Éternellement uni à votre Ange.
Message de Dieu – Sœur Beghe – Le 29 octobre 2025 – Lire le message sur le site d’origine.
Mes très chers Enfants, Je vous ai souvent expliqué le monde invisible et la vie après la mort terrestre. Vous avez lu les Évangiles et vous connaissez la narration de l’institution de l’Eucharistie : Ma Sainte Passion ; Ma Mort sur la Croix, cet instrument cruel et inique de torture ; Ma descente aux Enfers ; Ma Résurrection stupéfiante suivie, 40 jours plus tard, de mon Ascension au Ciel qui est ma Demeure et votre Demeure, lorsque, devenus saints, vous y séjournerez pour la longueur incalculable de l’Éternité, dans un Bonheur inexplicable tellement il vous dépasse mais dont vous jouirez parfaitement.
Je leur unissais à chacun un Ange, sans qui ils n’auraient pu connaître Dieu.
Au début de l’humanité, j’avais pris soin de préserver un coin terrestre de paradis, protégé par mes Anges, à l’abri des démons qui, suite à la révolte de Lucifer, avaient déjà envahi la terre. Adam fut créé dans ce paradis, protégé de tout mal, et Ève fut créée à partir de lui, afin que leur humanité soit une, semblable et de même composition.
Je leur unissais à chacun un Ange, leur Ange gardien, sans qui ils n’auraient pu connaître Dieu. L’Ange était l’esprit créé dans l’Éternité, tandis que leur âme était créée dans le monde invisible et leur corps dans le monde visible.
L’homme était donc composé de ces trois éléments : corps – âme – ange (esprit), lesquels profondément unis étaient destinés au Ciel, à l’image et à la ressemblance de Dieu.
Le catéchisme vous apprend que l’homme a été créé à l’image et à la ressemblance de Dieu et il en fut ainsi. Les Anges furent créés dans l’Éternité, c’est pourquoi la révolte de Lucifer fut si terrible et sa condamnation éternelle.
Les âmes et les corps, créés dans les mondes invisible et visible, sont destinés à Dieu et reçoivent la grâce de l’immortalité pour l’âme, et la grâce de la résurrection pour le corps.
– S’ils ne sont pas fidèles à la grâce, les âmes reçoivent la condamnation de l’Enfer puisqu’elles sont immortelles, et les corps la putréfaction du tombeau puisque mortels.
– Si les hommes sont fidèles à la grâce, ils deviennent par le baptême les enfants adoptifs de Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit, et jouissent pour l’éternité de sa Présence, de son Amour et de son Bonheur.
L’unité en Dieu de la Très Sainte Trinité.
Je suis Dieu le Fils, je me suis incarné et vous me connaissez pour ce que je suis. Je suis Dieu et Homme, Dieu et Fils, Dieu éternel et par Moi toute chose a été faite : « Tout a été fait par Lui, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans Lui. En Lui était la vie et la vie était la lumière des hommes. » (Jn 1, 3-4).
L’unité en Dieu de la Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, est bien connue de tout catholique ; l’unité divine et la trinité des Personnes lui sont bien connues aussi. Il n’y a qu’un seul Dieu et « Dieu est un pur esprit, infiniment parfait, souverain Maître du ciel et de la terre, origine et fin de toutes choses » (réf. Catéchisme à l’usage de tous les diocèses de Belgique, 1962).
Pourquoi dit-on que Dieu est un pur esprit ? demande encore le catéchisme. Réponse : On dit que Dieu est un pur esprit parce qu’il n’y a rien en Lui que nous puissions percevoir par nos sens et qu’il est absolument indépendant de la matière.
Le catéchisme demande et répond à la question suivante : « Qu’est-ce que les Anges ? » Réponse : « Les Anges sont de purs esprits, créés par Dieu pour Le louer, Le servir et jouir eux-mêmes du bonheur du Ciel. »
Et le catéchisme dit plus loin : « Dieu a donné à chacun de nous un Ange gardien qui nous protège dans les dangers de l’âme et du corps, spécialement dans les tentations, il nous excite au bien, offre nos prières à Dieu et prie pour nous. »
Offrant à Dieu les prières des hommes, ceux-ci ne peuvent aller à Lui que par son intermédiaire et c’est par lui que les hommes peuvent connaître Dieu. Le corps a besoin de l’âme pour vivre spirituellement et se sanctifier, et l’âme a besoin de l’Ange pour connaître, aimer et servir Dieu.
Les animaux n’ont pas d’Ange gardien.
Les animaux ne peuvent connaître et aimer Dieu parce qu’ils n’ont pas d’Ange gardien qui leur serait spécialement attribué et à qui ils seraient unis. Il s’ensuit que l’Ange gardien, qui peut être de toutes les hiérarchies car ils sont tous de purs esprits, sont profondément attachés à l’âme et au corps qui leur sont confiés. Ils y sont même si profondément unis que Moi, le Seigneur, Je dis que l’homme est constitué de trois éléments, le corps, l’âme et l’esprit, de même que Moi-même sur la terre J’étais Corps-Âme-Dieu.
Par cette union corps-âme-esprit, les hommes sont créés à mon image et à ma ressemblance de même que Moi, votre Frère Aîné ressuscité, j’étais sur la terre Corps-Âme-Esprit, et je le suis éternellement.
Telle et ma Personne divine.
