Votre abandon à la volonté parfaite du Père.
Mission de la Divine Miséricorde – Sœur Amapola (USA) : Message reçu le 13 mai 2024.
Notre Sainte Mère : Écris ma fille.
– Que dois-je écrire ?
– Que le Triomphe de mon Cœur Immaculé est très proche.
Mes enfants bien-aimés, (…) Bienheureux sont ceux qui, mettant de côté leurs propres critères, me permettent de les former selon la Volonté Divine et l’œuvre pour laquelle chaque âme a été créée. (…)
Venez à Moi, petits enfants, pour que J’enlève ces écailles tenaces avec mes larmes, et que Je purifie votre vue afin de voir le vrai Visage de mon Jésus – le vrai Visage du Père.
Et afin que vous puissiez reconnaître les Signes que Nous vous donnons pour ces temps – afin que vous puissiez voir et reconnaître le déroulement du Plan parfait du Père et recevoir humblement la Grâce dont vous avez besoin pour prendre votre place dans mon Armée pour l’accomplissement de ce Plan.
Enfants, c’est l’Heure qui unit toutes les autres Heures – tous les autres Âges. Chaque Heure précédente avec sa Grâce, son but, son accomplissement ; chacune préparant la venue de l’Heure suivante. (…)
Mes enfants, le Plan du Père est actif partout et à tout moment, réalisant le bien éternel pour tous Ses enfants. Qui peut limiter son action ? Qui peut dire : « Dieu ne ferait jamais cela » ? Qui – à partir d’un esprit aussi limité, obscur, faillible et minuscule – peut dire à Lui Qui Est, à Celui qui a créé tout ce qui est, à Celui qui connaît et voit chaque mouvement de chaque cœur – qui ose Lui dire : « Tu ne peux pas faire ça » ?
Le silence devant les Mystères de Dieu.
Mes enfants : Silence ! Silence devant le Mystère de Dieu.
Le silence aimant et confiant qui est l’acte filial d’adoration du Père – reconnaître qu’Il est votre Dieu. Et vous êtes sa créature, son enfant, voulu par Lui.
Le silence devant sa Volonté Parfaite – c’est l’acte parfait d’obéissance – qui ne remet pas en question, ne doute pas. « Dieu sait pourquoi. »
Le Silence trois fois saint qui humilie l’âme, qui l’embellit et la rend capable de recevoir la Lumière Divine.
Le Silence, mes enfants, qui naît de la FOI vraie, vivante et simple. (…)
Mon armée bien-aimée, commences-tu à comprendre maintenant ce dont J’ai besoin de toi pour te conduire au combat ? [doux sourire] Comprenez-vous pourquoi vous vous battez ? Comment se fait-il que vous m’aidiez à reconquérir le cœur de vos frères et sœurs ?
C’est par la foi – une foi vivante d’enfant – et par votre abandon à la volonté parfaite du Père. Et commencez-vous aussi à comprendre quel est le plus grand obstacle à Notre Plan ?
L’horrible MANQUE DE FOI qui produit le mépris de nos Choses, de nos Paroles, de nos Actions, et qui naît de la graine d’orgueil semée par l’ennemi et nourrie par l’arrogance et la peur. (…)
Comprenez-vous maintenant, pourquoi alors, le Feu qui descendra du Ciel est nécessaire pour consumer toutes ces ronces et libérer mes enfants de la corruption de l’orgueil ? (…)
Votre obéissance est la clé qui ouvre la porte de votre destinée.
Wings of prophecy – Messages du Ciel donné à Glynda Lomax (USA) Le 4 octobre 2013.
Je constitue les éléments essentiels de votre vie, par ma Parole, mes directives et mon Saint-Esprit. Pièce par pièce, votre destin est construit par moi.
Votre obéissance est la clé qui ouvre la porte de votre destinée. Beaucoup d’entre vous me prient de vous accueillir, mais vous détenez vous-mêmes la clé.
Si vous me refusez, refusez d’obéir à mes commandements, vous n’entrerez pas dans la porte de ce que J’ai prévu pour vous. Vous ne connaitrez pas les grandes choses que je vous ai montrées, ce qui a été prophétisé sur vous. Je construis votre maison, mais vous en détenez la clé.
Abandonnez-moi tous les morceaux brisés et blessés de votre vie.
