S’aimer soi-même

Je m’attarderai particulièrement sur l’amour de soi, qui est souvent si mal compris et si mal interprété.

Un souffle qui passe… Messages du Ciel au monde d’aujourd’hui.
Message du 30 Mai 2021 – Lire le message en entier.

Mon fils,
Je te remercie d’avoir pensé à moi le jour de ma fête. Laisse ton cœur m’écouter mais sans créer de barrière à cause de tes doutes, qui sont, certes, une preuve d’humilité – et cela est fort louable – mais qui prennent parfois trop d’importance. Ils peuvent entraver notre échange dans la communion des saints, qui repose avant tout sur ta foi dans l’article du Credo qui en fait état.

Aujourd’hui, où l’Église fête la Trinité Sainte, je vais te parler de l’amour – non pas de celui qui est si galvaudé par les jeunes générations mais de l’amour véritable, authentique, qui vient du cœur, qui vient de Dieu. Je m’attarderai particulièrement sur l’amour de soi, qui est souvent si mal compris et si mal interprété.

Tu le sais, l’homme est un être « social » dans sa relation à lui-même comme dans sa relation à Dieu et aux autres. Sur le modèle de la Trinité Sainte, au sein de laquelle se déploie l’amour de perfection – ou, pourrait-on dire aussi, la perfection dans l’amour -, l’être humain aspirant à cette vertu est appelé à aimer Dieu, son Créateur et Père, à aimer le Fils et l’Esprit Saint, à s’aimer lui-même et à aimer son prochain comme lui-même en toute sincérité, toute liberté et toute pureté.
Aimer Dieu, son Créateur et Père, aimer le Fils et l’Esprit Saint, qu’est-ce à dire ? (…)

S’aimer soi-même, qu’est-ce à dire ?

Eh bien ! il s’agit d’abord, pour chaque être humain, d’accueillir en lui-même la vie donnée par Dieu quelles qu’en soient les circonstances, et d’y faire fructifier tous les talents confiés par Dieu, en vivant chaque instant de cette vie comme si c’était le dernier, c’est-à-dire dans une authentique communion avec le Père du Ciel – ce qui nécessite :
– Une foi solide,
– Une confiance à toute épreuve dans les bontés et les intentions de ce même Dieu et Père de tous, et, de là,
– Un réel abandon qui n’exclue point une part de discernement ; car plus une âme s’efforce de se rapprocher de Dieu, plus le Diable essaie de l’en éloigner et de la détourner de l’enseignement de son Église et de l’obéissance qui lui est due.

Tu noteras, mon fils, que ce lien privilégié avec le Père ne peut s’acquérir, dans la communion de l’Esprit Saint, qu’à travers le Fils, qui a dit : « Nul ne vient au Père sinon par moi », ou encore : « Qui m’a vu a vu le Père ».
Et tu noteras également que pour se rapprocher du Fils, la voie la plus droite mais aussi la plus sûre – celle que je recommande de prendre – est celle de la dévotion à la bonne Vierge Marie. Car lorsque Jésus, du haut de sa Croix, a dit à Marie, sa Mère, en désignant le disciple Jean : « Femme, voici ton Fils », et à ce même disciple : « Voici ta Mère », mission a été donnée par le Fils de Dieu à l’Épouse de l’Esprit Saint de veiller sur chacun de nous.

En effet, en tant qu’enfants de Dieu par notre Baptême, nous sommes devenus aussi ses enfants, et, comme elle a veillé sur Jésus dès le premier jour, elle est aussi la Bonne Mère qui veille sur nous. Parallèlement, consigne a également été donnée par Jésus à chacun de nous, fils du même Père, de la choisir pour Mère, ce qui signifie la chérir, l’honorer, lui obéir en tout et la laisser nous éduquer comme elle a éduqué l’Enfant Dieu.