Je suis le Fils du Père Éternel, et en tant que Fils, J’ai tout reçu de Lui : l’héritage, la nature et l’Être. Je suis Dieu et Je suis Homme ressuscité, c.à.d. Corps glorieux-Âme-Esprit, et comme Fils de Mon Père, Je suis de même nature que Lui qui donc est aussi Corps glorieux-Âme-Esprit.
Dieu le Père est comme son Fils, puisque le Père transmet à son Fils ce qu’Il est, et ceci explique ma phrase à mon apôtre Philippe : « Qui M’a vu a vu le Père (…) Je suis dans le Père et le Père est en Moi » (Jn 14, 9-10).
Par ma Résurrection, Je me suis montré à vous tel que Je suis dans le Ciel : agile, fulgurant, lumineux, composé de mon Corps glorieux, de mon Âme inséparable de mon Corps et de mon Esprit qui est Dieu. Telle et ma Personne divine, telle est aussi la Personne divine du Père de qui Je suis engendré et tel est le Saint-Esprit, 3e Personne de la Sainte Trinité, chacune étant « Personne divine » à part entière c.à.d. Corps Glorieux, Âme Immaculée et Divin Esprit.
Et vous, ses enfants adoptifs, qui me rejoindront au Ciel par grâce et par sainteté, vous serez de la même nature que chacune des Trois Personnes de la Très Sainte Trinité, c.à.d. corps glorieux-âme-esprit parce qu’éternellement uni à votre Ange de qui vous aurez la personnalité, la connaissance et les caractéristiques.
Que le Nom de Dieu soit béni parce qu’Il vous donne une telle connaissance, un tel avenir et un tel Bonheur. Au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il. Votre Seigneur et votre Dieu
Chapitres complémentaires :
Les Anges gardiens
Les dons mystérieux de l’être l’humain
Journal de méditation chrétienne
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Lire le site : l’Âme dans l’œuvre de Maria Valtorta
Dieu ne nous a pas laissés seuls
Extrait du livre de Philippe Encausse : Le maître Philippe de Lyon. Thaumaturge et “Homme de Dieu“. 1954. Ce livre est consultable en ligne.
Le Maître Philippe n’a pas laissé d’enseignements écrits. Mais par contre il a donné pendant de nombreuses années des « enseignements » oraux pieusement recueillis par un certain nombre de fidèles. Ces textes sont donc des témoignages apportés par des tiers et non comme un travail manuscrit du Maître.
L’âme a été créée, et pourtant elle est de toute éternité, puisqu’elle émane de Dieu, qu’elle en est une étincelle.
Il faut absolument croire à l’immortalité de l’âme ; que Dieu ne nous a pas laissés seuls ; tout ce qui arrive, c’est par sa volonté ; qu’il nous a donné une âme qui part de Lui et qui est en nous.
L’âme est un souffle, une parcelle de Dieu qui ne peut pécher. C’est donc l’esprit qui pèche avec ou sans l’assentiment du corps.
Il ne faut pas médire. C’est offenser Dieu car le prochain a, en lui, comme nous, une étincelle de Dieu.
Celui qui jette une pierre au prochain se la jette à lui-même. Soyez un puits pour les fautes d’autrui. Il ne faut pas dénoncer, et si vous savez quelque chose qui puisse faire condamner, il faut l’oublier. Il ne faut pas parler des autres en leur absence, et encore moins en dire du mal.
Dieu est en nous ; notre âme en est une étincelle.
Le corps tourne autour de l’âme comme la terre tourne autour du soleil. L’âme doit être forgée par la souffrance jusqu’à ce qu’elle devienne assez éclatante pour supporter la lumière de Dieu.
Dieu est en nous ; notre âme en est une étincelle.
En l’Homme il n’y a que deux éléments : l’Âme et la matière. L’une vient de Dieu ; elle est de Dieu même ; donc la dignité de votre être ne saurait être méconnue. Soyez fiers d’appartenir à ce Dieu si grand, si bon.
Dieu a mis sur notre route ici-bas tout ce que nous pouvons désirer et tout ce dont nous avons besoin pour lutter, c’est-à-dire pour nous libérer nous-mêmes de ce boulet que nous traînons depuis le commencement…
L’âme est d’essence divine, elle est la perle de la création.
Messages de Jésus donné à Françoise le 30 mai 1995. Extrait du livre : Messages de conversion de cœurs, Tome 1. Éditions du Parvis.
Si tu le désires, j’utiliserai le nom de ton baptême, ici : “Françoise” ; ceci pour te donner ce message où je désire te parler du “moi”. Tu me demandais tout à l’heure si le “moi” était toujours mauvais. Eh bien non, il ne l’est pas lorsque le Christ que je suis vit en toi, car alors je t’unis à Moi.
Il l’est lorsque le démon s’empare de ce “moi” pour l’attirer dans le péché. Le « moi », « seul » n’existe pas : toi, Françoise, tu vis en moi, le Christ, parce que tu as choisi de m’aimer. Alors, peu à peu, j’extirpe tout ce qui me chagrine en toi. As-tu peur que je vive en toi et que tu n’aies plus le droit de ne rien dire ? Alors je vais t’expliquer ! Car tu me fais sourire.
L’âme a le choix entre le bien ou le mal ; en cela, elle est libre d’être heureuse ou malheureuse : si elle choisit de vivre en Dieu, elle se donne à Moi, de tout son cœur pour que je lui apporte le bonheur : c’est elle qui choisit cela, ce n’est pas moi qui lui impose ! Alors comprends que lorsque l’âme a le désir de vivre en Dieu, je l’unis entièrement à moi, le Christ, dans mon Sacré-Cœur, car elle souhaite cela : aimer et être aimée = vivre en Dieu.
