A chaque sainte messe, mon Sacrifice est renouvelé.
Message de Dieu – Sœur Beghe – Le 7 septembre 2024 – Lire le message en entier sur le site d’origine.
Mes très chers Enfants, mon Âme est en peine parce que le monde marche vers sa perte. Les hommes ne tiennent aucun compte de mon Enseignement, de mes avertissements, de ma Présence auprès d’eux. Dans l’ensemble, ils me méprisent, me rejettent et me délaissent. Mes prêtres même sont nombreux à ne plus me connaître et Je suis seul, laissé seul en mon Agonie, laissé seul dans ma Passion et abandonné sur ma Croix. Ma mère, saint Jean, les saintes femmes ne m’ont pas abandonné, ils m’ont assisté, ils ont recueilli mes dernières paroles et ma mère m’a reçu sur ses genoux à ma descente de la Croix.
Mes très chers Enfants, soyez nombreux à m’assister, à ne pas m’abandonner, à rester avec moi. Je suis toujours sur la Croix, tout au long de la vie du monde parce que, à chaque sainte messe, mon Sacrifice est renouvelé.
À chaque sainte messe, Je m’offre à mon Père céleste pour le pardon de l’humanité, le vôtre, et si vous assistez à la messe comme les saintes femmes et comme saint Jean ont assisté à ma Crucifixion, vous entrerez en mon Ciel à la fin de vos jours.
Les miens n’ont pas ri, ni bavardé pendant ces 3 heures de grande souffrance, non, ils étaient tendus vers moi, priant et pleurant, et me contemplant parce que, oui vraiment, cette heure était poignante et si impressionnante. Le ciel s’est assombri, la nuit est tombée sur la terre, le rideau du Temple s’est déchiré de haut en bas, des tremblements de terre ont fendu les rochers, des tombeaux se sont ouverts, et l’effroi a saisi tous ceux alentour.
Le centurion et les gardes saisis d’une grande frayeur dirent : « Vraiment cet homme était le Fils de Dieu » (mt 27, 54). On ne brisa aucun de mes os de même qu’on ne brisait aucun des os de l’agneau de la Pâque juive : J’étais vraiment l’Agneau pascal, crucifié et offert pour le rachat de tous les hommes. Pensez à cela, méditez cela à chaque messe et sachez qu’à l’autel le Saint Sacrifice se reproduit, identique. C’est le même Sacrifice, c’est la même offrande à mon Père céleste, c’est le même don de tout moi-même que Je ne cesse d’offrir par les mains du prêtre qui, à l’autel, est un autre Christ, l’unique Christ, moi, le Seigneur Jésus. Il dit bien : « Ceci est mon Corps, ceci est mon Sang« , il ne dit pas autre chose et, sur la Croix, J’ai achevé de me vider de mon Sang. La dernière goutte fut celle de mon Sacré-Cœur, percé par la lance, qui, avec l’eau, montrait combien mon Sacrifice était l’enfouissement de tous les péchés du monde, leur pardon, leur nettoyage. Oui, par mon Sacrifice et par le sacrement de baptême, Je rends toutes les âmes blanches et belles, pures et nobles, et certains saints l’ont gardée telle, immaculée et sanctifiée.
Soyez saints, mes très chers Enfants, soyez vigilants, soyez sur vos gardes car le malin rôde et aucun homme n’est à l’abri. Il est un insinuateur, un menteur, un roublard, un voleur, un assassin. N’ayez jamais confiance en lui, s’il vous promet la richesse en échange de votre personne, sachez qu’en enfer vous serez infiniment, totalement, misérablement pauvres. La richesse qu’il vous promet ne vous suivra pas en enfer où vous serez dépouillés de tout, de vos biens, de votre personnalité, de votre corps car les damnés n’auront pas part à la Résurrection Générale des corps. La Résurrection des corps est une immense grâce et le Seigneur, le Saint des saints, vous a montré le chemin qu’il faut suivre pour avoir part comme Lui à toutes les grâces célestes.
Le samedi soir n’est pas le dimanche.