S’aimer soi-même, tu l’as compris, ne consiste donc pas à rester enfermé dans un cercle d’égoïsme, d’autosatisfaction ou de repli sur soi. C’est vivre dans la perfection d’un amour de soi-même qui, dès le principe, accueille pleinement la vie donnée par Dieu quelles qu’en soient les circonstances ; qui met tout en œuvre pour vivre cette vie avec le respect qu’elle mérite – c’est-à-dire en état de grâce, éloigné du péché et de la corruption -, et qui en savoure chaque instant dans le présent avec un cœur empli de gratitude à l’égard du Père du Ciel, et plein de félicité et d’amour.

S’aimer soi-même, c’est s’aimer comme s’aime chaque Personne de la Trinité Sainte, c’est-à-dire dans une plénitude qui ne peut être ainsi qualifiée que parce qu’elle ne reste pas enfermée dans l’étroitesse d’une relation centrée sur elle-même.

S’aimer soi-même, c’est s’aimer au-delà de tout ce qui peut paraître manquer d’harmonie, d’abord dans son apparence extérieure, tant par rapport au jugement des autres que par rapport à son propre jugement. Car le rayonnement de la charité et la beauté d’une âme vont bien au-delà d’une simple apparence corporelle.
Regarde, mon fils, le Christ Jésus à l’issue de sa Crucifixion : lui, le plus beau des enfants des hommes a subi de telles tortures que son apparence n’était plus celle d’un homme. Pourtant, après sa mort, le centurion et les hommes qui l’accompagnaient n’ont-ils pas vu en lui le Fils de Dieu ? Et les disciples d’Emmaüs n’ont-ils pas vu ce même Jésus disparaître à leurs yeux au moment de la fraction du pain ? Il n’est donc pas raisonnable de s’arrêter à de simples apparences corporelles ni de juger quelqu’un à partir de cela.

S’aimer soi-même, c’est aussi s’aimer malgré un état d’imperfection qui peut générer la honte ou le dégoût de soi. Car, dit le psalmiste, même si « pécheur ma mère m’a conçu » et même si « ma faute est devant moi sans relâche », ce qui plaît à Dieu, ce ne sont pas les sacrifices d’animaux mais « un esprit brisé », « un cœur brisé, broyé », c’est-à-dire une authentique humilité qui conduise à un sincère repentir de ses fautes, à la confession auprès d’un prêtre de l’Église catholique, et de là, à la paix de l’âme et au bonheur des retrouvailles avec le Père, comme dans la délicieuse parabole de l’Enfant prodigue, racontée par notre Seigneur Jésus. (…)

Aimer son prochain, qu’est-ce à dire ? (…)

Filipo Neri, prêtre.

Votre esprit est encore plus merveilleux que votre corps, parce que c’est l’esprit qui fait de vous un humain, et rappelez-vous que vous avez été créés à l’image de Dieu le Père.

Message de Jésus au Père Doucette (Canada) – Dimanche 4 et Jeudi 8 aout 2013

N’oubliez jamais que vous avez été créés par Dieu, toi mon frère Melvin et vous tous mes frères et mes sœurs qui vivez sur la terre en ce moment. Le corps humain est une merveille dont seul Dieu peut être l’auteur. Même aujourd’hui les médecins ne comprennent pas tout à propos du corps, malgré leurs longues années d’études.

Chaque partie du corps a une fonction particulière, et vous savez combien ce serait terrible pour vous si vous n’aviez pas d’yeux pour voir, d’oreilles pour entendre, de bouche pour parler, de nez pour sentir, de mains pour travailler ou de pieds pour marcher.

Oui, Dieu le Père a fait une merveille en vous créant, et vous devez l’en remercier chaque jour. Vous avez été fait d’un corps et d’un esprit, et cela est vraiment admirable. Votre esprit est encore plus merveilleux que votre corps, parce que c’est l’esprit qui fait de vous un humain, et rappelez-vous que vous avez été créés à l’image de Dieu le Père.