Lorsque le Créateur a créé l’âme, il l’a faite avec le désir infini de l’aimer.
Et tu me dis : Que fais-tu alors si c’est toi, Jésus, qui vit en moi ? Je n’ai plus à exister ?
Alors je te dis : si la créature humaine n’existait pas, je ne m’unirais pas aussi fort à elle, et je ne serais pas mort sur la Croix pour la sauver. Alors ? Eh bien écoute :
Lorsque le Créateur a créé l’âme, il l’a faite avec le désir infini de l’aimer, en la rendant sublime de par son union avec lui-même. Pourquoi le Créateur éternel a-t-il « besoin » de l’Âme à ce point ? Parce que l’âme est une merveille, vraiment.
L’âme est d’essence divine ; elle est riche de tout ce que je lui ai donné comme nuances, la rendant distincte de tout autre au monde. L’âme est la perle de la création. L’âme, c’est le désir d’aimer, propre à chacune. Dieu est Amour : en créant l’âme, il a créé le désir d’aimer avec d’infinies nuances, en chaque être. Quand l’âme se « rend compte » de ce qu’elle est (une merveille créée pour l’amour), elle désire s’unir à celui qui lui a donné d’être si belle. Elle désire l’union intime avec Dieu, afin de « devenir » de par sa liberté, ce pourquoi Dieu l’a créée. En étant unie à Dieu, en Lui, elle découvre le bonheur éternel. Le « moi » de l’âme n’est donc que la liberté de l’être humain.
Si toi, Françoise, tu choisis de vivre en Jésus-Christ que Je Suis, ton « moi » devient un avec « le mien » qui est, car ton âme « s’installe » alors dans sa source, qui est Dieu.
Si l’âme ne désire pas retrouver Dieu – puisqu’elle est libre – c’est qu’elle se donne à Satan qui la tente et essaie de l’attraper. Et à ce moment-là, son « moi » se développe dans l’égoïsme, la solitude, l’orgueil : en bref, tout ce qui vient de Satan. Ce « moi » -là devient union avec le mal.
Ce n’est donc encore pas un « moi » propre à l’être. Tout ce que tu penses, dis, ou fais, vient de Dieu ou de Satan ; rien ne vient de toi seulement, comprends-tu ?
Par contre, ton âme, avec ses nuances propres, « accommode » ce qu’elle reçoit et accepte, et c’est ce qui fait sa beauté merveilleuse lorsqu’elle veut vivre en Dieu, ou sa laideur si terrible lorsqu’elle accepte le démon.
L’âme : c’est le désir d’aimer. Lorsque ce désir n’est plus, l’âme est morte. Le « moi », c’est ta liberté de choix avec les nuances merveilleuses que le Créateur t’a données.
Voilà ! C’est tout et c’est beaucoup, ce que je t’ai dit aujourd’hui. Je t’aime et te bénis. Jésus le Christ.
Quand l’âme est-elle placée dans l’homme ?
Thème inspiré par le chapitre sur l’Âme du site : maria-valtorta.org.
Jésus, dans Maria Valtorta, affirme que l’âme n’est insufflée qu’au fœtus et non à l’embryon, soit après les huit semaines de conception si l’on en croit la science contemporaine.
Jésus récapitule cet enseignement dans son discours inaugural à la « Belle-Eau » au commencement de sa vie commune avec les apôtres. Il souligne qu’au terme de cette gestation, il y a le sublime destin des fils de Dieu : Le texte ci-dessous est extrait de la page EMV 118.
La vie ne commence pas avec l’existence et ne prend pas fin en même temps que la chair. La vie, dont je parle, ne commence pas dans un sein maternel. Elle commence quand, dans la Pensée de Dieu, naît, créée par Lui, une âme faite pour habiter une chair. Elle prend fin quand le péché la tue.
D’abord, l’homme n’est qu’une semence qui se développe, semence de chair au lieu de gluten ou de moelle comme l’est celle des blés ou des fruits. Tout d’abord, ce n’est qu’un animal qui se forme, un embryon d’animal pas différent de celui qui maintenant grossit dans le sein de cette brebis.
Mais à partir du moment où, dans cette conception humaine, pénètre cette partie incorporelle, et qui cependant est la plus puissante dans son incorporéité qui l’élève, voilà qu’alors l’embryon animal, non seulement existe avec les pulsations de son cœur, mais « vit » selon la Pensée Créatrice, et devient homme, créé à l’image et à la ressemblance de Dieu, fils de Dieu, futur citoyen du Ciel. (…)
La vie ne commence pas avec l’existence et ne se termine pas quand la chair prend fin. La vie commence avant la naissance. La vie, ensuite, n’a plus de fin, car l’âme ne meurt pas, c’est à dire ne s’anéantit pas. Elle meurt à son destin qui est céleste, mais survit à son châtiment, si elle l’a mérité. Elle meurt à ce bienheureux destin quand elle meurt à la Grâce. (…)
Avons-nous des devoirs envers la vie ? Oui, c’est un don de Dieu. On doit employer et conserver avec soin tout don de Dieu, car c’est une chose aussi sainte que Celui qui la donne. Useriez-vous mal du cadeau d’un roi ? Non. Il passe aux héritiers et aux héritiers des héritiers comme une gloire de la famille.
Lucifer n’a pas d’âme, car Je n’ai pas accordé d’âme à mes Anges.