Wings of prophecy – Messages du Ciel donné à Glynda Lomax (USA) – 11 février 2016
Donnez-moi tout. Tout ce qui vous effraie, vous inquiète – tous vos espoirs et vos rêves, tous vos désirs. Je peux tout transformer en quelque chose de magnifique, rien que pour vous.
Une vie au-delà de tout ce que vous pourriez imaginer.
Abandonnez-moi tous les morceaux brisés et blessés de votre vie. Abandonnez-Moi aussi tout le bien qu’il contient. Je créerai un chef-d’œuvre et je vous le rendrai.
Je veux des âmes qui soient à un niveau d’abandon complet.
Message de Dieu à Julie Whedbee (USA) – 26 juillet 2015.
JE SUIS est en votre présence et JE SUIS vous guidera à chaque étape sur votre chemin de vie. Ma conception est parfaite et il vous est possible de m’atteindre dans l’intimité la plus profonde possible, tout en étant encore ici sur terre. (…)
Je ne veux pas des copies, je veux des âmes qui soient prêtes à être de vrai moi, qui soient venus à ce niveau d’abandon complet, de sorte que je peux les remplir, remplir complètement, de sorte que lorsque les autres vous voient, ils me voient.
Quand vous parlez, ils entendent ma voix. Lorsque vous agissez pour aider, ce sont mes mains qui agissent. Vos pieds foulent maintenant seulement les endroits où je voudrais marcher.
Vous abandonner pleinement.
Message de Jésus donné à Julie Whedbee (USA) le 27 juillet 2023.
Ma fille et mes bien-aimés, beaucoup de mes mystères se dévoilent maintenant à ceux qui empruntent le chemin difficile, à ceux qui cheminent vers une intimité de plus en plus grande avec Moi, votre Époux. (…)
Il y a une discipline qui doit être suivie lorsque vous marchez dans l’obéissance. La seule façon d’atteindre le niveau de maîtrise requis pour une plus grande intimité est de vivre une série d’expériences qui vous donnent l’occasion de faire des choix pour vous élever au-dessus de votre corps, en vous abandonnant pleinement, en renonçant à vous-même et à votre chair. Apprendre à commander votre maîtrise spirituelle sur votre âme et à devenir résilient à tout. (…)
Souvent votre Père du Ciel vient défaire vos plans car Il connaît tous vos besoins. Cessez de Lui résister.
Message de la Vierge Marie reçu par Micheline Boisvert, le 8 septembre 2001.
Mes enfants, comprenez-le, ce qui est difficile pour vous c’est d’être contrariés dans votre agir, dans vos raisonnements. Souvent mes enfants se font un plan de vie très structuré et souvent votre Père du Ciel vient défaire vos plans car Il connaît tous vos besoins.
Vous ne pouvez comprendre tout son amour, vous ne pouvez saisir tout l’agir de son amour en vous, dans votre vie car vous n’êtes pas au-dessus de votre Créateur, vous dépendez de Lui. Il vous a créés, Il est la sagesse même. Cessez de Lui résister. Offrez-Lui tout, tout ce que vous vivez.
Ce qui vous fait souffrir, ce sont vos attentes de ce que vous-mêmes avez structuré. Comprenez, mes enfants, que vous devez tout attendre de Dieu qui vous a unis à la vie des enfants de Dieu, par son Fils qui est mort sur la Croix.
Il a fait de vous de ses fils adoptifs. Il vous a unis à son Esprit-Saint. Par vos manques de foi, vous limitez l’action de l’Esprit-Saint en vous et autour de vous. Vous limitez l’action de la grâce qui est la source même de la vie des enfants de Dieu.
Vous m’avez soumis votre plan et Je vous ai donné mon plan en échange.
Message du mois, tel que Jésus l’a donné à Anne, une apôtre laïque d’Irlande, le 1er décembre 2010.
Mes chers apôtres, ensemble, nous avançons. L’humanité gémit sous le poids des changements qui se produisent, et pourtant, les serviteurs du Ciel grandissent de plus en plus dans la sainteté. Le projet de votre sainteté est sur la bonne voie.
Chers apôtres, voilà ce qui importe le plus, ce qui doit être votre principal souci. Je veux que vous soyez conscients de vos progrès. Plutôt que d’être distraits par les changements qui se produisent dans le monde, vous êtes activement investis dans ces changements par votre engagement personnel à rester fidèles à ma volonté, au jour le jour.