Quand je suis venu sur la terre, j’ai pris un corps et un esprit comme les vôtres, car vraiment je suis à la fois divin et humain. En conséquence votre humanité fait maintenant partie de la Sainte Trinité, puisque que je vis au ciel avec ma divinité et avec mon humanité.

Le Père vous a accordé un don si grand parce qu’il vous aime et qu’il veut être votre ami. Cherchez quotidiennement à vous approcher du Père et de moi dans le Saint-Esprit. Désirez chaque jour les dons les plus importants.

Ceux qui savent apprécier ces miracles de ma création peuvent vivre pleinement la joie de leur expérience de vie humaine sur terre.

Message de Jésus à John Leary (USA), reçu le 2 mai 2013

Jésus : Mon peuple, je vous montre la beauté de ma création dans les arbres et les fleurs. Vous êtes heureux de voir, sentir, et prendre des photos de cette création. Vous voyez également la beauté des levers et couchers de soleil, les nombreux beaux paysages comme le Grand Canyon.

Vous voyez également la beauté des animaux, et en particulier les femmes et les hommes que j’ai créés. Cette beauté est encore amplifiée lorsque vous regardez profondément dans la composition réelle des différentes parties du corps. C’est un miracle de voir comment chaque partie vit et fonctionne, ainsi que la nature de votre âme.

C’est l’âme qui possède la livre volonté, et l’âme vivra pour toujours, même après la mort du corps. Remerciez-moi pour tout ce que j’ai créé. Ceux qui savent apprécier ces miracles de ma création peuvent vivre pleinement la joie de leur expérience de vie humaine sur terre.

Aimer Dieu, vous aimer et aimer votre prochain comme vous-mêmes.

Extrait d’un long message de Jésus donné à la Fille du Oui à Jésus (Canada)  le 3 mars 2011.

Jésus : Ce que nous sommes, nous le sommes pour Dieu le Père. Ce que je suis, je le suis pour mon Père. Est-ce que je ne m’aimerais pas? Je suis le Fils du Dieu Vivant. Je vous ai apporté la Parole de mon Père et mon Père vous a parlé. Lorsque le Fils parle, le Père parle.

Mon amour pour mon Père est si grand que personne sur la terre ne peut le comprendre ni le pénétrer. L’amour pour moi-même est ainsi. Vous ne pouvez pas le comprendre, vous ne pouvez pas le pénétrer. J’aime qui je suis, car qui je suis est en mon Père et mon Père est en moi, et lui et moi en le Saint-Esprit. Vous avez tous été créés avec la Chair. Qui est la Chair? Vous ou moi? Je suis la Matière Parfaite, je suis la Chair Parfaite. Tout en moi est parfait. Vous devez vous regarder comme étant voulus de mon Père, vous devez aimer ce que mon Père a créé : il vous a créés.

Satan ne veut pas que vous vous regardiez et que vous vous aimiez devant mon Père. Il a embrouillé votre esprit, il a fermé votre regard et votre écoute. Vous n’avez pu vous entendre, vous n’avez pu vous comprendre. Votre cœur s’est endurci à force de ne pas voir et de ne pas comprendre qui vous êtes, et plus encore, vous n’avez pas compris qui est Dieu. 

Dieu est la Beauté, Dieu est la Lumière.
Vous êtes de la Beauté et vous êtes de la Lumière, car vous n’êtes pas de vous-mêmes, mais de Dieu. Voilà pourquoi il faut que vous vous aimiez. Vous devez vous aimer devant mon Père, car tout ce que mon Père vous a donné, vous devez le lui redonner.

Allez-vous lui redonner un être qui ne s’aime pas? Lorsque vous vous aimez, lorsque vous apprenez à vous donner de l’amour, vous donnez à mon Père ce qu’il vous a donné. Vous êtes créés pour donner, vous êtes créés pour servir Dieu. Lorsque vous donnez de vous-mêmes, vous devez donner ce qui est bon pour votre prochain.

