Guérir des maladies génétiques

L’objectif de ce chapitre est de nous inciter à faire dire des messes pour nos ancêtres, ou ceux de nos proches, si l’on devine qu’il y a un problème inter-générationnel.

La guérison des maladies par l’arbre généalogique est une science d’avenir.

(Vincent, 30 septembre 2019) J’ai été au « Salon zen » à Paris. Un événement dédié à l’épanouissement personnel, bien-être et art de vivre. Il y avait des conférences sur le paramédical et la spiritualité.
Lors d’une sur « la vie après la mort », une femme de l’assistance prit la parole et expliqua son problème. Elle était atteinte d’une maladie (elle se déplaçait avec des béquilles) visiblement en lien avec ses ancêtres. Comme une sorte de malédiction familiale. Dans la suite des échanges, le conférencier rapporta le cas d’un homme qui s’était suicidé à 40 ans et dont tous ses descendants mourraient à 40 ans.

Ces interventions m’ont rappelé le message ci-dessous, qui explique le lien entre les générations et le fait de prier pour nos défunts afin de briser une répercussion de problèmes sur les générations futures.
J’ai été à ce salon dimanche 29 septembre et dans la nuit qui a suivi, je fis une série de rêves me demandant de faire un chapitre sur le sujet.

Ces maladies génétiques proviennent de l’arbre généalogique dont l’ancêtre est parfois très éloigné de la génération actuelle.

Grâce aux révélations de « Jean, messager de la lumière » nous savons de quelle façon guérir les maladies génétiques. Extrait du livre « Jean, messager de la lumière, la communion des saints » (Éditions du Parvis)
Qui est Jean ? : Le 13 décembre 1996, Jean meurt d’une hémorragie interne, il avait 43 ans. Par locutions intérieures, il adresse à ses parents des messages d’amour, d’espoir et de bonheur par lesquels il leur demande de prier pour les défunts.

Il est surprenant d’entendre dire que les lois de Dieu de l’Ancien Testament sont dépassées. Pourtant elles restent toujours les mêmes. C’est l’homme qui les transforme. Vos péchés, eux, n’ont pas changé.
Vous devez réparer les fautes de vos ancêtres ; la prière et les messes offertes aux intentions de vos défunts seront efficaces.

Beaucoup sont oubliés dans le purgatoire car presque personne ne prie pour les défunts qui croupissent depuis plusieurs siècles. C’est triste pour eux, car souvent ils n’ont plus de famille; et si la famille est présente, c’est encore plus douloureux.

Ces oubliés, souvent, peuvent se manifester auprès des générations suivantes par des maladies dont on ne comprend d’où elles peuvent venir. Ces maladies génétiques proviennent de l’arbre généalogique dont l’ancêtre est parfois très éloigné de la génération actuelle.

Voilà pourquoi j’ai sollicité papa pour qu’il étudie l’arbre généalogique.

C’est très important et je suis heureux que des religieux se penchent sur cette guérison par la prière. L’Eucharistie demandée à l’intention de ces pauvres ancêtres pourra guérir beaucoup de personnes. (31.01.2000)

Au cours des siècles, l’homme, sous l’emprise de sa négativité, a cherché son propre plaisir et a ainsi accumulé des erreurs. Le monde des habitudes, lié aux sensations inspirées par le démon, a bouleversé son esprit. Elles sont inscrites dans le code génétique et beaucoup de personnes par leurs maladies ou leurs travers en subissent les conséquences.

La seule manière de sortir de cette impasse est de prier pour les ancêtres qui ont mal agi. A cet effet, vous pouvez demander des neuvaines ou faire célébrer des messes à leur intention.
Pour retrouver la mémoire de ses racines, de tous ses ancêtres, l’homme doit s’enfoncer dans les profondeurs de son océan intérieur, cela, en brisant toute la carapace qui le bloque et l’enserre.(…)

Cette vie intérieure, il vous appartient de la découvrir, en vous y plongeant, armés d’un jeûne bienfaisant, de la prière du rosaire et des saintes Eucharisties. Certes, il vous faudra beaucoup de persévérance pour y déceler et y retrouver ce que vous êtes en vérité, et ce que tous vos ancêtres vous ont laissé en héritage, tant en bien qu’en mal.

