Les changeurs du Temple et leurs descendants.
Message de Saint Michel Archange donné à Ned Dougherty (USA) le 3 avril 2025.
Je viens à vous aujourd’hui en tant que Michel Archange, Protecteur de l’Humanité et Serviteur du Père Céleste et de son Fils, votre Rédempteur, Jésus-Christ. Le Père Céleste a choisi en ce moment d’intervenir par son Fils, Jésus-Christ, dans les affaires de l’humanité dans le monde entier ! Qu’il en soit ainsi ! Grâce à Dieu !
Lorsque le Fils, Jésus-Christ, marchait parmi vous il y a deux mille ans, il est venu au Temple de son Père. Là, il a vu la profanation de la Maison de culte de son Père par les changeurs. Sur le lieu sacré dédié au Père, les changeurs commettaient d’extrêmes violations des lois de Dieu par avarice et fraude.
À cette occasion même, le Fils du Père, Jésus-Christ, laissa son tempérament paisible et serein s’altérer lorsqu’il s’en prit aux changeurs d’argent dans une juste colère, les chassant de la Maison du Père. Le Fils, Jésus-Christ, prévoyait à ce moment-là comment les changeurs et leurs descendants perpétueraient ces péchés d’avarice, de fraude et de cupidité contre les enfants de Dieu, afin d’asseoir leur pouvoir et leur contrôle – non autorisés par Dieu – sur les peuples du monde, les asservissant au moyen des instruments financiers du Malin, conçus par leur allié et maître, l’ennemi éternel du Père céleste, Satan.
Je suis ici aujourd’hui pour vous demander à tous d’enlever les écailles de vos yeux et de vous concentrer sur l’histoire de ces malfaiteurs, ces changeurs d’argent, car ils ont été rusés et trompeurs dans leurs pratiques bancaires et financières au détriment des enfants de Dieu et uniquement sous le pouvoir et le contrôle de leur maître, le malin.
Détruire les institutions et les pratiques frauduleuses des changeurs d’argent de Satan !
Mais maintenant, le Père céleste va intervenir directement dans les affaires de l’humanité par l’intermédiaire de son Fils, le Rédempteur, Jésus-Christ, pour transformer le système bancaire et les finances du monde selon le plan originel du Père céleste. Le Fils, Jésus-Christ, travaille à travers beaucoup d’entre vous, en particulier à travers vos dirigeants qui sont des soldats en Christ, pour perturber et détruire les institutions et les pratiques frauduleuses des changeurs d’argent de Satan ! Qu’il en soit ainsi ! Grâce à Dieu !
Le Père céleste, par l’intermédiaire de son Fils, vous appelle tous, fils et filles du Père céleste, à soutenir vos dirigeants qui tentent de prendre le contrôle des pratiques bancaires et financières afin que lesdites pratiques soient conformes au plan du Père céleste, qui exige que la conduite des opérations bancaires et financières soit conforme aux principes les plus élevés de la conduite humaine – tels qu’exprimés à travers et en conformité avec vos quatre libertés : la liberté d’expression, la liberté de culte, la liberté du besoin et la liberté de la peur – des libertés qui ont été accordées aux États-Unis d’Amérique par l’inspiration du Père céleste – mais qui doivent également être répandues dans le monde entier ! Qu’il en soit ainsi ! Grâce à Dieu !
Que les États-Unis d’Amérique deviennent un phare d’espoir pour d’autres peuples.
Vos dirigeants (L’administration Trump) mettent actuellement en place des politiques qui sont en accord avec le plan de Dieu le Père, et je vous appelle tous à soutenir leurs plans et leurs intentions pour que les États-Unis d’Amérique deviennent un phare d’espoir pour d’autres peuples et pays à travers le monde, afin d’apporter des changements dans leur système bancaire et financier.
