Le Dimanche et les jours de fêtes

Vous êtes mes Valentins.

Message de Dieu le Père donné à Carole Ameche (19XX-2013) le 14 février 2010, en la fête de Saint Valentin.

C’est à nouveau moi, mes chéris, votre mère – Marie, la Sainte de Dieu. Je viens pour vous saluer, mes enfants, en ce jour particulier dans vos vies, dans ce pays, pour vous dire que vous êtes mes Valentins. Réjouissez-vous de mon petit cadeau comme Je me réjouis pour vous, mes enfants. Il y a tant de graves évènements dans le monde… Pour ma part, Je vous apporte une touche de lumière par ma salutation initiale de ce jour. (…)

Que chaque mot que vous dites baigne dans la joie. Que votre amour déborde sur tous ceux que vous rencontrez, non de manière exaltée, mais pleine d’empressement, d’affection et de sincérité, exprimant la vraie joie de la rencontre. À ceux qui viennent à vous, vous direz que vous êtes heureux de les voir ; et vous aurez besoin de le dire, et ils se sentiront bien accueillis et aussitôt réconfortés. Ils seront dans un tel besoin, mes enfants. Le réconfort sera en tête de leurs priorités, et en tête des cadeaux que vous leur apporterez. (…)

Pensez à ceux qui vivent dans l’obscurité sans personne pour les aimer.

Mes enfants, tandis que vous vous réjouissez et faites la fête aujourd’hui, pensez surtout à ceux qui vivent dans l’obscurité et avec des cœurs froids, sans personne pour les aimer, voués à la destruction, se préoccupant de la suppression de l’amour dans le monde, de la suppression de toute unité existante, de la réduction de tout réconfort partout où il peut se trouver. Il s’agit d’une affreuse conspiration, et, bien sûr, c’est le plan de Satan lui-même.

Je vous adresse des paroles graves, ces jours-ci, parce que ce sont les moments qui précèdent la grande explosion des évènements du monde. Vous attendez tous, presqu’en retenant votre souffle, comme on le dit ; et Je vous encourage donc à vous souvenir que Je suis avec vous, que J’attends avec vous. Vous êtes enfermés dans mes bras et dans mon cœur, aussi bien qu’abrités de mon manteau. (…) Vous aussi êtes mes bien-aimés. Amen.

Le dimanche doit être observé comme un jour de repos, à l’exemple du Septième jour.

Saint Amour : Message de Jésus donné à Maureen (USA) le 26 juin 2021.

Dieu le Père : Souviens-toi du commandement « Tu sanctifieras le jour du sabbat ». C’est mon Troisième Commandement. Cette loi stipule que l’âme ne doit pas s’engager le dimanche dans un travail ou une activité pas indispensable. « Pas indispensable » veut dire un travail qui peut être fait un autre jour. L’âme ne doit s’engager dans aucune activité qui invite les autres à travailler ce jour-là. Le dimanche doit être observé comme un jour de repos, à l’exemple du Septième jour, alors que Je m’étais engagé dans la création du monde.

Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu’en ce jour, il se reposa de toute son œuvre qu’il avait créée en la faisant » (Bible de Jérusalem, Genèse, 2, 2)

Les travaux autorisés seraient par exemple de soigner les malades ou les handicapés, de fournir de la nourriture aux nécessiteux, de secourir ceux en difficulté, ou de fournir des soins, de l’assistance, à ceux qui en ont besoin. Mais à part cela, le dimanche doit être dédié à la spiritualité, avec un cœur rempli d’amour pour Moi.

Célébrer le Jour du Seigneur exige l’abstention des travaux manuels ou astreignants qui, visant au gain ou à l’intérêt, font du corps une machine actionnée uniquement par des motifs humains.

Message de Mamma Carmela de Milan (1910-1978) 19 avril 1971. Extrait du mensuel l’Etoile Note Dame – Mars 2010.

Ma fille, fait passer avant tes désirs, fussent-ils saints, l’accomplissement de tes devoirs quotidiens. Le travail auquel toute créature est soumise est vivement conseillé pour tous ceux qui en ont les aptitudes. C’est pourquoi toi ma fille tu ne dois pas te dispenser de ta présence régulière à la maison. La mission de maman comporte assistance et vigilance. Être présente veut dire attirer le secours du Seigneur, comme récompense d’une fidélité sans limite.

C’est aussi un devoir de mutuelle charité, car si les enfants ne doivent pas négliger leurs mamans et doivent les aider, de même les mamans ne doivent pas trop confier leurs enfants aux autres, car les parents ont reçu le don pour les élever et les amener à la foi.

Le devoir accompli par amour donne beaucoup de joie à tous les membres de la famille et c’est une source de bonheur et de paix. Il maintient aussi l’ordre, si cher à Dieu. C’est pourquoi, sache renoncer à ce qui parfois te plait dans le cadre de tes relations et de ton travail si tu veux atteindre la perfection à laquelle Dieu t’appelle.
Sanctifie ta journée par l’accomplissement parfait de tes devoirs. Fais toute chose, même petite, avec soin et perfection et tout contribuera à la gloire de Dieu et au profit de la famille dans laquelle Je t’ai placée.