Message du Ciel donné à Linda Noskewicz – Lundi 27 mai 2024.
(…) Sachez, mes Enfants Bien Aimés, que Satan connaît mon Pouvoir et sait que Je tiens fermement chacun de vous, parce que vous êtes mes Enfants Très Bien Aimés. Il a le sentiment que Je l’ai supplanté parmi vous en tant que mes Créatures les plus Bien-Aimées, mais c’est faux. Satan, Lucifer autrefois angélique, s’est voué lui-même et ceux qui étaient avec lui à l’enfer parce qu’il a daigné penser qu’il pourrait s’élever au-dessus de Moi.
Ainsi, la bataille pour vos âmes a commencé. Et c’est sa plus grande plainte et sa plus grande colère. Car Je vous ai donné, mes Bien Aimés, des Âmes.
Lucifer n’a pas d’âme, car Je n’ai pas accordé d’âme à mes Anges. Pourtant, ils ont le libre arbitre et Lucifer est donc tombé. Mes enfants, vos âmes sont désespérément importantes et précieuses parce que Je vous ai créés à Mon Image à travers vos Âmes.
Enfants, je veux avant tout que vos Âmes reviennent à Moi de votre plein gré. L’amour ne peut être forcé, de peur qu’il ne devienne un esclavage. Alors, j’attends et aspire à votre amour et à votre attention. Je vous appelle, j’ai soif de vous et je vous envoie tant de signes de mon affection. (…)
Question à l’IA ChatGPT : Les Anges ont-ils une âme ?
Dans la théologie chrétienne, les Anges sont des êtres spirituels créés par Dieu. Ils sont considérés comme des esprits purs sans corps physique. La notion d’âme telle qu’elle est appliquée aux êtres humains, qui sont des êtres corporels et spirituels, n’est généralement pas appliquée aux Anges de la même manière. Les Anges n’ont pas une âme humaine, mais ils ont une intelligence et une volonté.
Le judaïsme décrit les Anges comme des messagers de Dieu. Ils sont des êtres spirituels sans corps physique. Comme dans le christianisme, les Anges ne sont pas perçus comme ayant une âme humaine, mais sont plutôt des entités spirituelles créées par Dieu.
En résumé, dans les grandes traditions monothéistes, les Anges sont généralement considérés comme des esprits purs et ne possèdent pas d’âme au sens humain du terme. Ils sont des créations divines avec des rôles et des natures spécifiques qui diffèrent de celles des êtres humains.
Message de Jésus donné à la Fille du Oui à Jésus – 16 septembre 2012.
Oui, il y a en nous une force que nous ne contrôlons pas ; elle est là en nous et c’est notre âme. Elle appartient à Dieu et pas à nous. Oui, il nous a donné une âme et c’est Dieu qui la nourrit, ce n’est pas nous.
Dieu nous a donné de l’amour par l’âme et c’est par l’âme que nous recevons ce dont nous avons besoin pour en prendre soin. Prendre soin de notre âme, c’est vouloir de l’amour pour ce que nous sommes devant Dieu et devant nous, ainsi notre prochain peut recevoir ce que lui ne sait pas, car son âme est à Dieu. C’est Dieu qui la lui a donnée.
Je sépare, l’Âme de son « Ange » lorsqu’elle est condamnée à la peine éternelle.
Message de Dieu donné à Sœur Beghe – Samedi 15 avril 1995 – Explication relative à l’être humain, représenté en sa perfection par Notre Seigneur Jésus Christ
L’Esprit de Dieu habite en Jésus Christ à tel point que Jésus Christ est Dieu incarné. L’homme étant créé à l’image de Dieu, un pur esprit habite en tout homme et vient s’ajouter à l’âme qui est, elle aussi, en tout homme.
Saint Paul, dans sa première épître aux Thessaloniciens, écrit » que votre être entier, l’esprit, l’âme et le corps, soit gardé sans reproche » (1 Tb 5, 23).
Pour confirmer l’absence de confusion en la pensée de saint Paul au sujet de la différence entre l’âme et l’esprit, il convient de citer aussi « la parole de Dieu, efficace et vivante, tranche plus sûrement qu’aucune épée à deux tranchants, et pénètre jusqu’à séparer l’âme de l’esprit‘. (He 4, 12).
Le Seigneur : Je sépare, en effet, l’âme de son « Ange » lorsqu’elle est condamnée à la peine éternelle.
J’ai dit à mes apôtres : « J’ai encore beaucoup de choses à vous dire que vous ne pouvez pas porter maintenant » (Jn 16, 12) et Je leur ai promis l’assistance, dans le temps, de l’Esprit qui leur enseignera toutes choses L’Évangile de saint Jean dit : « L’Esprit de vérité, quand Il viendra, vous conduira vers la vérité tout entière » (in 16., 13).
La promesse est faite d’accéder à la vérité tout entière. Or, dans la foi catholique, des mystères nombreux et imperméables subsistent. (…) Je prépare la terre à recevoir la connaissance que de tout temps et de toute éternité J’ai prévu qu’elle ait, J’ai réservé la connaissance de l’âme et de ses origines pour des temps ultérieurs à cause de l’incapacité de la science, dans le passé, de corroborer cette connaissance.
À présent la science a découvert des aspects qu’elle ignorait et qui ne lui étaient pas accessibles à l’époque où seule la foi était en progression.
J’ai l’absolue certitude que la colonne de lumière était réellement moi, le moi pur, l’essence même de tout ce que je suis.