Afin de soutenir vos dirigeants inspirés par le Père céleste, vous devez également savoir qui est l’ennemi. Les descendants des changeurs de monnaie, présents depuis plus de 2 000 ans, peuvent être facilement identifiés comme les élites mondialistes – ces banquiers et changeurs internationaux qui, comme l’histoire le révèle, manipulent et contrôlent le secteur bancaire et financier pour s’enrichir aux dépens du peuple de Dieu depuis des générations.
Le Père céleste intervient désormais directement dans les affaires de l’humanité pour démasquer les soi-disant élites mondiales et restituer richesses et butins aux peuples du monde par son intervention divine. La mise en œuvre du plan divin sera réalisée par les dirigeants parmi vous qui sont en harmonie avec le Père céleste par son Fils, Jésus-Christ.
À cet égard, il est important que vous sachiez et reconnaissiez que les courtiers en pouvoir et les manipulateurs du marché tentent de continuer à vous contrôler à votre détriment en instillant la peur sur le marché car, comme des serpents, ils réagissent violemment à la diminution de leur pouvoir et de leur contrôle.
Ne fermez pas les yeux sur leurs tromperies. Identifiez ceux parmi vous qui tentent de vous manipuler et de vous contrôler. La révélation de leur vérité leur fera perdre leur pouvoir de manipulation et de contrôle sur le marché.
La Vérité vous rendra libre ! Qu’il en soit ainsi ! Grâce à Dieu !
Les marchands chassés du Temple – Maria Valtorta
Extrait des visions de Maria Valtorta, L’Évangile tel qu’il m’a été révélé. Le mardi 24 octobre 1944.
Il y a une très grande foule à l’intérieur et à l’extérieur, des pèlerins qui arrivent par bandes de tous les coins de la ville. Du haut de la colline sur laquelle le Temple est construit, on voit les rues de la ville, étroites et sinueuses, qui fourmillent de passants. On dirait qu’un ruban mouvant de mille couleurs s’est déroulé entre le blanc cru des maisons. Oui, la cité a l’aspect d’un jouet bizarre fait de rubans multicolores entre deux alignements de maisons blanches, et tous convergent vers le point où resplendissent les dômes de la Maison du Seigneur.
Mais à l’intérieur, c’est une vraie foire. Plus aucun recueillement dans le lieu saint. On court, on appelle, on achète des agneaux, on crie et on maudit à cause du prix exagéré, on pousse les pauvres bêtes bêlantes dans des parcs – ce sont de rudimentaires enclos délimités par des cordes et des pieux, aux entrées desquelles se tient le marchand ou éventuellement le propriétaire qui attend des acheteurs –. Coups de bâtons, bêlements, jurons, appels, insultes contre les serviteurs peu pressés de rassembler et d’enclore les animaux, ou contre les acheteurs qui lésinent sur le prix ou qui s’éloignent, insultes plus fortes contre les gens prévoyants qui ont amené l’agneau de chez eux.
Autour des comptoirs de change, autre vacarme. Je ne sais si c’est toujours ainsi ou seulement à l’occasion de la Pâque ; on se rend compte que le Temple fonctionnait comme… la Bourse ou le marché noir. La valeur des monnaies n’était pas fixée. Il y avait le cours légal qui était certainement déterminé, mais les changeurs en imposaient un autre, en s’appropriant un pourcentage arbitraire pour le change. Et je vous assure qu’ils s’y entendaient à étrangler les clients … ! Plus un client était pauvre, plus il venait de loin, plus on le volait : les vieux plus que les jeunes, ceux qui arrivaient d’au-delà de la Palestine plus que les vieux.
De pauvres petits vieux regardaient et regardaient encore leur pécule mis de côté, avec combien de peine, tout le long de l’année, le sortaient et le rentraient cent fois en tournant autour des changeurs et finissaient enfin par revenir au premier qui se vengeait de leur éloignement temporaire en augmentant l’agio du change… Les grosses pièces quittaient alors avec force soupirs les mains de leur propriétaire pour passer dans les griffes de l’usurier en échange de pièces de monnaie plus légères. Et au moment du choix, nouvelle tragédie de comptes et de soupirs devant les marchands d’agneaux qui refilaient aux petits vieux, à moitié aveugles, les agneaux les plus chétifs.