Le Seigneur vous laisse la liberté de choisir vous-mêmes, car vous avez suffisamment de choses imposées par les circonstances et les événements. Certes, Dieu a des préférences, mais comme il est d’une extrême délicatesse, il vous laisse le soin de décrypter, de méditer et de mettre en application les messages des frères du Ciel.
Les apôtres n’étaient guère plus mystiques que vous avant la Pentecôte, mais quand ils ont été inondés du Saint Esprit, leurs cœurs ont brûlé du feu de Jésus.

Vous êtes pauvres et les circonstances ont voulu que vous soyez pécheurs; cela vous a ainsi permis de mieux descendre dans les profondeurs de votre misère où se trouve cachée la source de votre vie, c’est-à-dire la bienheureuse et sainte Trinité. Cette source a jailli le jour de votre baptême. C’est par de saines et saintes lectures, par la Bible et l’écoute attentive des messes, des homélies des prêtres que vous dépasserez les idées négatives qui coulent dans votre tête, pour en briser les barrières et ressentir la vie qui bouge en vous, comme un enfant dans le sein de sa maman! (…)

Restez persuadés que c’est toujours de vos ancêtres que vous héritez de toutes bonnes choses mais également d’imperfections et de tendances néfastes. C’est uniquement en faisant acte de volonté, en y associant prières, saintes Eucharisties et encore mieux par votre manière de vivre en chrétien que, par la grâce de Dieu, vous serez délivrés et guéris.

Beaucoup de psychologues et de psychiatres pensent que leur vocation est de déculpabiliser les hommes en leur suggérant que la morale judéo-chrétienne est dépassée et que les fantasmes, les craintes et même le péché font partie de la norme; ils n’ont donc pas à se sentir responsables. Évidemment, cette méthode est bonne pour un certain temps, mais généralement en écoutant ces conseils, l’homme tombe encore plus bas.
S’ils se penchaient davantage sur l’arbre généalogique ils auraient une vision plus saine de leur raisonnement.

La guérison des maladies par l’arbre généalogique est une science d’avenir.

Dans la guérison par l’arbre généalogique, il a été démontré que des résultats probants ont été réalisés par le sacrement de l’Eucharistie, avec le Corps et le Sang du Christ Jésus ressuscité. Que votre âme se remplisse de Sa présence vivante !

Si vous consentez à recevoir l’Eucharistie dans le but d’obtenir votre guérison physique et spirituelle, avant de communier et particulièrement le soir avant de vous endormir, pensez au désir qu’a le Fils de venir dans votre cœur et de vous aider, en remontant aux ancêtres qui ont mené une vie plus ou moins acceptable. Il serait bon de faire célébrer une neuvaine pour l’arbre généalogique de vos familles.

L’idée lui est soudain venue qu’elle devrait lui pardonner. C’est ce qu’elle a fait, et très profondément, de tout son cœur. La maladie a rapidement disparu.

Une interview de la mystique Maria Simma (Autriche 1915-2004) qui voyait avec facilité les âmes au Ciel.

Maria, puisqu’on parle de faiblesses physiques et d’infirmités, avez-vous déjà eu la visite d’âmes que vous connaissiez et qui avaient souffert d’une infirmité quelconque durant leur vie?

Oui, souvent. Quand elles m’apparaissaient, elles étaient complètement guéries. Plus de fauteuils roulants, plus de difformités ni de cicatrices. (…)

Lorsque les gens se rassemblent en un lieu où l’on prie beaucoup, qu’ils ont déjà été examinés par des médecins, des psychiatres et des prêtres, et que leur état semble s’aggraver plutôt que s’améliorer, cela peut-il être provoqué par des Pauvres Ames?

Oui, c’est possible; mais si tel est le cas ce serait causé par des Pauvres Âmes encore très bas dans le Purgatoire. Un bon exorciste pourra alors empêcher les défunts d’accabler les vivants.