Vincent : Ce témoignage est vraiment unique et je vous conseille de le lire avec soin. Il concorde parfaitement avec les autres messages de ce chapitre.
Un extrait du livre de William Buhman : Voyage au-delà du corps. Journal du 24 octobre 1992
Je répète mon affirmation préférée à haute voix durant cinq à dix minutes : « Maintenant, je sors de mon corps ». Alors que je m’endors, j’intensifie les affirmations dans ma tête. Je me réveille avec la sensation de fortes vibrations déferlant partout dans mon corps. Je concentre immédiatement toute mon attention sur l’idée de flotter jusqu’à la porte de ma chambre.
Quelques secondes plus tard, je me sens m’élever et flotter jusqu’à la porte. Puis, avec un sentiment d’euphorie, je traverse la porte et me retrouve dans le salon. Tandis que je regarde autour de moi, je me rends compte que je suis dans mon premier corps d’énergie (le plus dense) et j’éprouve soudain une irrésistible envie d’explorer. Criant presque, je demande avec fermeté : « Je veux en voir plus. » Instantanément, une sensation de mouvement rapide m’attire à l’intérieur de moi. J’ai l’impression d’être aspiré dans un espace vide et, au bout de quelques secondes, je me retrouve dans un nouvel environnement.
Je suis saisi de surprise et aveuglé par l’intensité de la lumière environnante. Lorsque je tente instinctivement de me protéger de la radiation, je réalise que mon corps est sans forme — pas de bras ni de jambes, seulement de l’énergie. J’essaie de comprendre que je n’ai absolument aucune forme. Je ressemble à de la lumière sans forme extérieure distincte. Ma vision porte à l’infini. L’énergie pure émane de partout autour de moi ; il n’y a pas une seule forme visible, seulement le rayonnement de la lumière.
Je suis attiré par ce qui m’apparaît être une colonne de pure lumière blanche. Alors que je m’approche de la lumière, l’incroyable puissance de son rayonnement devient irrésistible. J’arrête et tente de m’y ajuster. L’énergie est si intense que j’ai l’impression que les parties extérieures de mon être sont brûlées une à une. Mon moi extérieur entier — mes pensées, peurs et concepts — est incinéré par la lumière.
Ma première réaction est de tenter de me protéger. Je m’entoure de pensées pour ensuite me rendre compte qu’elles sont elles aussi réduites à néant par l’intensité de la lumière. Incertain de ce qu’il faut faire, je m’abandonne d’instinct à la lumière. À cet instant précis, la lumière se met à entrer en moi tel un liquide chaud pénétrant en mon corps et mon esprit. Mon être entier est rempli de cette lumière et chaque partie de moi semble vibrer à une nouvelle fréquence. Je me détends et jouis de la sensation d’énergie pure circulant partout en moi.
Au fond de moi, j’ai conscience d’être devant quelque chose d’une extrême importance. Il y a autre chose au sein de la colonne de lumière. Ma peur s’étant désormais dissipée, j’éprouve l’irrépressible désir de connaitre et comprendre la lumière. Je m’approche un peu plus et tente de regarder à l’intérieur. Il n’y a pas de mots pour décrire l’énergie et la puissance pures qui en émanent ; j’ai l’impression d’être à côté d’un ardent soleil blanc d’où s’irradient de puissantes ondes lumineuses. Conscient de ne courir aucun danger, je m’approche lentement et touche la lumière. Un intense flux d’énergie circule à travers l’ensemble de mon être. Je suis soudain immergé dans un océan de pure connaissance. Je suis inondé de souvenirs représentant tout ce que j’ai été, tout ce que j’ai fait, tout ce que je suis. Tout existe dans l’instant présent.
Je suis ébloui par l’absolue simplicité de tout cela. Tout est parfaitement clair. Ce que nous sommes et tout ce qu’il nous faut est déjà ici. Pour la première fois, je reconnais que nous nous sommes séparés de notre source. Nous sommes vraiment idiots. Nous focalisons notre conscience sur des formes moléculaires en voie de décomposition alors que la vraie réalité est toujours là, attendant patiemment que nous soyons prêts à ouvrir nos yeux et à voir. Un sublime sentiment d’amour, un profond sentiment de compassion pour tout ce qui existe se répand dans tout mon être. Je réalise que nous sommes tous interconnectés dans un océan de lumière vivante. La séparation que nous éprouvons n’est que l’illusion dense de la forme moléculaire.
Est-il possible que nous soyons réellement cette incroyable force ?
Ma conscience s’anime avec la réalisation que mon esprit et ses facultés ne sont qu’un autre véhicule temporaire d’expression. Nous existons au-delà de la pensée, au-delà du temps, au-delà du mécanisme linéaire de cause et d’effet. Je suis submergé par d’incessantes vagues de pure connaissance. Mon esprit est rempli bien au-delà de ses limites et je me rends compte que c’est plus que ce que je ne pourrai jamais espérer arriver à me souvenir. Je crie de toutes mes forces : « Je vais me souvenir de tout cela. » Instantanément, je suis ramené dans mon corps et j’essaie d’ouvrir les yeux. Je suis incapable de bouger et comprends que je suis dans un état cataleptique.