Je vois revenir deux petits vieux, lui et elle, qui poussent un frêle agnelet que les sacrificateurs ont dû trouver défectueux. Pleurs, supplications, impolitesses, grossièretés se croisent sans que le vendeur s’en émeuve.
– Pour ce que vous voulez payer, Galiléens, ce que je vous ai donné est déjà trop beau ! Allez-vous-en ! Ou ajoutez cinq autres deniers pour en avoir un plus beau !
– Au nom de Dieu ! Nous sommes pauvres et vieux ! Veux-tu nous empêcher de faire la Pâque, la dernière, peut-être ? Est-ce que ce que tu nous as pris ne suffit pas pour une petite bête ?
– Faites place, crasseux que vous êtes ! Voici que vient à moi Joseph l’Ancien. Il m’honore de sa préférence. Dieu soit avec toi ! Viens, choisis ! »
Celui qu’on appelle Joseph l’Ancien ou Joseph d’Arimathie entre dans l’enclos et prend un magnifique agneau. Il passe avec un riche habit, tout fier, sans un coup œil pour les pauvres qui gémissent à la porte et même à l’entrée de l’enclos. Il les bouscule, pour ainsi dire, en sortant avec l’agneau gras qui bêle.
Écoutez le Galiléen défenseur de ses pairs ! Il veut nous faire la leçon, à nous qui sommes du Temple !
Mais Jésus également s’est approché. Il a lui aussi fait son achat et Pierre, qui a probablement négocié à sa place, tire derrière lui un agneau convenable. Pierre voudrait aller tout de suite vers le lieu du sacrifice. Mais Jésus tourne à droite vers les deux petits vieux effarés, en larmes, indécis, que la foule bouscule et que le vendeur insulte.
Jésus, si grand que la tête des deux vieux lui arrive à la hauteur du cœur pose une main sur l’épaule de la femme et demande : « Pourquoi pleures-tu, femme ? «
La petite vieille se retourne et voit cet homme grand et jeune, solennel dans son bel habit blanc et son manteau couleur de neige tout neuf et propre. Elle doit le prendre pour un docteur à cause de son habit et de son aspect et, stupéfaite, car les docteurs et les prêtres ne font aucun cas des gens et ne protègent pas les pauvres contre la rapacité des marchands, elle dit les raisons de leur chagrin.
Jésus s’adresse à l’homme aux agneaux : « Change cet agneau à ces fidèles. Il n’est pas digne de l’autel comme il n’est pas digne que tu profites de deux pauvres vieux parce qu’ils sont faibles et sans défense.
– Et toi, qui es-tu ?
– Un juste.
– Ton accent et celui de tes compagnons indique que tu es galiléen. Peut-il donc y avoir un juste en Galilée ?
– Fais ce que je te dis et sois juste, toi.
– Écoutez cela ! Écoutez le Galiléen défenseur de ses pairs ! Il veut nous faire la leçon, à nous qui sommes du Temple ! »
L’homme rit et se moque en contrefaisant l’accent galiléen, qui est plus chantant et plus doux que celui de Judée, du moins à ce qu’il me semble. Des gens font cercle et d’autres marchands et changeurs prennent la défense de leur complice contre Jésus. Au nombre des assistants se trouvent deux ou trois rabbins ironiques. L’un d’eux demande : « Es-tu docteur ? » sur un ton qui ferait perdre patience à Job.
– Tu l’as dit.
– Qu’enseignes-tu ?
– Voici ce que j’enseigne : que la Maison de Dieu doit redevenir une maison de prière et non pas une place d’usuriers et de marchands. Voilà mon enseignement »
Jésus éparpille les pièces de monnaie, renverse tables petites et grandes.
