Les mystères de l’Âme

J’ai l’absolue certitude que la colonne de lumière était réellement moi, le moi pur, l’essence même de tout ce que je suis.

Vincent : Ce témoignage est vraiment unique et je vous conseille de le lire avec soin. Il concorde parfaitement avec les autres messages de ce chapitre.

Un extrait du livre de William Buhman : Voyage au-delà du corps. Journal du 24 octobre 1992

Je répète mon affirmation préférée à haute voix durant cinq à dix minutes : « Maintenant, je sors de mon corps ». Alors que je m’endors, j’intensifie les affirmations dans ma tête. Je me réveille avec la sensation de fortes vibrations déferlant partout dans mon corps. Je concentre immédiatement toute mon attention sur l’idée de flotter jusqu’à la porte de ma chambre.
Quelques secondes plus tard, je me sens m’élever et flotter jusqu’à la porte. Puis, avec un sentiment d’euphorie, je traverse la porte et me retrouve dans le salon. Tandis que je regarde autour de moi, je me rends compte que je suis dans mon premier corps d’énergie (le plus dense) et j’éprouve soudain une irrésistible envie d’explorer. Criant presque, je demande avec fermeté : « Je veux en voir plus. » Instantanément, une sensation de mouvement rapide m’attire à l’intérieur de moi. J’ai l’impression d’être aspiré dans un espace vide et, au bout de quelques secondes, je me retrouve dans un nouvel environnement.

Je suis saisi de surprise et aveuglé par l’intensité de la lumière environnante. Lorsque je tente instinctivement de me protéger de la radiation, je réalise que mon corps est sans forme — pas de bras ni de jambes, seulement de l’énergie. J’essaie de comprendre que je n’ai absolument aucune forme. Je ressemble à de la lumière sans forme extérieure distincte. Ma vision porte à l’infini. L’énergie pure émane de partout autour de moi ; il n’y a pas une seule forme visible, seulement le rayonnement de la lumière.

Je suis attiré par ce qui m’apparaît être une colonne de pure lumière blanche. Alors que je m’approche de la lumière, l’incroyable puissance de son rayonnement devient irrésistible. J’arrête et tente de m’y ajuster. L’énergie est si intense que j’ai l’impression que les parties extérieures de mon être sont brûlées une à une. Mon moi extérieur entier — mes pensées, peurs et concepts — est incinéré par la lumière.

Ma première réaction est de tenter de me protéger. Je m’entoure de pensées pour ensuite me rendre compte qu’elles sont elles aussi réduites à néant par l’intensité de la lumière. Incertain de ce qu’il faut faire, je m’abandonne d’instinct à la lumière. À cet instant précis, la lumière se met à entrer en moi tel un liquide chaud pénétrant en mon corps et mon esprit. Mon être entier est rempli de cette lumière et chaque partie de moi semble vibrer à une nouvelle fréquence. Je me détends et jouis de la sensation d’énergie pure circulant partout en moi.

Au fond de moi, j’ai conscience d’être devant quelque chose d’une extrême importance. Il y a autre chose au sein de la colonne de lumière. Ma peur s’étant désormais dissipée, j’éprouve l’irrépressible désir de connaitre et comprendre la lumière. Je m’approche un peu plus et tente de regarder à l’intérieur. Il n’y a pas de mots pour décrire l’énergie et la puissance pures qui en émanent ; j’ai l’impression d’être à côté d’un ardent soleil blanc d’où s’irradient de puissantes ondes lumineuses. Conscient de ne courir aucun danger, je m’approche lentement et touche la lumière. Un intense flux d’énergie circule à travers l’ensemble de mon être. Je suis soudain immergé dans un océan de pure connaissance. Je suis inondé de souvenirs représentant tout ce que j’ai été, tout ce que j’ai fait, tout ce que je suis. Tout existe dans l’instant présent.
Je suis ébloui par l’absolue simplicité de tout cela. Tout est parfaitement clair. Ce que nous sommes et tout ce qu’il nous faut est déjà ici. Pour la première fois, je reconnais que nous nous sommes séparés de notre source. Nous sommes vraiment idiots. Nous focalisons notre conscience sur des formes moléculaires en voie de décomposition alors que la vraie réalité est toujours là, attendant patiemment que nous soyons prêts à ouvrir nos yeux et à voir. Un sublime sentiment d’amour, un profond sentiment de compassion pour tout ce qui existe se répand dans tout mon être. Je réalise que nous sommes tous interconnectés dans un océan de lumière vivante. La séparation que nous éprouvons n’est que l’illusion dense de la forme moléculaire.

