Ce Dépôt Sacré brûlait ma poitrine, projetant son Feu Sacré dans tout mon corps, sur tout ce que je touchais et sur ceux qui m’approchaient.
Message donné à JNSR (France) le 1er Mai 2004
JNSR : Je ne t’importunerai pas plus si tu ne le désires pas. Si tu peux me dire quel est ce dépôt sacré retiré à Adam et remis à tous les Patriarches, le veux-tu ? Ou peut-être ce n’est pas le moment de le dévoiler ?
Moïse : Par la Croix du Bien-Aimé, Signe de toutes les alliances, Jésus le Divin, le Sublime, m’a chargé de te répondre : j’ai gardé le dépôt sur mon cœur pour faire avancer les tribus et personne ne pouvait s’égarer ni se détourner, car le Dépôt Sacré le retenait. La marche harassante à travers le Désert était protégée et les hommes m’écoutaient :
je suis Moïse ; j’étais présent et je représentais le Dépôt Sacré, comme un bon Prêtre représente Jésus-Christ sur Terre.
Comme tu ne peux douter que je suis là, en ce moment, pour te parler, Dieu m’envoie vers toi car c’est le temps de dévoiler les Secrets de Dieu parce que vous avancez le Temps de la Rencontre à cause de l’irritation que vous infligez au Saint Cœur qui ne désire que la Paix dans Son Amour.
Ce Dépôt Sacré brûlait ma poitrine, projetant Son Feu Sacré dans toutes mes veines, dans tout mon corps, sur tout ce que je touchais et sur ceux qui m’approchaient, à des milliers de mètres autour de moi. Ainsi se gagnaient toutes les batailles contre les ennemis de Dieu car j’avais, sur mon cœur, Celui qui devait mourir pour chacun de nous et nous sauver.
Cette forme, qui vivait, n’était pas encore conçue, elle s’imbriquait en une autre forme, semblable mais plus petite, qui brillait avec la même force : c’est comme si l’une alimentait l’autre.
Aujourd’hui, il m’est permis de te le dire : le Secret d’Israël, donné à Adam et qu’il gardait en lui, s’est perdu au cours des siècles intentionnellement. Mais St Jean Baptiste l’avait dans son cœur, ainsi que son père Zacharie qui prophétisa à sa naissance (Luc, 1) :
Béni soit le Seigneur, le Dieu d’Israël de ce qu’Il a visité et délivre Son Peuple.
Et toi petit enfant, tu marcheras devant le Seigneur pour Lui préparer les voies, pour donner à Son Peuple la connaissance du Salut par la remise des péchés grâce aux sentiments de Miséricorde de Notre Dieu.
Prédication de Jean le Baptiste : la voix qui crie dans le désert ne pouvait que crier la venue de celui qui est, qui était et qui vient, celui par lequel venait le Salut, le Fils de Dieu, né de la Vierge dans Sa Conception Divine et Immaculée. (Luc, 3) :
Toute chair verra le Salut de Dieu.
Produisez donc des fruits dignes du repentir.
Pour moi, je vous baptise avec de l’eau mais vient le plus fort que moi et je ne suis pas digne de délier la courroie de ses sandales ; Lui vous baptisera dans l’Esprit Saint et le Feu.
Et par bien d’autres exhortations encore, il annonçait au peuple la Bonne Nouvelle,
… celle qui a été cachée par tous les Patriarches et qui s’est perdue intentionnellement, car le peuple n’était pas préparé pour entendre et approuver une révélation si forte :
l’Enfant Divin, le Fils de Dieu, né d’une Vierge dont la Conception est Divine et Immaculée, Dieu-parmi-nous naîtra en Israël ; le Germe de la Promesse est porté VIVANT de Patriarche choisi en Patriarche, comme l’Eucharistie (qui rayonne dans l’Ostensoir) repose sur l’Autel de la Sainte Église de Jésus le Christ pour être adoré, caché dans le Saint Sacrement.
Le Dépôt Sacré, le Nom de YHshWH, est comme l’Hostie ; il devait être gardé sur le cœur des grands Patriarches, ce cœur devenu l’ostensoir portant l’Hostie, le Germe de la Promesse, le Dépôt Sacré du Père. Ainsi, ils avaient Dieu-Vivant parmi eux.
