Devenir chrétien : Le Baptême

Le baptême est un rite commun à toutes les Églises chrétiennes. Un baptisé dans la foi orthodoxe qui se convertit au catholicisme n’a pas à se refaire baptiser, et vice-versa.

Photo de droite, le baptême de ma fille Blanche, en 2005.

Le rite du Baptême catholique : Prêtre, Prophète et Roi.

Wikipédia : Pour l’Église catholique, le baptême est le premier des trois sacrements de l’initiation chrétienne, avec l’Eucharistie (la communion) et la Confirmation. Pour les personnes ayant l’âge de raison (enfants et adultes), il est précédé d’une période de préparation, appelée catéchuménat, au cours de laquelle le futur baptisé, le catéchumène, découvre la foi pour laquelle il demande le baptême.

Pour les nouveaux-nés, les parents suivent une préparation au baptême qui les aide à comprendre le sens de ce sacrement. Pour les adultes, le baptême proprement dit a souvent lieu au cours de la veillée de Pâques.
La célébration est semblable pour tous les baptêmes, bébés, enfants ou adultes. Les parents des très jeunes enfants parlent en leur nom.

La célébration commence par le tracé du signe de la croix sur le front du futur baptisé : le baptême marque le baptisé du signe du Christ.
Ensuite, le futur baptisé entre dans l’église, symbolisant que par son baptême, il va entrer dans la communauté chrétienne. Le rite du baptême proprement dit commence par une profession de foi des catéchumènes et leur renoncement à Satan et au mal. Il se poursuit par le rite de l’eau qui constitue le cœur du sacrement. Par trois fois, le prêtre (ou le diacre) verse l’eau sur le front du catéchumène en prononçant les paroles :

« Xxxxxx, je te baptise au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ».

Si le baptême se fait par immersion, le prêtre plonge le catéchumène trois fois dans l’eau. Ensuite, le célébrant appose le Saint-Chrême (une huile sainte) sur le front du baptisé. Cette huile, qui à l’origine servait à l’onction des rois, des prêtres ou des prophètes, rappelle que le baptisé a la triple vocation de « prêtre, prophète et roi ». L’eau et le Saint-Chrême signifient que le chrétien est baptisé « dans l’eau et dans l’Esprit ».

Ensuite le baptisé revêt un vêtement blanc (souvent un bonnet, une brassière ou éventuellement une robe de baptême pour les bébés, une écharpe pour les jeunes et les adultes), signe de la pureté retrouvée. En effet, dans la foi catholique, le baptême efface tous les péchés. Le célébrant remet au baptisé ou à ses parents un cierge, allumé au cierge pascal, symbole de la lumière du Christ.
Il est de tradition de désigner pour le baptisé un parrain et une marraine, personnes elles-mêmes baptisées et confirmées.

Être chrétien catholique veut dire avoir comme devise le Credo.
Le Credo (latin pour « je crois ») désigne le texte officiel de la profession de foi chrétienne, telle qu’exprimée en latin. La première définition officielle d’un credo de la foi chrétienne est le fruit des conciles de Nicée (325) et Constantinople (381), amplifiant un texte plus simple utilisé liturgiquement dès les premiers siècles et appelé le Symbole des apôtres. Ce texte du concile de Nicée est commun aux différentes traditions chrétiennes : Credo in unum Deum (« Je crois en un seul Dieu »).

Le « Je crois en Dieu » (CREDO) du Chrétien Catholique.

– Je crois en un seul Dieu, le Père tout puissant, Créateur du ciel et de la terre, de l’univers visible et invisible.
– Je crois en un seul Seigneur Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu, né du Père avant tous les siècles.
– Il est Dieu né de Dieu, Lumière née de la Lumière, vrai Dieu né du vrai Dieu.
– Engendré non pas créé, de même nature que le Père et par Lui tout a été fait.
– Pour nous les hommes et pour notre salut, Il descendit du Ciel.
– Par l’Esprit-Saint, Il a pris chair de la Vierge Marie, et s’est fait homme.
– Crucifié pour nous sous Ponce Pilate, Il souffrit sa passion et fut mis au tombeau.
– Il ressuscita le troisième jour, conformément aux Écritures, et Il monta au Ciel.
– Il est assis à la droite du Père.
– Il reviendra dans la gloire pour juger les vivants et les morts, et son Règne n’aura pas de fin.
– Je crois en l’Esprit-Saint, qui est Seigneur et qui donne la vie. Il procède du Père et du Fils.
– Avec le Père et le Fils, Il reçoit même adoration et même gloire ; Il a parlé par les prophètes.
– Je crois en l’Église, Une, Sainte, Catholique et Apostolique.
– Je reconnais un seul baptême pour le pardon des péchés.
– J’attends la résurrection des morts et la vie du monde à venir.   

