Règles de vie de l’enseignement de Monsieur Philippe de Lyon
Extrait du livre de Philippe Encausse : Le maître Philippe de Lyon. Thaumaturge et “Homme de Dieu“. 1954. Ce livre est consultable en ligne.
Le Maître Philippe n’a pas laissé d’enseignements écrits. Mais par contre il a donné pendant de nombreuses années des « enseignements » oraux pieusement recueillis par un certain nombre de fidèles. Ces textes sont donc des témoignages apportés par des tiers et non comme un travail manuscrit du Maître.
Ce que les gens désirent n’est pas toujours ce qui leur est bon. On dit : « que votre volonté soit faite », mais on pense : « d’abord la mienne. »
Tous les préceptes se résument en un seul : Nul n’entrera au Ciel qu’au jour où rien ne lui coûtera. Tant qu’un acte à accomplir pourra lui occasionner quelque peine, il ne sera pas prêt.
Ne pas dénoncer un coupable
Lorsqu’un coupable est jugé par les lois civiles et subit une peine, il est dispensé d’être jugé par les lois du Ciel. Ceux qui jugent seront jugés à leur tour. Mais surtout, ce qu’il ne faut pas faire, c’est dénoncer un coupable. Celui qui accomplit cet acte méritoire de ne pas dénoncer peut être sûr d’être, un jour, l’ange gardien d’un coupable pour lequel il pourra obtenir le pardon du Ciel. Ou bien il aura, dans sa propre famille, jusqu’à la septième génération, un coupable qui sera pardonné grâce à son acte méritoire et qui échappera au châtiment.
Il ne faut pas médire, c’est offenser Dieu car le prochain a, en lui, comme nous, une étincelle de Dieu.
Celui qui jette une pierre au prochain se la jette à lui-même. Soyez un puits pour les fautes d’autrui.
Commencez petit à petit à ne pas parler des absents. Il viendra un moment où vous n’en aurez plus l’occasion et où vous ne jugerez plus personne car vous saurez que c’est un péché.
L’oubli est une sorte de pardon. Pardonner à celui qui nous nuit, c’est semer en lui le germe qui, un jour, produira le remords et le retour au bien.
Demande. – Si l’on est appelé comme témoin, peut-on accepter de l’être ?
Réponse. – Oui, mais il ne faut pas dénoncer, et si vous savez quelque chose qui puisse faire condamner, il faut l’oublier.
Cacher sa tristesse
Ne jamais manifester sa tristesse ; se cacher pour pleurer ; sourire au dehors. – Il faut aider tout le monde sans s’occuper de savoir si celui qu’on aide est un ivrogne, un voleur, etc. Ne faire souffrir personne. – Ne jamais user de l’épée, même pour un diable ; agir par la douceur.
Lorsque vous avez beaucoup d’ennuis, beaucoup de luttes, il ne faut pas le laisser paraître. C’est-à-dire que pour arriver à la perfection, il ne faut pas qu’on puisse dire : Ah, comme cette personne a l’air d’avoir de l’ennui.
Ne pas punir les maraudeurs
Si l’on est attaqué dans la rue, se protéger, parer les coups, mais ne jamais frapper ou tuer. Celui-là n’est jamais attaqué qui ne l’a pas mérité lui-même.
Il ne faut pas tuer ni punir les maraudeurs. On n’a pas le droit de tuer un lièvre qui mange nos choux, un oiseau qui mange notre blé, un voleur qui prend nos raisins. Dieu a peut-être voulu que ces raisins servent à cet homme et que ce blé soit pour cet oiseau. Vous devez être une Providence pour tous ceux qui viennent à vous !
Si quelqu’un vous dérobe quelque chose, donnez-lui beaucoup plus qu’il ne vous a pris. Si quelqu’un vous fait du tort, pardonnez-lui et je vous affirme que Dieu vous rendra par la porte ce qui sera sorti par la fenêtre.
Divers conseils
– Matez-vous si vous ne voulez pas être matés !
– Pour nous connaître, voyons ce dont nous chargeons le prochain.