Mes enfants, ne manquez plus la messe du dimanche, les Commandements de Dieu vous y obligent : « Le jour du Seigneur garderas, servant Dieu dévotement. » Le Jour du Seigneur est le dimanche et c’est ce jour qu’il vous faut garder. Le samedi soir n’est pas le dimanche et les Commandements de Dieu ne peuvent être modifiés par l’homme.
Aimez Dieu, obéissez-Lui, désirez-Le, adorez-Le. Je vous bénis, mes chers Enfants, Je vous aime et Je vous veux saints. Au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il. Votre Seigneur et votre Dieu
Chapitre complémentaire :
Le Dimanche et les jours de fêtes
Allez à la messe le dimanche, c’est mon Jour, le Jour du Seigneur, tandis que le samedi est consacrée à ma très sainte Mère.
Message de Dieu – Sœur Beghe – Le 27 août 2023 – Lire le message en entier sur le site d’origine.
Mes très chers Enfants, (…) Ne vous laissez pas entraîner dans ces dérives diaboliques, elles sont l’œuvre du démon, tandis que moi, Je vous appelle tous à l’église le 7e jour de chaque semaine pour vous restaurer par la Sainte Eucharistie et vous sustenter pour repartir au combat.
Allez à la messe le dimanche, c’est mon Jour, le Jour du Seigneur tandis que la veille, le samedi, est consacrée à ma très sainte Mère. Qui d’entre vous connaît encore la demande de ma Mère, à Sœur Lucie de Fatima, de lui consacrer 5 samedis successifs pour la conversion des pécheurs ?
Oui, son jour est le samedi, mon jour est le dimanche et vous pouvez, sans être excessifs, assister à la messe ces deux jours : le samedi en son honneur et le dimanche selon le 3e Commandement : « Le jour du Seigneur garderas, servant Dieu dévotement ».
Et le 1er Commandement de l’Église, préceptes dont on ne parle plus guère aujourd’hui, précise : « Dimanche, tu sanctifieras et fêtes de commandement ». En France, les fêtes de commandement sont au nombre de 4 : Noël, l’Ascension, l’Assomption et la Toussaint. (…)
La signification de la pierre d’autel
Par l’abbé Timothée Pattyn, curé de la paroisse de la Trinité en Beaujolais. J’ai trouvé cette vidéo sur TikTok. Je l’ai remise sur YouTube pour faciliter sa diffusion.
Voir la vidéo : La signification de la pierre d’autel.
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Historique et explications : D’abord meuble de bois plus ou moins ouvragé, que l’on déplace pour l’office, l’autel prend une place fixe, à partir du IVe siècle, dans l’abside des églises nouvellement construites.
Cependant, il existe encore des autels portatifs car ils répondent aux besoins d’une pratique liturgique itinérante (évangélisation, pèlerinages, voyages).
Au milieu du XVIe siècle, le concile de Trente codifie la célébration ad orientem (célébrant officiant dos au peuple) mais le missel traditionnel admettait déjà à cette époque que la célébration de la messe puisse se faire face au peuple.
La nappe blanche de l’autel figure le linceul de Jésus, les cinq croix de consécration sont les cinq plaies. L’autel eucharistique est également la table de convivialité autour de laquelle se rassemble la communauté des croyants qui, dans la réception du corps (pain) et du sang (vin) du Christ en reçoivent force et grâce de son sacrifice salvateur de la Croix.
Dans les Églises protestantes, l’usage des autels varie ; la majorité des Églises anglicanes et luthériennes les utilisent, mais dans quelques Églises protestantes, il n’y a pas d’autel. Aussi, les autels dans les Églises protestantes varient dans la présence de l’art ; certaines, dont les rites ressemblent beaucoup à ceux de l’Église catholique, ont les sculptures ou peintures similaires sur leurs autels.
Texte recomposé d’après la page Wikipédia.
Recevoir spirituellement la communion.