L’origine des mots
– Catholique : du latin chrétien catholicus, du grec katholikos : « général, universel »
– Évangiles : du latin evangelium, emprunté au grec ancien, euangélion : « bonne nouvelle ».
– Amen est à l’origine un adjectif verbal utilisé dans la Torah, qui signifie « sincère et vrai » (amanah). Il se rattache au verbe hébreu amn qui possède plusieurs significations telles que « être fidèle », « être établi » ou « croire ».

Messages célestes sur le baptême


Tous les hommes ne sont pas mes enfants, ceux qui ne le sont pas sont les non-baptisés.

Messages de Notre Seigneur Jésus-Christ pour le monde du XXIe siècle. Soeur Beghe – Lire le message en entier – Lundi 22 novembre 2021

Mon Amour pour Mes enfants est total or tous les hommes ne sont pas Mes enfants. J’ai créé les hommes pour qu’ils le soient tous, oui, absolument tous, mais ils sont  trop nombreux ceux qui ne le sont pas. Ceux qui ne le sont pas sont les non-baptisés, or il y tant de non-baptisés. Le prologue de l’évangile de saint Jean le dit en toutes lettres : « Mais à tous ceux qui L’ont reçu, Il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu » (Jn 1, 12).

Par le baptême, l’homme devient enfant de Dieu.

Les apôtres ont reçu du Seigneur Jésus-Christ l’ordre de « baptiser les nations au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, de toutes les nations faites des disciples » (Mt 28,19).
Par le baptême, l’homme devient enfant de Dieu et comme vous le savez, le baptême est un sacrement, le 1er des sept sacrements. Il est reçu sous la forme du sacrement proprement dit, ou par le sang (martyre) ou par le désir quand le sacrement est inaccessible. Ce sacrement fait de l’homme un enfant de Dieu et, par sa conduite régie par la vertu, l’homme à sa mort entrera dans le Royaume de Dieu.
Ses péchés non satisfaits devront l’être par la purification et la satisfaction du purgatoire mais l’enfant honnête, sincère et aimant son Père des Cieux peut être assuré d’avoir part à la vie éternelle et à la résurrection de la chair. Tel est l’enseignement reçu des apôtres, tel est l’enseignement de la sainte Église, mère des chrétiens.

Qu’en est-il des autres hommes, ceux qui ne sont pas des enfants de Dieu ? Ils sont de deux catégories : des hommes bons mais pécheurs à cause de la faute originelle et d’autres, moins bons ou même mauvais.
La Sainte Église enseigne, à la suite des apôtres et du Seigneur Jésus-Christ, que ceux qui ne veulent pas de Lui, qui Le refusent ou Le rejettent, ou commettent le mal, ceux-là seront damnés.

Il n’y a pas de rédemption sans volonté d’y avoir part, l’homme qui veut être sauvé doit nécessairement vouloir être disciple de Jésus-Christ. Tel est l’enseignement de la sainte Église : le salut ou la damnation. La sainte Église appelle à elle tous les hommes et, à ceux qui viennent à elle, elle leur enseigne cette connaissance : être avec Jésus-Christ ou Le refuser et encourir la damnation. Tel est son rôle et depuis le début de son institution, elle a toujours poursuivi sa mission.

Elle parle à ses enfants qui l’écoutent ou lui désobéissent, et tout ce qu’elle leur enseigne leur apprend à être de meilleurs enfants de Dieu. Les autres hommes, qui ne sont pas ses enfants, elle n’a pas le rôle de les enseigner puisqu’ils ne la connaissent pas. Elle va vers eux, c’est l’Église missionnaire, mais elle ne les atteint pas tous, loin de là. Ceux qu’elle n’atteint pas sont des païens, créés comme tout homme avec le péché originel et qui ne peuvent être sauvés sans avoir été convertis par le baptême sous une de ses trois formes.