– On ne fait pas d’effet en parlant. Il vaut mieux donner le bon exemple.
– Ne dire du mal des gens qu’en leur présence.
– Ne jamais juger autrui !
– L’Homme n’est pas fait pour vivre seul mais en société.
– Il ne s’agit pas seulement d’avoir le bon vouloir ; il faut aussi l’action qui est la lutte.
Il faut travailler même pour enrichir ses patrons. Du moment que nous sommes payés pour faire un travail nous devons le faire consciencieusement.
Le maître doit être juste mais non faible avec ses serviteurs, car il en a la charge.
Parler trop tôt ou enseigner à un être des vérités prématurées, c’est lui faire du mal. Il ne faut pas « causer » avec les « sourds ». (Les perles données aux pourceaux…).
Les chemins tracés par la nature sont nombreux et variés ; ils doivent être tous suivis par des êtres différents, les rôles ingrats comme les beaux. Ne jugez donc personne !
Guérison et charité
Un homme vient à une séance pour une jambe malade qu’on devait lui couper… En 3 séances il est guéri ! Monsieur Philippe précise : « Il faisait porter des paniers de provisions aux malheureux et il ne l’a jamais dit ».
(A propos d’un malade menacé de cécité) : Et savez-vous pourquoi cet homme ne deviendra pas aveugle ? Il a dans un temps, sans cependant être très généreux, fait quelque chose de bien, et ce quelque chose lui a attiré la protection de Dieu.
Charité et prière
De notre cœur il faut faire un temple. Si, du fond du cœur, part une prière les êtres qui sont en nous l’entendent et c’est le soleil pour eux, pour tout l’organisme. Le cœur est notre propre temple.
Elles tombent une à une vos larmes ! Et ce petit ruisseau clair et pur qu’elles forment dans l’invisible revient à vous pour vous désaltérer. Ne croyez pas que vos actes se perdent. Tôt ou tard vous en recueillerez le fruit.
Il est du devoir du riche de donner au pauvre, et de celui qui n’a rien de ne pas envier le riche, car l’un et l’autre manqueraient à la charité, et nul n’entrera dans le royaume de Dieu s’il n’a la charité. La foi et l’espérance ne sont rien sans la charité.
Pour être heureux, il est essentiel que votre sécurité, votre santé reposent d’abord sur le Seigneur Dieu.
Message du Ciel – Jean, messager de la lumière – 13 mai 2013.
Mes chers et bien-aimés frères et sœurs,
Le soleil remplit sa fonction, la lune obéit et les Anges assument pleinement leurs services. Et de même le Seigneur Jésus tape à votre porte afin que vous fixiez au mieux votre vie en conformité à la sienne. Cela signifie que vous n’avez pas à vous enfermer sur vous-même mais à vous ouvrir à Lui. Cette adhésion à Jésus concerne bien votre vie, votre travail, votre vie familiale, vos loisirs, vos relations et vos engagements. L’amour de Dieu est le salut offert gratuitement à toute l’humanité.
Évitez de ne pas trop vous attacher à ce qui se voit, mais tournez-vous plutôt vers ce qui ne se voit pas. Ainsi, vous ne vous laisserez pas trop accaparer par tout votre environnement et encore moins par toutes ces doctrines funestes générées par les démons et donc certains dirigeants agissent pour les mettre en pratique.
Par contre, tout ce qui vous attend après votre passage sur terre est éternel et incomparable en tous points, si vous pouviez comprendre et imaginer un tant soit peu, tout le merveilleux qui vous attend après un temps de purification, plus ou moins long. Étant des enfants de Dieu, citoyens du Royaume des Cieux, vous quitterez donc un jour et peut-être demain, votre vie terrestre. Comprenez que sans perdre votre temps vous avez à méditer les choses célestes et à vivre pour elles, ainsi votre âme s’élèvera jusqu’au monde invisible.
Vous avez à agir pour Dieu et pour le bien des hommes.