Vous faites l’offrande de votre service, dans votre prière d’allégeance, et Je l’accepte. Je me sers de vous pour enseigner aux autres ce à quoi ressemble la vraie sainteté. De l’extérieur, vous donnez sans doute l’impression de quelqu’un qui travaille beaucoup. De l’extérieur, il est sans doute évident que votre engagement vous a coûté quelque chose, qu’il vous a coûté votre propre plan.
Vous m’avez soumis votre plan et Je vous ai donné mon plan en échange. Accepter mon plan pour votre vie n’est pas facile et certains moments sont plus difficiles que d’autres et pourtant, vous persévérez. Vous aspirez à une acceptation totale de ma volonté. C’est ce que Je vous demande et c’est ce que le Père m’a demandé : l’abandon.
Si vous voulez comprendre ce que c’est que l’abandon, regardez simplement mon corps sur la croix. Ma passion vous montre où l’abandon m’a mené. Votre joie de servir montre aux autres où l’abandon vous a menés. Je vous demande de vivre dans la joie. Votre joie donne de l’espoir au monde. La joie est contagieuse. L’espoir aussi est contagieux.
La souffrance passe et ce qui reste, c’est votre offrande. Je reviens. Je vous le dis, car c’est vrai. Je veux que vous soyez prêts et que vous aidiez les autres à se préparer. Tout va bien. Le roi nouveau-né regarde ce monde qui a tant besoin de Lui. Faites-moi connaître, pour que les autres aussi annoncent mon retour.
C’est cette prière qui, en tant que votre Père, me plaît le plus.
Saint Amour : Message de Dieu le Père donné à Maureen (USA) Le 27 mai 2022.
Je vois une Grande Flamme que j’ai appris à reconnaitre comme le Cœur de Dieu le Père. Voici son message :
Lorsque vous priez, priez pour accepter ma Volonté Divine pour vous dans chaque situation. Une telle prière s’élève d’un cœur courageux et désintéressé dans ses objectifs. C’est cette prière qui, en tant que votre Père, me plaît le plus. Une telle prière s’élève d’un cœur aimant – un cœur qui respecte ma Volonté dans chaque situation.
Le cœur qui prie de cette manière est mort à lui-même et aime ma Volonté d’un cœur confiant. Souvent ma Volonté ne correspond pas à votre volonté humaine, mais à long terme elle est parfaite et englobante. Priez pour être éclairé de voir comment ma Volonté est la réponse parfaite – la solution parfaite.
Nombre d’entre vous rechignent à demander au Père du Ciel que ce soit sa propre volonté qui soit faite, et non la leur.
Un souffle qui passe… Messages du Ciel au monde d’aujourd’hui. Le 11 mai 2022.
Bien chers frères,
Nous aimerions vous aider, par ce message, à acquérir une plus grande confiance en Dieu le Père, Première Personne de la Trinité Sainte, et à lui rester fidèles à l’exemple de son Fils, notre Seigneur Jésus-Christ, par une authentique vie de sainteté.
Dès son enfance, en effet, Jésus s’occupait des choses de son Père (cf. Lc 46, 49), comme en témoigne l’épisode du Temple de Jérusalem, où, dès l’âge de douze ans, assis au milieu des docteurs de la loi, il parlait avec intelligence et sagesse à la grande stupéfaction de tous (cf. Lc 46, 47).
Abreuvez-vous des Écritures Saintes, amis, – et particulièrement des livres poétiques et sapientiaux – comme le faisait Jésus, car ces lectures sont celles-là même qu’il savourait ! Lisez aussi le Nouveau Testament et, en complément, si votre sensibilité spirituelle vous y invite, l’œuvre de Maria Valtorta, qui, si fidèlement, a retranscrit les visions et les enseignements qu’elle a reçus, pendant une partie de sa vie, de Notre-Seigneur lui-même. Découvrez-y cette intimité qu’avait Jésus avec le Père du Ciel, Dieu et Créateur de toute chose, et vous-mêmes, imitez-le ! Faites de vos corps des temples de l’Esprit Saint (cf. 1 Co 6, 19), nourrissez-vous de la sainte Eucharistie et laissez vos cœurs brûler de charité afin que le Père puisse se réjouir de vous avoir pour fils. Et dites au Père tout au long de votre vie terrestre, à l’instar de Jésus avant son sacrifice sur la Croix : « Père […], que ce ne soit pas ma volonté qui se fasse, mais la tienne » (Lc 22, 42).