Ceci n’a jamais été enseigné par la sainte Église, puisque son rôle est de prendre soin de ses enfants

Le Seigneur Jésus-Christ s’est immolé sur la Croix pour eux aussi, Il s’est offert en sacrifice à Son Père pour satisfaire aux péchés de tous les hommes, absolument tous. A ces pauvres hommes qui n’ont pu être touchés par la grâce de leur vivant sur la terre, est donnée la grâce – acquise par le Sang de Jésus-Christ – de revenir sur la terre dans un nouveau corps afin d’avoir la possibilité de connaître l’unique vrai Dieu. C’est une grâce, acquise chèrement par l’Agneau de Dieu, qui veille sur toutes Ses créatures et qui prend soin de toutes. Ceci n’a jamais été enseigné par la sainte Église puisque son rôle est de prendre soin de ses enfants et d’en faire naître à la Vie autant qu’elle le peut.

ATTENTION : Les révélations données à Sœur Beghe n’enseigne absolument pas la réincarnation pour les chrétiens.
Cela concerne QUE les non-baptisés, dont l’Église catholique elle-même reconnaît qu’elle ignore ce qu’il advient de ces gens (extrait du Catéchisme de l’Église catholique) :
l’Église croit que « l’Esprit Saint offre à tous, d’une façon que Dieu connaît, la possibilité d’être associés au mystère pascal ».

Donc les messages donnés à Sœur Beghe ne contredisent en rien les dogmes de l’Église. Ils apportent juste un complément, ce qui est la raison même de l’existence de mon site.

Ses soins vont à ses enfants et à tous ceux qui viennent à elle, mais son rôle accueillant ne peut aller au-delà. Elle appelle à elle, elle instruit ceux qui sont ses enfants et ceux qui viennent à elle. Elle leur donne Jésus-Christ, Son enseignement, le Sien, lui qui est la Voie, la Vérité et la Vie. Ceux qui viennent à Lui auront la vie éternelle, telle est notre foi. (…)

Il ne peut aller au Ciel, même s’il a été bon, car il n’est pas de la famille des enfants de Dieu.

La vie sans Dieu ne gagne aucun mérite, pas même le bien qui aura été fait car il n’aura pas été fait pour le Seigneur Dieu. N’étant pas enfant de Dieu, il n’est pas de la famille du Père des Cieux, il ne peut donc pas avoir part à cette famille des Cieux. Il ne peut aller au Ciel même s’il a été bon car il n’est pas de la famille des enfants de Dieu.

Cette connaissance est très importante : il est nécessaire, absolument nécessaire de faire partie de la famille de Dieu pour entrer dans Sa Demeure éternelle. Il est faux de croire qu’il suffit d’être bon pour être sauvé, que croire en Dieu est indifférent, être généreux quoique neutre à l’égard de Dieu, pour jouir avec Lui de la Vie divine. Le Ciel n’est pas l’aboutissement des incroyants, aussi bons soient-ils, le Ciel n’est que pour les enfants de Dieu et qui ont agi comme tels.

Tout l’enseignement de Jésus-Christ est un appel à la connaissance et à l’obéissance à Dieu, une injonction à devenir disciple et saint. La sainteté est avant tout l’oubli de soi et la priorité donnée à Dieu et au prochain à cause de Lui. Soi-même ne compte que pour imiter Jésus-Christ, imiter la très sainte Vierge Marie, imiter les saints qui nous ont donné leur exemple.

Nous y sommes tous appelés, chacun à son heure et chacun à sa mesure.

J’appelle tous les hommes à venir à Moi et si certains n’en ont pas la possibilité par ignorance et sans faute de leur part, le temps de venir à Moi leur sera donné. (…)

C’est le premier pas d’une longue route qui, pour le fidèle, se termine au ciel.

La Vierge victorieuse – Message de Jésus donné à Lory (Missouri, USA.)  27 septembre 2007.

(…) Le baptême marque vos âmes et vous entrez dans le plan de salut de Dieu.  C’est le premier pas d’une longue route qui, pour le fidèle, se termine au ciel.  Vous êtes marqués avec mon signe et ma grâce vous est donnée, mais il vous appartient de continuer sur la route de la grâce et de devenir de plus en plus comme moi.  Vous déposez votre propre ego et vous vous efforcez d’être mon reflet dans le monde afin de vivre unis au Père et d’attirer les autres vers Moi, votre Sauveur et Rédempteur.