Est-il possible que nous soyons réellement cette incroyable force ?

Ma conscience s’anime avec la réalisation que mon esprit et ses facultés ne sont qu’un autre véhicule temporaire d’expression. Nous existons au-delà de la pensée, au-delà du temps, au-delà du mécanisme linéaire de cause et d’effet. Je suis submergé par d’incessantes vagues de pure connaissance. Mon esprit est rempli bien au-delà de ses limites et je me rends compte que c’est plus que ce que je ne pourrai jamais espérer arriver à me souvenir. Je crie de toutes mes forces : « Je vais me souvenir de tout cela. » Instantanément, je suis ramené dans mon corps et j’essaie d’ouvrir les yeux. Je suis incapable de bouger et comprends que je suis dans un état cataleptique.

Lentement, je commence à sentir un engourdissement et des fourmillements se répandre dans tout mon corps physique. Au bout d’environ une minute, je peux commencer à remuer les doigts et les orteils. Je reste étendu sans bouger et passe l’expérience en revue dans l’émerveillement le plus complet. J’ai l’absolue certitude que la colonne de lumière était réellement moi — pas seulement une autre partie de moi, mais le moi pur, l’essence même de tout ce que je suis. Est-il possible que nous soyons réellement cette incroyable force ? (…)

Chapitre complémentaire : Les dons mystérieux de l’être l’humain

Le Seigneur m’a montré les profondeurs de mon âme.

Message reçues par Alice Lenczewska (1934-2012) Extrait du livre Exhortations.

18 janvier 1996 – Le Seigneur m’a montré les profondeurs de mon âme. Il s’y trouve un espace intérieur et infini, d’une autre dimension que celle dans laquelle nous existons, nous et le monde.
C’est un espace en dehors de la matière et du temps – c’est Dieu infini dans l’âme humaine. En Lui – révélé sous forme d’espace infini – se trouve tout ce qui existe maintenant, autrefois et dans l’avenir : la totalité de l’univers matériel et spirituel dans son présent et dans son flux.
Tout comme les atomes dans la matière, nous nous y trouvons depuis le début de notre existence, jusqu’à l’infini.
Quand on est dans ces profondeurs intérieures de l’âme, on « voit » tout et on connaît tout dans la vérité, comme de l’extérieur : soi-même, les situations passées ou futures, on voit tout cela à la mesure de notre pureté et de notre immersion dans cet espace intérieur de Dieu dans notre âme, et dans la mesure où Il veut nous le montrer – pour notre croissance intérieure ou pour une tâche envers les autres.
Il est impossible d’exprimer dans les catégories de l’intelligence humaine, et d’autant plus dans les catégories du langage, le fait d’être en Dieu comme un grain de sable dans l’océan, et en même temps qu’Il demeure en moi avec tout ce qui, en Lui, est éternel et infini, ou bien temporaire et passager.
On ne peut pas transmettre à l’aide de paroles ce que l’on peut connaître en se plongeant en Dieu dans son âme avec Sa grâce.
Jésus : Mon enfant, viens à moi et demeure avec moi dans le sanctuaire de ton âme. C’est là que Je désire t’avoir et te combler de moi. Tout ce que tu fais dans le monde extérieur et dans ton coeur devrait avoir cet unique objectif. Et tout ce que tu fais et offres à tes proches devrait avoir pour objectif qu’ils s’approchent de moi dans leur âme.

Le retour à la réalité extérieure apporte avec lui la force qui provient du séjour dans l’intérieur de l’âme en Dieu, de la distance que l’on a prise avec tout ce qui est matériel et limité dans le temps. C’est une nouvelle énergie qui renouvelle l’âme et le corps, la conscience de Dieu qui est en moi et dans Lequel je suis. Rien d’autre n’a d’importance. C’est comme si l’on entrait dans une autre dimension de l’existence.
Pour que cet état soit durable, il est nécessaire de trouver le silence et la solitude, pour revenir vers l’intérieur de l’âme et y demeurer avec le Seigneur. Ensuite, le Seigneur donnera la grâce de faire durer cet état indépendamment des conditions extérieures. Cet état deviendra une disposition permanente de l’âme et il dominera l’intelligence et les sens.

L’âme désire la sainteté et les choses célestes, elle s’efforce d’être avec moi au Paradis.

