Rencontrer son Ange gardien

Croiser mon Ange gardien dans la rue – suite.

Vincent : À une époque récente, j’étais toujours presque un peu en retard à la messe et je devais donc marcher très rapidement dans la rue pour ne pas rater le début. Cette attitude a dû déplaire au Seigneur car un dimanche alors que j’avançais rapidement vers l’église, un homme m’interpela et me dit que j’allais être en retard pour la messe.
Cette attitude m’avait intriguée. Quel homme se soucierait de voir un inconnu avancé rapidement vers une église à l’heure de la messe et l’interpellerait pour lui faire remarquer son retard. Bien sûr qu’il devait s’agir de mon Ange gardien qui avait donc pris forme humaine pour me remettre sur les rails.

Malgré tout, Dieu peut se servir de vraies gens pour corriger un comportement. En témoigne l’expérience ci-dessous.

Extrait de mon livre autobiographique : Une vie dans le surnaturel : Chapitre : Évangélisation à domicile.

Un autre exemple de vraie rencontre angélique, suivi d’une autre histoire qui serait probablement une intervention humaine.

Un homme avec les yeux bleus perçants et une chemise bleue m’a demandé si ça allait, puis il m’a dit : tout ira bien, ne t’inquiète pas.

Témoignage de Mireille B. trouvé sur le forum Quora.

Bonjour, je vais partager ce qui je pense a été une telle rencontre pour moi. Je suis Québécoise et je crois à une puissance supérieure, mais pas particulièrement aux anges, (…) Le moment en question c’est passé en 2002. C’était une période où mon anxiété était très prononcée et mon aptitude à croire en un bon lendemain, pas très fort… Je venais d’être engagée comme temporaire et j’étais super inquiète de quand la fin du contrat surviendrait, et ce même si les plus anciennes me disaient toutes qu’elles travaillaient à presque temps plein depuis des années, à toutes les années, malgré leur statut temporaire.
De plus, j’étais jeune alors que les baby-boomers commençaient à peine à prendre leur retraite, alors tous les signes positifs étaient visibles par tous… sauf que je continuais à stresser malgré tout.

J’étais dans un corridor désert, perdue dans mes nuages noirs, quand un homme avec les yeux bleus perçants et une chemise bleue m’a demandé si ça allait, puis quand je lui ai répondu je ne me souviens plus quoi, il m’a répondu chaleureusement : tout ira bien, ne t’inquiète pas. Jusque-là, rien de particulier, me direz-vous, sauf ceci. Le temps que je me rende compte qu’il ne pouvait pas savoir que j’étais inquiète considérant que je ne le connaissais pas et que je ne lui avais pas dit mon vrai état d’âme, je me suis retournée pour le remercier – et j’étais seule dans le corridor à nouveau désert, sans porte où il aurait pu entrer.

Combiné à des rêves avec de forts symboles d’encouragements similaires, et qu’effectivement, non seulement tout a bien été, mais en plus mieux que je ne pouvais l’imaginer à cette époque. Je me rappelle la présence chaleureuse et rassurante de ce grand et parfait étranger au bon regard. Je ne peux m’empêcher de me demander si c’était un Ange, après tout…

Un autre moment où un Ange pourrait m’avoir sauvé est quand j’avais 10–11 ans, dans la piscine à vagues. Je me noyais vraiment en étant à contre-rythme des vagues, au-delà de la ligne de bris, et un parfait étranger m’a ramené en lieu sécuritaire, puis est retourné dans les vagues avant que je puisse le remercier. Ce n’était pas un des sauveteurs ; ils n’avaient rien vu… et je n’ai jamais retrouvé mon sauveteur. Étranges mystères, non ?

Déterminer qui d’un humain pourrait être un Ange.

Il est toujours très difficile de déterminer qui d’un humain pourrait être un Ange. Voici une situation très spéciale lors d’une sortie dans les catacombes parisiennes non-officielles où, compte tenu de l’endroit, je suis quasi sûr d’avoir eu affaire à des Anges. D’autant plus que j’ai toujours eu le sentiment que Dieu se réjouissait de nous voir explorer ces souterrains.

Extrait de mon livre autobiographique : Une vie dans le surnaturel : Chapitre sur les sorties catacombes. Nous étions deux, moi et mon ami Baudouin. Année 2016.

(…) Curieusement et heureusement, les accidents sont assez rares et il n’y a jamais eu de mort.
Pour ma part, l’accident auquel j’échappai lors de cette descente fut une entorse : Alors que l’on se dirigeait vers les fondations de la Tour Montparnasse, l’on se retrouva devant trois personnes semblant venir de nulle part, et qui donnaient l’impression de nous barrer le passage (Nous sommes dans une galerie souterraine à 20 mètres sous terre).
Deux avaient le type nord-africain et le troisième était noir. Des groupes ethniques rarissimes chez les cataphiles, surtout aussi loin des entrées et des salles. L’on eut un peu peur qu’ils refusent de nous laisser passer. Peut-être gardaient-ils l’accès à une fête privée pensais-je, ce qui était très improbable vu l’endroit éloigné des salles habituelles. (…)
Voulant éclaircir le mystère et surtout débloquer la situation, j’ai demandé si l’on pouvait passer, et très gentiment le grand noir nous dit : « bien sûr que vous pouvez y aller » et on les doubla sans soucis, pour arriver rapidement dans une zone au sol truffé de monticules de pierres et de sable, une zone dangereuse pour les chevilles où je faillis me faire une entorse, accident très problématique dans ces endroits, si bien que j’ai demandé à Baudouin de faire demi-tour. (…)
Qui étaient ces trois hommes improbables n’ayant ni sac ni manteau, semblant être là pour nous avertir d’un danger ? Surement pas des cataphiles ordinaires. Des Anges ? (…)
(…) Curieusement et heureusement, les accidents sont assez rares et il n’y a jamais eu de mort.
Pour ma part, l’accident auquel j’échappai lors de cette descente fut une entorse : Alors que l’on se dirigeait vers les fondations de la Tour Montparnasse, l’on se retrouva devant trois personnes semblant venir de nulle part, et qui donnaient l’impression de nous barrer le passage (Nous sommes dans une galerie souterraine à 20 mètres sous terre).
Deux avaient le type nord-africain et le troisième était noir. Des groupes ethniques rarissimes chez les cataphiles, surtout aussi loin des entrées et des salles. L’on eut un peu peur qu’ils refusent de nous laisser passer. Peut-être gardaient-ils l’accès à une fête privée pensais-je, ce qui était très improbable vu l’endroit éloigné des salles habituelles. (…)
Voulant éclaircir le mystère et surtout débloquer la situation, j’ai demandé si l’on pouvait passer, et très gentiment le grand noir nous dit : « bien sûr que vous pouvez y aller » et on les doubla sans soucis, pour arriver rapidement dans une zone au sol truffé de monticules de pierres et de sable, une zone dangereuse pour les chevilles où je faillis me faire une entorse, accident très problématique dans ces endroits, si bien que j’ai demandé à Baudouin de faire demi-tour. (…)
Qui étaient ces trois hommes improbables n’ayant ni sac ni manteau, semblant être là pour nous avertir d’un danger ? Surement pas des cataphiles ordinaires. Des Anges ? (…)

Voici une série de photos pour vous mettre dans l’ambiance.
Voici un autre exemple
Extrait de mon livre autobiographique : Une vie dans le surnaturel :

(…) J’ai 25 ans lorsque je quitte mon studio Place de la Nation pour un petit deux-pièces dans le 15e que je partageais avec l’un de mes grands frères. Nous habitions au 1er étage. Cet appartement était situé à côté du parc Georges Brassens, qui avait pour particularité d’abriter un marché aux livres anciens.
Alors que je m’y promenais un beau dimanche de printemps pour flâner entre les rayons, et compléter ma collection de journaux illustrés, j’assistai à une scène incroyable.

