Vision de la fin des temps

L’expérience de l’américain Louis Famoso, 1963

Grâce à une expérience proche de la mort, voici une vision de la fin des temps avec la création de la nouvelle terre. Cette vision est unique, et tout à fait conforme aux prophéties. J’ai raccourci centaines parties du texte.
Pour lire le texte dans sa version originale (en anglais) sur le site de l’auteur.

C’était en 1963. Je devais être libéré de la Marine en octobre. Après deux « campagnes » cela faisait du bien de retourner dans « le monde ». J’avais de l’argent plein les poches, des amis, des endroits où aller et des femmes à rencontrer. La Californie, quel endroit superbe pour attendre une libération. Je cherchais une voiture pour retourner chez moi en traversant les USA. (…)

L’homme a eu un accident de voiture et se retrouve à l’hôpital

Le médecin a vu le grand trou sur le côté de la tête, il le nettoyait lorsque l’infirmier militaire qui se tenait à côté de moi lui a demandé s’il pouvait s’entrainer en recousant l’entaille de la main. Le médecin a répondu oui car il pensait que je n’allais de toute façon pas tenir le coup. (…) mais juste au moment où ces pensées défilaient, je me suis mis à flotter en direction du plafond. (…)

Je n’avais aucun sentiment de peur, ni de regret. En fait tout ce que je ressentais, c’était de l’émerveillement, de la curiosité, et j’étais impatient de voir ce qui allait se passer. J’ai pénétré dans une sorte de tunnel. A son extrémité, j’ai pu voir ce qui ressemblait à de la lumière. Il faisait sombre mais pas noir, le chemin était légèrement illuminée par ce que je croyais être le soleil à l’autre bout.

Tandis que j’étais entraîné vers l’extrémité lumineuse du tunnel, je regardais attentivement autour de moi, (…) J’ai eu une éducation catholique, mais j’avais délaissé cette religion à un âge précoce, (…)

Dieu lui apparaît

(…) Il rayonnait brillamment et se transformait en un être indescriptible de pure lumière, maintenant en lévitation juste devant moi. Il était plus grand que la personne la plus grande que j’aie jamais vue, plus large que deux d’entre moi, mais proportionné de manière si uniforme qu’il était d’une stature magnifique. Ses caractéristiques pourraient être décrites comme si elles étaient faites avec une plume d’encre fine. Cheveux, visage, robe toute dorée et fluide comme le ferait une charge électrique, peut-être même une charge nucléaire ! C’était de l’énergie personnifiée, et au fur et à mesure que sa forme prenait une forme plus solide, tout ce qui était derrière Elle le faisait aussi. (…)

D’autres silhouettes sont apparues devant et derrière l’Être et moi-même. Il y eut subitement de l’activité tout autour de nous, au-dessus et en dessous, de tous côtés. D’autres êtres de lumière, de taille et de nuance différentes.
Des structures et des paysages ont jailli de partout, tous dans un état cristallin, tous habités par ces êtres de lumière plus petits, certains ailés, la plupart ne l’étant pas. Certains totalement formés, d’autres non, d’autres encore n’apparaissaient que comme des sphères rayonnant la lumière et la couleur, jaillissant comme les bulles d’un verre d’eau gazeuse.
Je n’y tenais plus. Toute cette émotion jamais ressentie explosait en moi à la puissance 10. Juste au moment où je pensais m’exprimer afin de poser des questions, l’Être m’a parlé. Sa voix était un chœur de voix, ni masculine ni féminine, ni forte ni douce, pas profonde mais englobant tout.

Rencontre avec Saint Michel et Saint Gabriel

Alors que je regardais les deux êtres gigantesques et magnifiques, vêtus de capes brillantes, juste à ses côtés, il a dit : « Voici Michel et Gabriel. Michel t’a choisi et Gabriel va t’enseigner. ». Derrière eux, j’ai vu un autre Grand Être, si beau, mais plus sombre en comparaison, à l’image de la robe qu’il portait. Cet être avait des yeux plaisants mais un regard perçant. L’Être de Lumière a dit : « (…) Toi à qui j’ai donné le choix, tu peux aller avec celui que tu préfères. ». J’ai pensé qu’étant donné que j’avais le choix, Michel m’ayant déjà choisi, j’allais le choisir. Il paraissait tellement fort et puissant, comme étaient les autres, mais dans ses yeux luisait un feu qui m’attirait et me captivait.

