Semaine Sainte et Pâques.

Octave de Pâques.

Sur huit jours, chaque jour est Jour de Pâques.
Extrait du site : Église catholique de France

Cette semaine est comme un long dimanche se prolongeant sur huit jours, où chaque jour est Jour de Pâques. Ainsi du dimanche de Pâques au dimanche de la Miséricorde, c’est l’Octave de Pâques pendant laquelle les nouveaux baptisés de la nuit pascale portent leur vêtement blanc.
L’Octave de Pâques est constituée par les huit jours qui suivent le dimanche de Pâques. La pratique de l’Octave religieuse se retrouve déjà dans l’Ancien Testament avec la fête des Tabernacles (Lv 23-26). C’est Constantin qui l’a introduit dans la liturgie catholique.

Elle se compose de sept jours dont trois sont le sommet de ma vie humaine parmi vous.

Message de Dieu – Soeur Beghe – Le 26 mars 2024 – Lire le message sur le site d’origine.

Mes très chers Enfants, Cette semaine est sainte, c’est d’ailleurs son nom : la Semaine Sainte. Elle se compose de sept jours dont trois sont le sommet de ma vie humaine parmi vous : le Jeudi, le Vendredi et le Samedi Saints. Le dimanche de Pâques est un autre jour immense, celui de l’éclat de mon état victorieux sur la mort, sur les enfers et sur les démons.

Ceux-ci sont vaincus pour toujours et J’ai accompli sur la terre un incroyable succès. Saint Michel Archange avait lutté contre Lucifer et il avait triomphé, mais ma victoire est infiniment plus grande car Je n’ai pas seulement combattu Lucifer et ses hordes, J’ai aussi annihilé toutes ses actions malfaisantes depuis Adam et Ève jusqu’à la fin du monde. J’ai effacé tous les péchés des hommes, rendant ainsi l’action de Lucifer inopérante. Cela l’a rendu fou de colère, d’amertume et de consternation.

Certes il reste le maître de toutes les âmes qu’il a attirées en Enfer et pour lesquelles Je ne puis rien parce qu’elles ne le veulent pas et ne le voudront jamais mais, par ma venue sur la terre et par mon offrande sacrificielle à Dieu, J’ai effacé tous les péchés des hommes. Par leur contrition et leur propre désir de fidélité, J’ai balayé l’œuvre corruptrice et destructrice de mon Ennemi éternel.

Mes Enfants, joignez-vous à moi intensément pendant cette Semaine Sainte, car Lucifer ne vous lâche pas. Plus mon Rachat vous attire à moi, plus il vous déteste et cherche à vous nuire. Il est l’instigateur de tout sentiment de haine, il est le promoteur de tous les vices et de toutes les persécutions. Il hait mes disciples avec la même intensité qu’il a usée envers moi et ne vous faites aucune illusion : il vous attend dans vos moindres faiblesses, et plus il voit le monde plonger dans ses filets, plus il l’enchaîne.

Il y a eu un grand attentat dans un grand pays voisin.

Mes Enfants, il y a eu un grand attentat dans un grand pays voisin et il en est le commanditaire. Il sait comment corrompre, comment tenter, comment attirer à lui, et les hommes sans défense, parce que ne faisant pas partie de mon troupeau, se laissent corrompre et entraîner. Il ne s’arrêtera pas là, il a de nombreuses cartes à abattre et sa détestation de l’humanité le fait agir ici et là, et de manière aussi étendue que possible.
Mais vous, mes fidèles, ne vous laissez pas tenter, ne vous laissez pas prendre dans ses filets. Restez auprès de moi par la prière et par votre conduite respectable, par votre fidélité aux Commandements de Dieu et de la Sainte Église. Par cette fidélité, Je vous conduirai en ces temps d’incertitude et d’excès de toutes sortes, gardez mes lois, gardez votre espérance, gardez la foi.

« Quand vous verrez l’abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, installée dans le lieu saint », ai-Je dit à mes enfants d’Israël, « alors que ceux qui seront en Judée s’enfuient, etc… » (mt 24, 15), mais à vous, mes Enfants, Je parlerai autrement parce que la désolation qui vient sera répandue au-delà de ce lieu saint qui était le temple de Jérusalem à l’époque de sa destruction par les Romains en l’an 70. La désolation qui vient, oui et elle vient, a souvent été annoncée par mes saints et mes prophètes. Elle sera tant matérielle que spirituelle.

Les églises seront désertées de leurs fidèles car la Vérité en aura été écartée et seules resteront celles qui auront conservé le vrai Bien : moi, le Seigneur Jésus-Christ. L’étau se resserrera sur mes bien-aimés parce que « Le serviteur n’est pas plus grand que son maître, s’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi » (Jn 1, 20).