(Vincent, le 9 mai 2023) Je viens d’expérimenter la notion de « communion spirituelle ». J’avais été intrigué par certains messages disant que ce type de communion était aussi valable qu’une vraie. Ce concept devant s’appliquer à ceux contraints de communier avec la main, ce que Dieu n’aime pas, et aux divorcés remariés.
Ce dimanche, alors que le prêtre faisait sa consécration, et voulant tester la « communion spirituelle », je m’imaginais être plongé dans le calice. Rapidement j’eus la sensation d’être rempli par « l’Esprit de Dieu ». Cette sensation était très intense, infiniment plus que lors d’une communion classique. J’en ai donc conclu que la « communion spirituelle » était aussi efficace, voire même plus en ce qui me concerne.
Message du Ciel – Soeur Beghe – 4 décembre 2021 et à Fille du Soleil.
Jésus : (…) Et si le prêtre vous refuse la communion, vous l’aurez reçue spirituellement ; Je me serai donné à vous et votre communion spirituelle aura la même valeur que si vous m’aviez reçu physiquement. (…)
Jésus : Les personnes divorcées (et remariées) doivent mettre en pratique les Saintes Écritures et suivre mes conseils sans se décourager. Puisqu’elles ne peuvent pas se présenter à ma Sainte Table, elles peuvent communier spirituellement. Je les aime… Qu’elles participent le plus souvent possible à la Sainte Messe, je les transformerai au même titre que les autres… J’agis dans les cœurs dans la mesure où l’on me désire. (…)
(Vincent) Le démon n’a pas dû aimer cette expérience mystique, car à la fin de la messe, un enfant de chœur fit une déclaration à l’assemblée, disant que dans la sacristie, deux servants de messe s’étaient fait dépouiller récemment de leur bien (argent, téléphone) et qu’il fallait donc être prudent.
Et durant l’après-midi de ce dimanche, un incident eut lieu dans la maison de mes parents situés en Provence, que je gère depuis Paris conjointement avec ma maman, qui a 93 ans. Ce type d’incidents me générant une surcharge de travail, c’est souvent une cible pour le démon.
D’une façon générale, ayez conscience que rien n’arrive par hasard. Tout à une signification. Quand un malheur vous arrive, essayez d’en trouver la cause en cherchant un lien avec d’autres éléments. Et souvent, un malheur apparent cache un bienfait.
Et si le prêtre vous refuse la communion, vous l’aurez reçue spirituellement (…) elle aura la même valeur que si vous m’aviez reçu physiquement.
Messages de Notre Seigneur Jésus-Christ pour le monde du XXIe siècle.
Soeur Beghe – Lire le message sur le site d’origine – Samedi 4 décembre 2021
Je suis le Très Haut, le Tout Puissant et Je veux dire à tous mes enfants que Je les aime, comme dit dans le message du 2 décembre. Je vous ai créés par amour et seul l’Amour est source de vie.
Si vous m’aimez, vous suivrez mes lois. Si vous m’aimez, vous penserez à moi tout le jour. Si vous m’aimez, vous voudrez vous unir à moi or comment vous unir vraiment, intensément à moi sinon par la Sainte Eucharistie.
Ne me prenez pas dans vos mains, chers enfants, prenez-moi immédiatement en vous en me recevant sur la langue. C’est par respect parce que vos mains n’ont pas été ointes pour toucher le Saint des saints. Rappelez-vous : après ma Résurrection, la première femme qui me vit, hormis ma Mère, fut Marie-Madeleine et Je lui dis lorsqu’elle s’approcha de moi : « Ne me touche pas ! ». Je n’ai pas dit cela hautainement, non, mais Dieu est Dieu et l’homme est Sa créature. Seuls peuvent Le toucher ceux qui ont eu les mains ointes lors du sacrement de l’Ordre, eux seuls sont mes représentants, eux seuls consacrent en mon nom la Sainte Eucharistie car c’est moi le Consécrateur, c’est moi qui, à la dernière Cène, consacre le pain et le vin en mon Corps et en mon Sang. Ils sont ma personne au moment précis de la consécration et lorsqu’ils distribuent la sainte communion, ils sont encore mes intermédiaires entre Dieu et les hommes.