Message de Jésus à John Leary (USA) 10 avril, 2013.

Jésus : Mon peuple, vous êtes faits à mon image avec un corps et une âme. Le corps est l’enveloppe physique qui contient l’esprit de l’âme.
Les désirs du corps sont toujours en luttent contre les désirs de l’âme. Votre corps est faible au péché à cause des conséquences de la rébellion d’Adam contre moi. C’est pourquoi le corps a besoin de tout le confort et les plaisirs de la chair. L’âme est tout le contraire parce que l’Esprit est à la recherche de la paix de son Créateur.
L’âme désire la sainteté et les choses célestes. C’est pourquoi la souffrance de la condition humaine est un combat, en raison de la lutte entre le corps et l’âme.
Vous vous demandez pourquoi il est si difficile de prier, mais c’est parce que le corps a besoin de satisfaire ses propres envies au lieu de prier. Vous devez travailler sur la maîtrise de soi et l’abnégation afin de limiter le contrôle du corps sur l’âme.
L’âme s’efforce d’être avec moi au paradis. Si l’âme est faible dans la lutte pour la sainteté, le corps pourrait conduire cette âme dans les péchés qui mènent en enfer. C’est pourquoi l’âme a besoin d’affirmer son autorité sur le corps pour suivre mes commandements et remplir ma mission pour votre vie.
Sans un fort désir spirituel de m’aimer et de me servir, vous pourriez tomber dans les tentations du diable. Soyez avec moi dans vos prières quotidiennes et allez souvent en confession, en faisant ainsi, vous gagnerez le paradis et serez avec moi pour toujours dans les cieux.

Je la vis si grande qu’elle me parut un monde des plus vastes, quasi sans limites.

Vision données à Sainte Julienne de Norwich, une mystique anglaise ayant vécu aux XIVe et XVe siècles

Seizième révélation : compréhension spirituelle La nuit suivante, notre bon Seigneur me fit la seizième révélation; elle fut comme la conclusion et la confirmation des quinze visions qui l’ont précédée.
Notre Seigneur ouvrit mes yeux spirituels et me montra mon âme au milieu de mon cœur. Je la vis si grande qu’elle me parut un monde des plus vastes, quasi sans limites.
Et au centre se trouvait Notre Seigneur, vrai Dieu et vrai Homme. Jésus prend dans notre âme une place qu’il ne quittera jamais ; nous sommes à la fois pour lui la plus intime des demeures et celle où il résidera pour toujours.
Quand l’âme entre en elle-même, elle ne peut se considérer longtemps; toute sa contemplation se fixe avec bonheur sur Dieu, son Créateur habitant en elle, car l’âme est la véritable demeure du Très- Haut et la lumière la plus brillante est le glorieux amour de Notre Seigneur.
L’âme qui voit ainsi Dieu en elle acquiert, par sa grâce, plus de ressemblance avec lui ; et il se l’unit dans le repos et la paix.
Bientôt après tout fut fini ; je ne vis rien de plus.

La bilocation.

Message donné à Giuliana Buttini (1921-2003). Extrait du livre : L’ange Clarus nous raconte le paradis. (Éditions du Parvis).

(22 septembre 1988) La bilocation est rare. Elle est donnée aux saints par Dieu dans un but précis. Voici :
le saint prie dans sa maison et en même temps, il peut être près de celui qui a besoin de lui. Le saint a conscience d’être là où Dieu l’envoie. Celui qui le voit est convaincu que le saint est vraiment près de lui. Son aspect est celui de sa personne, mais il est en extra-matière.
Dieu peut tout et cela est la preuve que l’extra-matière est plus forte, plus vive, plus active que la matière.

Après la mort, dans l’infini, le corps matériel ne peut pas devenir tout de suite extra-matière ou glorieux. Jusqu’au jugement, il est corps astral, fait de lumière, mais visible pour qui vit dans l’infini, pour les rencontres, les retrouvailles pour s’aimer à l’infini. Cette explication me parait claire et simple. Dieu peut tout, il fait pousser l’herbe, les fleurs, envoie le vent, donne vie cosmique à toute la création. Il peut faire des miracles extraordinaires, il fait toujours des miracles ordinaires. (…)

(23 septembre 1988) Vous pensez et désirez comprendre. Pour augmenter votre foi, je vous explique par la vibration de mes paroles et des sensations qui peuvent vous éclairer.
La bilocation est un miracle voulu par Dieu. Elle a un but précis et toujours d’ordre spirituel. L’homme, créé à l’image de la Trinité, son origine, est fait de trois éléments : le corps matériel, le corps de matière subtile, extra-matière première et celui d’extra-matière finale et glorieuse.