Comment pouvez-vous donner de votre intérieur de l’amour si, de votre intérieur, vous ne vous aimez pas? Lorsque vous vous aimez de votre intérieur, vous regardez qui vous êtes avec le cœur d’un enfant : vos yeux contemplent la beauté voulue par Dieu; vous entendez vos paroles qui louent le Seigneur de ce qu’il vous a donné; tous vos gestes deviennent des gestes pour vous-mêmes, devant Dieu, afin de lui donner toute grâce. Vous devenez la grâce par la grâce. Aucun enfant sur la terre ne peut apprendre à s’aimer devant Dieu s’il n’est pas dans la grâce. Avoir l’Esprit de mon Père, c’est avoir l’amour de mon Père.

Les enfants de ce monde ne s’aiment pas.
Les enfants de ce monde ont oublié de qui ils venaient, et pour qui ils étaient sur la terre. Ils ont été créés avec la Matière Parfaite, avec la Perfection, et ils ont tous été créés au même moment. Tous regardaient la Beauté et tous se nourrissaient de la Beauté, car votre regard était un regard d’amour.

À cause de la volonté humaine, votre regard n’a pu voir la Beauté, car lorsque vous êtes sur la terre, vous oubliez que vous êtes de la chair de la Chair, car vous venez de la Chair Parfaite.

Je construis un monde d’amour en vous montrant qui vous êtes. Je viens purifier votre chair afin que la chair redevienne parfaite. Ce que vous avez oublié, Dieu vous le redonnera et vous n’oublierez plus jamais votre Dieu, plus jamais votre beauté, plus jamais l’amour, car vous vous souviendrez, à chaque instant, de tout ce que Dieu a fait pour vous redonner votre beauté.

Je mettrai des chants en vous, je mettrai de la musique en vous, et vous entendrez et vous louerez votre Dieu. Ce que vous n’avez jamais vécu, mes enfants, Dieu va vous le faire vivre.

Tranquillement, Dieu est, en ce moment même, en train de guérir et de libérer. Votre libération, mes enfants, est commencée. Lorsque vous vous regarderez dans la glace, dites à votre Dieu comme : « Mon Dieu, tu m’aimes. Tu regardes ta beauté, la beauté que je suis, et tu me dis : «Tu es mon enfant.»

Ce matin, je me regarde pour la première fois comme étant aimé par toi, parce que tu me trouves beau comme je me trouve beau, parce que je viens de toi. N’arrête jamais de nourrir ma beauté, Seigneur, mon amour, Seigneur, pour moi-même. Je veux t’aimer avec ce que je suis : ton enfant voulu par toi. »

Ce que vous êtes, vous l’êtes pour Dieu : aimer Dieu, vous aimer et aimer votre prochain comme vous-mêmes. Vous n’avez rien compris, mes enfants. Aimer votre prochain comme vous-mêmes, c’est de le trouver beau comme vous êtes beau. Il n’y a pas d’orgueil en cela, il y a l’amour qui sort, qui se rencontre, et une fois qu’il se rencontre, il se redonne encore cet amour : le mouvement de la Trinité : moi, vous et eux. Je vous aime.

Faites donc attention à vous-mêmes ; dites à votre vous-même des mots d’amour car, mes amours, c’est aussi pour moi ces mots, car je suis en votre intérieur.

Message du Ciel donné à la Fille du Oui à Jésus (Canada). Date inconnue – Volume 4.

Mes enfants, (…) Ne vous dénigrez pas ; lorsque vous travaillez, faites votre travail selon vos capacités, avec amour; ne regardez pas votre voisin, chacun a reçu des dons; faites-vous du bien en les utilisant pour votre prochain, tout doit être pour l’amour.

L’amour vient de Dieu, il vous a créés par amour. Mes enfants chéris, comment pouvez-vous être contre vous ? Si vous ne vous prenez pas en main, vous ne pourrez pas être amour envers vous-mêmes. Ce que je veux vous dire, c’est que vous ne prenez pas conscience que tout ce que vous vous dites, c’est à vous que vous le dites et tout ce que vous faites, c’est pour vous que vous le faites.