Le pape Jean-Paul II a souvent réaffirmé que la communion devait être donnée aux fidèles dans la bouche mais ni les évêques ni les prêtres ne l’ont écouté ; et lui-même a souvent cédé devant cette mauvaise habitude prise par les fidèles.
Mes enfants, vous qui me lisez, soyez forts dans la foi, forts dans votre amour pour moi, dans votre immense respect pour le corps immolé mais vivant de votre Seigneur Dieu. Prenez-Le directement dans la bouche, sans passer par vos mains laïques et non ointes. Et si le prêtre vous refuse la communion, vous l’aurez reçue spirituellement ; Je me serai donné à vous et votre communion spirituelle aura la même valeur que si vous m’aviez reçu physiquement.
Soyez donc en paix, Je suis avec vous et Je ne vous quitterai pas. Je vous aime, tout ce que Je suis est Amour et la force de l’Amour vainc tous les obstacles.
Profitez de ces temps car bientôt l’Eucharistie disparaîtra.
Message du Ciel : Trevignano Romano – 03 octobre 2021
(…) Enfants, mes petits enfants, nombreux seront ceux qui s’en iront, mais beaucoup d’autres s’approchent de la foi parce qu’ils ont compris que c’est le seul salut. Revenez à la formation de petites communautés, suivez l’Évangile et la vraie doctrine de la foi.
Mes enfants, vous marchez vers des temps difficiles, mais vous ne devez pas craindre quand votre cœur est pour Jésus, évangéliser et surtout témoigner.
Mes enfants, vos prières me rendent heureux et surtout consolent le cœur de mon Jésus, profitez de ces temps car bientôt l’Eucharistie disparaîtra.
Soyez les apôtres de mon cœur et préparez-vous, car tout est prêt, pour que les écritures s’accomplissent. (…)
Je veux soulever le voile de l’au-delà.
Messages de Notre Seigneur Jésus-Christ pour le monde du XXIe siècle.
Soeur Beghe – Lire le message sur le site d’origine. Lundi 6 septembre 2021
Je donne des nouveautés de temps en temps parce que Je veux soulever le voile de l’au-delà.
Les âmes qui peuplent le monde d’après la vie du monde matériel sont de deux sortes : les âmes qui connaissent Dieu et celles qui ne Le connaissent pas.
Ma Parole est Vérité or de Mon vivant sur la terre, J’ai dit : « Je suis le pain de vie (…) qui mange Ma chair et boit Mon sang demeure en Moi et Moi en lui (…) qui mangera ce pain vivra à jamais » (Jn 6, 48-58). J’ai dit cela de manière très claire et Je n’ai jamais varié.
La conclusion nécessaire en est que celui qui ne mange pas de ce pain, qui est Ma chair, n’aura pas la vie en lui. S’il est nécessaire de manger Ma chair pour avoir la vie divine en soi, le fait de ne pas manger Ma chair ne donne pas la vie divine en soi.
La Sainte Eucharistie est nécessaire en ce monde pour parvenir à la vie éternelle dans l’autre monde.
Il ne faut pas être très intelligent pour comprendre cela : si un objet est nécessaire pour obtenir un but, le fait de ne pas avoir cet objet rend le but inatteignable. Il est de foi que la sainte communion eucharistique est nécessaire pour recevoir la vie divine ; par conséquent, sans la sainte communion eucharistique, la vie divine est inatteignable. Les catholiques qui ne communient pas ou mal, n’ont donc pas la vie divine en eux, de même que les infidèles qui n’ont pas l’occasion ni la possibilité de communier à la Sainte Eucharistie.
