Dieu punit ceux qui demandent l’incinération
Extrait du livre : Communication de l’au-delà, reçues par RMG. Message donné le 7 nov. 1987
Dieu punit ceux qui demandent l’incinération car cet acte est un affront que commet la créature envers son Créateur en détruisant volontairement le chef-d’œuvre de la Création.
L’homme commet une injure grave en disposant de son corps, qui est le temple du Saint-Esprit jusque dans la tombe, et Dieu n’est jamais injurié impunément.
Je me suis fait incinérer et je ne m’imaginais pas la gravité de cette décision.
Extrait du livre : Communication de l’au-delà, reçues par RMG
(SL. du Purgatoire) Je suis très malheureuse parce que j’ai commis cet acte injurieux et abominable dans son arrogance envers Dieu : Je me suis fait incinérer et je ne m’imaginais pas la gravité de cette décision. Je pensais que les cimetières avaient fait leur temps et qu’il fallait vivre avec son temps. Je ne pensais pas à la beauté de la création ni à la merveille de la Sagesse de Dieu, qui a donné à la nature le rôle de se renouveler en ne perdant aucune de ses propriétés.
Le feu est une agression contre la rature et Dieu n’a pas créé le feu pour en faire un élément destructeur. Le feu a été créé pour compléter par l’homme la création et qu’il puisse s’en servir à bon escient. Il peut s’en servir pour se chauffer ou pour se préparer une alimentation plus élaborée, mais il commet une faute grave lorsqu’il s’en sert pour tuer les animaux par plaisir ou lorsqu’il s’en sert pour fondre le métal. Les matières premières sont un capital et l’homme doit se garder d’en user tant et plus pour assouvir ses ambitions et non pas seulement pour ses besoins.
Le feu a également une action malveillante lorsqu’il est employé pour bruler les champs. Les champs ainsi brulés ne sont plus aussi productifs car la terre subit une agression et les engrais naturels en perdent leurs bienfaits.
Enfin, le feu est également mal employé lorsqu’on s’en sert pour en faire un mode de transport. Cela aussi est nocif à tous points de vue, mais il est permis d’imiter en ce point les autres hommes. C’est Dieu Lui-même qui mettra fin à cette initiative malheureuse parce qu’elle lui déplait, mais les hommes ne peuvent pas d’eux-mêmes y mettre fin.
Peux-tu prier pour moi ? Je t’en serais si reconnaissante que mon seul souci sera de te venir en aide.
Cadeau d’un canonnier de la Première Guerre mondiale
Mail reçu le mardi 24 août 2021 à 21:11
Pourquoi il n’y a pas des messages nouveaux sur le site ?
(Vincent) Je suis rentré de vacances lundi 23 aout. J’étais dans notre maison de famille dans le sud de la France (à Saint-Étienne-du-Grès, entre Arles et Tarascon).
J’aime beaucoup les cimetières et j’y emmène souvent mes neveux. Durant ce mois d’aout 2021, j’ai reçu une grâce en lien avec le cimetière du village ; en voici le récit.
Après avoir visité les tombes de nos ancêtres, on continua la visite et l’on arriva sur la tombe d’un soldat canonnier durant la Première Guerre mondiale et qui mourut en 1917. J’ai indiqué cette tombe à mon petit-neveu de cinq ans pensant que cela pourrait l’intéresser.
Image ci-dessous, cimetière de Saint-Étienne-du-Grès, que je visite régulièrement et où mes ancêtres sont enterrés depuis plusieurs générations.
Durant l’après-midi dans le jardin de la maison familiale, je passais du temps avec ce petit-neveu, qui s’appelle Camille, et il me disait que sa « moto fusée » (photo ci-dessous) ressemblait à un canon. Du coup cela me fit penser au canonnier du cimetière et j’ai eu envie de dire à mon neveu : et si on lui demandait un miracle ? Mais j’ai pensé que cela faisait peut-être trop de « religion » car ma foi a tendance à déborder d’une façon qui pourrait être perçue comme excessive (Camille et sa mère, ma nièce, ne sont pas baptisés).
Puis Camille me fit remarquer qu’il y avait des objets l’intérieur du véhicule. Intrigué, je réussis à les extraire. Il y avait plusieurs soldats en plastique, et un en métal visiblement d’une époque plus ancienne et représentant… un canonnier de la Première Guerre mondiale.
J’ai trouvé sur internet une brève histoire de ce 22e régiment d’artillerie durant la Grande Guerre, voir le lien. J’en ai extrait le récit du 24 juin 1917, jour du décès d’Ernest Arnoux, qui (d’après ce texte) était « Canonnier servant ». Son nom figure en bas de la page dans la catégorie : Liste des militaires morts aux armées par suite de blessures.
Après quinze jours de repos, le 22e est envoyé renforcer l’A. D./13, pour la préparation d’une attaque du fort de la Malmaison, à l’aile ouest du Chemin-des-Dames.
A partir du 29 mai, les batteries entreprennent l’aménagement de positions rapprochées des premières lignes au nord-est de Condé-sur-Aisne ; mais, le 1er juin, on abandonne ce projet d’attaque qui sera repris en octobre.
Les trois groupes rejoignent le 7 juin la 6e D. I., qui a pris la veille le secteur de Vailly. Là, les attaques allemandes sont répétées, suivies de contre-attaques qui multiplient les alertes. Nos batteries subissent quotidiennement de gros bombardements.