À cette époque, le parc qui jouxtait ce marché était mal fréquenté, et des bandes de voyous rôdaient souvent dans les allées. Le frère avec qui j’habitais avait eu des soucis avec eux les mois précédents.
Je feuilletais des ouvrages anciens lorsque surgit un jeune garçon d’une vingtaine d’années, qui avait à ses trousses une bande d’une dizaine de voyous. Il arriva au centre du marché pour s’y réfugier. Pour attirer l’attention de la foule à son problème, il se mit à crier une phrase du style : « y en a marre des Arabes ! ». Les jeunes qui le suivaient étaient effectivement tous d’origine Nord-africaine.
Ces jeunes délinquants, qui poursuivaient déjà le jeune homme, en entendant cet « appel à l’aide communautariste » accélérèrent leur course avec l’intention évidente de bastonner leur proie. La foule se mit en cercle autour de la scène, prêt à intervenir pour secourir le pauvre garçon, ce qui aurait déclenché une belle bagarre générale.

C’est alors qu’un homme arriva calmement d’un des stands, il était dans la force de l’âge, grand et imposant, blond et bien fait de sa personne, il n’avait ni manteau ni sac, il semblait surgir de nulle part. Il se positionna entre l’homme et les voyous quelques secondes avant l’impact. Il avait vraiment le rôle de l’homme providentiel.
Arriva également, je ne sais comment, un autre homme, de taille moyenne, pas très beau de visage et un peu âgé, habillé en sombre. Il se tenait à côté du meneur de la bande et semblait être là pour le contenir. On avait l’impression que l’homme blond musclé était l’Ange gardien de l’homme poursuivi, et que l’autre en noir, laid de visage, était l’Ange gardien du chef des voyous.
La foule regardait, se tenait silencieuse, et ne bougeait pas. Les délinquants, leur chef en tête, avaient été arrêtés net dans leur élan, et étaient comme tétanisés par la présence de l’individu angélique qui leur barrait la route.

Cet homme providentiel, qui en imposait par sa présence, ordonna calmement au chef et à sa bande de partir. Mais les voyous, on en comptait bien une dizaine âgée de 14 à 17 ans, restaient immobiles et en arrière. Leur chef, pas très épais mais extrêmement teigneux, était bien en avant.
Voyant que personne ne bougeait, « l’homme de Dieu » s’avança calmement en direction du meneur, qui eut l’étrange réflexe de se retourner. Il put ainsi lui saisir le col et, avec maitrise et calme, lui mit un coup de pied au derrière comme on aurait fait à un jeune enfant. Il se faisait botter les fesses devant toute sa bande et tout le quartier !
Le voyou, furieux, se retourna et fut comme paralysé, la différence de gabarit et surement la volonté de Dieu devaient lui interdire tout mouvement. Il se mit à cracher, comme si c’était la seule réaction qui lui fût autorisée. On sentait en lui une haine incroyable qu’il avait du mal à contenir.

Le meneur de la bande fut donc contraint de se retirer, et tous ses sbires le suivirent. Chacun retourna à ses occupations, et ce dimanche se termina aussi calmement qu’il avait commencé. Les gens ne firent entre eux aucun commentaire, comme si la scène avait été hors du temps. J’avais trouvé cet incident vraiment étrange.

Voici une vidéo qui fait visiter ce marché.

Croiser mon Ange gardien dans la rue.

Vincent, le 16 février 2024 : Ce message m’a interpelé et voici un retour d’expérience sur le sujet. C’est vers 26 ans que pour la première fois j’ai demandé à croiser mon Ange gardien dans la rue – et je vous invite à tenter l’expérience – et cela avait fonctionné.
Ces derniers mois je l’ai croisé plusieurs fois, soit à ma demande, soit par son initiative. J’ai remarqué qu’à chaque fois, l’Ange prend une apparence hors du commun pour que l’on puisse le distinguer.

Dans cette expérience :

L’homme, non seulement avait des habits de motards, mais en plus il avait la tête caricaturale du motard sympathique, comme dans un film de cinéma où tous les rôles sont marqués.

Il y a quelques jours j’avais demandé à croiser mon Ange. Je marche dans la rue, et puis soudain je remarque que la lumière du soleil prend un aspect particulier, presque surréaliste et surnaturel. Puis, alors que j’étais seul dans la rue, je croise une femme de type asiatique semblant me faire un sourire. Or dans ma ville je croise rarement de gens de type asiatique. (et d’autres raisons ont incité ce choix d’apparence).

Il y a quelque mois je vais à la librairie La Procure pour y lire des livres de révélations d’Anges. J’étais tellement imbibé de la notion de « contact avec les Anges », que j’eus le désire fort de croiser le mien.
En sortant je me dirige vers une petite bouche de métro. Il y avait deux tourniquets et l’un était obstrué par une valise, je me dirige vers l’autre et mon passe Navigo ne fonctionna pas, et s’en suivi une embrouille trop longue a raconté, tout ça sous le regard de l’homme qui possédait la valise et qui me regardait sans rien dire et dont la présence semblait étrange car il semblait attendre sans raison.
C’est une fois l’affaire résolue et au cours du trajet que je pris conscience que cet homme, dont la valise, placée à un endroit inapproprié, m’avait forcé à emprunter le tourniquet m’ayant posé un problème, devait être la réponse à mon désir de croiser mon Ange.

J’ai toujours remarqué que les Anges étaient très réactifs à cette demande et nous exauçaient le jour même. Il faut juste savoir les repérer et il y aura toujours un signe particulier.

À deux reprises dans ma vie j’ai assisté à ce qui m’a semblé être une intervention céleste d’Ange d’aspect humain pour des gens en difficulté. La dernière fois c’était dans une gare, et une fois récemment pour moi, du coup à chaque fois que je me promène dans le hall d’une gare, je me dis que parmi tous ces gens, il y a forcément des Anges en mission.

Des démons d’apparence humaine aussi peuvent s’y trouver, comme l’a révélé le livre d’Ingo Swann : Pénétration. (Que j’aurais plutôt traduit par : Intrusion).
Détail amusant, lorsqu’on lit ce livre et que l’on est avec des inconnus, on se met à scruter pour savoir s’ils n’en sont pas, tellement cela leur semble facile d’infiltrer nos sociétés.

Les Anges aiment à se déguiser en homme.

Messages du Ciel d’Arnaud, extraits des livres intitulés « Arnaud Gourvennec : Vers le soleil de Dieu ». Texte tiré du site : spiritualite-chretienne.

Qu’est-ce donc qu’un Ange au juste ? Serait-ce un souffle de Dieu ? nous suggère Arnaud qui ajoute : L’expression Ange gardien vous étonne, vous êtes souvent incrédules à ce sujet. Et pourtant, les Anges sont une réalité tellement forte qu’elle est présente tout au long de la Bible. (…)

Si vous saviez, ajoute encore Arnaud, combien les Anges aiment à se déguiser en homme, à faire comme si, ils admirent tellement celui-ci dans la Création. Hélas ! leur déception devant son comportement actuel est à la mesure de leur enthousiasme originel. Mais quand vous vous angélisez, vous humanisez les Anges, à leur plus grande joie !

Arnaud précise encore : N’ayant pas la puissance des Anges ou de Marie pour vous toucher, nous n’avons que le langage parlé et de si petits miracles que vous ne les voyez pas toujours. Mes messages ont aussi le contrôle des Anges.

Chapitres complémentaires :
Les Anges
Les enfants qui voient des anges
Témoignage : Voir son Ange gardien en voyage astral

Enseignement céleste

Témoignages – Mon bon ange, prenez-moi par la main.

Textes extraits d’un forum.

Témoignage de Ginette B. le 12 mars 2016.
Au sujet des Anges gardiens, je vais vous raconter un fait qui est arrivé à mon frère. Il devait aller à la messe et ne trouvait plus ses clés. Il a fait ses poches deux fois, trois fois, il a regardé partout dans la maison et l’heure passait. Il a demandé à son Ange gardien de l’aider, et il a senti un poids dans la poche de sa veste. Cette poche, il l’avait bien fait au moins 3 fois et c’est une petite poche. Donc, il sent un poids dans cette poche et y retrouve… ses clés. ! Un tour de passe-passe de son Ange gardien, il n’en n’a pas douté une seconde.
Merci pour ce beau témoignage. Moi aussi, il m’est arrivé la même chose que vous dans des circonstances différentes à 2 reprises. On n’oublie pas ces choses-là.