Les yeux de Gabriel étaient plus doux, ils avaient un air plus compréhensif, j’ai pensé : Oh, ces Êtres sont absolument magnifiques. J’ai ensuite regardé l’Être face à moi, ses yeux étaient pleins d’amour, de chaleur, d’autorité et de persuasion. Il a paru satisfait de mon choix. Il m’a alors dit :
Tu seras mon soldat et tu vas aller avec Michel pendant quelque temps. Gabriel viendra te rejoindre plus tard. J’enverrai d’autres vers toi et : ton fruit ne tombera pas loin de l’arbre au moment de la Récolte. (…)

Début du récit de la description de la fin des temps

C’est alors que j’ai vu des images apparaitre, comme sur des écrans de télévision. Lorsque je regardais dans ces écrans, les visions se rassemblaient et fusaient en une image pénétrant mon esprit. J’avais l’impression de subir le recul de l’impact. Ce n’était que des aperçus, mais tellement réalistes, comme s’ils se produisaient juste devant moi dans le présent.

Je ne pouvais pas me détourner. Il semble que j’aie alors fait partie de ces visions. Il y avait des scènes d’hommes en uniforme, tuant d’autres hommes en uniforme. J’ai reconnu certains des insignes, quelques-uns appartenaient aux USA.
Il y avait aussi des milliers d’hommes en civil tuant d’autres milliers de civils encore plus nombreux. C’était comme regarder des figurines s’animer, fauchant d’autres figurines de différents pays, de différentes nations et religions, mais toujours des centaines de milliers de morts et d’agonisants.

Je voulais sortir de là. Je ressentais la souffrance que ces personnes éprouvaient. J’ai demandé à l’Être pourquoi cela se produisait, combien de temps cela allait-il continuer. L’Être a répondu : L’homme sera une proie pour l’homme, jusqu’à ce que l’homme prie pour l’homme.

La vision suivante concernait de nombreuses inondations se déversant sur la terre, sur différents continents, à différentes saisons. A nouveau je marchais au beau milieu, ressentant la force et inhalant l’odeur de la mort. Des centaines de vies, des hectares et des hectares de cultures étaient perdus, ainsi que des centaines d’animaux d’élevage ou sauvages, flottant vers les abysses.

J’ai ensuite vu des volcans tout autour du monde, entrant en éruption l’un après l’autre. La lave en fusion ensevelissait des villes entières, des villages, avec les gens et les animaux à l’intérieur. J’ai regardé dans les ruines et j’ai vu qu’il ne restait plus grand-chose de ce qui avait existé.

La dernière vision sur l’écran a été celle de tremblements de terre détruisant des zones sur pratiquement tous les continents. Il y en avait un énorme en Amérique du Nord et la plupart des autres se situaient en Europe et en Orient.
À nouveau des milliers de morts, des bâtiments effondrés, un paysage nivelé. Je me suis à nouveau tourné vers l’Être et il m’a dit : Non seulement ce que tu as vu se produira plus encore, mais le temps viendra où tout se passera simultanément. Cela arrivera en même temps que les plus grands péchés des hommes. Avant que j’eusse le temps de poser des questions, il déclara : Ils se détourneront de Moi et s’autoproclameront des dieux.

Visite de l’univers

C’est alors que Saint Michel m’a fait signe de le suivre. J’ai alors fait partie de l’Univers : les novas, les soleils, les planètes, tout ce que j’avais regardé depuis la terre peu de temps auparavant.

Nous avons voyagé vers le début de « tout », la zone interne de l’Univers. D’innombrables planètes tournaient autour d’innombrables soleils. Plus nous approchions du centre, plus les galaxies étaient nombreuses. C’était comme un plateau voyez-vous. La plus grande partie se situait au centre après qu’il se soit brisé. Les morceaux qui s’étaient brisés en premier avaient été projetés loin du centre, c’était ainsi pour tout dans l’Univers. Tout n’est rien d’autre qu’un cercle dans un cercle, entouré d’un cercle. Chaque niveau, chaque dimension n’est qu’une couche de l’origine qui est sans fin. Je contemplais des millions des sphères pénétrant systématiquement dans les nombreuses planètes placées devant moi. Elles étaient comme des abeilles voletant de fleur en fleur, pollinisant chacune, l’une après l’autre.

Saint Michel m’a amené plus près : je pouvais maintenant voir qu’un très grand nombre de ces planètes comportaient de la vie. Des sphères se joignaient aux créatures de ces planètes. Toutes ces créatures n’étaient pas identiques selon les planètes, mais elles avaient des caractéristiques communes : une tête, un corps, des extrémités et des Êtres de Lumière les animaient pendant quelque temps.

Nous repartions du centre à présent. Michel a déclaré que Gabriel allait me fournir d’autres explications que lui voulait que je connaisse. Qu’il était satisfait pour les nombreuses fois où il m’avait appelé afin d’accomplir ses désirs. Que je remplissais bien mes devoirs. Ses paroles d’adieu ont été : Maintenant, plus jamais on ne t’oubliera.