Parce que cet acte d’abandon a conduit notre Seigneur Jésus-Christ jusqu’à la Croix en passant par les terribles souffrances de sa Passion, nombre d’entre vous rechignent à demander au Père du Ciel que ce soit sa propre volonté qui soit faite et non la leur. Rassurez-vous, chers frères, car vous n’êtes pas Jésus, et votre vie terrestre n’a pas pour but, comme la sienne, de se terminer sur une croix, ainsi que l’annonçaient les Écritures (cf. 1 Co 15, 3). Ce sacrifice consenti par le Fils, entre les mains duquel le Père a remis le salut de l’humanité (cf. Jn 4, 35) et du cosmos tout entier, n’a rien de commun avec l’acte d’abandon que vous pouvez décider de poser quotidiennement vis-à-vis du Père céleste : « Que votre volonté soit faite sur la Terre comme au Ciel. » (Mt 6, 10)
C’est pourquoi vous pouvez dire, sans réticence aucune, cette prière d’abandon de notre bienheureux frère Charles de Foucauld, qui, très bientôt, sera déclaré saint par l’Église de la Terre pour la plus grande joie de ses fidèles et de toute la cour céleste :
Mon Père, je me remets entre vos mains.
Mon Père, je me confie à vous.
Mon Père, je m’abandonne à vous.
Mon Père, faites de moi ce qu’il vous plaira.
Quoi que vous fassiez de moi, je vous remercie. Merci de tout.
Je suis prêt à tout, j’accepte tout, je vous remercie de tout,
pourvu que votre volonté se fasse en moi, mon Dieu ;
pourvu que votre volonté se fasse en toutes vos créatures,
en tous vos enfants, en tous ceux que votre cœur aime.
Je ne désire rien d’autre, mon Dieu…
Malgré nos explications, certains diront encore que cette prière risque de les exposer à un destin funeste puisque son auteur est mort assassiné. Cette croyance superstitieuse et ridicule n’est pas digne des chrétiens que vous êtes ! Car si notre frère Charles a quitté cette Terre en martyr de la foi dans le Christ Jésus, c’est là le suprême témoignage rendu à la vérité de la doctrine chrétienne, celui qui ouvre tout grand les portes des Demeures Célestes. Alors, frères, quoi de plus honorable et de plus glorieux qu’une telle mort ? Ne laissez donc pas votre faiblesse humaine l’emporter sur votre désir d’accéder sans détours aux Demeures Célestes et freiner ou même saper votre désir de sainteté. Mettez votre confiance dans le Seigneur et sachez que l’heure et le lieu de votre rencontre avec l’Éternel sont inscrits dans son cœur de toute éternité pour être les meilleurs qui soient, car il vous aime d’un amour infini.
Laissez-vous donc convaincre par les paroles du psalmiste que le Père du Ciel s’intéresse à chacun d’entre vous et ne peut en aucun cas vous vouloir du mal :
Tu me scrutes, Seigneur, et tu sais !
Tu sais quand je m’assois, quand je me lève ;
de très loin tu pénètres mes pensées.
Que je marche ou me repose, tu le vois,
tous mes chemins te sont familiers.
Avant qu’un mot ne parvienne à mes lèvres, déjà, Seigneur, tu le sais […].
J’étais encore inachevé, tu me voyais ;
sur ton livre, tous mes jours étaient inscrits, recensés avant qu’un seul ne soit !
(Ps 139 [Vulg. 138], 1-4. 16)
Laissez-vous convaincre qu’il accorde ses grâces même aux pécheurs – ceux qui, malgré leur faiblesse, s’efforcent de lui rester fidèles :
Le Seigneur est tendresse et pitié, lent à la colère et plein d’amour […] ;
il n’agit pas envers nous selon nos fautes, ne nous rend pas selon nos offenses […]
Mais l’amour du Seigneur, sur ceux qui le craignent, est de toujours à toujours, et sa justice pour les enfants de leurs enfants, pour ceux qui gardent son alliance et se souviennent d’accomplir ses volontés.