Le Père avait mis tout Son Amour Vivant dans la Saint Nom de Son Fils, et le Nom vivait déjà, comme un embryon bien vivant, et c’était YHshWH, Yeshoua, Lumière Vivante de Dieu.
Elisabeth, en voyant Marie enceinte venue la visiter, reconnut en Elle le Dépôt Sacré, celui de la Promesse faite à Israël :
« Bénie sois-Tu entre toutes les femmes et Béni le Fruit de Ton sein ! Quel honneur il m’est fait que vienne à moi la Mère de mon Seigneur. Bienheureuse Toi qui a cru à l’accomplissement de tout ce que le Seigneur T’a annoncé !»
Je dis : Bienheureuse Élisabeth car en la Vierge Sainte, elle a reconnu le Saint des Saints, Yeshoua, dans le sein béni qui Le contenait.
La Paix est à ce prix : reconnaître la Mère et le Fils Divins.
Il n’y a plus de secret sur ce Dépôt Sacré. Il reste aux Juifs, à la totalité d’Israël, de reconnaître le Messie en Jésus-Christ, de voir en Marie le choix de Dieu depuis l’origine.
Jésus-Marie, Dépôt Sacré du Père. Sans la Mère et le Fils, point de Salut.
Certains l’ont compris. La Paix est à ce prix : reconnaître la Mère et le Fils Divins. Elle nous conduit au Fils, Elle est l’Arche de l’Alliance. Telle est la Volonté de Dieu.
Je suis Moïse.
La délivrance de toutes les Nations se trouve dans la confiance du choix : Dieu est le Premier Servi. Ainsi seront délivrées toutes les Nations, les unes après les autres en commençant par Israël.
Paroles du Seigneur. Amen
L’ange tendit à deux mains quelque chose de lumineux vers la poitrine du patriarche.
Extrait des révélations d’Anne Catherine Emmrich : le secret de l’ancienne alliance (disponible en ligne).
Je vis le premier ange annoncer au patriarche agenouillé que Dieu voulait susciter dans sa descendance une vierge immaculée. sans péché. destinée à enfanter le Sauveur. Mais que lui-mème, Abraham, devait recevoir ce qu’Adam avait perdu par le péché. Alors l’ange lui présenta une parcelle de nourriture étincelante et lui fit boire le liquide lumineux contenu dans une petite coupe.
Sur ce, il traça de sa droite une bénédiction sur Abraham. comme une ligne droite de la tête jusqu’au-dessous du torse. et ensuite de l’épaule droite, puis de l’épaule gauche jusqu’au-dessous du torse, où les trois traits de la bénédiction se rejoignaient. Ensuite, l’ange tendit à deux mains quelque chose de lumineux vers la poitrine du patriarche. comme une petite nuée, que je vis pénétrer en Abraham, et j’eus l’impression que celui-ci recevait le Saint-Sacrement.
Le second ange annonça à Abraham qu’il devait, avant de mourir, transmettre au premier-né de Sara le secret de cette bénédiction. comme il l’avait reçue, et que son petit-fils Jacob serait le père de douze garçons qui fonderaient douze tribus. (…)
Le Dépôt sacré passe d’Isaac à Jacob
Mais lorsqu’Isaac bénit Jacob, ils étaient tous deux seuls, Jacob découvrit sa poitrine et se tint devant son père : celui-ci traça de sa main la bénédiction sur Jacob, du front à la base de l’estomac, puis de l’épaule droite et de l’épaule gauche à ce même point.
Il lui posa ensuite la main droite sur la tête et la gauche sur le cœur Jacob dut ensuite boire le contenu de la coupe, et finalement, ce fut comme si Isaac lui transmettait tout, toute sa force et sa puissance, en retirant de ses deux mains quelque chose de son propre corps et en le déposant dans le corps de Jacob. Je sentis que c’était là ce qui constituait sa force et sa bénédiction. Tout au cours de ces rites, Isaac priait à haute voix il était dressé sur sa couche pour la bénédiction au cours de laquelle il exultait d’allégresse tandis qu’une lumière sortie de son corps l’enveloppait. Pendant qu’il traçait les lignes de la bénédiction, Jacob tenait les mains ouvertes, à moitié levées, comme le prêtre au DOMINUS VOBISCUM.