La Sainte Eucharistie, c’est-à-dire la chair du Seigneur Jésus-Christ, est nécessaire en ce monde pour parvenir à la vie éternelle dans l’autre monde. Il s’ensuit qu’un très grand nombre d’âmes païennes sont en manque et n’obtiennent pas la vie éternelle ; il s’ensuit qu’un très grand nombre d’âmes qui n’ont pas accès à la Sainte Eucharistie, tout en croyant en Dieu, Père Fils et Saint Esprit, sont elles aussi en manque et, par voie de conséquence des paroles infaillibles du Seigneur Jésus-Christ, n’ont pas accès à la vie divine. Elles sont tachées par la marque du péché originel, liées à toutes ses conséquences et n’ayant pas accès au pain vivant, elles n’ont pas accès à la vie divine.
Alors oui, il est nécessaire de travailler à la conversion catholique des âmes, il est nécessaire que toutes les âmes, absolument toutes, soient catholiques mais aussi ferventes et pieuses, nourries du seul et unique pain de vie qui est la chair et le sang de Notre Seigneur Jésus-Christ qui donne la vie, l’unique vie qui vaille la peine d’être vécue, la vie éternelle.
La parole de Jésus-Christ est une parole de vérité et si le pain de vie, la chair de Notre Seigneur n’était pas une nourriture essentielle, Il n’aurait pas insisté avec tant de clarté et de persuasion à sa manducation.
Il s’est communiqué en chair et en sang à chacun d’eux en une communion mystique mais très réelle et le Ciel leur a été ouvert.
Mais alors, qu’en est-il des anciens, de tous ceux qui ont vécu sur la terre avant la Rédemption, pendant les milliers d’années qui ont précédé la venue du Sauveur, ces Justes de l’Ancien Testament qui ont attendu la Rédemption et la venue du Sauveur pour entrer dans la Demeure de Dieu ?
La nourriture du pain de vie, si elle est nécessaire pour les hommes du Nouveau Testament, ne le serait-elle pas aussi pour ceux de l’Ancien Testament ? Oui, elle l’est, et c’est Jésus-Christ Lui-même qui s’est donné à eux une fois pour toutes lors de Sa venue dans les Limbes des Justes pour les délivrer. Sa Toute Puissance et Sa Bonté ont prévalu et Il s’est communiqué en chair et en sang à chacun d’eux en une communion mystique mais très réelle et le Ciel leur a été ouvert.
Et Moi, Jésus-Christ, Je vous révèle cet événement afin que vous croyiez et que vous approchiez de la Sainte Table avec grand respect, grande dévotion et grande reconnaissance.
Que Dieu soit béni et que Sa si grande compassion soit admirée et révérée par tous ceux qui Me liront. Allez en paix et demeurez en Mon Amour. Ainsi soit-il.
Vous pouvez accepter de communier dans la main dans des circonstances exceptionnelles.
Un souffle qui passe… Messages du Ciel au monde d’aujourd’hui.
Message du 28 juillet 2020 – Lire le message en entier.
(…) ne formalisez pas mon Eucharistie au point de la refuser si vous n’êtes pas autorisés à communier sur la langue. Certes, cette pratique m’agrée davantage parce qu’elle fait de vous des enfants que le prêtre nourrit comme une maman oiseau nourrit ses oisillons : ils n’ont qu’à ouvrir le bec pour être rassasiés.
Cette manière de recevoir les saintes Espèces vous permet d’être dans une attitude de réception et non d’appropriation.
De plus, elle permet aussi d’éviter toute forme de profanation ultérieure – en particulier de la part d’enfants qui voudraient s’amuser avec des hosties consacrées.
(Vincent) J’ai déjà vu ça, un enfant d’environ 7 ans qui jouait avec son hostie, notamment en le prenant pour un monocle.
Mais aussi de la part de groupes satanistes – dont vous devez savoir qu’ils existent vraiment et sont même beaucoup plus nombreux que vous ne pouvez l’imaginer – qui cherchent toujours à se procurer des hosties consacrées pour les souiller pendant leurs messes noires.
Cependant, vous pouvez accepter de communier dans la main dans des circonstances exceptionnelles, il n’y a aucun mal à cela. Et en vérité je vous dis même : si vous n’avez pas pu vous laver les mains auparavant, je n’en prendrai point ombrage car ce qui m’importe, c’est que votre âme soit pure et votre cœur pleinement désireux de me recevoir.