(Ps 103 [Vulg. 102], 8-10. 17-18)
Mais le Seigneur vomit la corruption ; il n’aime pas l’esprit de rébellion et de division, celui-là même qui a poussé Lucifer, l’Ange de Lumière, à se retourner contre lui. C’est pourquoi, si vous engendrez le malheur au mépris de ses lois (cf. Ps 94 [Vulg. 93], 20), il laissera vos méfaits se retourner contre vous (cf. Ps 94 [Vulg. 93], 23) et vous subirez les conséquences de votre perversité. En revanche, si, au contraire, vous craignez le Seigneur – c’est-à-dire si vous le respectez, l’adorez et suivez ses Commandements comme il se doit -, il vous enverra, par le truchement de son Église, l’Esprit aux sept dons pour répandre l’amour dans vos cœurs (cf. Rm 5, 5) et être votre guide et votre consolateur (cf. Jn 14, 16).
Remettez, frères, le soin de votre personne entre les mains du Père de toute miséricorde car l’ultime but de tout chrétien est de le rejoindre, quoi qu’il en coûte, dans les Demeures Célestes de l’Éternelle Vie :
Scrute-moi, mon Dieu, tu sauras ma pensée ;
éprouve-moi, tu connaîtras mon cœur.
Vois si je prends le chemin des idoles,
et conduis-moi sur le chemin d’éternité.
(Ps 139 [Vulg. 138], 23-24)
Enfin, laissez son Fils, notre Seigneur Jésus-Christ, sa très sainte Mère, votre ange gardien et vos frères du Ciel éduquer votre âme, la chérir et la protéger dans la communion des saints. Ainsi, vous pourrez dire avec la plus grande foi, la plus grande sincérité et le plus grand bonheur à la suite de notre bienheureux frère Charles :
… Je remets mon âme entre vos mains.
Je vous la donne, mon Dieu, avec tout l’amour de mon cœur parce que je vous aime, et que ce m’est un besoin d’amour de me donner, de me remettre en vos mains sans mesure.
Je me remets entre vos mains avec une infinie confiance, car vous êtes mon Père.
Que Notre-Seigneur vous bénisse et vous garde, chers frères aimés.
+ Vos frères dans la Foi
Chapitre complémentaire : Progression spirituelle et sainteté
L’âme qui fait ma Volonté, elle est tout pour moi et Je suis tout pour elle.
Message de Jésus donné à Luisa Piccarreta (1865-1947)
Dès qu’elle plonge dans mon Vouloir, moi, avec en main le pinceau du Vouloir divin, Je la retouche, J’imprime en elle une nuance supplémentaire de ma beauté, de mon amour, de ma sainteté, et de toutes mes qualités divines. Donc rester au ciel ou rester en elle, c’est pour moi la même chose, car d’un côté comme de l’autre Je trouve la même adoration, ma Volonté, mon amour.
Et puisqu’il y a toujours quelque chose à donner à la créature, moi-même je suis tantôt comme un vaillant peintre, qui peins en elle mon image, tantôt comme un maître, qui lui apprend les doctrines les plus élevées et les plus sublimes, tantôt comme un amant passionné qui donne et veut de l’amour !
J’utilise tous les arts dans le but d’enrichir cette âme toujours plus. Et quand mon amour, offensé par les créatures, ne sait pas où se réfugier, et que Je voudrais retourner au ciel, alors Je cherche protection dans l’âme qui contient ma Volonté, et en elle Je trouve ma puissance qui me protège, mon amour qui m’aime, ma paix qui me donne du repos. En un mot, Je trouve ce que Je veux.
Donc, ma Volonté réunit le ciel et la terre. À partir de cette unité de vouloir jaillissent tous les biens possibles et imaginables. Je peux bien le dire : l’âme qui fait ma Volonté, elle est tout pour moi et Je suis tout pour elle.
Recherchez donc ce que Je veux que vous fassiez dans cette vie, au lieu de divaguer dans vos propres choix.
Message de Jésus à John Leary (USA), reçu le vendredi 29 avril 2011
Jésus : Mon peuple, dans l’Évangile d’aujourd’hui vous assistez à ma troisième apparition à mes disciples après ma résurrection [Lc. 24, 35-48].