Témoignage de Marie Fleur
Je voudrais signaler un fait personnel et véridique, arrivé à mon petit frère. Nous vivions au bord d’une rivière, et une personne était chargée de nous surveiller… Inattention ou autre ? Le petit frère n’était plus là. Toujours le réflexe de l’eau, cette personne se précipite au bord de la rivière et voit ce petit de 3 ans qui sort de l’eau dégoulinant. Après le séchage et tout le toutim, on lui demande comment il est sorti : j’ai dit « ô mon bon ange, prenez-moi par la main.« 
Ma mère nous a appris, avant même avant que l’on sache s’exprimer, à prier notre Ange gardien matin et soir. C’est une grande dévotion chez nous.

Cours, enfuis-toi !
Témoignage de Rebecca, 41 ans, psychanalyste : Extrait du site letelegramme.fr

J’ai toujours senti la présence de mon Ange gardien. Enfant, je lui parlais, naturellement. En intégrant une école catholique, à l’âge de 6 ans, je l’ai remplacé par Dieu, puisque l’on me disait que c’était à lui que je devais m’adresser. Mais je continuais à sentir sa présence. Et puis, un jour, il m’a sauvée.

J’avais 7 ans. Je me trouvais dans le petit parc derrière l’immeuble où j’habitais. Je rentrais chez moi, quand un homme que je n’avais jamais vu s’est approché et m’a dit : “Bonjour Rebecca, ta maman – il a dit son prénom – m’a demandé de venir te chercher.” Je n’étais pas plus affolée que ça lorsque j’ai entendu très clairement dans ma tête une voix qui disait : « Non, non, cours, enfuis-toi ! » C’est ce que j’ai fait. Le soir, ma mère, très inquiète, m’a dit qu’elle n’avait jamais rien demandé à personne.

Jusqu’à 15 ans, j’ai senti sa présence, et après, c’est comme si je m’étais déconnectée. Pendant vingt ans, j’ai construit ma vie de famille et ma vie professionnelle.
Et puis, il y a eu le décès de mon frère et, à cette occasion, la reconnexion avec mon Ange gardien. Pendant cette période très dure, j’ai à nouveau senti sa présence, son soutien ; il me facilitait les choses, y compris matériellement.
Il y a quelques mois, je lui ai demandé son nom. Une semaine plus tard, j’ai entendu “Pierre” résonner en moi. Je ne vis pas d’expériences extraordinaires, je n’ai aucune certitude, juste un ressenti très fort. Les signes et les réponses que je reçois font sens pour moi. Cette connexion m’apporte de la sérénité et aussi plus de conscience : je me sens plus présente à moi-même et aux autres.

Expérience de prière avec mon Ange gardien.

Vincent : Durant la nuit du 20 au 21 janvier 2024, j’ai fait avec des amis une descente dans les catacombes parisiennes du 14e, appelé Grand réseau sud (GRS), durant 9 heures. On les appelle catacombes, mais ce sont en réalité des carrières.

Vu que samedi il était prévu qu’il fasse froid : 0° – très froid pour des Parisiens – et dimanche 2°, je m’étais dit que j’allais, la semaine d’avant, constamment demander à mon Ange gardien d’agir pour faire remonter les températures. Certes il fait toujours 15° dans les catacombes, mais l’on se mouille souvent, et sortir avec des habits mouillés par 2°, et devoir se changer sur le trottoir n’était pas très agréable, et l’on craignait que le gel bloque les couvercles d’accès.

Mais indépendamment de tous ces tracas, je m’étais dit : puisque Dieu nous demande de travailler constamment en lien avec nos Anges gardiens, je vais le prier intensément afin qu’il rende cette sortie mieux que d’ordinaire, moins éprouvante, et l’on pourra ainsi apprécier son action et confirmer son réel pouvoir.

Le résultat de cette expérience fut spectaculaire.

La sortie va démarrer avec un repas dans un joli restaurant pour une fête d’anniversaire, je vous passe les détails mais ce fut très agréable – D’ordinaire on se donne rendez-vous dans un MacDo.
Malgré les 0°, on a pu rentrer facilement dans le réseau via une galerie proche de la surface, et là surprise ! Il faisait au moins 20°. Une fois à l’intérieur des catacombes – 15 mètres plus bas – il fit constamment 20° durant les 9 heures de la descente, au point que l’on a eu constamment trop chaud, car on marchait souvent. Toute l’équipe (6 personnes) fut étonnée de cette chaleur, mais on préférait ça que d’avoir froid, car souvent il y fait un peu froid.

Ensuite on a croisé des groupes de gens sympas et très solidaires, ce qui arrive rarement. On nous a indiqué une fresque monumentale – La plus belle des fresques – que l’on n’avait jamais vu malgré mes 30 descentes. (Je suis en bas à droite).


Arrivés dans un endroit appelé la Fontaine des Chartreux, des bougies avaient été installés et allumés, probablement par le groupe d’avant, mais on avait l’impression qu’elles avaient été mises là « rien que pour nous », que des gens nous attendaient. Cela donnait une ambiance féerique.


Plein d’autres choses agréables ont eu lieu, comme lors de la sortie où un groupe était devant nous et nous a ouvert la plaque, une plaque difficile – Voir la photo ci-dessous à gauche – et nous aida à sortir, une solidarité très rare dans ces endroits.

Bref, ce fut une avalanche de très bonnes choses. Donc oui, la sollicitation de nos Anges gardiens a bien une action réelle dans nos vies. Et Dieu, par nos Anges, aime nous faire plaisir.

Remarquez sur la photo de gauche, on voit une main à droite qui veut nous aider, celle d’un gars de l’équipe qui a ouvert la plaque.

Une dame pose sa main sur mon épaule et me dit « Les Anges gardiens existent bien ».

Témoignages trouvés sur le site : spiritualite-chretienne
J’ai eu le sentiment de vivre comme dans un flash, hors du temps et de l’espace.

Je suis au volant de ma voiture sur une route de Normandie, sous une pluie battante. En compagnie de mon fils de douze ans, je viens de quitter l’autoroute de Paris.
À l’approche d’un carrefour balisé par des feux, je me retrouve derrière une grosse caravane, à quinze mètres devant moi. Le feu passe au rouge. En freinant, la caravane dégage des trombes d’eau. J’ai le réflexe de ne pas freiner à mon tour. La nappe d’eau s’engouffre sous mon véhicule qui se met à glisser. La route est étroite. En face, arrive une autre caravane qui occupe la largeur de la voie de gauche. Pas de place pour me glisser entre les deux caravanes et éviter l’accident.
Je parviens seulement à formuler intérieurement : « Les anges, les anges, au secours ! » Les mains à peine posées sur le volant de peur d’une fausse manœuvre, je n’ai plus aucun contrôle de la voiture, ni de la situation. Le choc est inévitable. Et pourtant …
Le temps de retenir mon souffle et je me retrouve en douceur à l’arrêt devant la caravane responsable de l’aquaplaning et derrière deux autres voitures immobiles au feu. Ni appel de phare, ni coup de klaxon, aucune réaction des autres véhicules, comme s’il ne s’était rien passé.
J’ai eu le sentiment de vivre comme dans un flash, hors du temps et de l’espace. Même impression pour mon fils qui s’exclame « Maman, c’est un miracle ! »
Témoignage de Dominique M.

Mais quand il relève la tête, plus personne.
Extraits de « Le Ciel parmi nous », 1997, © Éditions Bénédictines.

Bruno, c’était un dur ! Les 400 coups, la prison, une femme et trois enfants qu’il terrorisait et battait car il était alcoolique. « Pourtant, je les aimais, mais c’était plus fort que moi… » précise-t-il.
Un jour, désespéré, ivre mort, il descend dans une station de métro, avec la ferme intention d’en finir. Sur le point de se jeter sous la rame, il s’assure que l’endroit est bien désert. Il l’est. Il hésite une deuxième fois. Il jette à nouveau un regard circulaire. Et découvre alors un homme qui n’était pas là une seconde plus tôt.
L’inconnu, en haillons, est assis sur un banc. « Je me sens irrésistiblement attiré et je m’approche de lui. Pourtant, je suis toujours aussi saoul et, habituellement, rien ne peut me sortir de cet état-là. » Arrivé à sa hauteur, l’inconnu lève la tête et le regarde droit dans les yeux. « Je n’ai jamais vu des yeux pareils. Jamais aucun homme ne m’a regardé de cette façon. » Il ressent aussitôt une force et un amour inouï émaner de cet inconnu, précisément pour lui. Bruno se retrouve en larmes et à genoux, à ses pieds.
L’inconnu pose alors les mains sur sa tête. « Je me suis senti regonflé comme un pneu avec une pompe à vélo ! » Bruno perd la notion du temps. Il est en paix, joyeux et complètement dessoulé. Mais quand il relève la tête, plus personne…
Quelques jours plus tard, il renonce à l’alcool et à toute violence.