Suite de la fin des temps

Je suis reparti vers l’endroit où je savais trouver la terre, j’ai observé des comètes et des astéroïdes passant par hasard près de moi ou l’inverse. Les couleurs des nébuleuses étaient impressionnantes. J’ai regardé ces jeunes galaxies comme on regarde les formes des nuages sur terre, imaginant à quoi elles pourraient ressembler : celui-ci serait un bateau, celui-là un oiseau avec des ailes, cet autre une écharpe flottant dans le vent, jusqu’à ce que je reconnaisse la constellation d’ORION. Alors j’ai compris que j’approchais de ma destination.
En dérivant à l’intérieur d’ORION, j’ai remarqué deux corps célestes lumineux fusant parallèlement à son centre. Ils ressemblaient à des flèches jumelles propulsées par un archer en direction de notre planète bleue, la Terre.

Vincent : il s’agit probablement des comètes de l’Avertissement.
« Tous verront comme deux corps célestes se heurtant »

Immédiatement m’est apparue la vision de millions de gens pleurant à cause d’une dévastation dans le secteur de New York. J’ai éprouvé une sensation étrange que je n’avais jamais connue auparavant. J’ai pensé que c’était peut-être dû au fait que j’ai grandi dans cette ville. J’ai vu aussi un énorme tremblement de terre de magnitude 8,6, dans un endroit appelé Eureka (ville côtière de Californie).

Des milliers de personnes fuyant les zones à risques étaient dirigées vers des endroits plus surs. Une station spatiale a semblé tomber du ciel à cause d’une explosion interne.
Des missiles étaient simultanément tirés dans l’espace depuis plusieurs nations.

Vincent : En direction des comètes pour dévier leurs trajectoires ?

Création de la nouvelle terre

J’avais cru que l’Être de Lumière m’avait montré tout ce qu’il y avait à voir, mais là, c’était différent, plus fort, et il n’y avait pas préalablement d’écran comme auparavant.

Saint Gabriel est alors apparu à mes côtés. J’ai cru que c’était parce que je tremblais, mais en réalité c’était pour expliquer la vision cosmique qui s’étalait maintenant devant moi :
Le soleil était en expansion et crachait d’énormes boules de plasma, plus qu’il ne l’avait jamais fait dans le passé, en direction même du plan orbital des planètes. Je ne pouvais quitter la terre des yeux, regardant les effets que ces éruptions avaient sur terre. Une grande masse est passée près de moi, plus grande que toutes les planètes que je connaissais.
Tandis qu’elle passait, J’ai vu la terre osciller follement, comme une toupie en fin de giration. La rotation a cessé puis elle a repris lentement mais elle était maintenant inclinée.

J’ai été entrainé plus près comme par l’effet d’un zoom. Les nuages de cendre, qui avaient englouti la terre, se sont éclaircis, et, comme un morceau de métal cloué que l’on arrache, j’ai vu les océans commencer à monter. D’abord le Pacifique, le long de la « ceinture de feu », puis les autres, de façon synchrone. Alors que les eaux passaient sur les terres émergées, celles-ci ont commencé à s’enfoncer sous la pression supplémentaire des eaux.

Lorsque les pressions ont compensé la rotation de l’axe qui se modifiait, la terre n’était plus semblable à ce qu’elle avait été quelque temps auparavant. Elle était plus neuve, plus propre, plus belle avec des verts plus profonds et des bleus plus clairs. Certaines terres émergées paraissaient similaires à celles de quelques autres planètes que je venais de visiter avec Saint Michel.

Il y avait des gens sur cette terre et ils semblaient plus heureux et plus satisfaits, bien qu’ils aient paru vivre à la manière des peuples premiers. Des villes, construites dans l’antiquité et submergées par les océans, étaient maintenant peuplées par les survivants de ce nouveau monde.

J’ai vu des tribus s’unir à d’autres et de petites nations se former. Mais c’est ce que je ne voyais plus qui a fait tressaillir mon cœur. Il n’y avait plus de guerres, une paix et un bonheur authentiques étaient finalement advenus pour l’humanité.

Gabriel m’a alors dit que c’était son message et il me fallait le ramener. Faire savoir aux gens qu’il y aura peu à redouter, car la terre persistera éternellement, à l’image de toutes les planètes que j’avais visitées.

Je dois dire aux hommes de regarder vers ORION, car ils sauront par cet endroit quand un nouveau monde sera sur le point d’arriver.

L’enlèvement

Je lui ai demandé : Que se passera-t-il pour les autres sur terre, pendant ce changement ?

Saint Gabriel m’a répondu que tous seront relevés. Certains seront élevés plus que d’autres et ne jouiront plus du monde physique, tandis que d’autres seront laissés sur terre pour renouveler et reconstruire le monde. Eux aussi seront d’une élévation spirituelle plus grande que tous ceux qui vivent ici actuellement !