Dans la bilocation, le saint assume temporairement la matière subtile, afin que, lorsqu’il se présente, il puisse et doive avoir un aspect matériel, c’est-à-dire encore terrestre. La matière subtile ou extra-matière première est comme de la lumière. Nous les anges, faits de lumière, venus nous aussi de la Trinité, nous sommes esprit, lumière et amour, trois composantes ! Nous aussi, comme vous qui êtes créés à l’image de Dieu, qui se révèle en tout, nous sommes son reflet, et sa manifestation. (…)

Le miracle de l’amour vaincra. Les preuves du divin sont nombreuses, mais il faut les reconnaître. Il y a des miracles que peu d’hommes voient. Beaucoup veulent expliquer pour nier, sans savoir qu’ils se renient eux-mêmes. (…)
Matière épaisse, matière subtile, extra-matière glorieuse composant l’homme, car il est à l’image du Créateur : Père – Fils – Esprit. (…)

(9 octobre 1988) (…) La Trinité est dans l’homme, dans l’ange. Elle est partout. Dans l’homme : corps matériel, corps spirituel, dans l’homme complet, corps glorieux (extra-matière et esprit). Le visage, l’âme : l’être. L’être pour être.
Nous (les anges) avons été créés au-delà du temps. Attirés par la sphère, nous évoluons autour d’elle. Dieu est partout et nous, partout, nous sommes en Dieu, et avec vous !
Moi je te garde ; mes frères, vos gardiens, gardent vos œuvres, vos pensées, votre foi. Nous lisons. Vous êtes nos livres. Nous écoutons votre pensée. (…)

J’ai vu l’âme de mon fils passer par nous pour entrer dans son « enveloppe charnelle »

Voici un témoignage trouvé sur le forum Quora.

En juillet 2017, nous décidâmes mon épouse et moi que notre situation était enfin suffisante pour que nous puissions envisager d’avoir un enfant. Nous voulions être dans les meilleures conditions professionnellement, matériellement et notre relation était au top, tout était parfait. Nous commençâmes alors à avoir des relations en vue du bébé.

Le 29 août 2017, alors que nous étions partis en weekend dans une maison d’hôte en Ariège, nous nous sommes livrés à un rapport comme nous en avions pris l’habitude. Cependant, même si le rapport en lui-même s’est déroulé tout tout à fait normalement, la « fin » (plus précisément le moment où j’atteignais moi-même l’orgasme) s’est accompagnée d’un flash, d’une apparition.
J’ai vu une silhouette, une silhouette d’homme, composée d’une lumière blanche presque aveuglante mais étrangement agréable et chaleureuse, apparaissant dans un halo de couleur orange, couleur feu, apparaitre à moi.

La scène n’a évidemment duré qu’une seconde, peut-être même moins, mais j’ai très clairement vu une couleur orange occuper mon champ de vision, avec un point blanc apparaitre en son centre. Ce point a grossi de plus en plus, comme s’il s’approchait de moi, et est devenu une silhouette d’homme adulte que j’ai décrite plus haut.
J’ai alors confié à ma femme mon expérience en lui disant, instinctivement, sans savoir vraiment pourquoi j’en étais si sûr : celle-ci c’est la bonne, tu es enceinte et ce sera un garçon.

Deux semaines plus tard, le premier test que nous avons fait affichait « Vous êtes enceinte de deux semaines »… Notre enfant est né en juin 2018, et oui, c’est un garçon ! Les examens médicaux faits après ont confirmé la date approximative de la conception, mais vous savez comme moi qu’il est impossible de déterminer la date exacte de la conception médicalement.
Cela pourrait être une coïncidence évidemment, mais personnellement, je suis persuadé que j’ai vu l’âme de mon fils passer par nous pour entrer dans son « enveloppe charnelle ».

Dès le début de la conception, le bébé a une âme.