Pourquoi donc refuseriez-vous d’agir ainsi lorsque c’est requis et que mon Église vous y autorise ?
Rappelez-vous, mes enfants, que lorsque les Pharisiens ont accusé mes disciples de ne point se laver les mains quand ils prenaient leurs repas – et donc d’enfreindre la tradition -, je les ai renvoyés à leurs propres transgressions, qui étaient, évidemment, beaucoup plus graves.
Ne faites pas comme eux et je ne dirai pas de mes fils et de mes filles, à la suite du prophète : « Ce peuple est près de moi en paroles et me glorifie de ses lèvres, mais son cœur est loin de moi et sa crainte n’est qu’un commandement humain, une leçon apprise » (cf. Is 29, 13).
Enfin, je veux que vous sachiez qu’au cours du dernier repas avec mes Apôtres, j’ai pris le pain, et, après avoir rendu grâces, je l’ai rompu et distribué à chacun d’eux en leur disant que c’était mon Corps et en leur enjoignant de le consommer et de faire ceci en mémoire de moi.
Ensuite, j’ai pris la coupe de vin, et, après avoir rendu grâces, je la leur ai fait passer en leur disant que c’était mon Sang – celui de l’Alliance nouvelle répandu pour la rémission des péchés – et en leur enjoignant de le consommer et de faire ceci en mémoire de moi.
Mes Apôtres eux-mêmes ont reçu chacun dans la main le pain que je leur ai distribué. Pourquoi donc refuseriez-vous d’agir ainsi lorsque c’est requis et que mon Église vous y autorise ?
(Vincent) Moi je n’ai pas eu trop de scrupule à changer mes habitudes. J’ai toujours en mémoire ce texte de Saint Matthieu 12.
Les pharisiens, voyant cela, lui dirent : Voici, tes disciples font ce qu’il n’est pas permis de faire pendant le sabbat. Mais Jésus leur répondit :
N’avez-vous pas lu ce que fit David, lorsqu’il eut faim, lui et ceux qui étaient avec lui ; comment il entra dans la maison de Dieu, et mangea les pains de proposition, qu’il ne lui était pas permis de manger, non plus qu’à ceux qui étaient avec lui, et qui étaient réservés aux sacrificateurs seuls ?
Mais j’avoue que j’ai plusieurs fois essayé de faire du forcing, sans succès auprès de prêtres qui n’étaient pas du style : je suis au-dessus des lois.
Il s’agit du dimanche et non d’un autre jour. La pratique actuelle d’anticiper ce jour a déshabitué les fidèles de la messe du dimanche.
Messages de Notre Seigneur Jésus-Christ pour le monde du XXIe siècle.
Pour lire le texte du message en entier : Soeur Beghe – Mardi 6 octobre 2020.
(…) La sainte liturgie est la reproduction de la Passion et la Mort de Jésus-Christ sur la croix pour vous pardonner, vous racheter et vous ouvrir le Ciel à la fin de vos jours ; et vous, pendant l’assistance à ce Saint Sacrifice de la croix, vous vous repentez de vos péchés, vous en recevez la satisfaction, vous remerciez Dieu de Sa Miséricorde, vous Le louez et Le glorifiez pour Sa paternité et Sa bonté.
Telle est, en quelques mots, la signification de la liturgie, de la messe et de la nécessité d’y assister toutes les semaines : le dimanche en particulier selon le 3e Commandement de Dieu : ‘Son saint jour garderas en Le servant dévotement’.
Il s’agit du dimanche et non d’un autre jour. La pratique actuelle d’anticiper le dimanche en le commençant dès le samedi en soirée, a déshabitué les fidèles de la messe du dimanche et, petit à petit, l’obligation de la messe dominicale s’est érodée.
Les fidèles oublient qu’il s’agit d’un ordre divin que l’homme ne peut changer. Cet ordre est pour l’homme de tous les temps ; ceux qui y adhèrent sont aimés de Dieu, ceux qui y dérogent agissent comme des infidèles.