Lentement, je commence à sentir un engourdissement et des fourmillements se répandre dans tout mon corps physique. Au bout d’environ une minute, je peux commencer à remuer les doigts et les orteils. Je reste étendu sans bouger et passe l’expérience en revue dans l’émerveillement le plus complet. J’ai l’absolue certitude que la colonne de lumière était réellement moi — pas seulement une autre partie de moi, mais le moi pur, l’essence même de tout ce que je suis. Est-il possible que nous soyons réellement cette incroyable force ? (…)
Le Seigneur m’a montré les profondeurs de mon âme.
Message reçues par Alice Lenczewska (1934-2012) Extrait du livre Exhortations.
18 janvier 1996 – Le Seigneur m’a montré les profondeurs de mon âme. Il s’y trouve un espace intérieur et infini, d’une autre dimension que celle dans laquelle nous existons, nous et le monde.
C’est un espace en dehors de la matière et du temps – c’est Dieu infini dans l’âme humaine. En Lui – révélé sous forme d’espace infini – se trouve tout ce qui existe maintenant, autrefois et dans l’avenir : la totalité de l’univers matériel et spirituel dans son présent et dans son flux.
Tout comme les atomes dans la matière, nous nous y trouvons depuis le début de notre existence, jusqu’à l’infini.
Quand on est dans ces profondeurs intérieures de l’âme, on « voit » tout et on connaît tout dans la vérité, comme de l’extérieur : soi-même, les situations passées ou futures, on voit tout cela à la mesure de notre pureté et de notre immersion dans cet espace intérieur de Dieu dans notre âme, et dans la mesure où Il veut nous le montrer – pour notre croissance intérieure ou pour une tâche envers les autres.
Il est impossible d’exprimer dans les catégories de l’intelligence humaine, et d’autant plus dans les catégories du langage, le fait d’être en Dieu comme un grain de sable dans l’océan, et en même temps qu’Il demeure en moi avec tout ce qui, en Lui, est éternel et infini, ou bien temporaire et passager.
On ne peut pas transmettre à l’aide de paroles ce que l’on peut connaître en se plongeant en Dieu dans son âme avec Sa grâce.
Jésus : Mon enfant, viens à moi et demeure avec moi dans le sanctuaire de ton âme. C’est là que Je désire t’avoir et te combler de moi. Tout ce que tu fais dans le monde extérieur et dans ton coeur devrait avoir cet unique objectif. Et tout ce que tu fais et offres à tes proches devrait avoir pour objectif qu’ils s’approchent de moi dans leur âme.
Le retour à la réalité extérieure apporte avec lui la force qui provient du séjour dans l’intérieur de l’âme en Dieu, de la distance que l’on a prise avec tout ce qui est matériel et limité dans le temps. C’est une nouvelle énergie qui renouvelle l’âme et le corps, la conscience de Dieu qui est en moi et dans Lequel je suis. Rien d’autre n’a d’importance. C’est comme si l’on entrait dans une autre dimension de l’existence.
Pour que cet état soit durable, il est nécessaire de trouver le silence et la solitude, pour revenir vers l’intérieur de l’âme et y demeurer avec le Seigneur. Ensuite, le Seigneur donnera la grâce de faire durer cet état indépendamment des conditions extérieures. Cet état deviendra une disposition permanente de l’âme et il dominera l’intelligence et les sens.
L’âme désire la sainteté et les choses célestes, elle s’efforce d’être avec moi au Paradis.
Message de Jésus à John Leary (USA) 10 avril, 2013.
Jésus : Mon peuple, vous êtes faits à mon image avec un corps et une âme. Le corps est l’enveloppe physique qui contient l’esprit de l’âme.
Les désirs du corps sont toujours en luttent contre les désirs de l’âme. Votre corps est faible au péché à cause des conséquences de la rébellion d’Adam contre moi. C’est pourquoi le corps a besoin de tout le confort et les plaisirs de la chair. L’âme est tout le contraire parce que l’Esprit est à la recherche de la paix de son Créateur.
L’âme désire la sainteté et les choses célestes. C’est pourquoi la souffrance de la condition humaine est un combat, en raison de la lutte entre le corps et l’âme.
Vous vous demandez pourquoi il est si difficile de prier, mais c’est parce que le corps a besoin de satisfaire ses propres envies au lieu de prier. Vous devez travailler sur la maîtrise de soi et l’abnégation afin de limiter le contrôle du corps sur l’âme.
L’âme s’efforce d’être avec moi au paradis. Si l’âme est faible dans la lutte pour la sainteté, le corps pourrait conduire cette âme dans les péchés qui mènent en enfer. C’est pourquoi l’âme a besoin d’affirmer son autorité sur le corps pour suivre mes commandements et remplir ma mission pour votre vie.
Sans un fort désir spirituel de m’aimer et de me servir, vous pourriez tomber dans les tentations du diable. Soyez avec moi dans vos prières quotidiennes et allez souvent en confession, en faisant ainsi, vous gagnerez le paradis et serez avec moi pour toujours dans les cieux.
Je la vis si grande qu’elle me parut un monde des plus vastes, quasi sans limites.
Vision données à Sainte Julienne de Norwich, une mystique anglaise ayant vécu aux XIVe et XVe siècles
Seizième révélation : compréhension spirituelle La nuit suivante, notre bon Seigneur me fit la seizième révélation; elle fut comme la conclusion et la confirmation des quinze visions qui l’ont précédée.
Notre Seigneur ouvrit mes yeux spirituels et me montra mon âme au milieu de mon cœur. Je la vis si grande qu’elle me parut un monde des plus vastes, quasi sans limites.