Que ma Paix soit avec vous et tels mes premiers fidèles qui ont bravé tous les mauvais traitements et toutes les persécutions, tels vous serez la nouvelle manne des nouveaux temps et vous serez « devant le trône et devant l’Agneau, vêtus de robes blanches, des palmes à la main » (Ap 7, 9).
Que ma Paix soit avec vous et ne craignez pas. La force de mon Esprit Saint, vertu exemplaire de mes saints, vous sera donnée à profusion et votre ferveur chrétienne ne vous abandonnera pas.

Je vous bénis, mes très chers Enfants, soyez confiants, soyez en paix, que votre âme se réfugie en mon Âme et ma Croix ne vous surprendra pas, non, elle vous attirera et vous la voudrez parce que vous êtes miens.
Je vous bénis, au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.
Votre divin maître et votre modèle.

Chapitres complémentaires :
Jeudi Saint
La Passion
La nuit des morts-vivants

Un carnaval devant l’église, à 15 heures, un Vendredi Saint !

(Vincent) Pâques 2009, Ma mère m’appelle le dimanche de Pâques et me raconte un petit incident qui en dit long sur ce qui nous attend :
Mes parents habitent un petit village de 3000 habitants, entre Tarascon et de Saint-Rémi de Provence, dans les bouches du Rhône, (France). Nous sommes le Vendredi Saint et un peu avant 15 heures, alors qu’ils se dirigeaient en voiture vers le centre du village pour assister au chemin de croix, toutes les rues étaient barrées. Très surpris, ils font le tour du village pour trouver un chemin d’accès non bloqué et finissent par en « forcer » un.

Arrivés devant l’église, ils se demandent ce que cela signifie, et là, stupeur et désolation, ils virent passer devant eux un carnaval d’enfants. Je demandais à ma mère : « qui était ces enfants et d’où pouvaient-ils venir« . Elle me dit que les vacances scolaires n’avaient pas commencé et qu’on était bien pendant les heures de classe, c’étaient donc des professeurs de l’école communale qui organisaient un carnaval dont le cortège passait devant l’église à 15 heures !!!!!  Le chemin de croix dû attendre la fin du défilé pour commencer !

La réponse du Seigneur ne se fit pas attendre.

Ma mère me raconta ça au téléphone le vendredi soir et me rappela le dimanche pour me dire la suite. Chez tous les commerçants du village, un mot de la mairie signala qu’une fuite de mazout avait contaminé un puits d’eau et que la nappe phréatique avait dû être polluée et qu’elle conseillait aux personnes, ayant des forages, de s’abstenir d’en boire.

Mes parents achetèrent donc des bouteilles d’eau, mais je les rassurais en leur disant qu’ils étaient à plusieurs kilomètres de l’incident et que, de ce fait, ils n’étaient sûrement pas concernés et leur forage étant à 18 m de profondeur, il était à l’abri de ce genre de pollution.

Alléluia ! Christ est ressuscité, Il est vraiment ressuscité !
Jean messager de La Lumière.

La Semaine Sainte a été le prélude à l’ouverture des portes du paradis.

Message du Ciel – Jean, messager de la lumière – tome IV : Le temps presse rallumez vos lampes. Message du 3 avril .2004.

C’est La Semaine Sainte qui arrive ! Au Ciel, cette fête revêt une importance capitale, car elle a été le prélude à l’ouverture des portes du paradis… Dans l’histoire du monde, il y a plus de 2000 ans, ont eu lieu des évènements qui concernent les hommes de tous les temps.

Et encore plus aujourd’hui où vous assistez à la dégradation systématique de l’humanité. Cette Semaine-là, un homme, qui s’appelle Jésus, était aimé des uns et haï des autres. La méchanceté a gagné et Il a été condamné et mis à mort. On L’a enseveli, mais le troisième jour Il est ressuscité, et c’est ainsi qu’est née la chrétienté…

C’est au cours de la Semaine Sainte que Jésus est entré triomphalement à Jérusalem. Sur sa route, la foule a déposé des branchages, des feuillages, des rameaux. Il a institué l’Eucharistie et le sacerdoce et, par Sa Passion et Sa Croix, Il vous prouve encore aujourd’hui qu’Il vous aime et, même si certains l’ignorent, Il a souffert et souffre encore pour vous, et Il en est mort.

Quand vous aimez et appréciez une personne, votre réflexe consiste à vous associer à elle, à vous unir à elle pour partager ses sentiments.
Quand vous méprisez quelqu’un, vous ferez tout pour le fuir et encore plus pour l’ignorer.
Quand vous n’aimez ni ne détestez, vous marquez de l’indifférence.

Au cours de la Semaine Sainte, Jésus a rencontré toutes ces catégories de personnes… Dans quelle catégorie de personnes vous situez-vous ? Dans ceux qui aiment, dans ceux qui haïssent ou dans ceux qui sont indifférents ?

Il est regrettable que bien trop d’hommes et de femmes de votre temps aient effacé de leur mémoire le sens et parfois le calendrier de Pâques, qui pour eux n’est qu’une fête banale, fête où ils peuvent étendre leurs activités de sports et de loisirs et, hélas, bien d’autres activités plus répréhensibles.
Et pourtant, Pâques est en premier lieu la fête du Christ ressuscité, qui, par ses apôtres et aussi par quelques témoins privilégiés, a été vu vivant après sa mort.