Le chrétien ne vit pas pour lui-même mais pour la gloire de Dieu et pour m’aider, Moi votre Jésus, à rassembler les âmes pour le Royaume.  Vous me rendez gloire quand vous m’imitez en aimant le Père et en aimant et servant vos frères et sœurs, qu’ils soient loin ou proche.  Votre gloire vient en étant de vrais fils et filles du Très Saint Père.

Quand vous persévérez dans la grâce et l’amour, vous vous déplacez de gloire en gloire jusqu’à ce que vous soyez transformés en un être spirituel capable de tout endurer pour l’amour et la gloire de Dieu.  La sainteté Trinitaire brillera en vous et lorsque vous vous tiendrez debout devant moi en jugement, je verrai le reflet de notre Sainteté en vous et je vous dirai : « Viens dans la maison de notre Père, tout ce qu’il possède est à toi »

Cette dernière phrase est la promesse qui vous a été faite au baptême, mais il vous appartient d’embrasser ma voie et de persévérer jusqu’à la fin.

Moi, Jésus, je vous bénis.

Le baptême est la seule porte d’entrée

Message donné au Père Melvin Doucette (Canada) – 2 septembre 2008.

(…) La façon habituelle d’accéder à ce Royaume est par le baptême, par lequel on devient membre de mon Église. Le baptême est la seule porte d’entrée, mais en qualité de membres, vous êtes tenus de vivre votre foi chrétienne. Si j’habite dans votre cœur, alors vous appartenez vraiment au Royaume de Dieu.

Il est indispensable d’être membre à part entière du Royaume pour aller au ciel. Vous pouvez perdre votre appartenance au Royaume si vous commettez le péché grave, mais lorsque vous vous repentez de votre faute dans le sacrement de pénitence, votre appartenance est rétablie. Ce qui importe grandement, c’est d’entretenir une amitié sincère et intime avec moi. Efforcez-vous chaque jour de grandir dans cette amitié et je vous accorderai les grâces qu’il faut pour maintenir votre appartenance au Royaume de Dieu.

Beaucoup de baptisés aujourd’hui qui pratiquaient leur foi chrétienne ont, pour quelque raison – captivés par l’argent ou d’autres intérêts matériels – cessé de prier et de fréquenter l’église. Ils sont maintenant très loin de moi. À vrai dire, je suis devenu pour eux un étranger. Ils croient qu’ils peuvent se passer de moi dans leur existence.

Ils s’imaginent à tort qu’ils peuvent se débrouiller seuls. Je vous affirme qu’ils aboutiront bientôt à la crise et vont perdre pied ; ils ne sauront plus quoi faire. Je vous le répète une fois de plus : vous ne pouvez rien sans moi. Sans moi, votre vie sera un échec. Je vous invite à revenir afin de pouvoir entretenir une solide amitié avec moi.

Le lendemain matin, il me dit : J’ai vu Jésus.

Extrait du Sourire de Marie de janvier-frévier 2003 (n° 302) Une de nos correspondantes de France nous écrit :

Mon petit-fils n’était pas baptisé. Je me suis permise de le faire quand je l’avais en vacances, il avait alors 6 ou 7 ans… Pendant qu’il dormait, en début de soirée, je l’ai baptisé avec la formule de l’Église et de l’eau bénite Je te baptise au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit… Je l’ai fait pendant son sommeil pour qu’il ne puisse pas le dire à ses parents.

Le lendemain matin, il me dit : « J’ai vu Jésus« . J’étais très étonnée et je lui ai demandé : « Que t’a dit Jésus ? ». Il chercha dans sa petite tête et ne se rappela plus de la phrase…
Le lendemain soir, au coucher, après avoir fait quelques petites prières ensemble, je lui dis : « Si tu vois Jésus, rappelle-toi bien ce qu’il va te dire« .

Le lendemain matin, il me redit : « J’ai vu Jésus« . (Je pensais qu’il pouvait se moquer de moi)… Mais je compris bien vite qu’il n’en était rien. Je lui dis : « Que t’a dit Jésus ? ». Mon petit-fils me répondit : « II m’a dit qu’un jour, j’irai dans son royaume !« 

Je vous prie de croire que j’étais très émue pour la bonne raison que ce qu’il venait de me dire, il ne l’avait pas compris, ni inventé. Le Royaume de Dieu, personne ne lui en avait parlé jusqu’ici, surtout pas ses parents… J’étais très heureuse dans mon cœur et dans mon âme car c’est un peu comme si Jésus m’avait dit : « Ma fille, tu as bien fait d’agir ainsi ! ». (…)

Vision de la régénération de la robe de baptême pour notre premier enfant.