Je me suis à nouveau retrouvé face à l’Être de Lumière, les cinq sphères bondissant toujours autour de lui. Je voulais rester pour explorer ce royaume avec tous les autres êtres de lumière, mais on m’a dit que je ne le pouvais pas. J’avais été amené ici pour raconter aux gens de la terre ce qui allait arriver. Que s’ils répandaient l’amour autour d’eux, ils devaient savoir que leur Créateur les attendrait impatiemment.

L’Être m’a répondu que si jamais je devais me poser des questions, alors Il y répondrait. Il me suffisait de regarder en moi-même, car c’est là qu’Il allait demeurer. (…)

Il m’a été dit qu’il restait beaucoup de travail à faire, qu’Il avait établi un chemin de rocailles devant moi et que je devrais les écarter pour passer. Nombreux sont ceux qui seront mis sur ma route que ma présence pourra aider, pour d’autres plus nombreux, je ne le pourrai pas, mais je ne dois pas forcement les écarter, car aucune âme ne doit être perdue en mon cœur.
J’ai demandé comment je pourrai le savoir, mais avant de recevoir une réponse, j’ai été propulsé dans le tunnel obscur, comme « un mouton dans un aspirateur », avec autant de maitrise qu’un train de marchandise devenu fou.

Fin de l’expérience, retour dans le corps

Je me suis réveillé face à une infirmière qui m’enlevait, en grattant, les croutes de sang du côté droit de la tête. Mon corps était tourmenté par la douleur. J’ai crié contre cette infirmière à cause de ce que je prenais pour un manque de compassion. Une expression de choc s’est peinte sur son visage :
Oh mon Dieu, bon retour chez nous marin. Nous étions surs que vous nous quittiez. Je lui ai demandé où je me trouvais et depuis combien de temps, elle a répondu :
Cela fait maintenant sept jours que vous étiez dans le coma. On a cru que vous étiez mort sur la table d’opération, et on allait vous envoyer à la morgue lorsque l’infirmier assistant a remarqué un mouvement sous le drap, il vous a ramené précipitamment au bloc.
Le médecin vous a ausculté, il a été stupéfait de découvrir que vos signes vitaux revenaient à la normale, mais ce qu’il a vraiment trouvé renversant, c’est que la croute dure, qui s’était formée sur le trou de votre tête, semblait avoir scellé la plupart des dommages. Il a décidé qu’il était inutile de vous mettre une plaque d’acier dans la tête, elle avait en effet suffisamment guéri toute seule pendant le temps où vous étiez parti.
Vous voulez dire que l’infirmier qui m’a recousu la main au bloc opératoire m’a sauvé la vie ?.
Elle a répondu : Oui, mais comment avez-vous su qu’il vous a recousu la main ? Vous avez été inconscient pendant tout le temps où vous étiez au bloc, vous n’avez jamais repris connaissance jusqu’à maintenant.

Si seulement elle avait su toutes les choses que je connaissais de cette période, elle aurait sûrement été en état de choc. (…)

Le médecin m’a d’abord examiné le côté de la tête, il m’a ensuite passé les mains sur les bras et les jambes. Il m’a demandé si je pouvais me lever après m’avoir dit le truc classique : Regardez mes doigts, combien y en a-t-il ? J’ai sauté du lit, ce qui lui a fait un choc. Il m’a demandé si je pouvais lever les bras au-dessus de la tête (pensant que je ne le pouvais pas). Lorsque je l’ai fait, il m’a demandé si je pouvais lentement toucher mes orteils (ce que j’ai fait). Il m’a ensuite fait assoir sur le lit et a commencé à me parler.
Il m’a dit que j’étais un cas médical miraculeux. Non seulement je n’étais pas censé survivre à la perte de sang massive, mais le traumatisme crânien aurait dû au moins faire de moi un légume. Il a également dit que mes blessures aux jambes et aux bras auraient dû me clouer à l’infirmerie pendant encore deux ou trois semaines. Pourtant, j’étais là, tout fonctionnait bien. En fait j’étais comme neuf, pas même de marques noires ou bleues pour indiquer ce que mon corps avait enduré. Il a dit qu’il devait admettre que c’était vraiment incroyable.
Quand j’ai demandé si je pouvais être rendu au service actif, il a répondu qu’il ne voyait vraiment aucune raison de refuser. Il a signé le bon de sortie de l’hôpital et je suis retourné à mon unité le lendemain.

C’était bon de revenir parmi les vivants, mais je savais que j’étais allé dans un endroit de loin meilleur que tous les endroits où j’irais jamais sur terre. Je me suis souvenu de tout ce qui m’était arrivé, mais je n’en ai rien dit, (…)