Il est normal que vous agissiez pour votre bien et encore plus pour celui de vos prochains mais vous n’avez aucun droit de vous en glorifier pour la seule et simple raison que vous devez votre service au Seigneur. Tant que vous vivrez sur la terre de pèlerinage, vous avez à agir pour Dieu et pour le bien des hommes.
Pour être heureux, il est essentiel que votre sécurité, votre santé reposent d’abord sur le Seigneur Dieu et non sur les multiples assurances qu’offrent le monde actuel, parfois dans des philosophies diaboliques. Pour connaître le bonheur éternel il s’agit donc de faire la volonté du Seigneur plutôt que de profiter des faux plaisirs qu’offre la société actuelle. Que la Parole du Seigneur Dieu soit la première en tout, ainsi elle expulsera les discours mensongers des marchands de bonheur.
En résumé, vous êtes poussés par votre foi, donc jour après jour, lentement. Elle sera ce souffle léger qui transformera votre cœur et votre intelligence. Aussi, peu à peu, votre amour pour le Seigneur Jésus grandira. Sa Parole vivante viendra éclairer vos choix et vos pensées. (…)
Votre Jean, messager d’espérance.
Chapitres complémentaires :
Avoir confiance en la Providence Divine
En communication avec Dieu
Soyez toujours candides comme des colombes, mais prudents comme des serpents
Message de Marie, Joie de la Création, à Valeria (Italie), le 29 janvier 2014.
Chers enfants, vous êtes comme des enfants et si parfois vous êtes un peu rebelles, Je vous aime de toute façon. Je sais bien qu’il n’y a pas de perfection sur la terre et stupide est celui qui se sent parfait.
De Parfait il n’y en a qu’un : Dieu le Très-Haut, l’unique vrai Dieu Perfectissime. Et vous, mes enfants, vous êtes imparfaits et polissons mais vous êtes toujours mes enfants. Je vous aime et Je serai toujours avec vous, surtout dans les moments difficiles.
Priez mes chéris, ne perdez pas votre temps à courir après les choses du monde. De tout ce que le Seigneur vous donne, usez avec respect, et surtout rendez toujours grâce parce que rien ne vous a été donné par mérite, mais seulement par amour de votre Créateur.
Utilisez tous les moyens de communication, mais faites attention de ne pas en abuser. Puissiez-vous toujours choisir ce qui est bon et mieux pour vous, sachez discerner car le mal sait bien comment se camoufler, il fera toujours tout son possible afin de vous faire tomber dans ses filets.
Ce que vous voyez et entendez n’est pas toujours bon, mes enfants, sachez choisir et profitez de tout ce qui vous aide et vous guide sur un chemin chrétien et droit. Vous pouvez également prier en chantant, en vous réjouissant d’un bon film avec vos frères, ou faire trésor d’un enseignement salutaire, mais attention, l’impur peut se glisser même dans des spectacles qui à première vue paraissent de bon aloi.
Le divertissement n’est refusé à personne pourvu qu’il soit sain et exemplaire.
C’est pourquoi Je vous parle comme si Je parlais à un petit enfant, soyez prudents et toujours cherchez à évaluer chaque chose. La Parole de Dieu vous est une leçon : soyez toujours candides comme des colombes, mais prudents comme des serpents. De même un peu de divertissement n’est refusé à personne pourvu qu’il soit sain et exemplaire.
Toujours discerner ce qui est bon de ce qui est mauvais.
Soyez joyeux, mes enfants, dans la joie et l’allégresse se trouve Dieu, mais sachez toujours discerner ce qui est bon de ce qui est mauvais. Ne vous laissez pas confondre par des charlatans, écoutez, regardez et décidez pour votre propre bien.
Ne manquez jamais la prière, chaque jour remerciez et louez Dieu pour tout ce qu’il vous donne dans son grand amour. Je vous bénis, soyez unis dans la joie de la prière et vous ne tomberez pas dans l’erreur.
Aimez, aimez, aimez. Votre Maman se réjouit avec vous. Marie, Joie de la Création.
Soyez vigilants. Gardez vos lèvres. Surveillez même vos esprits.