Extrait de mon autobiographie : Une vie dans le surnaturel

Notre premier enfant se nomme donc Augustin, et un fait surnaturel intense va se produire durant la grossesse. Dieu me donna un matin le privilège d’avoir une vision. Le rêve et la vision sont deux choses bien différentes. Si le rêve a lieu durant le sommeil, la vision arrive alors que vous ne dormez pas. Tout était très impressionnant. Tellement que mon système nerveux avait été comme « anesthésié ».

Cela arriva à trois mois de la naissance. Nous étions le matin durant nos vacances d’été, et j’étais allongé sur mon lit lorsque la vision commença. Le sujet en était une réunion de famille pour la bénédiction, ou plutôt la régénération, de la robe de baptême pour notre premier enfant. Il y avait des gens de la famille de ma femme que je ne connaissais pas (la robe de baptême appartenait à ma belle-famille) dont la mère de mon épouse qui, décédée d’un cancer quand ma femme était adolescente, venait du Purgatoire pour la cérémonie. Son corps était dans un état de décomposition fort avancé, et sous mes yeux, je le voyais se recomposer. Le spectacle n’était pas supportable, mais mon corps était comme sous l’emprise d’un fort calmant surnaturel. Une fois le corps reconstitué, il lui manquait un bras et des éléments du visage, signe que la purification ne devait pas être encore achevée.

Une fois que la recomposition du corps de ma belle-mère fut terminée, je m’approchais d’elle et lui dis que l’on s’était déjà vu, car une fois, j’avais rêvé de la Sainte Vierge qui me disait qu’elle protégeait notre famille. J’avais cru à tort que cette dame était la mère de ma femme. Lorsque, durant la vision, je dis cela à ma défunte belle-mère, une voix derrière moi m’interrompit pour me signaler mon erreur.

Puis je vis d’autres personnes arriver. La robe de baptême que je voyais et qui avait déjà servi pour plusieurs générations, fut régénérée, devenant d’un blanc éclatant. Lorsque la vision se termina, j’ouvris les yeux, toujours allongé sur mon lit. C’était une expérience éblouissante et l’ambiance visuelle et surtout sonore était d’une très forte intensité.

On savait maintenant que ma belle-mère était encore au Purgatoire, on lui fit donc dire quelques messes. Pour info : extrait de l’ouvrage « Les âmes du Purgatoire dans la vie des saints » (Ed. Resiac).

Avant d’accéder au Paradis, les âmes des élus passent en moyenne 30 à 40 ans dans le Purgatoire… Environ une âme sur 10 000 élues va au Paradis directement.

Il vous faut tous être baptisés pour m’appartenir.

Message donné au Père Melvin Doucette (Canada) – Samedi 19 juin 2010.

Mes chers amis, il vous faut tous être baptisés pour m’appartenir. J’ai donné ce grand sacrement à mon Église pour effacer le péché originel et tous les péchés que la personne a commis. En même temps, le baptême lui donne une grâce particulière en faisant d’elle l’enfant bien-aimé de Dieu.

Le Père, l’Esprit et moi venons habiter dans le cœur de celui qui reçoit le baptême. Toute personne baptisée devient une créature nouvelle, immensément aimée par le Père. Je vous ai mérité cette grâce privilégiée en mourant sur la croix dans de grandes souffrances.

Je vous appelle tous à accepter votre baptême et à vivre comme cette personne nouvelle, créée pour connaître, aimer et servir Dieu de tout son cœur. Vivez votre baptême en étant un membre actif de mon Église et en suivant tous les commandements que vous a donnés mon Père. Le baptême est la porte d’entrée de l’Église et de mon Royaume. Je vous bénis tous.

Le jour de votre baptême, la Parole de Dieu est entrée dans votre vie.

