Obtenir un miracle par Marie

Oui, qu’il soit fait comme tu le désires.

Extrait des visions de Maria Valtorta, L’Évangile tel qu’il m’a été révélé, Tome 3, section 199

– Aime-le, Mère ! Aime-le par amour pour moi ! (il s’agit de Juda).
– Oui, mon Fils. Mais mon amour ne servira pas non plus. Ce sera seulement une souffrance pour moi, et pour lui une faute. Ah ! Pourquoi est-il entré ? Il trouble tout le monde, offense Pierre qui est digne de respect.
– Oui, Pierre est très bon. Pour lui, je ferais n’importe quoi parce qu’il le mérite.
– S’il t’entendait, il dirait avec son bon sourire franc : Ah ! Seigneur, ce n’est pas vrai ! Et il aurait raison.
– Pourquoi, Mère ? Mais Jésus sourit déjà car il a compris.
– Parce que tu ne lui fais pas le plaisir de lui donner un fils. Il m’a confié tous ses espoirs, tous ses désirs… et tous tes refus.
– Et il ne t’a pas dit la raison qui les justifie ?

– Si. Il me l’a confiée, et il a ajouté : C’est vrai… mais je suis un homme, un pauvre homme. Jésus s’obstine à voir en moi un grand homme. Mais je sais que je suis très mesquin et, à cause de cela… il pourrait me donner un fils. Je me suis marié pour cela… je vais mourir sans en avoir.
Pierre me montrait l’enfant qui, heureux du beau vêtement que Pierre lui avait acheté, l’avait embrassé en l’appelant : mon père que j’aime.
Et il m’a confié : Tu vois, quand ce petit être, qu’il y a dix jours je ne connaissais pas encore, me parle comme cela, je me sens devenir plus tendre que le beurre et plus doux que le miel, et je pleure, car… chaque jour qui passe éloigne de moi cet enfant…

C’est elle qu’il te faut remercier, pas moi.

Marie se tait, et elle observe Jésus, étudiant sa physionomie, attendant une parole… Mais Jésus a mis son coude sur son genou, sa tête appuyée sur sa main et il regarde l’étendue verte du verger.

Marie lui prend la main, la caresse et dit :
– Simon a ce grand désir… Pendant que je marchais avec lui, il n’a pas cessé de m’en parler, et avec des raisons si justes que… je n’ai rien pu dire pour le faire taire. C’étaient les mêmes raisons que nous invoquons toutes, nous les femmes et les mères. L’enfant n’est pas robuste. S’il avait été comme toi… ah ! Alors il aurait pu s’avancer sans crainte vers la vie de disciple. Mais qu’il est chétif !… Très intelligent, très bon… mais rien de plus.

Quand un tourtereau est délicat, il ne peut prendre son envol tout de suite, comme le font les forts. Les bergers sont bons… mais ce sont toujours des hommes. Les enfants ont besoin des femmes. Pourquoi ne le laisses-tu pas à Simon ? Tant que tu lui refuses un enfant vraiment né de lui, j’en comprends la raison. Un petit, pour nous, c’est comme une ancre. Et Simon, destiné à un si grand rôle, ne peut avoir d’ancres qui le retiennent. Néanmoins, tu dois convenir qu’il lui faut être le “ père ” de tous les enfants que tu lui laisseras. Comment peut-il être père s’il n’a pas été à l’école d’un enfant ? Un père doit être doux. Simon est bon, mais pas doux. C’est un impulsif et un intransigeant. Il n’y a qu’un enfant qui puisse lui enseigner l’art subtil de la compassion pour les faibles…
Considère le sort de Simon… C’est bien ton successeur ! Oh ! Je dois pourtant le dire, ce mot atroce ! Mais, pour toute la souffrance qu’il m’en coûte pour le dire, écoute-moi. Jamais je ne te conseillerais quelque chose qui ne serait pas bon. Marziam… Tu veux en faire un parfait disciple… or c’est encore un enfant. Toi… tu t’en iras avant qu’il ne devienne un homme. Alors, à qui le confier plutôt qu’à Simon pour compléter sa formation ? Enfin, tu sais quelles tribulations ce pauvre Simon a subies, même à cause de toi, de la part de sa belle-mère ; et pourtant il n’a pas repris la plus petite parcelle de son passé, de sa liberté depuis un an, pour que sa belle-mère – que même toi n’as pu changer – le laisse en paix. Et sa pauvre épouse ? Ah ! Elle a un tel désir d’aimer et d’être aimée ! Sa mère ? Ah !… son mari ? Un cher autoritaire… Jamais la moindre affection qui lui soit donnée sans trop exiger… Pauvre femme !… Laisse-lui l’enfant.
Écoute, mon Fils : pour le moment, nous l’emmenons avec nous. Je viendrai, moi aussi, en Judée. Tu m’y conduiras avec toi chez une de mes compagnes du Temple – presque une parente puisqu’elle descend de David. Elle réside à Bet-çur. Je la reverrai volontiers si elle vit encore. Après cela, à notre retour en Galilée, nous le confierons à Porphyrée. Quand nous serons dans les environs de Bethsaïde, Pierre le prendra. Quand nous viendrons ici, au loin, l’enfant restera avec elle. Ah ! Mais tu souris maintenant ! Alors tu vas faire plaisir à ta Maman. Merci, mon Jésus.