Maria, pouvez-vous me donner un exemple où le refus de pardonner a entraîné l’apparition d’une maladie?

Oh ! C’est si souvent la cause d’une maladie. Oui, je me souviens d’un cas à Innsbruck où une jeune femme ne pouvait pas pardonner à son père. La situation était la suivante: lorsque son père vivait, il ne procurait jamais aucune joie à ses enfants et, dans le cas de cette jeune femme, lorsqu’une bonne position s’est présentée, il a refusé de la lui laisser prendre. C’était un travail qui lui aurait donné une bonne formation et le fait de le lui interdire l’a obligée à errer dans la vie sans une éducation adéquate.

Et c’est cela qu’elle ne pouvait tout simplement pas lui pardonner. Peu de temps après sa mort, il lui est apparu – pas seulement une fois, mais trois fois – en la suppliant de lui pardonner. Mais non, sa fille ne le pouvait tout simplement pas. Elle est alors tombée malade et durant sa maladie, l’idée lui est soudain venue qu’elle devrait lui pardonner. C’est ce qu’elle a fait, et très profondément, de tout son cœur. La maladie a rapidement disparu.

Je ne me souviens pas exactement de quelle maladie il s’agissait, mais il était devenu très clair qu’elle était due à ce long refus de pardonner. On ne peut pas toujours oublier les choses, mais on doit toujours pardonner. Le refus du pardon est le plus lourd fardeau dont nous puissions nous charger et la cause des plus grandes limitations que nous puissions nous imposer en cette vie.

En apportant tout cela à Dieu, nous redevenons tellement plus libres et plus comblés. Et le pardon sera suivi d’une compréhension bien plus profonde de ce qui s’est réellement passé. Cela aussi est une grâce immense et très importante.

Oui, j’ai aussi un autre cas. Il s’agissait d’un très vilain cas de démangeaison qui affligeait une femme depuis plus de vingt ans. Tout ce que la médecine moderne pouvait faire c’était de lui prescrire une crème extrêmement chère pour diminuer la démangeaison.

Elle rencontra un jours au cours d’un pèlerinage un homme expérimenté et très pieu qui se tourna vers elle et son mari au lors d’un dîner et leur dit simplement: « Demandons à Jésus de nous dire la cause de cette affection sur vos mains et votre jambe droite à partir du genou. » À l’instant même, il eut la vision intérieure d’une femme, les bras tendus vers une petite fille et le genou droit au sol. La petite fille était cette femme lorsqu’elle était enfant et la personne dans la vision était sa mère.

Cette mère avait négligé de prendre ses enfants dans ses bras et particulièrement cette fille maintenant adulte; à son tour, la fille n’avait jamais pu pardonner à sa mère.

Après avoir entendu l’explication, le mari se tourna vers sa femme et lui dit: « C’est vrai, c’est tellement vrai. Tu ne le lui as jamais pardonné. » Les larmes aux yeux, elle fut obligée de l’admettre. Pendant deux ou trois jours, elle apporta cette intention dans ses prières et à la messe, et son état s’améliora au point de ne laisser que quelques séquelles du mal. Ils sont rentrés chez eux et l’homme qui avait eu la vision n’a jamais su par la suite si les démangeaisons avaient ou non totalement cessé, mais elles n’avaient pas disparu immédiatement.

On ne peut pas s’attendre à ce que le pardon soit accordé de façon totale du jour au lendemain, mais Jésus avait bien montré ce soir-là aux personnes présentes quelle était l’origine du problème. Encore une fois, la maladie était apparue d’une manière qui aurait pu rappeler aux vivants le péché de l’ancêtre, et de cette manière, l’âme toujours au Purgatoire s’est fait connaître et a imploré le pardon sans lequel elle ne pouvait être délivrée.

Je suis certaine que cette âme, dont je n’ai jamais appris le nom, est au Ciel et que sa fille est libérée d’un mal qui l’avait affectée et fait souffrir durant des décennies, en plus de lui coûter beaucoup d’argent.

Cet article a été écrit par Vincent