Comme c’était leur ancien métier, mes apôtres sont allés pêcher en Galilée, mais ils n’ont rien pris. C’est une leçon pour beaucoup de gens qui sont à la recherche d’un sens à leur vie. Parfois, votre mission n’est pas clairement ce que Je veux que vous fassiez. Il vous est nécessaire de pouvoir faire appel à moi, et Je vais vous montrer le chemin, comme J’ai montré à mes disciples l’endroit où ils allaient pouvoir prendre du poisson.
Avec mon aide, ils ont toujours été heureux dans leurs efforts de pêche. Ils ont toujours été surpris aussi par la grande générosité de mon aide. C’est pourquoi il vous est nécessaire de prier pour que Je vous aide dans tout travail dont vous avez besoin pour vivre. Dans le même temps, Je vais aussi vous aider à clarifier votre mission, et Je vous donnerai la grâce de l’accomplir.
Jusqu’à ce que vous me donniez votre volonté, il m’est difficile d’utiliser vos compétences. Recherchez donc ce que Je veux que vous fassiez dans cette vie, au lieu de divaguer dans vos propres choix. Permettez-moi d’être le centre de votre vie, et vous serez surpris de ce que vous pouvez accomplir en étant mes disciples.
Les âmes qui vivent dans ma Volonté se vident d’elles-mêmes pour me donner toute la place en elles.
Message de Jésus donné à Luisa Piccarreta le 20 juin 1918
Chez les âmes qui font ma Volonté et vivent en elle, mon Amour ne rencontre pas d’obstacle. Je les aime et les préfère tant que je m’occupe directement de tout ce qui les concerne. Je leur procure des grâces inattendues. Et je suis jaloux si quelqu’un d’autre fait quelque chose pour elles ; je veux tout faire moi-même.
J’atteins une telle jalousie d’amour que, à l’instar du prêtre à qui je donne le pouvoir de me consacrer dans l’hostie sacramentelle, je m’accorde le privilège de consacrer moi-même ces âmes qui font leurs actions dans ma Volonté en laissant tomber leur volonté humaine pour permettre à la Divine Volonté de prendre toute la place. (…)
Les âmes qui vivent dans ma Volonté se vident d’elles-mêmes pour me donner toute la place en elles. Elles me donnent l’entière direction et, si nécessaire, elles sont prêtes à souffrir toute peine pour vivre dans ma Volonté. Aussi, mon Amour ne peut attendre que le prêtre juge convenable de me donner à elles par le moyen de l’hostie sacramentelle. Je fais tout moi-même. Oh ! que de fois je me donne en communion avant que le prêtre trouve que c’est le temps de me donner à ces âmes !
S’il n’en était pas ainsi, mon Amour resterait comme enchaîné par les sacrements. Non, non, je suis libre ! J’ai les sacrements dans mon Cœur ; j’en suis le propriétaire et je peux les exercer quand je veux.
Mon Royaume est constitué de ceux qui vivent dans ma Volonté.
Pendant qu’il disait cela, il semblait chercher partout pour voir s’il ne trouverait pas une âme vivant dans sa Volonté afin de la consacrer. Que c’était beau de voir mon aimable Jésus voyageant en hâte pour accomplir l’office de prêtre et de l’entendre répéter les paroles de la consécration sur les âmes qui font sa Volonté et y vivent ! Oh ! comme elles sont belles ces âmes bénies qui reçoivent ainsi la consécration de Jésus !
(…) Oh ! Les miracles de ma Volonté ! Qui jamais pourra les compter, ou exprimer leur valeur ? Voilà pourquoi J’aime tant les personnes qui vivent dans ma Volonté. En elles Je reconnais mon image, mes propres traits de noblesse. En elles J’entends ma propre voix, Je sens ma propre respiration.
Si Je renonçais à les aimer, Je me ferais du tort à Moi-même. Je serais comme un roi sans héritiers, sans la noble suite de sa cour, sans la couronne de ses enfants. Et si Je n’avais pas d’héritiers, ni de cour, ni d’enfants, comment pourrais-Je me considérer roi ?
Mon Royaume est constitué de ceux qui vivent dans ma Volonté. Ma Mère, ma Reine, mes enfants, mes ministres, mon armée, mon peuple tout entier, sont tous choisis dans ce Royaume. Pour moi ils sont tout, et pour eux Je suis tout.
Chapitre complémentaire : Progression spirituelle et sainteté