Une dame pose sa main sur mon épaule, et me dit « Les Anges gardiens existent bien »
Témoignage de Guillaume, (Paris). Printemps 2003.

J’aimerais moi aussi vous faire part de ce signe qui m’est parvenu voilà quelques semaines. Je venais d’acheter le livre réédité de Pierre Jovanovic, « Enquête sur l’existence des Anges gardiens« , à la seule boutique portant sur le sujet à Paris (La boutique des Anges, 2 rue Yvonne Le Tac, 75018).
Je suis allé lire sur les marches du Sacré-Cœur, endroit que j’affectionne particulièrement.
Après quelques pages, je me suis arrêté, longuement, regardant le lointain, me demandant si moi aussi, j’avais le mien, qui était là, à veiller sur moi. A ce même instant, une dame distinguée, d’une quarantaine d’années, monte les escaliers, passe à côté de moi, pose sa main sur mon épaule, et sans s’arrêter, me dit « Les Anges gardiens existent bien »
Je précise qu’elle ne pouvait pas voir la couverture du livre, celui-ci étant posé sur mes genoux…
Voilà, c’était un signe, parmi d’autres…

Nous allons mourir ! Nous avons vu l’ange du Seigneur !

Extrait des visions de Maria Valtorta (Italie) : L’Évangile tel qu’il m’a été révélé

(…) Pendant ce temps, Suzanne et Salomé, après avoir quitté leurs compagnes et atteint les murs, sont surprises par le tremblement de terre. Effrayées, elles se réfugient sous un arbre et restent là, combattues entre leur grand désir d’aller au tombeau et celui de courir chez Jeanne. Mais l’amour triomphe de la peur, et elles repartent vers le tombeau.

Encore toutes apeurées, elles pénètrent dans le jardin et voient les gardes évanouis, ainsi qu’une grande lumière qui sort du tombeau ouvert. Cela augmente leur effroi, qui atteint son comble quand, se tenant par la main pour s’encourager mutuellement, elles se présentent sur le seuil et aperçoivent dans l’obscurité de la grotte sépulcrale une créature lumineuse et très belle, qui sourit doucement et les salue de là où elle se tient : appuyée à droite de la pierre de l’onction, dont la grisaille disparait devant une si incandescente splendeur.        

Elles tombent à genoux, abasourdies. Mais l’ange leur parle avec douceur :       
N’ayez pas peur de moi. Je suis l’ange de la divine Douleur. Je suis venu pour me réjouir de la fin de celle‑ci. La souffrance du Christ, son humiliation dans la mort sont terminées. Jésus de Nazareth, le Crucifié que vous cherchez, est ressuscité. Il n’est plus ici ! L’endroit où vous l’avez déposé est vide. Réjouissez‑vous avec moi. Allez. Dites à Pierre et aux disciples qu’il est ressuscité et qu’il vous précède en Galilée. Vous le verrez encore là-bas pendant quelque temps, comme il l’a dit.

Les femmes tombent visage contre terre, et quand elles le lèvent, elles s’enfuient comme si elles étaient poursuivies par un châtiment. Elles sont terrorisées et murmurent : 
– Nous allons mourir ! Nous avons vu l’ange du Seigneur !

Arrivées en pleine campagne, elles se calment un peu et se concertent. Que faire ? Si elles racontent ce qu’elles ont vu, on ne les croira pas. Si elles disent qu’elles viennent de là, elles peuvent être accusées par les Juifs d’avoir tué les gardes. Non. Elles ne peuvent rien dire, ni aux amis ni aux ennemis… (…)

Ils ont l’aspect de très beaux adolescents.   

Extrait des visions de Maria Valtorta (Italie) : L’Évangile tel qu’il m’a été révélé. 

Jean se relève et entre. Au même moment, Pierre découvre le suaire posé dans un coin, bien plié, avec à l’intérieur le linceul soigneusement roulé.
« Ils l’ont vraiment enlevé. La présence des gardes, ce n’était pas pour nous rendre service, mais dans ce but-là… Et nous l’avons laissé faire ! En nous éloignant d’ici, nous l’avons permis…
– Ah ! où l’auront‑ils mis ?
– Pierre, Pierre ! Maintenant. c’est vraiment fini ! » Les deux disciples sortent, anéantis. « Allons, femme. Tu le diras à la Mère…
– Moi, je ne m’éloigne pas. Je reste ici… Quelqu’un viendra… Non, moi, je ne vous accompagne pas… Ici, il y a encore quelque chose de lui. Marie avait raison … Respirer l’air ou il a été est l’unique soulagement qui nous reste.
– L’unique soulagement… Maintenant, tu vois bien toi aussi que c’était une folie d’espérer… » dit Pierre.

Marie Madeleine ne répond même pas. Elle s’affaisse sur le sol, juste à côté de la porte, et elle pleure pendant que les autres repartent lentement. Puis elle lève la tête et regarde à l’intérieur et, à travers ses larmes, voit deux anges assis à la tête et aux pieds de la pierre de l’onction.
La pauvre Marie est tenaillée par un tel combat intérieur entre l’espérance qui meurt et la foi qui ne veut pas mourir, qu’elle les regarde d’un air hébété, sans même s’étonner. Cette femme courageuse qui a résisté héroïquement a tout n’a plus que des larmes.

– Pourquoi pleures‑tu, femme ? demande l’un des deux enfants lumineux, car ils ont l’aspect de très beaux adolescents.
– Parce qu’ils ont emporté mon Seigneur, et je ne sais où ils me l’ont mis. (…)

L’ange tourne les yeux vers son compagnon en souriant, et l’autre fait de même. Et avec un éclair de joie angélique, tous deux regardent en direction du jardin, tout fleuri, maintenant que des millions de corolles se sont ouvertes au premier soleil sur les frondaisons touffues de la pommeraie.

Marie Madeleine se retourne pour suivre leur regard, et elle voit un homme très beau. J’ignore comment elle peut ne pas l’identifier tout de suite. Cet homme la regarde avec pitié et lui demande :
– Femme, pourquoi pleures‑tu ? Qui cherches‑tu ?

Il est vrai que c’est un Jésus assombri par sa pitié pour une créature que trop d’émotions ont épuisée et qu’une joie imprévue pourrait faire mourir, mais je me demande vraiment pourquoi elle ne le reconnait pas. (…)

Deux lumières angéliques d’une extraordinaire pureté apparaissent sous une forme humaine.

Extrait des visions de Maria Valtorta (Italie) : L’Évangile tel qu’il m’a été révélé. 

(…) Et Jésus Christ, le Verbe de Dieu, disparaît de la vue des hommes dans un océan de splendeurs…          
Sur terre, deux bruits seulement rompent le silence profond de la foule en extase : le cri de Marie quand il disparaît : “Jésus !” et la plainte d’Isaac.

Un étonnement religieux a rendu les autres muets, et ils restent là, jusqu’à ce que deux lumières angéliques d’une extraordinaire pureté apparaissent sous une forme humaine, pour dire les paroles rapportées dans le premier chapitre des Actes des Apôtres.
Les paroles, transcrites par Maria Valtorta sur une copie dactylographiée, sont :
Hommes de Galilée, pourquoi restez‑vous ainsi à regarder le ciel ? Ce Jésus qui vous a été enlevé et est monté au Ciel à sa demeure éternelle, en reviendra au moment fixé, de la même manière que vous l’avez vu s’en aller. (Actes 1,11).

Personne ne m’avait prise au sérieux, à part cette jeune femme blonde qui m’a sauvé ma vie.