– Oui, qu’il soit fait comme tu le désires.

Jésus se lève et appelle d’une voix forte : Simon, fils de Jonas, viens ici !
Pierre sursaute et monte en vitesse l’escalier : Que veux-tu, Maître ?
– Viens ici, usurpateur et corrupteur !
– Moi ? Pourquoi ? Qu’ai-je fait Seigneur ?
– Tu as corrompu ma Mère. C’est pour cela que tu voulais être seul. Qu’est-ce que je dois te faire ?

Mais Jésus sourit et Pierre se rassure.

– Oh ! Dit-il, tu m’as réellement fait peur ! Mais maintenant tu ris… Que veux-tu de moi, Maître ? Ma vie ? Je n’ai plus qu’elle puisque tu m’as tout pris… mais, si tu la veux, je te la donne.
– Je ne veux pas t’enlever, mais te donner. Toutefois, n’abuse pas de ta victoire et n’en donne pas le secret à d’autres, homme rempli de fourberie qui triomphes du Maître par l’arme de la parole maternelle. Tu auras l’enfant, mais…

Jésus ne peut continuer car Pierre, qui était à genoux, saute sur ses pieds et embrasse Jésus avec une impétuosité telle qu’il lui coupe la parole.

– C’est elle qu’il te faut remercier, pas moi. Mais rappelle-toi que cela doit être pour toi une aide, pas un obstacle…
– Seigneur, tu n’auras pas à regretter ton don… Oh, Marie ! Sois toujours bénie, sainte et bonne.

Et Pierre, qui est retombé à genoux, pleure réellement en baisant la main de Marie.

Chapitre complémentaire : Marie qui défait les nœuds

la Vierge Marie possède un pouvoir inégalable : celui d’intercéder efficacement à la demande de tous ses enfants

Un souffle qui passe… Messages du Ciel au monde d’aujourd’hui. Message du 15 août 2021 – Ce message était un peu long, je l’ai donc raccourci. Vous pouvez le lire en entier sur le site d’origine.

(…) Donc, bien qu’elle ne soit pas une déesse, la Vierge Marie, parce ce qu’elle est Mère de Dieu et Mère de l’Église, possède un pouvoir inégalable : celui d’intercéder efficacement à la demande de tous ses enfants auprès de son Fils pour leur obtenir des grâces.

Nous vous invitons aussi, en cette période de trouble où les peuples du monde entier se voient attaqués par les puissances des Ténèbres et soumis à rude épreuve, à solliciter l’aide urgente de la Vierge Marie, à lui offrir des bouquets de rosaires et à visiter les lieux reconnus de ses apparitions.

N’ayez pas peur, frères aimés ! Réfugiez-vous dans son Cœur immaculé de Maman et changez votre propre cœur. Blottissez-vous sous son manteau, convertissez-vous et laissez-vous conduire par sa main maternelle vers tout ce qui est vrai, tout ce qui est juste, tout ce qui est bien, tout ce qui est beau et tout ce qui est pur. Ne vous laissez pas abuser par les mensonges de ceux qui vous gouvernent et priez pour vos ennemis tout en gardant confiance et courage !

Si vous avez la foi gros comme un grain de sénevé (cf. Lc 17, 6), si vous aimez notre Seigneur Jésus-Christ, si vous suivez ses Commandements (cf. Jn 14, 15), et si vous faites appel à sa bienheureuse Maman, que nous fêtons tout spécialement aujourd’hui au Ciel et sur la Terre, si vous êtes patients et persévérants, Dieu finira par vous exaucer !

Que Notre-Seigneur et sa très sainte Mère vous protègent et vous gardent.

Elle règne sur le cœur de Dieu et elle intervient en faveur de ses enfants chaque fois qu’elle le juge utile.