Vous vous rendez si vulnérables à cause de vos propres paroles et gestes que vous devenez ce que vous ne voulez pas être. Toute cette bataille, c’est contre vous, c’est contre votre bonheur ; je suis votre bonheur et je veux que vous soyez heureux.

Faites donc attention à vous-mêmes ; dites à votre vous-même des mots d’amour car, mes amours, c’est aussi pour moi ces mots, car je suis en votre intérieur. Si vous n’apprenez pas à être heureux avec vous-mêmes, vous ne trouverez pas le bonheur en vous, car celui qui dit qu’il est un bon à rien devient ce qu’il dit : un être bon qui ne fait rien pour être heureux.

Oh ! si vous disiez que vous êtes amour, c’est de l’amour qui en vous se réveillerait. C’est moi l’Amour qui veut vous donner de l’amour. En acceptant de vous aimer, vous allez laisser l’Amour vous aimer. Mes enfants, lorsque vous accepterez de vous aimer tels que vous êtes, vous découvrirez la vraie valeur de votre intérieur.

Comme ce sera bon de découvrir en vous l’amour qui est vous-mêmes ; le besoin de vous trahir n’aura plus sa raison d’être, car vous ne vous trouverez plus ennuyants, ni laids, ni tannants, ni paresseux, etc. Comme je voudrais que vous vous aimiez ! Aimez-vous, mes enfants, aimez celui qui est en vous. Moi, Jésus Amour, je viens bientôt en toi, en toi et en toi pour te montrer qui tu es.

Je suis l’Amour qui fait écrire cette enfant par ma Présence en elle. Elle a accepté de se laisser découvrir. Toi qui lis, es-tu consentant à te laisser découvrir ? Viens en toi, je suis là ; laisse-moi te nourrir d’amour, je t’aime tant !

Amen.

Je suis amour. Je peux difficilement vous demander d’aimer les autres et de vous abstenir de vous aimer ensuite.

Directives pour notre temps – Message du mois, tel que Jésus l’a donné à Anne, un apôtre laïque d’Irlande, le 1er septembre 2011.

Chers apôtres,

Chers apôtres, c’est avec joie que Je m’adresse à vous aujourd’hui. Quand Je vois votre fidélité à Mon plan de miséricorde, Je ressens de la joie. Quand Je contemple votre fidélité à la sainteté, Je ressens de la joie. Ne vous arrêtez pas dans votre engagement à devenir plus saint.

Ce mouvement paisible, dans l’Esprit de douceur et de bonté, devrait vous aider à voir les autres avec compassion, certes, mais aussi vous-même. Vous regardez-vous avec compassion ? Faites vous preuve de bonté et de miséricorde envers vous-même quand vous examinez votre condition ?

Mes amis, Mes très chers amis, appliquez-vous à vous voir comme Je vous vois. Gardez-vous de vous voir dans la lumière crue qui cherche à condamner. Si vous êtes tentés contre la miséricorde envers vous-même, alors vraiment, vous êtes tentés contre la vérité. Parce que c’est seulement avec miséricorde et amour que Je salue votre état actuel et vos tentatives pour avancer vers la sainteté.

Je suis amour. Je peux difficilement vous demander d’aimer les autres et de vous abstenir de vous aimer ensuite. Ce serait un plan imparfait, voué à l’échec. Mon plan est parfait. Je vous donne un cœur réceptif, vous recevez Mon amour en abondance, offrez-vous alors au Ciel pour être une source sur terre, qui à la fois stocke et distribue l’amour.