Voici un récit trouvé sur le forum Quora.

Londres, Angleterre.
Je voyais une voyante indienne de temps en temps et elle était très douée. Je crois que c’était dans le square St James. (…) Je me rappelle que lorsque je suis arrivé, elle était avec une cliente et m’a regardé rapidement, en disant que j’étais enceinte.

Je suis totalement tombée des nues. Ce n’était pas possible voyons ! Je prenais la pilule et je n’avais absolument aucun symptôme de grossesse. Aucune prise de poids. Quand je l’ai consultée à mon tour, elle m’a répété que j’étais enceinte mais qu’elle voyait des ambulances. Je ne me rappelle plus du reste.

Il s’est avéré plus tard que oui, j’étais vraiment enceinte. Les ambulances ? J’ai été amenée en urgence car ce fut une grossesse extra-utérine. Un docteur m’a même dit qu’ils ne comprenaient pas que je puisse être encore en vie.

Un autre truc vraiment bizarre est que j’avais vu une doctoresse, elle-même très enceinte. C’est elle qui m’avait envoyé d’urgence à l’hôpital : « C’est maintenant qu’il faut y aller ! Dites à votre ami de vous apporter vos affaires, mais vous devez être à l’hôpital aujourd’hui. Ne rentrez pas chez vous, c’est maintenant !

C’était une jeune femme blonde, elle-même enceinte. J’ai eu son nom dans ma tête pendant longtemps mais je l’ai oublié maintenant. Quand je suis revenue après, le cabinet médical m’a dit que cette personne n’avait jamais existé, ce qui fut encore plus bizarre pour moi.

Une grossesse extra-utérine est vraiment une chose douloureuse. Le médecin de nuit avait conclu que je n’avais qu’une grippe, alors que mes boyaux étaient en train d’exploser. Ce cabinet médical ne m’avait pas pris au sérieux. Personne ne m’avait prise au sérieux, à part cette jeune femme blonde qui m’a sauvé ma vie, mais le cabinet médical a toujours dénié que cette personne se trouvait là.

Je me suis posé beaucoup de questions sur cette histoire. Peut-être que je devais mourir à l’âge de 28 ans et que Dieu en a voulu autrement.

Le monsieur répond avec un large sourire et lui dit : Ça va bien se passer !

Un autre texte trouvé sur le forum Quora.

En janvier 2017, j’ai vécu une expérience très particulière (parmi tant d’autres), sauf que là, il y avait de nombreux témoins.
Donc un matin, je sors comme à mon habitude acheter mes cigarettes et boire mon café. Je retrouve des amis au bar et l’on discute comme à notre habitude.
À un moment, on voit un homme de grande taille et d’un âge avancé (entre 70 et 80 ans) s’approcher de nous. Il me regarde, me dit bonjour à moi uniquement et m’adresse la parole : « Jeune, aujourd’hui tu vas t’en sortir, mais sois vigilant ! » Je le regarde et je reste un peu choqué.

Un de mes potes lui demande de quoi il parle et pourquoi il me dit ça ! Moi je n’arrivais plus à dire un seul mot, comme si mon cerveau s’était mis en mode « off ».
Le monsieur répond avec un large sourire et lui dit : « ça va bien se passer ! » sans un mot de plus.
Mon ami me regarde et me dit : « encore un fou ».
À cet instant, je suis quand même un peu troublé ! Mon copain me rassure et me dit : « Laisse tombé, oublie ça ! »

Je décide de rentrer à la maison retrouver ma femme et mes filles, mais en chemin, mon téléphone sonne : « numéro inconnu », je décroche. Puis quelques secondes après, je reçois un message d’appel inconnu. J’écoute ! La voix me dit : « N’aie pas peur, tu vas avoir froid mais on te réchauffera » (une voix de femme âgée).

Je rentre à la maison et je fais écouter le message à ma femme, qui bien sûr se moque de moi. Je lui raconte l’anecdote avec le monsieur devant le bar, mais elle continue de se moquer, que je devrais arrêter de « fumer la moquette » etc. On en rit, et on continue à en rire sans se soucier de tout ça !

À 12 h 30, je sens une douleur au bras gauche, comme une crampe musculaire. J’en parle à ma femme qui me dit : « ce n’est rien, tu as dû te coucher sur ton bras cette nuit ».
13 heures, j’ai mal à la cage thoracique et à la mâchoire. Je prends un Doliprane pour calmer la douleur.

Je commence à m’angoisser car je n’arrêtais pas de penser au message du téléphone et à l’avertissement du monsieur. À 13 h 30, difficulté à respirer, ma femme appel les pompiers. Je faisais un infarctus du myocarde. J’ai eu froid et peur ! Ils m’ont sauvé in extrémiste !

Jamais je n’oublierais ce monsieur que je n’ai plus jamais revu. J’ai gardé le message de la dame âgée. Je l’ai fait écouter à tout mon entourage. Mon père a reconnu la voix. D’après lui, il s’agirait de sa mère (ma grand-mère) qui est décédée avant ma naissance.

Depuis, sur les conseils de mon père, à chaque fois que je rentre dans une église, je mets un cierge à sa mémoire !

Mon Ange gardien l’avait amenée jusqu’à moi.

Texte trouvé sur un forum. Posté le 04.09.2019.

J’ai fait une prière à mon Ange gardien, le remerciant pour tout ce qu’il avait fait pour moi jusqu’à présent, et que j’avais un message à faire passer à quelqu’un qui venait de nous quitter, et que s’il pouvait protéger ce message pour qu’il lui parvienne, je lui en serais infiniment reconnaissante.

J’étais allongée dans mon lit. Tout à coup, j’ai eu le sentiment de sentir quelque chose. J’ai fermé les yeux et je l’ai vu, mon Ange gardien. Il était beau, avec une coupe courte, il respirait la sérénité. Il était près de moi, debout. Il m’a souri et a tourné la tête vers sa droite, et elle était là. La personne à qui était destiné ce message était là, à côté de lui. Mon Ange gardien l’avait amenée jusqu’à moi.

J’ai pu « discuter » avec cette personne, je la voyais très nettement dans mon esprit, avec toujours mon Ange gardien à côté.
J’ai pu lui dire « au revoir ». Cette personne m’a dit qu’elle n’avait pas encore vu Dieu, car il fallait du temps pour cela, qu’il y avait comme un chemin à parcourir avant de le voir, mais qu’elle était bien. On a pu discuter presque normalement, puis je lui ai dit au revoir.

Avant de partir, mon Ange gardien a posé sa main sur mon épaule, et il m’a dit : « ne t’inquiète pas, je vais m’occuper de toi ». Il a souri et ils sont partis tous les deux progressivement vers le Ciel.

Guerre de Corée (1950-53) Michael et Saint Michel.

Ma chère Maman,

Je n’oserais jamais écrire cette lettre à quelqu’un d’autre que toi, parce que personne ne voudrait me croire. Peut-être même que toi aussi tu trouveras ça difficile à croire, mais il faut que je le dise à quelqu’un.

Pour commencer, je suis à l’hôpital. Mais ne t’inquiète pas, tu m’entends, ne t’inquiète pas. J’ai été blessé mais je vais bien, O.K., tu comprends, je vais bien. Bon. Le médecin m’a dit que je serai debout dans un mois.

Mais ce n’est pas ça que je veux te raconter. Tu te souviens quand je me suis engagé dans les Marines, l’année dernière, tu te souviens quand je suis parti, que tu m’as dit de réciter une prière à saint Michel tous les jours. C’était pas la peine de me le dire, parce que, d’aussi loin que je me souvienne, tu m’as toujours dit de prier saint Michel archange. Tu m’as même, donné son nom. Eh bien, je l’ai toujours fait.

En arrivant en Corée, j’ai même prié encore plus fort. Tu te souviens la prière que tu m’as apprise ?
« Michael, Michael of the morning, fresh corps of Heaven adoming », tu connais la suite.
Eh bien, je l’ai récitée tous les jours. Parfois en marchant et quelquefois pendant les haltes, mais toujours avant de m’endormir. Je l’ai même apprise à quelques copains.