Message du Ciel – Jean messager de la lumière – Livre Tome 4 : Le temps presse, rallumez vos lampes – Page 46 : Le Baptême de Jésus – Message du 11.01.2004

Le jour de votre baptême, alors que vous étiez tout petits, le Seigneur vous a appelés par votre nom et Il vous a dit : « Marie, Jacques, Étienne, Pierre …  viens avec Moi car tu as du prix à mes yeux et Je t’aime ». Cette parole de Dieu est ancrée en vous depuis la première fois que vous l’avez entendue, même si vous n’en étiez pas conscients. (…)

Avec le baptême de Jésus, le ciel s’ouvre et Dieu sort de son silence. Il vit l’Esprit de Dieu descendre comme une colombe sur Lui, et des cieux, une voix disait : « Celui-ci est mon Fils bien aimé, en Lui J’ai mis tout mon amour ».

Pour vous également, le jour de votre baptême, la Parole de Dieu est entrée dans votre vie, tout comme la voix du Père s’est faite entendre pour Jean Baptiste et ses disciples. Cette parole du Père change tout pour Jésus ! (…)

A travers la vocation propre de Jésus, c’est vous tous qui êtes appelés et rejoints par la même parole de Dieu, appelés à entrer avec Lui dans la création nouvelle, celle d’un Royaume à bâtir ensemble sur la paix et la justice, sur l’amour, le partage, la fraternité.

Vous êtes tous nommés en Jésus à devenir fils et filles de Dieu, à entrer dans son grand mouvement de renouveau qui trouvera sa réalisation dans la vie éternelle.

Par le baptême de Jésus, c’est votre vocation à vous qui vous a été donnée à votre baptême !

Au jour de votre baptême, sur vous l’Esprit Saint est également descendu, sur vous aussi le Père a dit : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en lui J’ai mis tout mon amour ». Le baptême que vous avez reçu a fait de vous des enfants de Dieu. Ce n’est pas une image, c’est la réalité !

La vie du baptisé, celle qui coule dans vos veines, est divine, céleste et éternelle… Bien sûr, il vous appartient d’éviter le péché et de vous convertir. (…) Avez-vous réellement saisi que le baptême vous engage à vivre comme Jésus ?

Le baptême implique des responsabilités, entre autres de faire de l’Évangile la règle concrète de votre vie. C’est un appel et un engagement à vivre dans l’amour. Écouter la voix du Père, c’est écouter la voix de votre cœur ; à partir de ce moment, tout a radicalement changé pour Jésus, pour vous, pour tous les humains.

Le Saint dont l’enfant porte le nom va automatiquement intervenir avec amour et puissance en faveur de l’enfant pour le protéger.

Révélation de Maria Simma (Autriche 1915-2004).

(…) Que voulez-vous dire par au « nom du jour » ?
Oh ! Excusez-moi. D’autres appelleraient ça le jour de leur fête. C’est le jour que l’Église a réservé spécialement pour le Saint dont vous portez le nom. Le vôtre serait naturellement le 6 décembre, fête de saint Nicolas. Si on apprenait aux enfants à connaître leur Saint au lieu de les inonder de cadeaux matériels le jour de leur fête, est-ce que ça ne les aiderait pas beaucoup mieux à les préparer pour la vie?

Les anniversaires de naissance sont également importants et on devrait alors insister sur le don de Dieu que représente un enfant, plutôt que d’ajouter encore des biens matériels. Le Saint du jour leur servirait aussi un peu de modèle.

Nous devrions leur dire que ce cadeau leur vient de Jésus et de Marie, mais aussi de leur Saint qui s’intéresse à eux de façon très spéciale, et ce ne sont pas simplement des paroles en l’air, c’est la vérité. Cela les rendrait curieux et désireux d’en savoir plus.

Voulez-vous dire par là que donner un prénom chrétien aide aussi l’enfant, et que ne pas lui en donner peut nuire à l’enfant, ou plutôt l’affaiblir durant sa vie ?

Oui, d’une certaine manière. Le Saint dont l’enfant porte le nom va automatiquement intervenir avec amour et puissance en faveur de l’enfant pour le protéger. Cette protection est perdue si l’enfant se nomme, disons « Aigle doré ». Bien sûr, cela ne veut pas dire que Dieu l’aimera moins, mais il est certain qu’il aura moins d’intercesseur et qu’il faut de nos jours chercher à en avoir le plus possible.

Je suis certaine que cela attriste Dieu lorsque nous refusons de donner à un enfant un puissant intercesseur. De toutes les manières possibles, nous devons chercher à donner à nos enfants tout ce qui peut les guider et contribuer à leur bonheur et à leur contentement. (…)