Message de la Dame de Borg en-Nadur (Malte), donné à Angélik Caruana au cours du Rosaire du 8 février 2012 

Mes chers enfants et mes enfants, ceux de mon cœur !
Dès le début de la conception, le bébé a une âme. Nul n’est autorisé à mettre fin à la vie du bébé, même si certains disent qu’il ne naîtra pas en bonne santé ou sera anormal. Personne n’a le droit de mettre fin à la vie d’une personne. (…)
À vrai dire, j’ai un travail particulier à confier à chacun de vous pour les jours qui vous restent. Si vous acceptez de me dire oui, je serai plus tranquille, sachant que cette tâche sera menée à bien et que des âmes – le nombre défini d’âmes qui dépendent de votre travail – pourront être sauvées. Mon enfant, viens à moi et accomplis mon œuvre.

Que deviennent les enfants morts avant la naissance.

Message de Jésus reçu le 16 décembre 2005… Par Monique Marie

Continue ma bien aimée, parle à tous ceux dans les familles desquels il y a eu un avortement, car ceux là souffrent sans savoir pourquoi. On leur a, la plupart du temps, caché le ou les avortements qui ont précédé ou suivi leur naissance.
Et ils ont en eux-mêmes un constant désir de mourir, une dépression latente qu’ils ne peuvent exprimer, puisque autour d’eux tout semble normal, tous semblent jouir de la vie. Il faut que tous les jeunes qui sentent cette tristesse au fond d’eux-mêmes osent demander à leurs parents s’il n’y a pas eu d’avortement avant leur naissance dans leur famille, ou s’il n’y a pas eu une fausse-couche dont on ne leur a jamais parlé.

Ils doivent savoir. Car s’il y a eu un avortement, la profonde tristesse qu’ils ressentent ne vient pas d’eux. Elle a été engendrée dans le corps de la maman qui l’a vécu, et le nid d’amour est devenu un nid de mort. Et s’il y a eu fausse-couche sans qu’on reconnaisse que l’âme de l’enfant est vivante, l’enfant qui vient après souffre pour l’enfant dont on ne parle pas. Ils doivent le savoir. Non pas pour condamner, mais pour guérir. Car dans les deux cas, il faut nommer l’enfant, le prier, lui faire un baptême de désir avec de l’eau bénite, lui demander pardon, le prier, oui, le prier.
Et ainsi se délivrer de cette dépression. Vous avez droit à la vérité. Vous avez le droit de vivre. Peut-être avez-vous un ou plusieurs frères et sœurs qui ont été ainsi rejetés dans le silence. Alors qu’ils ont besoin au contraire qu’on parle d’eux. Et qu’ils soient consolés.

La consolation que vous prodiguerez à ces petits êtres sans défense, la consolation que vous, enfants et adolescents, saurez leur prodiguer – car vos cœurs sont encore ouverts – vos cœurs aspirent à donner – vos âmes sont assoiffées de donner – sera source de guérison pour vous et pour votre famille.
Vous les nommerez, vous les ferez vivre avec vous chaque jour.
Vous aurez un frère, une sœur, venant directement du Ciel, qui vous aidera à retrouver la joie.
Faites-le, car moi, votre Dieu, je veux vous sauver. La vérité est une, la vérité est la vérité, et moi, Jésus-Christ, je suis la vérité et la vie.

Les enfants des fausses-couches vivent, les enfants des avortements vivent, il faut leur donner un baptême de désir avec de l’eau bénite, leur demander pardon de toutes ces années sans les avoir nommés. Et puis les aimer, prier avec eux, agrandir votre famille de celle du Ciel, les consoler de tant d’années d’indifférence, et comme le Ciel n’est qu’Amour, leur demander de vous apprendre l’Amour, leur demander de vous aimer, car vous en avez tant besoin !

Toutes ces âmes vivantes ne cesseront alors de veiller sur vous, de demander au Très Haut votre protection, de vous consoler ainsi que vos parents. Car pères et mères sont infiniment blessés de ces actes ! Ils n’en parlent pas, mais leur corps, leur psychisme et leur âme ne s’en remettront pas, s’ils n’acceptent de faire ce chemin.

Alors vous, les jeunes, privés d’Amour, mais capables de générosité, vous expliquerez cela aux adultes. Vous ne les culpabiliserez pas, mais vous direz, vous prierez, vous nommerez, vous responsabiliserez, et vous vivrez, vous guérirez, vous trouverez sur terre la Joie que vous ne connaissiez pas. Ayez bon courage, mes chers enfants, mes chers jeunes, « Je suis » est votre ami, « Je suis » va ressusciter les morts, tous les pauvres tristes jeunes, tous les blessés extrêmes.

Ma bien aimée le sait, elle qui était morte depuis 30 ans et qui revit aujourd’hui par moi.
Jésus.

Cet article a été écrit par Vincent