Bon, eh bien, un jour, je faisais partie d’une patrouille de reconnaissance en territoire ennemi, bien en avant des lignes. On avançait péniblement et il faisait très froid. Mon haleine, on aurait dit de la fumée de cigare. Je croyais connaître tous les gars de la patrouille, mais un Marine que je n’avais jamais vu auparavant est venu marcher à côté de moi. C’était le plus grand Marine que j’avais jamais vu. Il faisait au moins 1 mètre 90 et il était bâti à l’avenant. Je me sentais rassuré d’avoir un type comme ça à côté de moi.

On continuait à marcher. Le reste de la patrouille s’est déployé. Juste pour amorcer la conversation, j’ai dit : Fait froid, hein ! et puis j’ai ri. J’étais là à risquer de me faire tuer d’une minute à l’autre, et je lui parlais du temps qu’il faisait. Il a semblé comprendre. Je l’ai entendu rire doucement.
Je l’ai regardé et j’ai dit : Je t’ai jamais vu avant. Je croyais connaître tout le monde dans l’unité.

Il a dit : Je me suis engagé à la dernière minute. Je m’appelle Michael.
Surpris, j’ai répondu : Ah oui, moi aussi je m’appelle comme ça.

Il a dit : Je sais, et il a ajouté : Michael, Michael of the morning… (Michel, rosée matinale, parure du Soleil levant…)

J’étais si étonné que je suis resté sans rien dire pendant une minute. Comment pouvait-il savoir mon nom et cette prière que tu m’avais apprise ? Après quoi je me suis dit en souriant que tous les gars me connaissaient dans l’unité. J’avais appris cette prière à tous ceux qui voulaient l’entendre. Y en a même qui m’appelaient Saint Michael !

Mon gars, les sept soldats communistes qui sont là ont tous été tués par un coup d’épée.

On est resté sans rien dire un moment, puis il a brisé le silence : On va bientôt avoir des ennuis.
Il devait être en excellente forme, ou alors il respirait si doucement que je n’entendais même pas sa respiration. Moi, ça sortait en gros nuages. Il ne souriait plus maintenant. On va avoir des ennuis ! Je me disais : Ouais, comme on est entourés par les communistes, ce n’est pas vraiment une grande nouvelle.

La neige a commencé à tomber à gros flocons. Bien vite, on ne pouvait plus rien voir devant soi et j’avançais dans un brouillard blanc fait de particules mouillées et collantes. Mon compagnon a disparu de ma vue. Soudain, inquiet, j’ai crié : Michael !
J’ai senti sa main sur mon bras. Sa voix était riche et forte : Ça va bientôt s’arrêter.
Il avait raison. Après quelques minutes, la neige a cessé aussi rapidement qu’elle avait commencé. Le soleil étincelait.

Je me suis retourné pour voir où était le reste de la patrouille. Il n’y avait plus personne en vue. On les avait perdus dans la bourrasque. On arrivait sur une petite montée et j’ai regardé devant moi.
Maman, mon cœur s’est arrêté net. Ils étaient sept. Sept soldats communistes avec leurs vestes et leurs pantalons matelassés et leurs drôles de petits chapeaux. Mais il n’y avait rien de drôle à ce moment-là. Les sept fusils étaient braqués sur nous.

J’ai crié : Couche toi, Michael ! et je me suis jeté à terre. J’ai entendu les coups de feu partir presque en même temps. Les balles sifflaient. Michael était toujours debout.

Maman, ces types ne pouvaient pas le manquer, pas à cette distance. Je m’attendais à le voir déchiqueter en morceaux.

Mais il était là, sans même essayer de tirer. Il était paralysé par la peur. Ça arrive parfois, maman, même aux plus braves. Il était comme un oiseau fasciné par un serpent. En tout cas, c’est ce que je pensais.
Alors, je me suis levé pour le tirer par terre, et c’est là que j’ai été touché. J’ai senti comme une brûlure dans ma poitrine. Je m’étais souvent demandé ce qu’on ressentait quand on était touché. Maintenant, je sais.

Je me souviens d’avoir été porté par des bras solides, des bras qui m’ont déposé très doucement sur un coussin de neige. J’ai ouvert les yeux, pour un dernier regard. J’étais en train de mourir. J’étais même peut-être déjà mort et je me souviens d’avoir pensé : Eh bien ! ce n’est pas si terrible !
Peut-être que je fixais le soleil. Ou alors, c’était le choc, mais il m’a semblé voir Michael debout à nouveau. Mais cette fois, il avait le visage illuminé d’une splendeur terrible.

Comme je te dis, peut-être que j’avais le soleil dans les yeux, mais Michael avait l’air de changer pendant que je le regardais. Il devenait plus grand, ses bras s’étendaient. C’est peut-être parce que la neige recommençait à tomber mais il était entouré de lumière, comme les ailes d’un ange. Et il avait une épée à la main, une épée qui resplendissait de millions d’éclats.

Eh bien, c’est la dernière chose dont je me souviens, avant que les copains me retrouvent. Je ne savais pas combien de temps avait passé. De temps en temps, la douleur et la fièvre me laissaient un moment de répit. Je me souviens de leur avoir dit que l’ennemi était juste devant nous.

J’ai demandé : Où est Michael ?
Je les ai vus qui se regardaient : Où est qui ? a demandé quelqu’un.

Michael, Michael, le grand Marine qui marchait à côté de moi juste avant qu’on entre dans la rafale de neige.

Mon gars, dit le sergent, Y’a personne qui marchait à côté de toi. Je t’ai jamais perdu de vue. Tu t’en allais trop loin. J’allais t’appeler au moment où t’as disparu dans la bourrasque.

Il m’a regardé d’un air curieux : Mais comment t’as fait ça, mon gars ?
Comment j’ai fait quoi ?

J’étais presque en colère malgré ma blessure : Ce Marine, Michael, et moi, on allait juste…

Mon gars, dit doucement le sergent, c’est moi qui ai choisi les hommes de cette unité, et y a pas d’autre Michael que toi. T’es le seul Michael ici.

Et après avoir attendu une minute, le sergent ajouta : Mais comment t’as réussi à faire ça, mon gars ? On a entendu des coups de feu. Y a pas un seul coup de feu qui a été tiré avec ton fusil, et y a pas un gramme de plomb dans les sept corps qui sont couchés là, derrière la colline.

Je n’ai rien répondu. Qu’est-ce que j’aurais pu dire ? Je restais là, bouche bée et stupéfait.
C’est le sergent qui a repris la parole en disant doucement : Mon gars, les sept soldats communistes qui sont là ont tous été tués par un coup d’épée.

C’est tout ce que je peux te dire, maman. Encore une fois, c’était peut-être le soleil dans mes yeux, c’était peut-être le froid, ou la douleur, je ne sais pas, mais c’est ce qui est arrivé.

Gros baisers, Michael.

Bonjour, je suis chargé de la sécurité de ceux qui sont dans l’eau. Quelque chose ne va pas ?

Question sur un forum : Vos témoignages sur les anges gardiens. Anonyme. Répondu le 19 mai 2010

Jeanne s’était rendue en weekend avec des amies au bord d’un lac. Ses amies qui ne savaient pas nager se sont allongées pour se faire bronzer. Elle s’est jetée à l’eau et s’est dirigée vers le large. Brasse après brasse, elle s’est beaucoup éloignée de la berge. D’un seul coup elle a senti que le souffle lui manquait et qu’elle n’aurait pas assez de force pour revenir.

Elle a été prise de panique. La rive était très éloignée, et personne ne remarquait les grands gestes qu’elle faisait avec les bras. Son agitation augmentait rendant sa situation de plus en plus critique. Jeanne se rendit compte qu’elle risquait de se noyer. Désespérée, elle pria : « mon Dieu, aidez-moi ! » (…) aussitôt après, elle sentit que l’eau se déplacer et elle vit un jeune homme qui nageait avec assurance. Quand il s’est trouvé près de Jeanne, le jeune dit :
– Bonjour, je suis chargé de la sécurité de ceux qui sont dans l’eau. Quelque chose ne va pas ?
– Je suis épuisée, a répondu Jeanne, et je n’arriverai jamais à revenir seule.
– Au contraire, tu vas y arriver, répliqua le surveillant, je nagerai à côté de toi, et tu me suivras jusqu’à la berge.
Jeanne se sentit un peu rassuré parce que le jeune homme pouvait la secourir à tout moment. Elle rassembla toute son énergie, et brasse après brasse, elle regagna la berge, en suivant toujours son guide.