Jésus est terrible. On dirait l’archange posté au seuil du paradis perdu. Il ne tient pas d’épée flamboyante, mais ses yeux rayonnent de lumière et foudroient les moqueurs et les sacrilèges. Il n’a rien à la main, rien d’autre que sa sainte colère. Marchant d’un pas rapide et imposant au milieu des comptoirs, il éparpille les pièces de monnaie méticuleusement rangées selon leur valeur, renverse tables petites et grandes, de sorte que tout tombe avec fracas sur le sol au milieu d’un grand bruit de métaux qui rebondissent et de bois bousculés, avec cris de colère, d’effarement ou d’approbations.
Puis il arrache des mains des gardiens de bestiaux des cordages qui attachaient bœufs, brebis et agneaux et en fait un martinet très dur dont les nœuds coulants assemblent les lanières. Il le lève, le fait tournoyer et l’abaisse sans pitié. Oui, je vous l’assure, sans pitié.
Cette grêle imprévue s’abat sur les têtes et les dos. Les fidèles s’esquivent, admirant la scène. Les coupables, poursuivis jusqu’en dehors de l’enceinte, se sauvent à toutes jambes, laissant par terre l’argent et derrière eux les bêtes de toutes tailles, dans une grande confusion de pattes, de cornes et d’ailes. Les unes courent, les autres s’échappent en volant. Mugissements, bêlements, roucoulements de colombes et de tourterelles unis aux rires et aux cris des fidèles derrière les usuriers en fuite, couvrent jusqu’au lamentable chœur des animaux qu’on égorge certainement dans une autre cour.
Des prêtres accourent, accompagnés de rabbins et de pharisiens. Jésus est encore au milieu de la cour, revenant de sa poursuite. Il a encore en main le martinet.
« Qui es-tu ? Comment te permets-tu de faire cela et de troubler les cérémonies prescrites ? De quelle école proviens-tu ? Nous ne te connaissons pas. Nous ne savons pas qui tu es.
Jésus parle au peuple.
Je suis Celui qui peut. Je peux tout. Détruisez ce Temple vrai, et je le relèverai pour rendre gloire à Dieu. Je ne trouble pas, moi, la sainteté de la Maison de Dieu ni les cérémonies. C’est vous qui la troublez en permettant que les usuriers et les marchands s’installent dans sa demeure. Mon école, c’est l’école de Dieu, la même école qui fut celle de tout Israël, par la bouche de l’Éternel parlant à Moïse. Vous ne me connaissez pas ? Vous me connaîtrez. Vous ne savez pas d’où je viens ? Vous le saurez. »
Se tournant alors vers le peuple sans plus s’occuper des prêtres, dominant l’entourage par sa taille, revêtu de son habit blanc, le manteau ouvert et flottant derrière ses épaules, les bras étendus comme un orateur au moment le plus pathétique de son discours, il parle :
Écoutez, hommes d’Israël ! Dans le Deutéronome, il est dit : “Tu établiras des juges et des scribes en chacune des villes… Ils jugeront le peuple avec justice. Tu ne feras pas dévier le droit, tu n’auras pas égard aux personnes. Tu n’accepteras pas de présents, car le présent aveugle les yeux des sages et ruine les causes des justes. C’est la stricte justice que tu rechercheras, afin de vivre et de posséder le pays que Yahvé ton Dieu te donne.”
Écoutez, hommes d’Israël ! Dans le Deutéronome il est dit : “Les prêtres lévites, toute la tribu de Lévi n’auront point de part ni d’héritage avec Israël : ils vivront des mets offerts à Yahvé et de son patrimoine ; cette tribu n’aura pas d’héritage au milieu de ses frères : c’est Yahvé qui sera son héritage.”