Le 24 juin, une pluie d’obus toxiques et lacrymogènes tombe toute la nuit. On a signalé notamment 10.000 coups de 15 dans le ravin de Rouges-Maisons où est le 3e groupe.
L’aspirant de la lre batterie étant légèrement blessé, le jeune brigadier Brière, 18 ans, court au poste de secours appeler les brancardiers ; le bombardement redouble ; il n’en revient pas moins vite à son poste dès que lés soins sont assurés; en route, un éclat d’obus le blesse mortellement.
Vers 22 heures, le lieutenant-colonel s’entretient par téléphone avec le sous-lieutenant Arrêteau, de la 5e batterie, qui est de service dans un P. C. d’infanterie.
Le colonel d’infanterie prend l’appareil et s’écrie : « Ce que ne vous dit pas votre lieutenant, c’est qu’il vient d’être blessé sérieusement par un éclat d’obus ; il prétend ne pas quitter son poste. »
Et le sous-lieutenant Arrêteau reste là pendant toute cette nuit d’agitation.
Nous avons, pour la première fois, pas mal de chevaux intoxiqués pendant les ravitaillements. Il leur faudra aussi de bons masques. Pour les hommes, l’emploi est maintenant tout à fait dans les mœurs. Tout le monde sait que, sous ces bombardements terribles, un homme sans masque est condamné à mort.
Bénir les tombes
Extrait de mon livre autobiographique : Une vie dans le surnaturel.
J’ai réalisé cet exercice plusieurs fois, et en voici un souvenir marquant. J’avais fait cela un dimanche matin, avant d’aller à l’église, et lors de la messe qui suivit, j’avais l’impression que tout le cimetière y assistait et je ressentais très clairement les bienfaits que cette bénédiction leur avait apportés. En réaction, le lendemain, lors de ma pause déjeuner dans un parc, une grâce s’est abattue sur moi. J’avais le sentiment d’être dans la Jérusalem Céleste.
Ce qui m’a le plus marqué de cette expérience mystique, c’était la notion d’éternité, c’est-à-dire, plus aucune contrainte de temps ! (…)
29 septembre 2013. Alors que je bénissais les tombes depuis au moins 45 minutes, j’ai senti au fond de moi que je devais écourter cette bénédiction. J’arrivais donc avec 30 minutes d’avance à la messe, dans une église que j’avais repérée sur internet, mais que je ne connaissais pas.
Je me suis dit : « je vais faire 30 minutes d’adoration ».
Et durant cette adoration, (j’avais l’impression que tout le cimetière était derrière moi) j’ai senti que c’était par mon cœur que je pouvais être relié au cœur de Jésus. Comme si mon cœur était un organe de communication. Cette sensation était très nette en moi.
Pendant toute cette adoration, j’étais cœur à cœur avec Jésus, et en sortant de la messe, encore imprégné de cette révélation intérieure, de ce ressenti, je me suis retrouvé avec surprise en face de ce panneau (image ci-dessous).
Cette église s’appelait : Église du Sacré-Cœur.
Comment bénir les tombes dans un cimetière
Texte extrait de mon ancien site
(Vincent, 22 septembre 2013) Voici une vidéo pour mieux vous expliquer. Je ne bénis pas toutes les tombes (cela prendrait trop de temps) mais uniquement les personnes décédées récemment (de 1 à 15 ans). Je pars du principe que les personnes décédées depuis un certain temps ont de fortes chances d’être déjà au Ciel.
Je parcours le cimetière de long en large, de façon à englober tout le monde et je fais régulièrement des bénédictions générales comme sur la vidéo. J’essaie de me laisser guider par l’Esprit Saint.
Durant ce dimanche matin 22 septembre (de la vidéo), alors que j’étais au cimetière, une petite pluie ultralégère et fine (bruine) c’est déclenché durant quelques minutes, ce qui m’a surpris car la Région parisienne n’est pas une région à bruine, j’ai eu le sentiment que c’était Dieu qui m’aidait en bénissant globalement les tombes.
Je fais généralement ces bénédictions de cimetière juste avant d’aller à la messe.
Les Pauvres Âmes en veulent sur chaque tombe
Révélation de Maria Simma (Autriche 1915-2004)
Comment l’eau bénite peut-elle nous aider, nous et les Pauvres Âmes ?
Il faudrait toujours avoir de l’eau bénite dans nos maisons ou nos appartements. Nous devrions nous en servir régulièrement. Si quelque chose d’inquiétant se produit ou qu’un grand péché y est commis, il faudrait asperger l’espace avec de l’eau bénite. C’est une grande protection contre Satan.
Les Pauvres Âmes en veulent sur chaque tombe et elles se réunissent et nous aident lorsque nous nous en servons souvent. L’eau bénite nous permettra aussi de savoir rapidement si une activité est démoniaque ou non. Les démons la fuient et la paix revient lorsque nous l’utilisons. Des études prouvent également aujourd’hui que l’eau bénite protège aussi contre les radiations dangereuses.
De quelle autre manière le fait d’avoir sur nous un objet béni par un prêtre peut-il être une protection dans la vie courante ?
Les prêtres devraient revenir le plus possible à la bénédiction. Ce qui devrait inclure la bénédiction des foyers, des récoltes, des voitures et de toutes les entreprises. Ce serait une bonne idée de bénir tout le sel qui va être utilisé pendant l’hiver pour éviter la glace sur les routes. Cela diminuerait considérablement le nombre des accidents et profiterait à tout le monde.
Autres chapitres :
Les funérailles
Indulgence plénière pour les défunts