Après avoir rejoint la rive, elle dit à ses amies : « j’ai failli me noyer, s’il n’y avait pas eu ce maitre-nageur ».
Quel maitre-nageur ? Répliquèrent ses amies. Jeanne se retourna : il n’y avait plus personne.

Parfois, ces Anges doivent même agir physiquement, ce qui donne lieu à de nombreuses histoires d’anges.

Message de Marie à la messagère de Notre Dame (USA), reçu le 19 janvier 2014 

(…) Au moment de votre conception, Dieu a choisi un Ange pour vous guider. L’Ange est toujours à vos côtés, ce qui signifie qu’il utilise tous ses pouvoirs pour vous guider et vous protéger. Parfois, ces Anges doivent même agir physiquement, ce qui donne lieu à de nombreuses histoires d’anges, si fréquentes à votre époque.

Il n’est pas nécessaire d’énumérer tout ce que votre Ange fait pour vous. Il suffit de dire que, quand vous mourrez, il vous accompagnera et se tiendra avec vous devant Jésus. Sa tâche sera terminée. Vous aurez été la seule personne humaine qu’il aura jamais guidée.
Vous êtes très spécial pour votre Ange. Demandez-lui constamment Son Aide. Il se réjouit que vous soyez au courant de sa présence.

Je suis un Ange, mais celui qui s’occupe de vous n’a pas pu venir.

Un récit trouvé sur le forum Quora.

(…) Une femme m’attendait au bout de la rue. Elle me regardait fixement. Elle m’a accostée et m’a raconté ma vie alors que je ne la connaissais pas. Elle m’a dit que Dieu m’aimait et que j’avais beaucoup souffert, mais que tout allait s’arranger.
Puis elle a ajouté : « je suis un Ange, mais celui qui s’occupe de vous n’a pas pu venir ». J’en ai alors déduit que celui que je voyais était un Ange. Mais il n’avait pas voulu me voir… C’est vrai que par la suite, j’ai eu une promo à mon boulot, je me suis mariée et j’ai 3 enfants d’âge très rapproché. Elle avait les mêmes yeux que mon Ange, avec la pupille très dilatée. (…)

« Il n’avait pas voulu me voir ». Cela peut s’expliquer par le fait que celle qui témoigne raconte qu’elle avait tendance à tomber amoureuse de son Ange gardien, ce qui générait un trouble dans sa vie. D’où le remplacement par une femme.

Message du Ciel – Jean messager de la lumière – Message du 8 mars 2004
Si vous priez votre ange gardien avec ferveur, il prendra l’habitude de vous « parler », n’en doutez pas, et cela d’une manière permanente et toujours par signes interposés. Une liaison avec votre ange gardien transformera et métamorphosera toute votre vie, tant spirituelle que matérielle, car la puissance de l’ange gardien est illimitée …

Je me suis immédiatement retourné pour voir l’homme, mais il avait disparu.

Un récit trouvé sur le forum Quora.

Il y a plusieurs années, je rentrais du travail en voiture et je me suis arrêté dans une épicerie. À haute voix j’avais constamment parlé à mon Ange gardien, c’était une très mauvaise journée et j’étais d’une humeur pourrie.
Je lui disais que c’était une perte de temps de lui parler parce que rien ne changeait jamais et qu’il ne m’écoutait pas. Il y avait une place libre juste devant la porte du magasin, alors j’ai dit quelque chose comme « super place de parking, mais pas grâce à toi ! ».

Je fis mes courses et en me dirigeant vers la caisse pour payer, je croisais un homme ordinaire. Il ramassa une pièce de monnaie et essaya de me la remettre en me disant que j’avais dû la laisser tomber. Toujours d’humeur pourrie, je lui répondis sèchement que ce n’était pas la mienne. Il a essayé de nouveau et je lui ai répété que ce n’était vraiment pas à moi. Finalement, il m’a dit d’un ton ferme : « Cette pièce t’appartient ! ». J’ai pensé qu’il était peut-être mentalement dérangé ou quelque chose comme ça, alors je l’ai prise et suis sorti du magasin.

Arrivé à ma voiture, garée à trois mètres, j’ai regardé la pièce et elle avait un ange imprimé sur les deux faces ! Je me suis immédiatement retourné pour voir l’homme, mais il avait disparu.

Environ trois semaines plus tard, j’allais à la banque pour apporter de la monnaie à échanger contre des billets, mais j’avais malencontreusement mis dans ce lot cette pièce d’Ange. Le lendemain, j’ai réalisé ce qui s’était passé et j’en étais bouleversé ! J’ai dit à mon Ange que j’en étais vraiment désolé, etc.

Peu de temps après à mon travail, j’arrive à mon bureau, j’allume mon ordinateur et commence à vérifier mon emploi du temps et mon courrier électronique. Un collègue avait besoin de me parler, alors je suis allée à ma porte et j’ai eu avec lui une brève conversation. Quand je suis retournée devant mon ordinateur… il y avait la pièce ! Elle était placée sur le haut de mon clavier !

C’était il y a plusieurs années. Maintenant je la garde toujours précieusement dans mon portefeuille.

Ils tournent tous deux la tête, nous regardent, pénètrent dans le mur et disparaissent.

Qui est Gustavo Rol : « Je ne suis pas un magicien. Je ne crois pas à la magie… tout ce que je suis et fais, vient de là-haut [et il indiqua le ciel], nous sommes tous une partie de Dieu… Et à ceux qui me demandent pourquoi je fais certaines expériences, je réponds : je les fais justement pour confirmer la présence de Dieu »

Un jour, nous étions devant l’église San Filippo, et il y avait un homme et une femme. Elle devait avoir dans les 50-60 ans, et le jeune homme devait avoir plus ou moins 25 ans. Ils marchaient sur le trottoir, et Gustavo me dit : « Tu vois ces deux-là ? Ce ne sont pas des vivants, ce sont des morts ». Et moi je dis : « Ah bon, c’est possible ? » Et à ce moment, ils tournent tous deux la tête, nous regardent, pénètrent dans le mur et disparaissent.
Je ne sais ni pour quelle raison ces êtres étaient visibles aux humains, ni ce qu’ils faisaient.

Question sur un forum : Avez-vous été sauvé par votre ange gardien ?

Christelle H. Répondu 19 décembre 2019.
Je le pense oui, car une fois où je devais sortir avec deux personnes que je connaissais depuis peu, j’ai rêvé deux jours avant, que je me retrouvais au bord de la route avec ses deux personnes à côté de leur véhicule. J’ai demandé à l’un des deux ce que nous faisions là, et il m’a répondu que pour éviter de percuter un véhicule venant en face, il s’était mis dans le fossé. Ce rêve m’ayant un peu bousculé, je n’ai pas voulu les accompagner et je leur ai demandé de faire attention. Le lendemain j’ai appris qu’ils avaient eu un accident, exactement de la même façon que dans mon rêve. Ils ont été tués sur le coup.

Marie-Caroline L. Répondu le 24 décembre 2019.
Il y a quelques années, j’étais au volant de ma voiture, arrêtée à un feu rouge. J’attendais qu’il passe au vert et je fumais une cigarette. Quand le feu est passé au vert, ma cigarette m’est tombée des mains. Je me suis baissée pour la ramasser, et au moment où je me suis relevé, une voiture lancée à fond passe sous mon nez. Je remercie encore aujourd’hui mon ange d’avoir joué avec ma cigarette. Je le remercie d’ailleurs pour des tas d’autres choses !

Anonyme. Répondu le 7 février 2020
Un soir, j’ai prié et demander à Dieu d’envoyer un ange dans ma maison pour nous garder et nous protéger. Le soir même, j’ai rêvé que je venais de me réveiller et je disais à ma sœur : J’ai vu un ange dans ma chambre hier soir ! Il était là !
Tout de suite après, je me suis réveillé et me suis rendu compte que c’était la nuit. Je me suis dit aussitôt : Ah ! donc s’il fait nuit, cela veut dire que l’ange est là ? Je me suis lentement retourné et il se trouvait bien là.
Alors non, je ne l’ai pas vu comme je vois un humain. Je voyais sa forme physique mais pas son visage. Je voyais ses épaules, et il semblait avoir une tunique blanche. Croyez-moi, j’aurais dû avoir peur, mais j’étais étonnamment calme. Je l’ai regardé un moment puis je suis retourné me coucher.