Jeudi 21 janvier 2021 – Pour lire ce message en entier : Soeur Beghe
(…) Que la sainte communion soit reçue à genoux est une manière plus respectueuse de la recevoir et s’il est possible de la recevoir sur la langue au lieu de la recevoir dans la main, c’est cette manière qui plaît le plus à Dieu par respect pour ce Corps si saint et parce que les mains des fidèles n’ont pas reçu l’onction sacrée. (…)
Contre les applaudissements à l’église.
Message Céleste via Valentina Papagna (Sydney, Australie) – 21 Mars 2021.
Aujourd’hui, la Sainte Messe était célébrée par l’Évêque Vincent et assisté par les Pères Peter, Robert et Chadi. A la fin de la Messe, l’Évêque a installé le Père Robert comme nouveau Doyen et Administrateur de la Cathédrale.
Avant que l’Évêque ne proclame la nomination du nouveau Doyen, une dame a été chargée de présenter le Père Robert à l’Évêque. Alors qu’elle le faisait, notre Seigneur a dit :
Cela ne devrait pas être ainsi. Il y a une congrégation de prêtres ici, et ils auraient dû faire l’annonce. Pourquoi la dame doit-elle le faire ? Je ne suis pas d’accord avec cela.
Dès que la dame eut fini l’introduction et l’Évêque Vincent eut proclamé le Père Robert comme Doyen, notre Seigneur a dit :
Valentina, regarde maintenant ! Maintenant ils vont commencer à applaudir, toute l’église, ce qui ne Me plaît pas du tout.
À peine le Seigneur a-t-il dit cela que toute l’église s’est mise à applaudir.
J’ai souri et dit : Seigneur, tu avais vraiment raison !
Il dit : Pourquoi doivent-ils applaudir ? Ils se glorifient les uns les autres, ils ne pensent pas à moi, alors que J’aime la révérence et la sainteté dans Mon Église.
(Vincent) Effectivement, je suis toujours exaspéré lorsqu’il y a des applaudissements. Une église n’est pas une salle de spectacle.
Voici un article trouvé sur internet qui parle du sujet.
(…) La Présentation Générale du Missel Romain (PGMR) évoque, en effet, les temps pendant lesquels les fidèles doivent observer le silence (et donc s’abstenir d’applaudir). C’est ce qu’a rappelé le Cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, dans une étude sur le silence dans la liturgie catholique, publiée dans l’Osservatore Romano du 30 janvier 2016, repris par le journal La Croix.
Pour lui d’ailleurs, : « quand les applaudissements font irruption dans la liturgie, c’est un signe très sûr qu’on a perdu l’essence de la liturgie »
Cependant, bien avant lui, deux papes Jean XXIII et Benoît XVI se sont prononcés sur les applaudissements dans les églises et pendant la célébration eucharistique, pour exprimer leur désapprobation.
Le Pape Jean XXIII qui était une fois, à Ostie, au milieu de milliers de personnes installées le long de la rue, sur la place, dans l’église et qui voulaient le voir pour l’acclamer, a fait la déclaration suivante :
Je suis très heureux d’être venu ici. Mais si je dois exprimer un souhait, c’est que dans l’église, on ne crie pas, on n’applaudit pas, et on ne salue pas, même pas le Pape, parce que « Templum Dei, templum Dei » (« Le temple de Dieu est le temple de Dieu »).
Il a ajouté par la suite : « Maintenant, si vous êtes heureux d’être dans cette belle église, vous devez savoir que le Pape est aussi heureux de voir ses enfants. Mais lorsqu’il voit ses bons enfants, il ne va certainement pas applaudir devant eux. Et celui qui se tient devant vous est le successeur de saint Pierre. »
Dans la même ligne, il y a quelques années, célébrant la messe devant une assistance nombreuse, en plein air, le Pape Benoît XVI avait plusieurs fois fait demander au micro qu’on garde une attitude de respect et de silence, et qu’on s’abstienne d’applaudir pendant la Messe. (…)