« Le travail du dimanche finit en orage »

Sanctifie aussi le Jour du Seigneur pour réunir la famille autour des autels, pour unir vos souffrances à celles du Fils de l’homme, pour les offrir au Père en holocauste d’expiation, en prière de demande et en acte d’adoration.

Célébrer le Jour du Seigneur exige l’abstention des travaux manuels ou astreignants qui, visant au gain ou à l’intérêt, font du corps une machine actionnée uniquement par des motifs humains. Ces exigences, justifiées dans les jours ouvrables, ne peuvent l’être le dimanche.

Si, pourtant, la charité ou l’impossibilité de s’exempter de travaux déterminés ne permettent pas de prendre le juste repos, le Seigneur demande que ce travail Lui soit offert comme une prière. Ne pas oublier l’obligation de remplacer, avec la permission de l’Église, la Sainte Messe du dimanche par une Messe de la semaine.

Rappelez-vous deux vérités : personne au monde ne pourra s’enrichir de mérites pour la vie éternelle en travaillant le jour du Seigneur. Il ne pourra même pas en retirer un très grand avantage sur le plan des richesses matérielles, car il est très juste le proverbe qui dit : « Le travail du dimanche finit en orage. »

(Vincent) J’ai pu effectivement le constater dans ma propre vie, Dieu punit le travail du dimanche. Pareil lorsque l’on fait des courses pas indispensables ce jour-là.

Beaucoup d’événements se passèrent un dimanche. Je ressuscitai le dimanche de Pâques ; la première Pentecôte eut lieu un dimanche.

Message de Jésus donné au Père Doucette (Canada) – Lundi 22 février 2010. – Mardi 3 mars 2009.

Combien de fois les pharisiens m’accusèrent d’enfreindre la loi et d’offenser Dieu ! Si je guérissais un malade le jour du sabbat, ils me reprochaient de manquer de respect envers Dieu. Même chose si je laissais mes disciples cueillir des épis de blé ce jour-là. En vérité il n’y a pas de péché à faire le bien plutôt que le mal le jour du Seigneur. Et l’on peut manger si l’on a faim le jour du sabbat, ce n’est pas un péché.

Ces pharisiens ne connaissaient pas celui qui leur parlait : en effet, je suis maître du sabbat. J’étais avec le Père quand il créa le monde et tout ce qu’il renferme. J’étais avec lui quand il établit le sabbat. C’est pourquoi je pouvais leur dire qu’ils avaient devant eux quelqu’un de plus grand que le temple.

Le sabbat des Juifs avait lieu le samedi, alors que mes disciples célèbrent le jour du Seigneur le dimanche. C’est qu’avec moi beaucoup d’événements se passèrent un dimanche. Je ressuscitai le dimanche de Pâques ; la première Pentecôte eut lieu un dimanche. À l’époque des apôtres, donc, c’est le dimanche que mon Église se rassemblait pour prier et célébrer ma résurrection. Je suis d’accord avec cela, et je me réjouis que le dimanche soit maintenant un jour sanctifié.

Ne laissez pas le dimanche être comme le reste de la semaine.

Message de la Dame de Borg en Nadur (Malte), donné à Angélik Caruana au cours du Rosaire du 14 septembre 2011.

Mes chers enfants et mes enfants – ceux de mon cœur !
Priez-vous souvent, mes enfants ? Quelle est l’importance de la prière dans votre vie ? Combien de temps donnez-vous à la prière – de manière à rompre avec le quotidien et à se recueillir ? Combien de temps trouvez-vous pour cela ?

Et que dirons-nous à propos des dimanches et des jours fériés ? Que dirons-nous d’eux ? Donnez-vous à Dieu tout ce qui est sien ? Ou bien êtes-vous sélectifs ? Et le travail paraissant plus important – il passe d’abord !

Que pensez-vous de cela, mes enfants ? Respectez-vous le dimanche ? Allez-vous à la messe ou pas ? Ou bien avez-vous oublié le dimanche ? Ou peut-être pensez-vous que c’est quelque chose de dépassé ? Certains travaillent même le dimanche, sans réelle nécessité. Pourquoi en est-il ainsi, mes enfants ?

Respectez l’obligation du dimanche. Venez ensemble en Dieu. Réunissez-vous. En vérité, mes enfants, faites en sorte que le dimanche soit béni. Permettez que le dimanche soit réservé pour la messe ; ne soyez pas comme beaucoup qui négligent la messe pour des raisons de travail. En vérité, mes enfants, le dimanche rassemblez-vous à la messe et dans la prière d’une manière spéciale.

Vraiment, mes enfants, c’est mon désir, et le désir de mon Fils Jésus. Faites attention au dimanche. En vérité, mes enfants, ne laissez pas le dimanche être comme le reste de la semaine. Rassemblez-vous et adorez mon Fils Jésus.