Question sur un forum : Vous sentez-vous protégé par une ou des « forces extérieures » qui veillent sur vous ?

Répondu le 31 mars 2021 – Un grand oui !
Je m’en suis aperçue assez tardivement. Mais lors de situations difficiles ou délicates, sans le demander, on m’a aidé alors que les choses auraient dû très mal finir pour moi. Je précise que l’aide venait de personnes extérieures à mon cercle social, mais elles ont fait des choses aussi bien, voir mieux qu’un ami ou un proche.
Moi je qualifie ces interventions comme venant d’anges gardiens qui me protègent et m’envoient des gens salvateurs. J’ai l’impression qu’on me surveille, oui, et qu’on veille sur moi physiquement et mentalement.
Je suis « protégée ». Je le sais maintenant avec certitude.

Anonyme. Répondu le 7 septembre 2017
Bonjour, Je l’appelle « ma petite voix » mais j’ai appris récemment que c’était mon ange gardien.
Quand je traverse des moments de doute ou bien quand je suis face à des choix, je sollicite dans ma tête une aide, et la réponse me vient très souvent juste après.
Parfois, j’ai l’impression que l’on me prévient de quelque chose de désagréable qui va arriver.
Avant, j’ignorais ces signes et quelque chose de plus ou moins difficile m’arrivait. J’ai appris à écouter.

J’ai été sauvée par un ange il y a sept ans. Je vais vous raconter mon histoire.

Nyctalope‚ 36 ans. Répondu le 20 mai 2010

Je revenais d’une soirée avec des amis, qui avait duré jusqu’à tard dans la nuit. Nous n’avions pas été très sages, aussi me retrouvai-je un peu éméchée, et un ensemble de circonstances ont fait que je me suis retrouvée à rentrer seule.

Ce n’était pas très rassurant, mais comme l’appartement où s’était tenue la fête n’était pas excentré, il n’y avait aucune raison particulière pour qu’il se passe quelque chose. Cela se passait dans une ville de l’ouest de la France. Longeant un cours d’eau, je sentis soudainement, comme par un sixième sens, que l’atmosphère se teintait d’une sorte de présence malsaine. Je m’arrêtai de temps en temps, regardai autour de moi, mais, ne voyant personne, je continuai à marcher.

Au bout d’un certain temps, ma peur fut telle, devant cette présence plus suggérée que réelle, que je préférai enlever mes talons pour faire moins de bruit et marcher plus vite pour pouvoir arriver rapidement jusque chez moi et oublier ce climat étrange. C’est peu après que tout arriva : Passant au niveau de l’ombre d’un bâtiment, je perçus soudainement, sans aucun signe annonciateur, des présences autour de moi, comme des ombres. C’étaient des personnes étranges, aux yeux vitreux. Je crois que ce qui m’a le plus effrayée, c’était le fait qu’ils soient silencieux, terriblement silencieux. Ce n’étaient pas des jeunes excités qui m’auraient pris à partie, c’était véritablement une assemblée de muets, vêtus de couleurs sombres, me fixant d’une manière étrange et très désagréable.

Mes jambes se sont mises à trembler et j’ai perdu tous mes moyens. Je ne réussissais même plus à parler. Je me suis effondrée et j’ai pleuré, sans savoir pourquoi, sans même savoir comment ce fut possible. C’était un anéantissement ; peut-être délirais-je ? Peut-être n’étaient-ce que des hommes normaux ? Peut-être le peu d’alcool que j’avais dans le sang avait suffi à insuffler à leur visage le faciès ricanant de démons vengeurs venus me châtier, comme une hallucination expiatoire ? Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est qu’ils s’approchèrent, et que je ne pouvais plus rien faire ; j’en avais presque des convulsions.

C’est à ce moment-là qu’intervint mon ange : un homme grand et fin. Je me souviendrai toujours de son visage et de sa tenue : un visage émacié, des yeux bleus très clairs, une veste blanche, une chemise rouge-sang, un pantalon noir. Il est venu vers moi et aussitôt, l’étrange assemblée se dispersa et sembla presque s’évaporer tant leur fuite fut prompte. C’était comme si, d’un simple regard, il avait conjuré ceux qui m’apparaissaient véritablement comme des démons. D’une voix sombre et grave, l’ange m’enjoignit de me relever, et que tout allait bien. Il me prit la main et m’aida à me remettre sur mes pieds ; rapidement, je repris possession de mes moyens. Il marcha un peu, silencieux, à mes côtés, comme une présence bienfaitrice. Je ne sais pas à quel moment il partit ; j’étais arrivée devant la porte de chez moi, je me tournai vers lui pour le remercier, mais tout ce que je vis à ce moment, était l’allée vide, désespérément vide. Alors j’ai souri. Je dormis comme un ange ce soir-là.

(Après la réaction d’un internaute)

C’est sûr qu’en lisant dit comme cela, cela fait étrange ! Mais c’était d’autant plus étonnant que cela lui allait parfaitement ; autant le dire tout de suite, il m’apparut avec beaucoup de classe et de grâce. Comme si les tons des couleurs étaient exactement ceux qu’il fallait, ceux qui correspondaient. Tu vois ce que je veux dire ?
« Lève-toi et marche ». Je me souviendrai toujours de ces paroles.

Ils sont là pour nous aider, j’en ai fait l’expérience.

Anonyme. Répondu le 11 avril 2020

Pour ceux qui ne croient pas aux anges gardiens… On peut aussi les appeler les guides spirituels. Ils sont là pour nous aider, j’en ai fait l’expérience.

J’avais 17 ans et je passais une mauvaise phase de mon adolescence. J’étais au lycée et j’aimais profondément un garçon. Un jour où j’étais allongée sur mon lit, j’ai demandé désespérément qu’on m’aide à faire d’avantage connaissance avec lui, car j’étais persuadée que c’était lui qui me correspondait le mieux, etc.

Avec toute ma sincérité, j’ai demandé à mon ange gardien de forcer le destin, de faire quelque chose pour moi. Le lendemain je vais en cours. J’étais dehors avec des amies et soudain, quelqu’un m’appelle de loin, c’était une fille de ma classe. Je trouvais ça bizarre car habituellement, jamais elle ne m’aurait appelée pour venir discuter avec elle. J’y vais tout en me demandant ce qu’elle me voulait. À ce moment, j’arrive et j’aperçois avec elle le mec qui m’attirait vraiment. Je restais avec eux au moins deux heures. On a ri et discuté. J’étais vraiment heureuse, c’était une très belle journée et tout m’avait réussi.

Alors, était-ce une coïncidence ou mon vœu qui s’était réalisé ? J’ai du mal à croire à une simple coïncidence, tout en sachant que d’ordinaire cela ne se serait jamais réalisé. J’ai fait le rapprochement le soir en rentrant chez moi, quand je me suis souvenue de la demande que j’avais faite à mon ange gardien. Je l’ai alors remercié pour ce qu’il avait fait. C’est incroyable mais c’est vrai !

Et puis mes parents eux-mêmes ont eu une expérience de ce style : Ils avaient de graves difficultés financières. Mon père, en regardant une photo d’un de ses amis disparus quelques années auparavant, dit à haute voix « Ha, c’est dur dur la vie hein ? ». Le lendemain, mon père gagna 200 francs à un jeu. Étrange aussi…

Je ne pense pas que les anges gardiens sont là pour réaliser tous nos souhaits, mais parfois ils savent nous faire certaines faveurs de temps à autre… Et nous consoler aussi. Il faut savoir leur faire confiance et surtout croire en eux, leur parler sincèrement et respectueusement. Soyez attentif à eux, ils sont là pour vous écouter !

Chapitres complémentaires :
Les Anges
Les enfants qui voient des anges
Témoignage : Voir son Ange gardien en voyage astral

Enseignement céleste