Et au centre se trouvait Notre Seigneur, vrai Dieu et vrai Homme. Jésus prend dans notre âme une place qu’il ne quittera jamais ; nous sommes à la fois pour lui la plus intime des demeures et celle où il résidera pour toujours.
Quand l’âme entre en elle-même, elle ne peut se considérer longtemps; toute sa contemplation se fixe avec bonheur sur Dieu, son Créateur habitant en elle, car l’âme est la véritable demeure du Très- Haut et la lumière la plus brillante est le glorieux amour de Notre Seigneur.
L’âme qui voit ainsi Dieu en elle acquiert, par sa grâce, plus de ressemblance avec lui ; et il se l’unit dans le repos et la paix.
Bientôt après tout fut fini ; je ne vis rien de plus.
La bilocation.
Message donné à Giuliana Buttini (1921-2003). Extrait du livre : L’ange Clarus nous raconte le paradis. (Éditions du Parvis).
(22 septembre 1988) La bilocation est rare. Elle est donnée aux saints par Dieu dans un but précis. Voici :
le saint prie dans sa maison et en même temps, il peut être près de celui qui a besoin de lui. Le saint a conscience d’être là où Dieu l’envoie. Celui qui le voit est convaincu que le saint est vraiment près de lui. Son aspect est celui de sa personne, mais il est en extra-matière.
Dieu peut tout et cela est la preuve que l’extra-matière est plus forte, plus vive, plus active que la matière.
Après la mort, dans l’infini, le corps matériel ne peut pas devenir tout de suite extra-matière ou glorieux. Jusqu’au jugement, il est corps astral, fait de lumière, mais visible pour qui vit dans l’infini, pour les rencontres, les retrouvailles pour s’aimer à l’infini. Cette explication me parait claire et simple. Dieu peut tout, il fait pousser l’herbe, les fleurs, envoie le vent, donne vie cosmique à toute la création. Il peut faire des miracles extraordinaires, il fait toujours des miracles ordinaires. (…)
(23 septembre 1988) Vous pensez et désirez comprendre. Pour augmenter votre foi, je vous explique par la vibration de mes paroles et des sensations qui peuvent vous éclairer.
La bilocation est un miracle voulu par Dieu. Elle a un but précis et toujours d’ordre spirituel. L’homme, créé à l’image de la Trinité, son origine, est fait de trois éléments : le corps matériel, le corps de matière subtile, extra-matière première et celui d’extra-matière finale et glorieuse.
Dans la bilocation, le saint assume temporairement la matière subtile, afin que, lorsqu’il se présente, il puisse et doive avoir un aspect matériel, c’est-à-dire encore terrestre. La matière subtile ou extra-matière première est comme de la lumière. Nous les anges, faits de lumière, venus nous aussi de la Trinité, nous sommes esprit, lumière et amour, trois composantes ! Nous aussi, comme vous qui êtes créés à l’image de Dieu, qui se révèle en tout, nous sommes son reflet, et sa manifestation. (…)
Le miracle de l’amour vaincra. Les preuves du divin sont nombreuses, mais il faut les reconnaître. Il y a des miracles que peu d’hommes voient. Beaucoup veulent expliquer pour nier, sans savoir qu’ils se renient eux-mêmes. (…)
Matière épaisse, matière subtile, extra-matière glorieuse composant l’homme, car il est à l’image du Créateur : Père – Fils – Esprit. (…)
(9 octobre 1988) (…) La Trinité est dans l’homme, dans l’ange. Elle est partout. Dans l’homme : corps matériel, corps spirituel, dans l’homme complet, corps glorieux (extra-matière et esprit). Le visage, l’âme : l’être. L’être pour être.
Nous (les anges) avons été créés au-delà du temps. Attirés par la sphère, nous évoluons autour d’elle. Dieu est partout et nous, partout, nous sommes en Dieu, et avec vous !
Moi je te garde ; mes frères, vos gardiens, gardent vos œuvres, vos pensées, votre foi. Nous lisons. Vous êtes nos livres. Nous écoutons votre pensée. (…)
J’ai vu l’âme de mon fils passer par nous pour entrer dans son « enveloppe charnelle »
Voici un témoignage trouvé sur le forum Quora.
En juillet 2017, nous décidâmes mon épouse et moi que notre situation était enfin suffisante pour que nous puissions envisager d’avoir un enfant. Nous voulions être dans les meilleures conditions professionnellement, matériellement et notre relation était au top, tout était parfait. Nous commençâmes alors à avoir des relations en vue du bébé.
Le 29 août 2017, alors que nous étions partis en weekend dans une maison d’hôte en Ariège, nous nous sommes livrés à un rapport comme nous en avions pris l’habitude. Cependant, même si le rapport en lui-même s’est déroulé tout tout à fait normalement, la « fin » (plus précisément le moment où j’atteignais moi-même l’orgasme) s’est accompagnée d’un flash, d’une apparition.
J’ai vu une silhouette, une silhouette d’homme, composée d’une lumière blanche presque aveuglante mais étrangement agréable et chaleureuse, apparaissant dans un halo de couleur orange, couleur feu, apparaitre à moi.
La scène n’a évidemment duré qu’une seconde, peut-être même moins, mais j’ai très clairement vu une couleur orange occuper mon champ de vision, avec un point blanc apparaitre en son centre. Ce point a grossi de plus en plus, comme s’il s’approchait de moi, et est devenu une silhouette d’homme adulte que j’ai décrite plus haut.
J’ai alors confié à ma femme mon expérience en lui disant, instinctivement, sans savoir vraiment pourquoi j’en étais si sûr : celle-ci c’est la bonne, tu es enceinte et ce sera un garçon.