Époque de Moïse
Au cours de la nuit même où Moise recueillit le dépôt sacré, on exécuta la caisse d’or en forme de sarcophage dans laquelle les Israélites l’empotèrent lors de l’Exode. Cette caisse devait être assez longue pour qu’un homme pût s’y tenir couché car ce dépôt sacré devait donner naissance à une Église et un Corps.
C’est au cours de cette même nuit que les Israélites marquèrent les portes avec du sang. Les voyant travailler si rapidement à la construction de la caisse, je pensai à la sainte Croix, qui fut également exécutée en hâte dans la nuit précédant la mort de Jésus. (…)
Avant l’Exode d’Égypte, Moise reçut de nouveau ce dépôt sacré qui. ayant été autrefois un secret de famille, devint alors le mystère du Peuple entier. Il prit place dans l’Arche d’Alliance, comme le très Saint-Sacrement dans le tabernacle et dans l’ostensoir.
Lorsque les enfants d’Israël, adorant le veau d’or, sombrèrent dans un terrible égarement, Moise douta de la puissance du dépôt sacré et en fut puni en n’ayant pas le droit de pénétrer dans la Terre Promise.
Lorsque l’Arche d’Alliance tomba entre les mains de l’ennemi, le dépôt sacré en avait été, comme à chaque alerte, retiré par le Grand-prêtre, car c’était le lien de l’unité d’Israël et pourtant, la sainteté de l’Arche elle-même était si grande que les ennemis durent la restituer, forcés par des châtiments divins. (…)
Lorsque ce mystère opérait, lorsque la prière était exaucée, le dépôt sacré devenait plus grand et jetait une faible lueur rougeâtre à travers son enveloppe. La bénédiction augmentait ou diminuait selon les époques, en fonction de la prière et de la pureté des hommes : elle semblait croître suivant la prière, le sacrifice et la pénitence.
Je n’ai vu ce sacrement utilisé par Moïse devant le Peuple qu’à deux occasions : lors du Passage de la Mer Rouge et au moment de l’adoration du veau d’or. Moïse, l’ayant sorti de son coffret doré, recouvert comme le très Saint-Sacrement le Vendredi-Saint, le portait ainsi voilé devant sa poitrine, pour bénir ou pour retrancher de la communauté, comme s’il agissait à distance. C’est ainsi que Moise regroupa beaucoup d’enfants d’Israël autour de lui, les sauvant de l’idolâtrie et de la mort.
Souvent aussi, j’ai vu le Grand-Prêtre, lorsqu’il se trouvait seul dans le Saint des Saints, qui utilisait le dépôt sacré, le tournant d’un côté ou de l’autre pour produire une force, une protection, un arrêt, ou une bénédiction. un bienfait, l’exaucement d’un vœu un châtiment. Il ne tenait jamais ce précieux dépôt dans ses mains nues. Il en touchait également de l’eau, pour des usages sacrés, et faisait boire de cette eau comme bénédiction. La prophétesse Debora, Anne, mère de Samuel, à Silo, et Emerentia, mère de Sainte Anne, burent de cette eau. C’est par ce breuvage qu’Emerentia fut préparée à concevoir sainte Anne. Sainte Anne elle-même ne but point de cette eau, car la bénédiction était en elle.
Joachim reçut d’un ange le dépôt mystérieux retiré de l’Arche d’Alliance. Et c’est alors que Marie fut conçue sous la Porte Dorée du Temple et devint elle-même, par sa naissance, l’Arche du mystère. Et le dessein de Dieu fut accompli, l’arche de bois dans le Temple se trouvait dés lors vidée de son précieux dépôt.
Chapitres complémentaires :
Dieu parle de l’État d’Israël
Troisième Guerre mondiale et Moyen-Orient
Traditions juives et lois chrétiennes
Le secret d’Israël : Moïse parle
1973, Guerre du Kippour : le miracle qui sauva l’État d’Israël
Le Temple de Jérusalem