Écoutez, hommes d’Israël ! Dans le Deutéronome il est dit : “Tu ne prêteras pas à intérêt à ton frère, qu’il s’agisse de prêt d’argent ou de vivres, ou de quoi que ce soit dont on exige intérêt. À l’étranger tu pourras prêter à intérêt, mais tu prêteras sans intérêt à ton frère.”
Voilà ce qu’a dit le Seigneur. Vous voyez maintenant que c’est sans justice à l’égard du pauvre que les juges siègent en Israël. On ne penche pas en faveur du juste, mais de celui qui est fort. Être pauvre, appartenir au petit peuple, cela veut dire subir l’oppression. Comment le peuple peut-il dire : “Celui qui nous juge est juste”, s’il voit que seuls les puissants sont respectés et écoutés, alors que le pauvre ne trouve personne qui veuille l’entendre ?
Comment le peuple peut-il respecter le Seigneur s’il voit que ceux qui en ont plus que d’autres le devoir ne le respectent pas ? Est-ce respecter le Seigneur que de violer son commandement ? Et pourquoi, en Israël, les prêtres ont-ils des propriétés et reçoivent-ils des cadeaux de la part des publicains et des pécheurs, qui agissent ainsi pour avoir la bienveillance des prêtres, de même que ceux-ci les acceptent pour avoir un coffret bien garni ?
C’est Dieu qui est l’héritage de ses prêtres. Lui, le Père d’Israël, est plus Père pour eux qu’aucun autre père ne l’a jamais été, et il pourvoit à leur nourriture comme cela est juste. Mais pas plus. Il n’a promis aux serviteurs de son Sanctuaire ni richesses ni propriétés. Dans l’éternité, ils auront le Ciel pour récompenser leur justice, comme l’ont Moïse et Elie, Jacob et Abraham ; mais sur cette terre ils ne doivent posséder qu’un vêtement de lin et un diadème d’or incorruptible : pureté et charité. Le corps doit être le serviteur de l’âme, qui est le serviteur du Dieu vrai. Ce n’est pas le corps qui doit dominer l’âme et s’opposer à Dieu.
On m’a demandé de quelle autorité je fais cela. Et eux, de quelle autorité profanent-ils le commandement de Dieu et permettent-ils, à l’ombre des murs sacrés, l’usure au détriment des frères d’Israël venus obéir au commandement de Dieu ? On m’a demandé de quelle école je viens et j’ai répondu : “De l’école de Dieu. ” Oui, Israël. Je viens te ramener à cette école sainte et immuable.
Que celui qui veut connaître la lumière, la vérité, la vie, qui veut entendre la voix de Dieu parlant à son peuple, vienne à moi. Vous avez suivi Moïse à travers les déserts, hommes d’Israël. Suivez-moi, que je vous conduise, à travers un désert bien plus dépouillé, à la véritable Terre bienheureuse. A travers la mer qui s’ouvre au commandement de Dieu, c’est vers elle que je vous entraîne. En élevant mon Signe, je vous guéris de tout mal.
L’heure de la Grâce est venue. Les patriarches l’ont attendue, et ils sont morts en l’attendant. Les prophètes l’ont prédite, et ils sont morts avec cette espérance. Les justes l’ont vue en songe, et ils sont morts réconfortés par ce songe. Maintenant, elle est venue. Venez. “Le Seigneur va juger son peuple et faire miséricorde à ceux qui le servent”, comme il l’a promis par la bouche de Moïse.
Les gens qui font cercle autour de Jésus sont restés bouche bée à l’écouter. Puis, ils commentent l’enseignement du nouveau Rabbi et interrogent ses compagnons. Jésus se dirige vers une autre cour séparée de celle-ci par un portique. Ses amis le suivent, et la vision prend fin.
Chapitres complémentaires :
Le Temple de Jérusalem
L’époque de Jésus
Carte de la Palestine à l’époque de Jésus
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L’autorité mondiale, la Bête
Une monnaie unique mondiale