Deux semaines plus tard, le premier test que nous avons fait affichait « Vous êtes enceinte de deux semaines »… Notre enfant est né en juin 2018, et oui, c’est un garçon ! Les examens médicaux faits après ont confirmé la date approximative de la conception, mais vous savez comme moi qu’il est impossible de déterminer la date exacte de la conception médicalement.
Cela pourrait être une coïncidence évidemment, mais personnellement, je suis persuadé que j’ai vu l’âme de mon fils passer par nous pour entrer dans son « enveloppe charnelle ».
Dès le début de la conception, le bébé a une âme.
Message de la Dame de Borg en-Nadur (Malte), donné à Angélik Caruana au cours du Rosaire du 8 février 2012
Mes chers enfants et mes enfants, ceux de mon cœur !
Dès le début de la conception, le bébé a une âme. Nul n’est autorisé à mettre fin à la vie du bébé, même si certains disent qu’il ne naîtra pas en bonne santé ou sera anormal. Personne n’a le droit de mettre fin à la vie d’une personne. (…)
À vrai dire, j’ai un travail particulier à confier à chacun de vous pour les jours qui vous restent. Si vous acceptez de me dire oui, je serai plus tranquille, sachant que cette tâche sera menée à bien et que des âmes – le nombre défini d’âmes qui dépendent de votre travail – pourront être sauvées. Mon enfant, viens à moi et accomplis mon œuvre.
Que deviennent les enfants morts avant la naissance.
Message de Jésus reçu le 16 décembre 2005… Par Monique Marie
Continue ma bien aimée, parle à tous ceux dans les familles desquels il y a eu un avortement, car ceux là souffrent sans savoir pourquoi. On leur a, la plupart du temps, caché le ou les avortements qui ont précédé ou suivi leur naissance.
Et ils ont en eux-mêmes un constant désir de mourir, une dépression latente qu’ils ne peuvent exprimer, puisque autour d’eux tout semble normal, tous semblent jouir de la vie. Il faut que tous les jeunes qui sentent cette tristesse au fond d’eux-mêmes osent demander à leurs parents s’il n’y a pas eu d’avortement avant leur naissance dans leur famille, ou s’il n’y a pas eu une fausse-couche dont on ne leur a jamais parlé.
Ils doivent savoir. Car s’il y a eu un avortement, la profonde tristesse qu’ils ressentent ne vient pas d’eux. Elle a été engendrée dans le corps de la maman qui l’a vécu, et le nid d’amour est devenu un nid de mort. Et s’il y a eu fausse-couche sans qu’on reconnaisse que l’âme de l’enfant est vivante, l’enfant qui vient après souffre pour l’enfant dont on ne parle pas. Ils doivent le savoir. Non pas pour condamner, mais pour guérir. Car dans les deux cas, il faut nommer l’enfant, le prier, lui faire un baptême de désir avec de l’eau bénite, lui demander pardon, le prier, oui, le prier.
Et ainsi se délivrer de cette dépression. Vous avez droit à la vérité. Vous avez le droit de vivre. Peut-être avez-vous un ou plusieurs frères et sœurs qui ont été ainsi rejetés dans le silence. Alors qu’ils ont besoin au contraire qu’on parle d’eux. Et qu’ils soient consolés.
La consolation que vous prodiguerez à ces petits êtres sans défense, la consolation que vous, enfants et adolescents, saurez leur prodiguer – car vos cœurs sont encore ouverts – vos cœurs aspirent à donner – vos âmes sont assoiffées de donner – sera source de guérison pour vous et pour votre famille.
Vous les nommerez, vous les ferez vivre avec vous chaque jour.
Vous aurez un frère, une sœur, venant directement du Ciel, qui vous aidera à retrouver la joie.
Faites-le, car moi, votre Dieu, je veux vous sauver. La vérité est une, la vérité est la vérité, et moi, Jésus-Christ, je suis la vérité et la vie.
Les enfants des fausses-couches vivent, les enfants des avortements vivent, il faut leur donner un baptême de désir avec de l’eau bénite, leur demander pardon de toutes ces années sans les avoir nommés. Et puis les aimer, prier avec eux, agrandir votre famille de celle du Ciel, les consoler de tant d’années d’indifférence, et comme le Ciel n’est qu’Amour, leur demander de vous apprendre l’Amour, leur demander de vous aimer, car vous en avez tant besoin !
Toutes ces âmes vivantes ne cesseront alors de veiller sur vous, de demander au Très Haut votre protection, de vous consoler ainsi que vos parents. Car pères et mères sont infiniment blessés de ces actes ! Ils n’en parlent pas, mais leur corps, leur psychisme et leur âme ne s’en remettront pas, s’ils n’acceptent de faire ce chemin.
Alors vous, les jeunes, privés d’Amour, mais capables de générosité, vous expliquerez cela aux adultes. Vous ne les culpabiliserez pas, mais vous direz, vous prierez, vous nommerez, vous responsabiliserez, et vous vivrez, vous guérirez, vous trouverez sur terre la Joie que vous ne connaissiez pas. Ayez bon courage, mes chers enfants, mes chers jeunes, « Je suis » est votre ami, « Je suis » va ressusciter les morts, tous les pauvres tristes jeunes, tous les blessés extrêmes.
Ma bien aimée le sait, elle qui était morte depuis 30 ans et qui revit aujourd’hui par moi.
Jésus.