Tendre-Cœur : Message de Jésus reçu le 22 octobre 2013.
Enfants du Très-Haut, Je me réjouis en vous. Je Suis. Je Suis Qui Je Suis. Je Suis le Grand JE SUIS. Je désire demeurer en vous. Ouvrez vos cœurs à l’Amour. Abandonnez-vous. Donnez-moi la permission de transformer vos vies. Marchez dans la toute obéissance et la confiance en Moi. Abandonnez les voies du monde.
Que tout ce que vous dites, pensez, et faites, me rende gloire. Déracinez tout péché de votre cœur.
Contrôlez vos langues, et sauvegardez vos relations.
Contrôlez vos langues, et suivez mon exemple. Ne dites pas de mal de vos ennemis.
Ne vous engagez pas dans des potins. Écoutez-Moi. Grandissez en sainteté.
Lorsque ce que vous avez à dire abaisse l’un des Miens, abstenez-vous de faire les commentaires qui vous viennent à l’esprit. Soyez vigilants. Gardez vos lèvres. Surveillez même vos esprits. Persévérez dans l’amour.
Je vous laisse mon baiser de paix. Honorez-Moi en toutes choses. Shalom
Je vous fais une déclaration d’Amour et Je serais si désireux de vous entendre répondre ceci.
Message de Dieu – Sœur Beghe – Le 1er juin 2025 – Lire le message sur le site d’origine.
Mes très Chers, mes Bien-aimés, Je reviens vers vous pour nourrir vos âmes comme Je nourris vos corps et tout ce qui vit. Je suis auprès de vous parce que vous êtes miens et parce que Je suis votre Ami très cher. L’Amour dont Je brûle pour vous est immense et tous ceux qui l’ont ressenti en ont été bouleversés. Oui, mon Amour est si intense qu’il excède tout ce que vous pourriez ressentir parce qu’il est divin et inimitable.
Un parent pour un enfant éprouve un amour immense parce qu’il est non seulement la chair de sa chair, mais parce qu’il lui est semblable, parce qu’il lui ressemble, parce qu’il dépend de lui. Ainsi en est-il pour votre Dieu, mais de manière infinie parce que son Amour est Dieu.
Un être qui ressent l’Amour divin en est tout retourné, il est aspiré en Lui, cet Amour le prend tout entier. L’Amour est fort, il est attirant, il est subjuguant, il est possessif, il est envoûtant, le bel Amour divin est tout à la fois infiniment libre, infiniment juste, infiniment respectueux et Il ne force pas, Il laisse le libre choix à la personne aimée.
C’est de cet Amour là que Je vous aime, vous, mes enfants qui me lisez, vous personnellement qui, en cet instant précis, lisez ces lignes. Je fais l’aveu de mon Amour pour vous, oui, vous précisément qui posez les yeux sur ces lignes, Je vous aime, Je vous fais une déclaration d’Amour et Je serais si désireux de vous entendre répondre ceci :
« Oui, Seigneur, mon Seigneur et mon Dieu, je vous remercie de tout votre Amour, de tout ce que vous avez fait, faites et ferez encore pour moi, tous les jours de ma vie. Votre Amour me comble et je regrette vraiment de vous le rendre si mal.
Oui, je suis pris, je suis trop souvent accaparé par les mille et un soucis du quotidien, et trop souvent je ne pense pas à vous les offrir, à vous les confier, alors qu’un tout petit mot de votre part suffirait à les résoudre.
Pardon Seigneur, pour mon indifférence, pour mes oublis, pour mon indépendance coupable. Seigneur, je sais qu’avec vous tout est grâce. Sans vous tout est obstruction, tout est superflu. »
Mes Enfants, Je veux vous parler aussi de votre foi. (…) Et moi, Dieu, Je voudrais tant vous venir en aide ! J’ai besoin de vous comme vous avez besoin de moi, ne m’abandonnez pas ! Que Dieu vous bénisse et moi, votre Seigneur, Je vous aime. Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.
Votre Seigneur et votre Dieu