Apôtre bien-aimé, examinez votre cœur aujourd’hui. Si vous n’y trouvez pas de la miséricorde et de la compassion pour vous-même, venez à Moi et demandez-moi de vous donner ces choses. Mon plan pour vous et pour le monde n’avancera pas aussi vite qu’il est souhaitable si vous n’acceptez pas votre état actuel et ne comprenez pas Mon parfait amour pour vous. Votre potentiel de sainteté n’est pas encore pleinement atteint, bien sûr, et Je veux que vous avanciez.

Et Je demande que vous le fassiez dans la confiance, la joie et l’espérance. Réjouissez-vous. Je suis avec vous.

L’autosatisfaction diffère de l’amour de soi. En tant que création de Dieu, chaque personne est précieuse – magnifiquement faite – et digne d’obtenir le salut.

Message du Saint Amour à Maureen (USA), le 5 mai 2011, en ce 14e anniversaire de la Fête de Marie, Refuge des Saint Amour.

Notre Sainte Mère dit : « Loué soit Jésus ».

Ma fille, Je suis venue une fois de plus m’adresser à la population du monde.

Chers enfants, Je vous invite à réaliser que ces nombreux messages concernant votre voyage spirituel dans le Saint Amour sont un don du ciel pour vous. Ces messages donnés au cours des décennies vous mèneront sur le chemin de la sainteté personnelle, et même d’une haute sainteté.

Satan est conscient de l’impact que ces messages pourraient avoir sur le monde, de sorte qu’évidemment il les attaque. Il essaie de dissuader chacun de vous de les étudier et de les appliquer dans sa propre vie. Si les messages n’étaient pas authentiques et [n’avaient pas] de valeur spirituelle, Satan ne serait pas tenté de les discréditer. Telle qu’elle est, l’ennemi reconnaît la valeur de cette Mission, plus que la plupart des gens.

Quand vous cherchez le refuge de Mon Cœur – refuge du Saint Amour, Je vous révèle promptement les pièges de Satan tout autour de vous. Si vous ne reconnaissez pas les attaques de l’ennemi, vous ne pouvez pas le combattre. En tant que votre Mère, Je vous dis que le Malin vient souvent vêtu de bonté. L’arme qu’il utilise est l’orgueil qui est l’amour-propre désordonné. C’est pourquoi Je vous dis que le Saint Amour et la Sainte Humilité sont les moyens de votre sainteté personnelle. En dehors de ces deux, tout est faux et prétentieux.

L’autosatisfaction diffère de l’amour de soi. En tant que création de Dieu, chaque personne est précieuse – magnifiquement faite – et digne d’obtenir le salut [= l’amour de soi est fondé sur le fait que Dieu aimant sa créature, nous aimons cet amour en nous aimant nous-mêmes]. L’autosatisfaction, cependant, est un dérivé de l’orgueil. Elle se produit lorsque la personne se crédite elle-même de toutes ses réalisations ou de ses dons – au plan physique, mental ou émotionnel. L’autosatisfaction est l’ennemi de l’âme.

Détachez-vous dans l’humilité de l’opinion des gens et apprenez à plaire seulement à Dieu. Alors, tous les plans que Dieu a pour vous porteront leurs fruits.

Chers enfants, Dieu vous a choisis pour ces temps, aussi périlleux soient-ils, afin que vous soyez des émissaires du Saint Amour et que vous appeliez les âmes dans Mon Cœur, Refuge du Saint Amour. Mon Cœur est l’Arche Spirituelle de ce temps – lieu de protection contre les pièges de l’ennemi. Aujourd’hui, Mes enfants ont plus besoin d’un sauvetage spirituel que de la sécurité physique comme au temps de Noé. Je vous appelle, non pas deux par deux [= par couple comme dans l’Arche de Noé], mais un cœur à la fois, dans le bien-être de Mon Cœur.

Je vous bénis.

Dans l’autre amour de soi, l’âme sait qu’elle ne peut se réaliser que par un abandon total au Père, en embrassant le Fils et en se laissant guider par l’Esprit Saint.

Message de Jésus à Jennifer (USA) reçu le 9 mai 2011.

