ses sujets. C’est comme le paradis terrestre avant la chute et la déchéance d’Adam et d’Eve, mais pas sur terre : dans l’éternité. Message donné à Soeur Beghe

Le Paradis est un lieu qui accueille les âmes à leur sortie du purgatoire.

Messages de Notre Seigneur Jésus-Christ pour le monde du XXIe siècle. Soeur Beghe – Lire le message en entier sur le site d’origine – Vendredi 15 mai 2020

Mon Éternité est le lieu de Ma Présence, de Mon Amour, de toutes les choses que Moi, Dieu, J’aime et ne résiste pas de donner en partage. L’Éternité est le lieu de la Demeure divine, le lieu de Ma famille, celle que J’ai eue sur la terre et celle agrandie à tous Mes élus. La demeure divine est réservée à la famille humaine, Mes frères et Mes sœurs de la terre, Mes puînés. Je les aime et les désire auprès de Moi. Je Me les réserve et s’ils viennent du purgatoire, ils seront introduits dans la céleste demeure après leur ascension par le paradis[1].

Le paradis est le lieu où J’ai introduit saint Paul avant son apostolat. Il en a été profondément impressionné et il a eu raison. Le paradis est un lieu de délice dont la terre n‘est qu’une pâle copie. Les arbres et la végétation y sont comme des joyaux, et tout ce qui apparaît comme ornement de la terre s’y trouve mais avec une infinité de plus belles couleurs, de plus beaux horizons. Le paradis est la douceur et la beauté de l’Eden, mais encore plus grandiose.

Le Paradis est l’entrée dans le Royaume éternel de Dieu.

Le paradis est un lieu qui accueille les âmes à leur sortie du purgatoire et celles qui, bien lavées et purifiées de leurs fautes, quittent la terre en état de grâce et en odeur de sainteté. Le paradis est l’entrée dans le Royaume éternel de Dieu, qui se manifeste à tous ses habitants comme le Roi auprès de ses sujets. C’est comme le paradis terrestre avant la chute et la déchéance d’Adam et d’Eve, mais pas sur terre : dans l’éternité.

Le paradis est le lieu dans lequel les âmes, en compagnie de leur Dieu, éprouvent leurs vertus, l’augmentent, se chargent de plus hautes énergies. Ce terme est inexact mais la langue des hommes est pauvre. L’Énergie est la dynamique divine, elle est Sa vitalité, Sa force, Sa créativité. L’Énergie divine est peu comprise sur la terre parce que les hommes ne recherchent pas suffisamment les si nombreuses vertus de leur Dieu. Ils s’arrêtent aux vertus classiques, mais Dieu a tant d’énergie, de force, de vitalité, de fougue bien orientée, que les âmes du paradis se vitalisent dans cette contemplation.

Le Ciel, Demeure de Dieu dans Son intimité, est dans la hauteur de ce paradis délicieux. Les saints s’y trouvent, ressuscités et réjouis de leur proximité avec le Saint des saints. Oui, le Ciel est la réelle demeure de Dieu, c’est là que se réjouissent les saints et ils connaissent le Seigneur comme leur Supérieur mais aussi comme leur Ami toujours présent. La richesse de la proximité divine dans le Ciel peut être comparée à celle des apôtres auprès de Jésus-Christ pendant Sa vie sur la terre. Ils étaient avec Lui, auprès de Lui, confidents et tout à la fois enseignés, quoique dans le Ciel l’enseignement est tout différent. Dans le Ciel, la connaissance est une vertu et Dieu la dispense à Ses saints sans obstacle ni parcimonie.

Être dans le Saint des saints avec Dieu, dans Son Ciel, est une immense gloire et les vrais saints, considérés et reconnus comme tels sur la terre, font partie de ce petit cercle. Y sont aussi ceux qui ont vécu saintement sur la terre sans faire partie des exemples vénérés par les hommes sur la terre, mais dont les vertus, malgré une notoriété moins affichée, n’étaient pas moindres. Les saints dans le Ciel sont dans l’éternité au degré le plus élevé et, comme saint Joseph ou saint Pierre, ou encore d’autres saints de grande valeur, ils profitent d’une promiscuité avec la Très Sainte Trinité à nulle autre pareille.

Être avec la Très Sainte Trinité, en Elle et auprès d’Elle à tout moment, est une richesse exceptionnelle. Ces saints sont si proches de Dieu que leur aspect les a rendus ressemblants et presque semblables au Frère Aîné, Jésus-Christ. Ils adorent leur Seigneur et Maître, Père et Frère tout à la fois ; leur adoration et leur collaboration au Plan divin pour toute chose sont réelles et très efficaces. Ils décident parfois eux-mêmes de leurs propres activités, ils ont la puissance et le feu divin en eux, leur soumission à la volonté divine est totale.