Messages de Notre Seigneur Jésus-Christ pour le monde du XXIe siècle.
Pour lire le message en entier : Soeur Beghe – Jeudi 18 février 2021

(…) Le rôle de Ses enfants dans le Ciel est comme celui des enfants d’un père de la terre : ils participent à la vie familiale dont le père est le chef et la mère l’intermédiaire entre lui et les enfants. Elle a la confiance du père, elle est son encouragement, elle attire son attention sur tel ou tel objet demeuré de côté, elle l’aime et il l’aime, et ensemble ils bâtissent leur avenir et celui de leurs enfants. (…)

La Très Sainte Vierge Marie, Mère immaculée du Fils Premier-né, est la Reine du Ciel et de la terre et elle jouit du privilège particulier d’être la Fille Bien-aimée du Père, la Mère immaculée du Fils et l’Épouse virginale du Saint Esprit. En cette qualité d’Épouse du Saint Esprit, Dieu, elle règne sur le cœur de Dieu et elle intervient en faveur de ses enfants chaque fois qu’elle le juge utile.

la Mère garde son rôle vigilant d’intermédiaire, de protectrice de ses enfants.

Si le Père se donne entièrement à chacun de Ses enfants dans le Ciel, la Mère garde son rôle vigilant d’intermédiaire, de protectrice de ses enfants dans le Ciel. Ils sont tous de grands saints mais leur rôle en tant qu’enfants de Dieu, adultes et responsables, reste celui de seconds dans l’Entreprise divine, avec tout le respect et la soumission d’enfants à l’égard de leur Père et de leur Mère. Ils participent à l’œuvre éternelle de création de leur Père céleste, qui est vraiment et totalement leur Père, et Jésus-Christ est leur Frère Aîné qui possède tout pouvoir et toute justice à l’égal du Père et dans la communion du Saint Esprit. (…)

Que Dieu soit béni dans Sa création et dans Son Ciel, et que la Très Sainte Vierge Marie soit adulée et révérée pour sa place si lumineuse aux côtés du Père et de la Très Sainte Trinité.

Ceux qui ont recours à moi se retrouveront avec d’amples secours, car j’apporte vos prières directement aux pieds de mon Fils Jésus qui écoute chacune de mes paroles.

Message de Maman Marie par l’entremise de Lec des Philippines – 8 avril 2008.

Fils, j’ai un ardent désir de m’associer avec ceux qui ont recours à moi, car être avec eux me donne du bonheur et ce qui jusqu’ici est en accord avec la plan du Père qui définit mon rôle en cette fin des temps.

En tant que messagère de Dieu, le Père, le Fils et l’Esprit Saint, votre Mère n’agit pas de son propre gré mais toujours dans un assujettissement  total au Tout Puissant, tout comme chacun de mes enfants sur terre doit faire de même, puisque la volonté du Seigneur est toujours parfaite et conduira au bonheur sans fin dans l’au-delà.

Cependant, je ne peux par promettre une vie sans problème pendant cette présente vie mais, en tant que votre Mère, ceux qui ont recours à moi se retrouveront avec d’amples secours, car j’apporte vos prières directement aux pieds de mon Fils Jésus qui écoute chacune de mes paroles.

Vous devez prier en tout temps pour vous protéger des tentations, du péché et des dangers.  Mon chapelet, si prié avec une fervente piété, peut vous aider à écarter le mal et visible et invisible.

Si vous priez pour obtenir une faveur dont vous avez vraiment besoin, je la demanderai à mon Fils Jésus et il vous l’accordera.

Message de Jésus au Père Doucette (Canada) – Samedi 26 mai 2012.

Je vous bénis, toi mon fils Melvin et vous tous mes fils et mes filles de chacun des pays du monde. Ayez confiance en moi, votre Mère. Si vous priez pour obtenir une faveur dont vous avez vraiment besoin, je la demanderai à mon Fils Jésus et il vous l’accordera.

Souvenez-vous de ce qui est arrivé au cours de la noce à Cana, en Galilée. Des gens sont venus me voir pour me dire que les organisateurs de la fête n’avaient plus de vin. Alors j’allai trouver mon Fils Jésus et je lui fis part du problème. Puis j’allai dire aux serviteurs de faire tout ce que Jésus leur dirait. Jésus leur demanda de remplir d’eau les récipients, ce qu’ils firent. Il dit ensuite à l’un d’eux de puiser dans un récipient avec un verre et d’aller le porter au maître de la fête. Celui-ci goûta, et trouva que c’était le meilleur vin qu’ils aient servi jusqu’alors.

C’est à ma demande que Jésus accomplit ce miracle. Il m’aime de tout son cœur et ne dit jamais « non » à sa Mère. Alors, venez à moi vous aussi et j’intercèderai pour vous. (…)

Chapitres complémentaires :
La Sainte Vierge Marie
Marie, mère des hommes
L’heure de grâce du 8 décembre
Le visage de la Vierge Marie
La Vierge Marie apparaît devant Vassula
La Sainte Maison de Lorette
Marie qui défait les nœuds