Cet évènement a marqué l’histoire humaine. Pâques est la consécration remportée contre le péché et par suite sur la mort, de cette mort qui en réalité vous ouvre à la vie éternelle. Chacun de vous est appelé à dominer les tentations du péché et à entrer avec Jésus dans le combat spirituel pour le bien. Pour cela, comme le Christ Jésus, vous êtes appelés à souffrir, à quitter votre tranquillité et même à donner de votre vie…

Le combat pour la vie éternelle n’est pas vain, car vous savez bien que votre existence ne s’arrête pas dans le tombeau. Ainsi, en faisant fi de vos propres intérêts, de vos propres peurs et de vos propres besoins, soyez encore plus disposés pour consoler les cœurs brisés et réconforter ceux qui sont désespérés, et cela malgré vos propres misères qui, oui, doivent passer en second plan.

Les fruits de Pâques vous sont destinés ! Accueillez-les avec le sourire, malgré vos problèmes physiques ou moraux. La mort est la vraie félicité qui vous attend !
En collaborant à votre niveau à la conduite d’un monde nouveau, c’est aux dimensions de votre vie quotidienne, personnelle et communautaire, comme dans toutes les situations de violence ou de haine, que vous réagirez sainement, donc avec tout votre amour.

Laissez-vous vous entraîner dans la Pâque quotidienne de Jésus, en repoussant tous doutes et refus, pour aimer vos frères, même les plus désagréables. Ainsi, malgré eux, vous les plongerez dans la joie que vous leur transmettrez…

Pâques est la découverte du chemin qui mène au cœur de Dieu.
Pâques est l’amour manifesté dans le Christ. C’est la victoire sur le mal, c’est une fête de victoire sur la mort et c’est d’abord et avant tout, à travers la résurrection du Christ, la réussite annoncée de l’histoire humaine.

Le plus grand des évènements étant arrivé, ils commenceraient bientôt à édifier mon Église.

Enseignement de Jésus donné au Père Melvin Doucette (Canada) le dimanche 12 avril 2009.

Aujourd’hui les gens de la terre chantent Alléluia en l’honneur de ma résurrection d’entre les morts. Le moment de célébrer ce grand miracle est maintenant arrivé. Je suis le Ressuscité. Étant le Fils de Dieu, je ne pouvais rester au tombeau ; je devais me lever avec la puissance de Dieu et revenir à la vie.

Ma résurrection met la touche finale sur tout ce que j’ai accompli de mon vivant sur la terre. L’incroyable est arrivé : celui qu’on avait cloué à la croix et mis au tombeau est revenu à la vie. C’est la preuve que je suis vraiment le Fils de Dieu, le Sauveur du monde. Par la suite je suis demeuré 40 jours avec les apôtres pour affermir leur foi en moi, le Seigneur ressuscité.

Le plus grand des évènements étant arrivé, ils commenceraient bientôt à édifier mon Église. Croyez au témoignage des apôtres et reconnaissez que je me suis levé d’entre les morts pour ne plus mourir jamais. Je suis votre Seigneur et Rédempteur.

Jeudi 9 avril 2009

Comme le veut la coutume chez les Juifs, les familles se réunissent pour célébrer la Pâque à une date précise chaque année. Ils le font en commémoration de la première Pâque en Égypte, où ils avaient vécu en esclavage pendant 400 ans. Chaque famille fit alors tuer un agneau, marqua de son sang le cadre de la porte et mangea cet agneau. L’ange de la mort passa par-dessus* les maisons des Juifs, mais une personne fut tuée dans chaque maison des Égyptiens. Je suis maintenant l’Agneau de Dieu sacrifié pour votre salut.

C’est lors du repas de la Pâque que j’instituai l’Eucharistie avec les apôtres la veille de ma mort sur la croix. Pour célébrer la Première Eucharistie, je pris du pain, je le bénis et je le donnai aux apôtres en disant : Prenez et mangez : ceci est mon corps. Par ces mots je changeai le pain en ma propre chair.

J’étais maintenant présent dans l’Eucharistie avec mon corps et mon sang, mon âme et ma divinité. Puis je pris la coupe de vin, je rendis grâce et je la donnai aux apôtres en disant : Buvez-en tous, car ceci est mon sang, le sang qui garantit l’alliance de Dieu et qui est versé pour la multitude en rémission des péchés. À la fin je dis aux apôtres de faire cela en mémoire de moi.

Je fis cadeau de l’Eucharistie à l’Église fondée sur les apôtres. Je suis disparu de votre vue, mais je reste avec vous d’une manière toute spéciale dans l’Eucharistie. J’y suis présent, tel que je vis au ciel à la droite du Père. Ayez une grande dévotion envers l’Eucharistie et venez me recevoir souvent. Je vous bénis.