Je te donne à présent des paroles précieuses : Je suis leur Maître, leur Dieu, leur Père et leur Frère, et tout ce qu’ils font, ils le font comme si Je le faisais Moi-même. Ils sont Mes fils, Mes collaborateurs premiers ; leur compétence leur est acquise pour l’éternité. Leurs prières sont celles de fils aînés et leur collaboration, celle de leur gloire reçue Dieu, excelle en tout.

Oui, le Ciel est Ma Demeure, le paradis est celle des Mes élus et le purgatoire est le lieu de préparation avant de pouvoir contempler le Maître de toute chose. Chaque lieu a sa raison d’être et c’est vers le Ciel que les deux précédents convergent.

Après la Résurrection générale, le purgatoire aura accompli son œuvre et ne sera plus. Le paradis aura lui aussi accompli son office et il ne restera plus que le Ciel dans lequel Dieu se réjouira d’être au milieu des Siens pour l’éternité sans fin.

Votre entrée dans le Paradis, ce lieu de bonheur intense.

Message de Dieu – Soeur Beghe – Le 21 avril 2024 – Lire le message sur le site d’origine.

Mes très chers Enfants, Je ne puis me détacher de vous, Je reviens donc pour vous entretenir d’une grande chose. Quelle est-elle ? Qu’est-ce qui est grand à vos yeux mais encore plus aux miens ? Vous vous en doutez mais peut-être n’osez-vous pas l’exprimer de peur de vous tromper.

Ce qui est grand, très grand, à mes yeux, c’est vous ! C’est l’humanité, celle que J’ai revêtue pour me rendre semblable à vous, pour que vous puissiez me connaître intimement, mais aussi et surtout, oui, principalement pour vous sauver et vous avoir en ma compagnie éternelle dans le Ciel. Vous êtes ce qui est grand à mes yeux et trop souvent vous n’y pensez pas. Oui, vous êtes importants à mes yeux, et Je voudrais tant l’être autant pour vous ! (…)

Cet état de ressuscité, vous le connaîtrez tous, vous qui m’êtes fidèles, et cela vous paraîtra aussi naturel que votre vie actuelle. En effet, la vie surnaturelle, vous la possédez déjà et vous l’entretenez en communiant dévotement parce que la Sainte Église, qui vous a baptisés, entretient en vous la Vie divine par les sacrements. Et cela vous paraît naturel parce que, pour la plupart d’entre vous, vous êtes nés dans une famille catholique et avec reçu, dès le berceau, le grand bonheur d’être un enfant de Dieu. Et pour ceux qui, en se convertissant, ont rejoint la Sainte Église catholique, vous n’imagineriez pas qu’il puisse en être différemment.

En passant de la vie naturelle à la vie surnaturelle, vous voudrez voir Dieu et vous Le verrez. Vous passerez probablement par le purgatoire car peu d’entre vous serez déjà des saints à l’heure de votre mort, et le purgatoire, ce lieu de privation, de pénitence et de satisfaction, vous rendra quasiment saints.

Alors viendra le moment de votre délivrance, de votre entrée dans le Paradis, ce lieu de bonheur intense où vous mûrirez dans la sainteté et où vous apprendrez tout ce qui plaît à Dieu.
Et enfin, à l’heure du Grand Jour et de la Grande Rencontre, vous vous vêtirez de votre corps glorieux et vous entrerez, tout vêtus de lumière et de gloire, dans la Demeure de Dieu, l’Éternité qui n’a ni début ni fin, et où tous les enfants de Dieu, saints de Sa Sainteté, beaux de sa Beauté, intelligents de Son Intelligence, sages de Sa Sagesse, s’épanouiront dans Son Éternité, avec Lui, pour Lui et en Lui, à jamais.

C’est cela que Je vous ai gagnés par ma Passion et par ma mort sur la Croix, et Je renouvelle à chaque messe ces douloureuses heures afin que chaque génération puisse s’y associer et, par la sainte Communion à mon Corps livré et à mon Sang versé, s’unir à moi, à mon Âme et à Dieu, et se consacrer à moi pour l’Éternité.

Comprenez combien vous êtes importants à mes yeux, que mon Sacrifice ne soit pas vain, ne m’abandonnez pas comme les méchants ou les indifférents qui ne veulent pas de moi ni de mon Sacrifice pour eux. Je vous bénis, mes très chers Enfants, Je vous aime tant ! Aimez-moi autant ! (…)

Ainsi soit-il. Votre Seigneur et votre Dieu