Je tiens à souligner qu’il est toujours permis de faire le bien le dimanche.

Message de Jésus donné au Père Doucette (Canada) – Lundi 22 février 2010.

Les Pharisiens, ce groupe de Juifs radicaux, imposaient au peuple une foule de règles qui ne venaient pas du Père. C’est vrai que le Père a donné le commandement suivant : « Prends soin de me consacrer le jour du sabbat. » Il n’a pas dit cependant de ne pas faire le bien ce jour-là. Ces gens ne voulaient pas que je guérisse un homme à la main paralysée le jour du sabbat : je ne les ai pas écoutés et j’ai guéri cet homme quand même. Les Pharisiens voulurent me mettre à mort car, évidemment, ils ne croyaient pas que j’étais le Fils de Dieu et leur Messie.

Je tiens à souligner qu’il est toujours permis de faire le bien le dimanche, jour sacré de la semaine. Il est vrai que tous les chrétiens sont appelés à se rendre à l’église le dimanche et à participer activement à la Célébration eucharistique. Je les exhorte à me recevoir dans la sainte Communion si leur âme est sans péché mortel. Le dimanche est un jour de repos, mais il reste que certains sont obligés de travailler ce jour-là, par exemple le personnel infirmier. Je n’ai pas brisé le sabbat lorsque j’ai guéri cet homme, et vous non plus vous ne fautez pas en faisant du bien à quelqu’un le dimanche. Si vous devez conduire un malade à l’hôpital, c’est un geste légitime et très bon.

Bien des gens aujourd’hui ne me donnent pas la première place le dimanche. Au lieu d’aller à l’église, ils vont à une manifestation sportive. Dans ce cas le sport est devenu leur dieu. D’autres utilisent l’heure du culte dominical pour faire de l’exercice, et cela également est péché. S’il-vous-plaît, venez à l’église chaque dimanche.

Je vous demande d’éviter tout travail non nécessaire afin d’honorer la sainteté de ce jour.

Message du Seigneur donné à John Leary (USA) – Samedi le 6 septembre 2008

Jésus : Mes enfants, le dimanche est un jour spécial en hommage à ma résurrection, et pour mes fidèles, il est mon troisième commandement qui vous appelle à honorer le dimanche en assistant à la messe.

Aussi, je vous demande d’éviter tout travail non nécessaire afin d’honorer la sainteté de ce jour. Ma miséricorde abonde sur ceux qui sont malades ou qui ont une urgence dont ils ne sont pas responsables et qui les empêchent d’aller à la messe dominicale.

Il y a habituellement la possibilité de plusieurs horaires de messe où vous pouvez venir lorsque vous pouvez le faire. La paresse de dormir n’est pas une excuse. Ma miséricorde est aussi sur ceux qui doivent réparer une maison endommagée par le vent ou pour tout autre besoin nécessaire hors de votre contrôle. Mais, si vous avez d’autres moments de disponibles pour votre travail, alors vous devez éviter de travailler le dimanche. Mon jour saint est un jour de repos, et vous devriez respecter mes directives pour votre vie.

Il y a quelques exceptions à cette loi, mais n’en abusez pas uniquement pour votre propre convenance. L’esprit de la loi, c’est d’honorer et de respecter mon seul jour de repos de la semaine, celui du dimanche. Veillez à observer mes commandements par amour pour moi.

Le dimanche n’est pas un jour où l’on travaille pour de l’argent, mais les infirmières par exemple ont à prendre soin des malades tous les jours, y compris le dimanche.

Message de Jésus donné au Père Doucette (Canada) – Mercredi 4 mars 2009.

J’ai toujours eu une grande compassion envers ceux qui souffrent et c’est pourquoi, de mon vivant sur la terre, je guérissais des gens chaque jour, même si c’était le sabbat. Une fois je me trouvais dans une synagogue et un homme à la main paralysée se tenait là, assis. Les gens me demandèrent s’il était permis de faire une guérison le jour du sabbat. Je leur répondis qu’il n’y avait rien de mal à cela. Si un animal tombe dans un puits, les Juifs eux-mêmes vont descendre pour le sortir de là, même le jour du Seigneur. Alors je dis simplement à l’homme de tendre la main, ce qu’il fit, et sa main redevint tout à fait saine. Les pharisiens toutefois, persuadés que je venais de pécher contre Dieu, décidèrent de me faire mourir.

Il est permis de faire une bonne action le jour du Seigneur, ce n’est pas péché. On peut visiter un malade, aider un infirme à traverser la rue, nourrir un affamé ou conduire un malade à l’hôpital. Ce sont tous des gestes de bonté et ils sont permis le dimanche.

La loi juive à ce sujet était inspirée par l’homme et sans amour pour le prochain. En principe le dimanche n’est pas un jour où l’on travaille pour de l’argent, mais les infirmières par exemple ont à prendre soin des malades tous les jours, y compris le dimanche. Tout acte charitable est bon et peut être accompli même le jour du Seigneur.