Mon enfant, Je suis l’abandonné, seul au milieu de Mon peuple. Encore aujourd’hui, Je vois un monde en quête du fruit défendu. Je dis à Mes enfants, le moment est venu pour vous de vivre dans la vérité de ce que Je sais et que Je vois, et non pas de ce que vous voulez que les autres voient, car je suis Jésus.

Les vents de destruction sont là pendant que coulent les larmes de miséricorde, et quand vous commencerez à voir la terre trembler à Jérusalem sachez que le temps de Ma visitation n’est pas loin [en anglais le mot « visitation » désigne à la fois une visite d’inspection et une épreuve envoyée par le Ciel : Jésus parle ici de l’Avertissement]. Mes enfants, vous devez apprendre l’obéissance car il y a un manque d’obéissance au Plan Divin, et c’est par là que Mon peuple ne suit pas Mes Commandements.

Il y a deux sortes d’amour de soi. Il y a un amour de soi qui ne favorise l’âme que selon un schéma vide et réitéré de recherche de soi, en vivant d’une manière qui ne permet pas à l’âme de grandir et de se laisser guider par l’Esprit Saint ; plutôt se développe-t-il d’autodestruction en autodestruction jusqu’à ce que l’âme arrive au jugement devant Moi.

Dans l’autre amour de soi, l’âme sait qu’elle ne peut se réaliser que par un abandon total au Père, en embrassant le Fils et en se laissant guider par l’Esprit Saint. C’est un amour de soi qui connaît la vérité de l’effort pour la sainteté, par la voie de l’obéissance et de la souffrance.

Aimez, Mes enfants, aimez aujourd’hui en cherchant la lumière de la vérité, car Je suis Jésus et Ma miséricorde et Ma justice prévaudront.

Votre prêtre a fait une bonne remarque en vous disant qu’il ne faut pas oublier aussi de vous aimer vous-même, parce que vous êtes créés à Mon image et à Ma ressemblance.

Message de Jésus à John Leary (USA), reçu le vendredi 1er avril 2011

Jésus : « Mon peuple, dans cette vision Je vous montre comment certaines personnes adorent les choses de ce monde, les sports, l’or, et les gens célèbres, comme des « dieux », en les mettant à Ma place.

Lorsque vous accordez à quelque chose d’autre plus d’importance qu’à Moi, alors vous faites de cette chose votre « dieu », et vous tombez dans le culte des idoles – vous péchez. Si vous passez tout le temps, ou la plupart de votre temps, sur des choses et des préoccupations du monde, alors vous ne Me donnez pas assez de temps dans la prière pour reconnaître votre amour pour Moi.

Je ne vous impose pas Mon amour, mais ceux qui refusent de M’accepter dans leur vie, pourraient en subir les conséquences en étant jugé pour l’enfer à cause de leur rejet vis-à-vis de Moi, ou de leur indifférence voulue. Je vous aime tous tellement que Je suis mort pour vous. Aimer votre Créateur et Me remercier pour tout ce que Je vous ai donné doit être au moins votre réponse. Ceux qui M’aiment vraiment, cela peut se voir dans leurs actions, comme la prière et les bonnes œuvres en faveur de leur prochain.

Votre prêtre a fait une bonne remarque en vous disant qu’il ne faut pas oublier aussi de vous aimer vous-même, parce que vous êtes créés à Mon image et à Ma ressemblance. Vous m’en aimerez plus, mais sans savoir comment s’aimer soi-même, il vous sera difficile d’aimer même votre prochain. Et donc, [il faut] vous aimer vous-même, non par orgueil, mais parce que vous êtes une de Mes créatures et dignes d’amour.

Tout comme vous aimez votre corps et votre âme, malgré vos imperfections, vous devriez aimer aussi tout le monde de la même façon, malgré leurs imperfections. En aimant votre prochain comme vous-même, vous obéirez alors à la deuxième partie de Mon grand Commandement.